? BEE CE “ AR HR ee Hi i BER AR vart LICH N RR NE) RER DRKHRE KRRNON * * OR \e I DR set ARE) ne Ka N PR () ORRELEN NA Kr 1 2) OR AN Ö ‘ {) 0) ' ht BR tet, EN NH RUN BD ERIORIN U ie 000 HRG Ye AARON 5 KNIE ah hfarote N MR au un Kinn \ Ha I ;HhA, “ Kchz KAHHnE atet KEN KR \ RN ” I anirit, s Hin HARVARD UNIVERSITY Werde cH LIBRARY OF THE Museum of Comparative Zoology 4916 x AH; j (e are | en } \ m. /& erw d ke) = i 6 3 DEE er pr pge) rel PALAEONTOLOGISCHE MITTHRILUNGEN AUS DEM MUSEUM DES KOENIGL. BAYER. STAATES. a BAND. FÜNFTE ABTHEILUNG. DIE ECHINIDEN DER STRAMBERGER SCHICHTEN ; VvoN GUSTAVE COTTEAU. CASSEL. VERLAG VON THEODOR FISCHER. 1884. 7) ‚ION: . 5 Na MI As LT 2a Ausgegeben im November 1884. £: Hierzu: ATLAS Taf. I—V. / / Pa ; Ka 2 UHR. ö AR ie ARE, a L; u 5 u Be en ES ’ - PALAEONTOLOGISCHE MITETHEIELUNGEN AUS DEM MUSEUM DES KOENIGL. BAYER. STAATES, HERAUSGEGEBEN voN D" KARL ALFRED ZITTEL, 0. Ö. PROFESSOR AN DER UNIVERSITÄT MUENCHEN, CONSERVATOR DES PALARONTOLOGISCHEN MUSR UMS, A. O0. MITGLIED DER KÖFNIGL. BAYER. AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN, DRITTER BAND. GASSEL. VERLAG VON THEODOR FISCHER. 1884. PALAEONTOLOGISCHE STUDIEN UBER DIE GRENZSCHICHTEN DER JURA- UND KABIDE-FORMATION IM GEBIETE DER KARPATHEN, ALPEN UND APPENNINEN. FUNFTE ABTHEILUNG. DIE ECHINIDEN DER STRAMBERGER SCHICHTEN GUSTAVE COTTEAT. TEXT. ( CASSEL,. VERLAG VON THEODOR FISCHER 1334. Haar air hermiorWor AT HE - ‚. TEE DARAN iz uni nlsanind Ra RUDI RK I M (aM 2 RE A ÄrTRNDTE an | DENN NT 40160 D gg Iada maoNaamange ac Mann “wi j un PrunEmr ARFOD TR ARaUR mu AD “EIERN ö “ uam ZU0% Bug Les Echinides des couches de Stramberg par Gustave Cottean, ancien president de la Societe geologique de France. . u R u Pi Send 3b Barneo- Beh ee # 8») Sys ie Cost avee un grand interet que nous avons &tudie les Echinides relativement assez abondants qu’on rencontre dans les calcaires de Stramberg. Bien que nos exemplaires, A quelques exceptions pres, soient mal conserves, incomplets, empatds dans la roche et souvent A V’etat de moule interieur, il nous a &t@ possible cependant, pour toutes les especes deerites et fieurdes, d’arriver A des döterminations preeises et que nous avons tout lien de eroire exactes. Au fur et ä mesure que nous ayancions dans notre travail, nous tions frappe du petit nombre des esp&ces partienlieres aux couches de Strambere. En ce qui eoneerne les Cephalopodes, les Gasteropodes, les Acephales etc. ete, MM. Zittel et Boehm ont reconnu un grand nombre de types nouyeaux et propres jusqu’ici A cet horizon geologique; il en est tout diff&rement des Echinides: la plupart des especes que nous avons de- termindes ont d&ja &t€ signaldes dans d’autres depots; quelques unes d’entre elles sont pour ainsi dire les especes les plus classiques des reeifs coralliens da terrain jurassique superieur de Ja France, de Ja Suisse et de V’Alle- magne. Leur &tude n’en est que plus interessante et ne peut laisser auceune incertitude sur le lien &troit qui rattache les eouches A Echinides de Stram- berg A nos divers depots de V’&tage corallien. Nous n’avons donne la synonymie detaillee des especes deja connues que lorsque cette synonymie differait en quelques points de celle publice par les auteurs. Pour la synonymie de la plupart des especes, nous avons renvoye soit A Ja Pal&ontologie francgaise, soit A ’Echinologie hel- vetique; nous avons indique &galement ces ouyrages pour les deseriptions que la mauvaise conservation de certains exemplaires nous obligeait A rendre trös incomplötes. Les diverses localit6s ou chacune des especes deerites a te preecdemment rencontree et le niveau stratigraphique qu’elles occupent ont 6t€ signalds avec son. La plus grande partie de nos exemplaires nous ont &t@ adresses par M. Zittel et appartiennent au Musde de Munich; d’autres, en assez grand nombre, nous ont &t& confies par M. Fuchs, direeteur de P’Institut geologique de Vienne, et M. Hauer. M. Hebert, professeur de geologie A la Sor- bonne, nous en a communiqud quelques uns recueillis par Iui meme soit A Stramberg, soit ä Inwald dans une couche qui est au m&me niveau que les cealcaires de Strambere. AUXERRE, 30, Juillet 1884. G. Cotteau. / Les Eehinides des eouches de Stramberg. 1 Eehinodermata. Echinoidea. I. Metaporhinus, Michelin, 1844. En deerivant les Echinides des couches de Rogoznik nous avons donne, sur le genre Metaporhinus, quelques documents quil nous parait inutile de rappeler. L’espece qu’on rencontre dans les calcaires de Stramberg est la m&me que celle que nous avons precedemment deerite et figuree, Metaporkinus con- verus auquel nous avons reuni depuis le Metaporhinus transversus que nous considerions alors comme une espece voisine, mais distincte. 1). 1. Metaporhinus convexus (Catullo), Cotteau, 1870. pl. 1. fig, 1-5. 1827. Nucleolites convexus, Catullo, Saggio di Zoologia fossile, p. 228, pl. 11, fig. G. g. 1846. Dysaster altissimus, Zeuschner, Nowe lub niedokladnie opisane gatunki. t. II, fig. 7. 1853. Collyrites transversa, D’Orbigny, Paleontol. francaise, terrain eretace, t. VI. p- 90. 1554. — _ D’Orbiguy, Revue et Magasin de Zoologie, 2. ser., BOVIED728: 1857. _ -- Desor, Synopsis des Echin. foss., p. 208. 1859. — _ Wright, Monog. of the Brit. foss. Echinod. from the oolith format., p. 326. 1867. Metaporhinus Munsteri, Üotteau, Note sur les calcaires ä Terebratula diphya de la Porte de France, Comptes rendus de l’Institut, t. LXIV, p. 1055. 1867. Metaporhinus tramsversus, Cotteau, Pal&ontol. francaise, terrain jurassique, p. 28, pl. IV (exel. partie des synonymes). 1868. == — Pictet, Etude provisoire des foss, de la Porte de France, p- 205. 1570. Aletaporhinus convexus, Cotteau in Zittel, Palaeontol. Studien über die Grenz- schichten der Jura- und Kreideformation im Gebiete der Karpathen, Alpen und Apenninen, vol. II, p. 269, pl. XXXIX, fig. 14. Palaeontologische Mittheilungen. Bd. 3. li 2 Les Echinides des couches de Stramberg. 1872. Metaporhinus convewus, Pexon, sur l’etage tithonique en Algerie, Bull. soc. geol. de Frauce, 2. ser., t. XXIX, p. 187. 1873. u E— Desor et de Loriol, Echinologie helvetique, termain jurassique p. 83, et terrain eretace, pl. 1, fig. 10—15. 1874. _ _ Ootteau, Paleont. frangaise, terrain jurassique, t. IX, p. 504. 1875. — _ Cotteau, Peron et Gauthier, Echinides foss. de l’Algerie, Ann. des sc. geologiques, p. 17, pl. I, fig. 1—11. 1875. _ _ Pillet, Description geol. et paleont. de la colline de Lentenc, p. 33, pl. IV, fig. 24—26. 1880, = — Coquand, Etudes suppl. sur la palsont. algerienne, p. 223, Bull. de l’academie d’Hippone. 1884. = — 6. Böhm, Register zum zweiten Band der palaeonto- logischen Mittheilungen, p. 28. 1884. — _ Cotteau, Peron et Gauthier, Echinides foss. de l’Algerie, 2. fascieule, p. 17, pl. I, fig. 1—11. Dimensions. Hauteur: 19 mill. Diametre antero-posterieur: 20 mill. "/,. Diametre transversal: 20 mill. Nous ne reviendrons pas sur la description detaillee que nous avons donnee en 1870. Les exemplaires des calcaires de Stramberg et de Koniakau sont en general de petite taille, mais absolument semblables par leur aspect et leurs caracteres A ceux beaucoup plus nombreux rencontres dans les couches de Rogoznik. Localites: Stramberg, Koniakau. Musde de Munich, Geologische Reichsanstalt (Vienne). Le Metaporhinus convenus a «t& signale A la Porte de France pres Grenoble (Isere), a Escragnolles (Var), ä& Lemene (Savoie), (France); il se vencontre en Algörie, a Foum-Soubella, ä Foum-Anouel (Djebel Bou-Thaleb), ä Teniet-Afghan (Djebel Afghan), au sud de Setif; il existe egalement ä Cabra (Andalousie). Presque partout l’espece est assez abondante et caracterise la zone a Terebratula janilor. pl. 1. fig. 1. Metaporhinus convexus, vu de cöte. Stramberg. 2. Le meme, vu sur la face superieure. 3. Le m@me, vu sur la face inferieure, fig. 4. Le me&me, vu sur Ja region anterieure, flg. 5. Le m&me, vu sur la region posterieure. fig. fig. 11. Collyrites, Des Moulins, 1835. Une seule espece de Collyrites, tres rare, a &t& recueillie dans les cal- caires de Stramberg, Collyrites carinata. Deux especes de grande taille et Collyrites. 3 beaucoup plus communes se sont rencontrees dans les couches plus inferieures de Rogoznik, de Noriglio ete., mais elles n’en franchissent par les limites. 2). 1. Collyrites carinata, Des Moulins, 1837. pl. 1. fig. 6—9. Voyez pour la synonymie ainsi que pour Ja deseription de cette espece, Pal&ontologie francaise, terrain jurassique, t. IX, p. 80; il y a lieu d’ajouter & la synonymie: 1567. Colly rites carinata, Oppel, Ueber die Zone des Ammonites transversarius in > Y DL geogn. paleont. Beitr., t. I, p. 299. 1367. - 2 Cotteau, Paleont. frangaise, terrain jurassique, t. IX, p. 80, pl. XVII. 137 _ — Pillet, L’etage tithonique a Lemene, Arch. biblioth. univers. Geneve, t. XL, p. 137. 1872 _ _ Desor et de Loriol, Echinologie helvetique, terrain jurassi- que, p. 373, pl. LIX, fig. 9—-11a. 1872 — — Peron, Sur l’ötage tithonique en Algerie, Bull. soc. geol. de france, 2. ser., t. XXIX, p. 187. 1375 = - Cotteau, Peron et Gauthier, Echinides foss. de l’Algerie, p. 21, pl. 1, fig. 12--15, Ann. des sc. geologiques. 1875 — — Pillet, Deseript. geol. et paleont. de la colline de Lemene, p. 34, pl. IV, fig. 22 et 23. 1880. — _ Coquand, Etudes suppl. de la palöont. algerienne, p. 217, Bull. de ’Academie d’Hippone. 1884. — —_ Cotteau, Peron et Gauthier, Echinides foss. de l’Algerie, 2. faseicule, p. 22, pl. I, fig. 12—18. Deux exemplaires de cette espece proviennent des calcaires de Stram- berg; ils sont de tres petite taille et pr&sentent cependant parfaitement les caracteres du type: forme allongee; face sup£rieure renflee, arrondie en avant, subcarenee et fortement acuminde en arriere; face inferieure lögerement pulvinde, deprimee en avant du peristome, offrant, dans la region posterieure, au milien de l'aire inlerambulacraire posterieure, un renflement apparent; sillon anterieur presque nul; peristome rapproche du bord; periprocte arrondi, situe a l’extre- mite inferieure de la face posterieure, un peu au dessous de l’ambitus et de maniere a tre vu seulement de la face inferieure. Rapports et differences. Le plus petit de nos exemplaires, qui est en meme temps le mieux conserve, offre, au premier aspect, beaucoup de ressemblance avec le Collyrites ovwulum, assez abondant dans les couches de l’ötage neocomien moyen; il en differe par sa forme plus allongee, moins arrondie et moins dilatee en avant, plus sensiblement carende dans la region posterieure. Localite: Stramberg, tres rare. Musde de Munich. Cette espece se rencontre en France dans le terrain jurassique superieur de Lemenc (Savoie) et de Crussol (Ardeche). En Algerie, elle a ‚etc recuillie 1 4 Les Echinides des conches de Stramberg. a Foum-Soubella, a Foum-Anouel (Debel Bou-Thaleb), (dep. de Constantine). En Suisse, M. de Loriol la signale dans les couches ä Ammonites lenwilobatus de Baden, Dielstorf, Endingen (Argovie) etc. et de Randen (Schaffouse). pl. 1. fig. 6. Oollyrites carinata, vu de cöte. Stramberg. =D 7. Le möme, vu sur la face superieure. I . 8. Le möme, vu sur la face inferieure. o 4} fig. 9. Le meme grossi, vu sur la face inferieure. II. Pachyelypeus, Desor, 1857. Le genre Pachyelypeus a &t& “tabli par Desor, en 1857, dans le Sy- nopsis des Echinides fossiles. L’espece qui lui sert de type, la seule connue Jusqwici, decrite et figurde par Goldfuss, en 1826, a &t& placde suc- cessivement dans les genres Naureleolites, Calopygus, Dysaster, et c'est avec beaucoup de raison que Desor a er&& pour elle le genre Pachyelypeus, adopte depuis par tous les auteurs, Dans les Echinides de l’Algerie, M. Gauthier a design‘, sous le nom Ilnfraelypeus, un genre qui se rapproche beaucoup, par sa physionomie generale, des Pachyelypeus, mais qui cependant en differe d’une maniere posi- tive par son periprocte s’ouvrant A la face inferieure au lieu d’&tre marginal, et par la presence d’un löger sillon remontant du periprocte au sommet apical. Le genre Infrachypeus n'est reprösente jusqu’ici que par une seule espece, Infraclypeus thalebensis qui n’a &t6 recueilli qu’en Algerie, et appartient, comme le Pachyelypeus semiglobus, au terrain tithonique. >). 1. Pachyclypeus semiglobus (Goldfuss), Desor, 1857. pl. 1. fig. 10—12. Voyez pour la synonymie et la description de cette espece, la Pal&on- tologie francaise, terrain jurassique, p. 390 et 523. Trois exemplaires seulement de cette espece ont et rencontres dans les calcaires de Stramberg ; ils sont A l’&tat de moules interieurs fort mal conserves, tres incomplets et permettent cependant de reconnaitre, d’une maniere certaine, les caractöres de l’espöce. Leur taille, leur forme renflöe, subeireulaire, arrondie en avant, epaisse sur les bords, Ja structure et la disposition de leurs aires ambulacraires sont absolument les m&mes que dans le type; ils ne paraissent en differer que par leur peristome excentrique en avant, au lien d’etre A peu pres central. Localites: Stramberg, Koniakau, rare. Musde de Munich. Le Pachyelypeus semiglobus a et signale A Thalmaessing, en Baviere; A la montagne de Crussol (Ard&che), en France, et ä Lägern, Randen (Argovie), en Suisse. Pachyelypeus — Pseudodesorella. 5 pl. 1. fig. 10. Pachyelypeus semiglobus, vu de cöte, Koniakau. fig. 11. Le möme, vu sur la face superieure. fig. 12. Le möme, vu sur la face inferieure. Les exemplaires du Musde de Munich &taient dessines, lorsque M. Hauer nous a envoy6& un &chantillon de cette esp£ce, recueilli a Stramberg, et dont la conservation ne laisse rien ü desirer: sa taille est grande, sa forme subcirculaire, ovale, lögerement rötröcie en arriere; sa face superieure est renflde, uniforme- ment bombee, un peu plus haute dans la region posterieure qu’en avant; sa face inferieure est plane, subconcave au milieu. Le sommet ambulacraire presque central est cependant un peu rejet@ en arriere, et les aires ambula- craires etroites & leur extremite sont un peu £cartees. Le peristome sub- eireulaire, un peu allonge, vaguement pentagonal s’ouvre dans une depression assez apparente du test et occupe ä peu pres le milieu de la face inferieure. Le periprocte elliptique, ä fleur de test est plac& & la partie superieure d’un sillon renfl& sur les bords, vague, attenue, se prolongant ä la face inferieure, mais disparaissant avant d’arriver au peristome. ÜOet echantillon ne saurait &tre distingue des types les memes caracterises du Pachyelypeus semiglobus de Baviere, de France et de Suisse. IV. Pseudodesorella, Etallon, 1859. Le genre Pseudodesorella ne saurait etre confondu avec aucun autre: ses pores ambulacraires de structure petaloide, son periprocte situe A la face superieure dans un sillon profond, son appareil apical muni d’une plaque madreporiforme tr&es etendue le rapprochent des Olypeus, mais- il s'en distingue d’un autre cöte par sa forme gendrale plus large que longue, par ses zones poriferes faiblement petaloides, par sa face införieure tres pulvinde, par son peristome transversalement pentagonal et completement depourvu de floscelle. Le genre Pseudodesorella, par ensemble de les caracteres, se place naturelle- ment ä la fin de la famille de Cassidulidees; ıl ne renferme jusqu'ici qu/une seule espece, Pseudodesorella Orbignyi. 4). 1. Pseudodesorella Orbignyi (Cotteau), Etallon, 1859. pl. 1, fig, 13—18. Voyez pour la synonymie et la description detaillee de cette espece, Pale- ontologie francaise, terrain Jurassique, t.IX, p. 326; il y a lieu d’ajouter: 1873. Pseudodesorella Orbignyi, Cotteau, Paleont. franc. terrain jurassique, t. IX, p. 326, pl. LXXXIV et LXXXV. 1873. — _ Cotteau, Oursins jurassiques de la Suisse, Bull. soc. geol. de France, 3. ser., t. 1, p. 85. 1883. _ _ Cotteau, Echin. jurassiques, eretaces, eocenes du sud- ouest de la France, p. 101, 6 Les Echinides des couches de Stramberg. Dimensions. Individu de grande taille: hauteur: 34 mill. diametre antero-posterieur: D4 mill. diametre transversal: 70 mill. Individu jeune: hauteur: 18 mill. diametre antero-posterieur: 28 mill. diametre transversal: 36 mill. Aucun doute ne saurait exister sur l’identit& des &chantillons des calcaires de Stramberg et des exemplaires qui proviennent du terrain jurassi- que de France et de Suisse. Nous avons sous les yeux sept individus recu- eillis a Stramberg et appartenant ä differents ages; ils sont bien conserves et parfaitement caracterises par leur forme generale sensiblement plus large que longue, presque droite, & peine arrondie en avant, quelque fois möme legerement ächancree, subanguleuse en arriere, par leur face inferieure forte- ment pulvinde, marqude de depressions qui recouvrent les aires ambulacraires et convergent directement vers le peristome, par leurs aires ambulacraires subpetaloides, par leur peristome pentagonal, transversalement allonge, de- pourvu de floscelle, s'ouvrant au milieu des renflements de la face inferieure, par leur periprocte allonge, aigu, piriforme, tres rapproche du sommet, place dans un sillon profond qui s’evase, s’attenue et disparait completement avant d’arriver & l’ambitus. Localites: Stramberg, Koniakau, assez rare. Musee de Munich. Geologische Reichsanstalt (Vienne). En France, cette curieuse espece a ete rencontree successivement A An- dryes, ä Merry-sur-Yonne (Yonne) et & Valfin (Jura) dans le Corallien inferieur ; Aa St. Martin-sur-Armancon (Yonne), dans le Corallien superieur; ä Angouleme (Charente), dans l’&tage kimmeridgien. En Suisse, cette espece a &t& signalde par M. de Loriol a Tariche (Jura bernois) associee a |’ Acrosalenia aspera. pl. 1. fig. 13. Pseudodesorella Orbignyi, vu de cöte. Stramberg. fig. 14. Le möme, vu sur la face superieure, fig. 15. Le meme, vu sur la face införieure. fig. 16. Individu jeune, vu de cöte. Stramberg. fig. 17. Le möme, vu sur la face superieure. fig. 18. Le möme, vu sur la face inferieure, vV. Holectypus, Desor, 1842. Le genre Holectypus a &t& söpare par Desor des Discoidea,; il s’en distingue par ses tubercules relativement plus developpes ä la face inferieure, par son periprocte plus grand et surtout par l’absence de carenes interienres qui ont laisse sur le moule des Discoidea de si profondes empreintes. Nous avons divise les Holeetypus en deux groupes bases sur Ja structure de Holectypus. 7 l’appareil apical, compose tantöt de cing plaques genitales perforees et tantöt de quatre seulement. Toutes les especes jurassiques sans exception appar- tiennent jusqu’ici au second groupe. Le genre Holectypus fait. son apparition dans l’etage bajocien et se rencontre dans toute la serie des terrains jurassiques; il existe @galement ä l’epoque cretacde, mais les especes sont moins nombreuses et disparaissent avec les dernieres assises de cette formation. Les calcaires de Stramberg nous ont offert deux especes, Holeetypus corallimus et orificiatus veprösentes par des echantillons incomplets et qui nous laissent quelque doute sur leur identite. 5). 1. Holectypus corallinus, d’Orbigeny, 1850? pl. 1. fig. 19 et 20. Les deux exemplaires que nous avons sous les yeux sont assez mal eonserves, et ce nest pas sans quelque hösitation que nous les rapportons a l’Holectypus corallimus. Un de ces @chantillons, par sa taille et par sa face superieure uniformement bombee, rapelle tout ä& fait le type deerit et figure par M. de Loriol dans l’Echinologie helvötique. Nos exemplaires de France, aftectent en general une forme plus pentagonale & l’ambitus et plus conique en dessus; malheureusement les petits tubereules et les granules qui se montrent sur quelques parties du test sont trop peu distincts pour quwil soit possible de constater leur disposition. L’appareil apical est compacte; les plaques genitales sont finement perfordes et tres petites, & l’exception de la plaque madreporiforme qui se prolonge au centre de l’appareil; la plaque genitale impaire parait imperforde; les plaques ocellaires sont anguleuses et tres pen developpees. Localite: Stramberg, rare. Geologische Reichsanstalt (Vienne). L’Holeetypus corallinus se montre dans plusieurs tages: Nous l’avons rencontre, en France, & Laignes (Uöte-d’or), dans l’ötage argovien; & Chatel- Censoir et & Druyes (Yonne), & Champlitte (Haute-Saone), dans les calcaires ä chailles et l’&tage corallien införieur; ä Angoulöme (Charente-inferieure), dans l’&tage corallien superieur; au Havre (Seine inferieure), a Gye-sur-Seine (Haute-Marne), a Bar-sur-Aube, aux Riceys (Aube) etc., dans l’etage kimmerid- gien; a Gray-la-ville (Haute-Saone), dans l’&tage portlandien. En Suisse, Desor et M. de Loriol le signalent egalement dans plusieurs etages, ä Develier dessus (Jura bernois), dans les calcaires A chailles, a Wangen pres Olten, a Wöschnau etc. (Soleure), dans l’etage sequanien; & Egerkingen, Geis- berg etc., dans l’ötage pterocerien. En Allemagne, l’Holectypus corallinus a ete recueilli a Goslar, ä Galgenberg pres Hildesheim, ä Hoheneggelsen, & Linden, a Monkeberg, ä Lauenstein, dans le terrain corallien, ä Tönniesberge, dans le terrain kimmeridgien. pl. 1. fig. 19, Holectypus corallinus sur la face superieure. Stramberg. fig. 20, Autre exemplaire, vu sur la face inferieure. Stramberg, 8 Les Echinides de couches de Stramberg. 6). 2. Holectypus orificiatus (Schlotheim), de Loriol, 1871. pl. 1, fig. 21 et 22, Nons rapportons a l’Holeclypus orificialus un exemplaire unique dont la face inferieure est empatee dans la roche; la face superieure et l’ambitus sont seuls apparents et presentent bien les caracteres du type. est le möme aspect, Ja möme face superieure haute, renflöe, subh&mispherique, le möme ambitus &pais et arrondi. Le rapprochement cependant n’est que provisoire et ne deviendra certain que lorsque nous connaitrons la face inferieure et que nous pourrons constater la grandeur du periprocte et la pe- titesse relative du peristome. Localite: Stramberg, tres rare. Musde de Munich. En Allemagne, cette espece a et& signalde a Bühl pres Riederen (Grand- Duche de Bade), a Amberg (Baviere). En France, l’espece s’est rencontree ä Grenoble (Isere), et dans le terrain corallien superieur de Montbeliard (Doubs). l’Holectypus orifieiatus n'est pas rare en Suisse, dans les couches de Baden (etage sequanien) & Lägern, Randen, Baden, Endingen (Argovie), a Löchli pres Schönenwerth (Soleure). = pl. 1. fig. 21. Holectypus orificiatus, vu de cöte. Stramberg. fig. 22. Le m6me, vu sur la face superieure. vI. Pyrina, Des Moulins, 1835. Le genre Pyrina etabli par Des Moulins comprend un ensemble d’especes que caracterisent leur taille mödiocrement developpee, leur forme epaisse, renflde, presque toujours un peu allongee, leur peristome subdecagonal et oblique, leur periprocte posterieur ou supramarginal. Le genre Pyrina commence ä se montrer dans le terrain jurassique oü il est represente par deux especes: l’une, Pyrina Guerangeri provenant de l’ötage bathonien et la seconde, Pyrina ticaumensis appartenant & letage corallien. Ce genre atteint son maximum de developpement a l’epoque cre- tacde et disparait avec les couches inferieures du terrain tertiaire. Dans lori- gine, nous avions place nos deux espöces jurassiques dans le genre Desorella ot elles formaient un petit groupe distinct, mais plus tard, dans la Paleon- tologie francaise, nous rangeant ä l’opinion de M. de Loriol (Echinol. helv., terr. jurass., p. 287), nous les avons reunies au genre Pyrina. Une de ces especes, Pyrina ieaumensis, s’est rencontree dans les calcaires de Stramberg. Pyrina. 9 7). 1. Pyrina icaunensis (Cotteau), de Loriol, 1871. pl. 11, fig. 1-6. Les echantillons nombreux que nous connaissons de cette espece sont d’une belle conservation et nous permettent d’en donner une description de- taillee. Non renvoyons pour Ja synonymie soit A l’Echinologie helvetique, p. 287, soit ä la Pal&ontologie francaise, t. IX, p. 396. Dimensions. Hauteur: 20 mill. Diametre antero-posterieur: 35 mill. Diametre transversal: 29 mill. Individu plus jeune: Hauteur: 16 mill. '/,. Diametre antero-posterieur: 29 mill. Diametre transversal: 23 mill. Espece de taille moyenne, oblongue, arrondie en avant et en arriere, tres l&gerement tronqude dans la region posterieure; face superieure peu elevee, rögulierement convexe, un peu declive en arriere, epaisse et renflee sur les bords; face inferieure subpulvinde, ä peine deprimde au milieu. Sommet ambulacraire subexcentrique en avant. Aires ambulacraires etroites a leur partie superieure, convergeant directement du sommet au peristome, indgales, les posterieures plus larges que les autres et lögerement recourbees pres du sommet. Zones poriferes lineaires, A feur de test, composees de pores simples, tres petits et tres serres A la face superieure, plus espac6s et plus obliguement disposes vers l’ambitus et ä la face inferieure, tendant a se multiplier autour du peristome. Tubercules de petite taille, cröneles, perfores et scrobicules, epars et peu abondants ä la face superieure, plus nombreux et plus serr&s vers le pourtour du test, et augmentant lögerement de volume ä la face inferieure. Peristome ä peu pres central, un peu rejete en avant, allong£, obli- que, marque de tres petites entailles qui lui donnent un aspect subdecagonal, s’ouvrant dans la partie concave de la face inferieure. Periprocte allonge£, acumine au sommet, large, subpiriforme, place en dessus tr&es pres du centre. Appareil apical subcompacte, granuleux, compos& de quatre plaques genitales et de cing plaques ocellaires; les plaques genitales sont indgales, pentagonales; la plaque madreporiforme, plus developpee que les autres, se prolonge au centre de l’appareil ; les deux plaques posterieures se touchent par le milieu; la cinquieme plaque genitale fait entierement defaut. Les trois plaques ocellaires anterieures, petites et subtriangulaires, s’articulent a la base externe des plaques genitales; les deux autres plaques, un peu plus grandes, sont placees directement au dessous des plaques genitales posterieures et se touchent par le milien. Rapports et differences. Cette espece se distingue de ses conge- neres par sa taille assez forte, par sa forme allongee, ovoide, pulvinee & la 10 Les Echinides des couches de Stramberg. face inferieure, par son periprocte tr&s grand, piriforme, rapproche du sommet, et occupant une partie de la face superieure. Les exemplaires de Stramberg presentent parfaitement les caracteres du type et ne sauraient en Ötre söpares; les individus jeunes sont relativement plus &pais, plus trapus, et le p@riprocte parait plus etendu. Localites: Stramberg, Chlebowitz, assez commun. Musee de Munich, Geologische Reichsanstalt (Vienne). Cette espece a ete recueillie dans l’e&tage corallien, en France, a Merry- sur-Yonne (Yonne), a Champlitte (Haute-Saone) et a Valfın (Jura): en Suisse a Wimmis (Berne), et au mont Saleve (Geneve). — pl. 11. fig. 1. Pyrina veaumensis, vu de cöte, Stramberg. fig. 2. Le möme, vu sur la face superieure. fig. 3. Le möme, vu sur la face införieure. fig. 4. Le meme, vu sur la region anale. fig. 5. Appareil apical et portion de la face superieure grossis, pris sur un indi- vidu provenant de Chlebowitz, du Musee de Munich. fig. 6. Autre exemplaire, vu sur la face superieure. Stramberg. vH. Pygaster, Agassiz, 1836. Le genre Pygaster est cavracterise par sa grande taille, par sa forme subpentagonale, par sa face superieure renflde, quelquefois subconique, par ses tubercules perfores et non cr@nel6s, par son peristome central, largement developpe, ınuni d’entailles qui souvent ont laisse de profondes empreintes sur le moule interieur, par son periprocte piriforme, tr&s developpe, oceupant une grande partie de l’espace compris entre le bord posterieur et le sommet, par son appareil apical compacte, remargquable par le developpement conside- rable de la plaque madr£@poriforme. Le genre Pygaster se partage en deux groupes: le premier comprend les especes dont les pores sont virguliformes dans les rangees externes et dont les tubercules, toujours espac6s,. sont disposös en series verticales ä peine di- stinctes; le second groupe renferme les especes chez lesquelles les pores sont homog£enes et arrondis dans les deux rangees, et les tubercules disposds en series rögulieres. Le genre Pygaster se montre pour la premiere fois dans les couches superieures du lias et se rencontre dans tous les etages du terrain jurassique; il abonde surtout dans les couches coralliennes. Le genre existe encore A l’epoque cretacee, mais il y est trös rare et ne depasse pas l’&tage cenomanien. Les calcaires de Stramberg nous ont offert une seule esp£ece de Pygasler, P. Gressiyt, appartenant au second groupe; elle y est rare et representee par deux exemplaires. Pygaster. 11 [6] — 1. Pygaster Gresslyi, Desor, 1842. pl. 11. fig. 7—9. Voyez pour la synonymie et la description de cette espece Paleon- tologie francaise, terrain jurassique, t. IX, p. 484. Dimensions. Hauteur: 21 mill. Diametre antero-posterieur: 38 mill. Diamötre transversal: 42 mill. L’exemplaire de Stramberg que nous avons sous les yeux est un peu ecras6 et assez mal conserve. Son identit# cependant ne nous parait pas douteuse: sa taille est moyenne et le diametre antero-posterieur, tout en tenant compte de la depression que lindividu a subie, est sensiblement moins etendu que le diametre transversal; sa face superieure est uniformement bombee, tres &paisse sur les bords, un peu declive dans la region posterieure; sa face inferieure est subpulvindge et legerement concave au milieu. Les aires ambulacraires sont un peu renfldes, inegales, les posterieures moins longues que les autres et recourbees A leur exträmite superieure; les zones poriferes sont droites et composdes de pores egaux, arrondis, serres, places horizontalement et tr&s regulierement A la face superieure. Deux rangees multiples de tubercules, presqu’aussi gros en dessus que dans la region inframarginale, garnissent les aires ambulacraires et interambulacraires. Le peristome est subcirculaire, mediocrement developpe, muni d’entailles appa- rentes. Le periprocte trös grand, large, piriforme, arrondi a l'extremite oceupe au moins les deux tiers de l’espace compris entre le sommet et le bord posterieur. Localite: Stramberg, tr&ös rare. Musde de Munich. Cette espece caracterise les couches inferieures et moyennes de l’etage corallien. En France, elle a &t& recueillie, dans les couches inferieures, & Trouville (Calvados), a Selongey (Cote-d’or), a Bazoches (Nievre), a Saulces-aux- bois (Ardennes), et dans les couches superieures ou s@quaniennes, ü Tonnerre (Yonne), a Angoulin (Charente inferieure), & Roedersdorf (Haut-Rhin) et a la base de Molidane (Algerie). En Suisse, elle parait propre a l’etage söquanien, et dans l’Echinologie helvetique, elle est indiquee ä Erschwyl (Soleure), ä Montchaibeux, Blauen (Jura bernois) et ä St. Croix (Vaud). pl. 11. fig. 7. Pygaster Gressiyi, vu de cöte. Stramberg. fig. 8. Le meme, vu sur la face superieure. fig. 9. Le möme, vu sur la face inferieure. Un second exemplaire du Pygaster Gresslyi, mieux conserve que celui que nous avons deerit, nous a 6t€ communiqu6 par le Geologische Reichsan- stalt, trop tard ponr ätre figure. La face inferieure est engagee dans la roche, mais la face superieure, parfaitement conservee, presente tres bien les carac- teres du type. 12 Les Echinides des couches de Stramberg. vım. Cidaris, Klein, 1734. Le genre Crdaris sera toujours facilement reconnaissable a ses zones poriferes plus ou moins flexueuses, formdes de pores simples non conjugues par un sillon et ne se multipliant jamais pres du peristome, A ses aires ambu- lacraires troites et garnies de simples granules, A la grosseur de ses tubercules interambulacraires, ä l’absence complete de tubercules secondaires, ä son peristome subeirculaire et depourvu d’entailles. Tres nombreux en especes, le genre Cidaris est, de tous les genres d’Echinides, celui qui a persist& le plus longtemps; il fait son apparition dans les couches du terrain carbonifere; il existe & l’Epoque triasique et multiplie ses espöces dans tous les etages des terrains jurassique, - eretace et tertiaire. Aujourdhui encore, il compte des representants dans la plupart de nos mers. Le genre Cidaris parait atteindre, A l’Epoque corallienne, le maximum de son developpement. Neuf especes ont te recueillies dans les couches de Stramberg: 9). 1. Cidaris glandifera, Goldfuss, 1826. pl. 11. fig. 10-25. Voyez pour la synonymie de cette espece, Echinologie helvetique, terrain jurassique, p. 94, et Pal&£ontologie francaise, terrain Ju- rassique, t. X, 1. partie, p. 191. Tout en renvoyant ä ces synonymies, nous devons en retrancher les eitations qui precedent celle de Goldfuss remontant ä 1826; ces citations, dans lesquelles l’espece est designee sous le nom de glandaria, s’appliquent a des radioles recueillis en Orient, longtemps consideres comme appartenant au terrain jurassique et que M. O. Fraas a demontre provenir de l'etage cenomanien. Le test du Cidaris glandifera est vepresente dans les calcaires de Stram- berg par trois exemplaires incomplets, mais qui nous permettent cependant de reconnaitre l’espece et d’en donner la description. Dimensions. Hauteur: 90 mill. Diametre transversal: 84 mill. Espöce de grande taille, haute, circulaire, deprimee en dessus et en dessous. Zones poriferes etroites, onduleuses, un peu enfoncees, formedes de pores simples, l&gerement oblongs, rapproch6s les uns des autres, separes au milieu par un petit renflement granuliforme. Aires ambulacraires relativement assez larges, plus &troites et presque droites A la face inferieure, garnies de deux rang6es rögulieres de granules places tres pres des zones poriferes. D’autres Cidaris. i3 granules plus petits, inegaux, disposes plus irregulierement et accompagn6s de quelques verrues occupent le milieu de l’aire ambulacraire. Tubercules interambulacraires mediocrement developpes, saillants, creneles et perfores, tres espac‘s A la face superieure, plus serrös vers l’ambitus et en dessous. Serobiceules etroits, eirculaires, deprimes, entoures d’un cercle de granules distincts, mais cependant peu proäminents. Les cercles scrobiculaires, partout complets, sont separes des zones poriferes par une large bande de test. Zone miliaire tr&es developpee, couverte de granules abondants, serres, homog£nes, d’autant plus fins quiils se rapprochent de la suture des plaques. Radioles glandiformes, epais, allonges, plus ou moins acuminds au sommet, garnis sur toute la tige de cötes longitudinales fortement granu- leuses, qui se r&unissent au sommet et descendent en s’attenuant jusqu’ä la base. L’intervalle qui separe les cötes est plus ou moins resserr& et souvent garni de petites cloisons inegales, subtransversales, irr&gulieres qui ui donnent un aspect ponctue. Collerette tres courte, parfois tout ä& fait nulle. Bouton peu developp@ ; anneau saillant; facette articulaire ä peine crenelde. Les radioles du Crdaris glandifera, tres nombreux au milieu des calcaires de Stramberg, varient dans leur taille, dans leur forme plus ou moins renflee, plus ou moins acuminde au sommet, et dans la disposition des cötes granu- leuses qui garnissent la tige. Le plus souvent ces cötes sont regulieres et descendent du sommet a la base; chez quelques exemplaires cependant, les granules de la partie superieure sont isoles, plus grossiers et les s6ries perdent un peu de leur regularite. Chez d’autres, c’est le contraire qui a lieu et certains exemplaires de petite taille sont munis de cötes saillantes, tr&s peu granu- leuses, presque lisses; mais ces deux dernieres variötes sont rares et presque tous nos exemplaires presentent parfaitement les caracteres du type. Les differents tests dont nous avons donne la description different un peu de nos exemplaires de France. Les aires ambulacraires, sur le bord des zones poriferes, presentent deux rangees de granules relativement plus gros et plus apparents. Les scrobicules qui entourent les tubercules sont plus etroits et plus fortement deprimes, et les cercles de granules scrobiculaires sont separes des zones poriferes par une bande de test assez large; ces diffe- rences ont une certaine importance, mais elles ne nous ont pas paru suffi- santes pour separer les exemplaires de Stramberg du Cidaris glandifera et les considerer comme appartenant ä& une autre esp£ce, distincte des nombreux radioles que nous venons de decrire qu’on rencontre dans la mäme couche et qui sont bien ceux du Üidaris glandifera. Rapports et differences. Le test du ©. glandifera se distingue de ses congeneres par ses aires ambulacraires etroites et tres onduleuses ä& la face superieure, presque droites aux approches du peristome, par ses tubercules interambulacraires largement espaces, entoures d’un scrobicule peu developpe et separes par une zone miliaire tres large et finement granuleuse. M. O. Fraas a figure le test du Cidaris glandaria, du Liban, longtemps confondu 14 Les Eehinides des couches de Stramberg. avec l’espöce qui nous occupe; il s’en dloigne par ses tubereule plus nombreux et plus rapproch6s, söpares par une zone miliaire flexueuse, tres etroite et garnie de granules plus grossiers. Les radioles des deux especes sont tres voisins; ils presentent cependant quelques differences, et ceux du Oidanis glandaria paraissent munis de cötes plus saillantes et plus @pineuses. Le Oidaris authentica, Desor, connu seulement par ses radioles assez communs a V’Echaillon (Isere), ne nous parait, comme ä M. de Loriol, qu’une variete A cötes plus fortement grannleuses et A aspect plus regulierement glandiforme du Cidaris glandıfera. Localites: Stramberg, Koniakau, Chlebowitz, test rare, radioles communs. Musde de Munich, Geologische Reichsanstalt (Vienne), collection de M. Hebert. Cette espece a dt& recueillie, en France, ä Lane pres Chambery (Savoie), A l’Echaillon (Isere), A Rougon (Basses Alpes), ä la Serrane pres Cazillac et ä Ganges (Herault), dans le terrain jurassique sup£rieur. M. Peron l'’a rencontree A peu pres au möme niveau, & Chellalah (Province d’Alger) et & Djebel Seba (Province de Constantine). M. de Loriol, dans l’Echinologie heivstique signale les radioles du Cidaris glandifera & Bärenweil (Canton de Bäle). pl. II, fig. 10. Cidaris glandifera, vu de cöte, du Musöe de Munich. Stramberg. fig. 11. Le m&me, vu sur la face superieure. fir. 12. Autre exemplaire du Geol. Reichsanstalt, vu de eöte. Stramberg. fie. 13. Aire ambulacraire et plaque interambulaeraive grossies, prises sur un exemplaire de Musece de Munich. Stramberg. fie. 14. Radiole du Cidaris glandifera, du Musee de Munich. Stramberg fig. 15. Partie superieure du meme radiole, fig. 16. Autre radiole, du Geol. Reichsanstalt. Stramberg. fig. 17. Partie superieure de meme radiole. fig. 18—21. Anutres radioles, du Musce de Munich. Stramberg. fig. 22. Portion de la tige grossie. fig. 23. Autre radiole, du Musöe de Munich. Koniakau. fig. 24. Base de la tige et bouton grossis. fig. 25. Facette artieulaire grossie. 10). 2, Cidaris carinifera, Agassiz, 1867. pl. IT. fie. 15. Voyez'pour la synonymie de cette espece la Pal&ontologie francaise, terrain jurassique, t. X, 1. part., p. 199. Test inconnu. Dimensions du radiole: Longueur: 55 mill. Epaiseur: 19 mill. Variete venflde: Longueur: 55 mill. Epaisseur: 27 mill. Cidaris. 15 Radiole de grande taille, allonge, £pais, renfl@E en forme de massue, s’elargissant graduellement depuis la collerette jusqu’aux deux tiers environ de la longueur, tres acumine au sommet, garni, sur la tige, de cötes ou carenes longitudinales qui partent du sommet et sont irregulieres dans leur etendue ; les unes descendent jusqu’aux approches de la collerette; les autres ne depassent pas le milieu de la tige. Plus saillantes ä leur origine, ces petites cötes s’attenuent et disparaissent en se rapprochant de la base. Toute la surface du radiole est en outre couverte de stries transverses, fines, serrees, subonduleuses, passant sans s’interompre pardessus les cötes et donnant ä la tige un aspect treilliss& visible & la loupe seulement. Col- lerette tr&s courte, presque nulle. Bouton assez d@veloppe; anneau saillant: facette articulaire crenelee. Rapports et differences. Les radioles de Cidaris carinifera se distinguent de tous ceux que nous connaissons par leur forme, par les cötes lisses, saillantes et in@gales qui partent du sommet de la tige et sur- tout par les stries fines, transverses, subonduleuses qui garnissent toute la surface. Les exemplaires provenant des calcaires de Stramberg sont remarquables par leur grande taille, par leur tige tres renflde et ornde de cötes nombreuses et serrdes; malgr@ ces differences, ils ne sauraient ätre di- stingues du type. Loealite: Stramberg, assez abondant. Musde de Munich: Geo- logische Reichsanstalt (Vienne). Il serait possible que les tests de Cidaris que nous avons decrits et figures, sous le nom de Ordaris glandifera dussent &tre reunis au (idaris carinifera. On les trouve associes aux radioles de l'une et l’autre espece. Nous les avons provisoirement rapproches du Oidaris glandifera, de France dont ils presentent assez bien les caracteres, mais tant qu’un radiole n’aura pas te rencontr@ adherent Aa l’un des tubercules, nous ne pourrons avoir une certitude absolue. En dehors des calcaires de Stramberg, le Cidaris carinifera est partout tres rare. En France, il a dt@ recueill& ä Armaille (Bas-Bugey, Ain), au Mont Sal&ve (Haute Savoie). "Cette espece se trouve en Algerie, A Chellalah (Province d’alger). En Suisse, M. de Loriol, dans ’Echinologie helvetigne, signale cette espece a Burgfluh pres Wimmis (Canton de Berne). Associce aux radioles du (rdaris glandifera, dans presque toutes ces localites, elle caracterise le terrain jJurassique superieur. pl. III. fig. „ . Radiole du Cidaris earinifera, du Musee de Munich. Stramberg. fig. 2. Sommet du meme radiole. fig. 3. Portion du meme radiole grossie. fig. 4 et 5. Autres vadioles, du Musee de Munich. Strambere. 2 3 16 Les Echinides des couches de Stramberg. 11). >. Cidaris Blumenbachi, Munster, 1826. pl. II, fig. 6—9. Voyez pour la synonymie et la description de cette esp£ce l’Echinologie helvetique, terrain jurassique, p. 30, et la Pal&ontologie francaise, terrain jurassique, t. X, 1. partie, p. 89. Les calcaires de Stramberg nous ont offert plusieurs exemplaires que nous rapportons ä cette espece; ıls sont incomplets, mal conserves et nous paraissent cependant presenter parfaitement les caracteres du type: grande taille, forme haute et renflde,. aires ambulacraires peu onduleuses, &troites ef: presque droites ä la face inferieure, tubercules interambulacraires nombreux, serres sans cependant se confondre par la base, separes au milieu par une zone miliaire large et granuleuse. Nous rapportons &galement au Ordaris Blunmenbachi quelques fragments de radioles allong6s, gröles, eylindriques, garnis de granules Epineux, denteles et formant des series droites, regulieres, plus ou moins espacees. Localites: Stramberg, Inwald, rare. Musde de Munich, collection de M. Hebert. Le Cidaris Blumenbachi est abondant en Angleterre, en Suisse et en France et se rencontre A plusieurs niveaux du ferrain jurassique; il a dte sig- nale dans l’&tage oxfordien, dans l’&tage corallien inferieur, moyen et sup£ri- eur et dans l’&tage kimmeridgien. C'est a l’&poque corallienne et notamment dans les couches inferieures que cette espece parait ätteindre son maximum de developpement. pl. III. fig. 6. Moule interieur du Cidaris Blumenbachi, du Geologische Reichsanstalt. Stramberg. fig. 7, Autre exemplaire avee son test, de Ja meme collection. Stramberg. fig. 8. Fragment de radiole, du Musee de Munich, Stramberg. fig. 9. Le möme grossi. 11) 4. Cidaris strambergensis, Cotteau, 1384. pl. IL, fig. 10—18. Test inconnu. Radiole glandiforme, @pais, renflö, ordinairement tres gibbeux A la partie superieure, tantöt arrondi, tantöt acumine au sommet, se r&treeissant plus ou moins brusquement vers la base, garni sur toute la tige de cötes longitu- dinales rögulieres, plus ou moins apparentes, toujours lisses, s’attenuant et disparaissant bien avant darriver a la base, d’autant plus saillantes qu’elles se rapprochent du sommet. L’intervalle qui les söpare, plus on moins large, parait egalement lisse. Collerette tr&s courte, presque nulle. Bouton peu developpe; anneau bien distinct, mais ä peine proeminent; facette articulaire faiblement crönelee. : Cidaris. 17 Rapports et differences. Cette espece ne saurait ©tre confondue avec les radioles du Ordaris glandifera« qu'on rencontre dans les mömes couches; elle s’en distingue par sa forme plus &paisse, plus globuleuse, plus arrondie au sommet et moins sensiblement acuminde, par sa tige garnie de cötes lisses au lieu d’ötre granuleuses, s’attönuant et disparaissant A une bien plus grande distance de la base. La disposition de ses cötes lisses rapproche cette espece des radioles du Pseudocidaris rupellens’s, mais cette derniere espece sera toujours facilement reconnaissable ä sa taille plus forte, a sa forme plus irreguliere, plus anguleuse, si bizarrement aplatie sur les cötes, plus resserrde et plus ätranglde a la base, A sa tige garnie de cötes plus fines, plus egales et descendant plus bas. Il serait possible que ce radiole, comme le Pseudocidaris rupellensis, appartint au genre Pseudoeidars que caracterisent ses radioles &pais et glandiformes. Tant que la decouverte du test ne viendra pas nous donner une certitude A ce sujet, nous laisserons l’espece parmi les Oidaris. Localite: Stramberg, Chlebowitz, Inwald, assez commun. Musee de Munich, Geologische Reichsanstalt (Vienne). pl. II. fig. 10. Radiole du Ordaris strambergensis, Musece de Munich. Stramberg. fig. 11. Base de la tige et bouton grossis. fig. 12 et 13. Autres radioles, du Musee de Munich, Stramberg. fig. 14. Sommet de la tige. fig. 15. Le meme grossi. fig. 16. Autre radiole, du Geologische Reichsanstalt. Stramberg. fig. 17 et 18. Autres radioles, du Musee de Munich. Chlebowitz. 13). 5. Cidaris propinqua, Münster, 1826. pl. III, fig. 1923. Voyez pour la synonymie de cette espece la Pal&ontologie francaise, terrain jurassique, t. X, 1” partie, p. 169. Dimensions. Hauteur: 13 mill. Diametre: 23 mill. Un seul exemplaire de cette espece a &t& recueilli dans les calcaires de Stramberg et se rapporte parfaitement au type du Oldanis propinqua,; sa bonne conservation nous permet d’en donner une description complete: Espece de petite taille, renflde, eirculaire, A peu pres ögalement deprimee en dessus et en dessous. Zones poriferes onduleuses et un peu creusees. Aires ambulacraires tres &troites, flexueuses, pourvues de deux rangees de petits granules qui se touchent aux approches du sommet et du peristome, s’elargissent un peu vers l’ambitus et renferment alors au milieu une autre rangee irröguliere de granules plus petits. Tubercules interambulacraires Palaeontologische Mittheilungen. Bd. 3. 2 18 Les Echinides des couches de Stramberg. gros, saillants, tres fortement mamelonnes surtout A la face superieure, perfores, marques de legeres erenelures, diminuant de volume en se rap- prochant du peristome, au nombre de quatre ou cing par serie. La partie superieure de chacune des aires interambulacraires est occupde par un seul et tres gros tubercule qui se developpe au detriment de la plaque voisine, tres petite, portant un rudiment de tubercule ou simplement granuleuse. Scrobicules circulaires, A peine deprimes, entour6s d’un cercle de granules saillants, espaces, beaucoup plus gros que ceux qui occupent la zone miliaire, tres rapproches des aires ambulacraires. Zone miliaire flexueuse, granuleuse, tres etroite dans l’exemplaire de petite taille que nous deerivons. Rapports et differences. Le COidaris propingua se distingue de ses congeneres par sa taille relativement peu developpee, par ses aires ambula- craires etroites, Hexueuses, garnies de deux rangees principales de granules et de quelques granules intermediaires, par ses tubercules interambulacraires peu nombreux, tres gros, saillants et fortement: mamelonn&s surtout ä la face sup@rieure. Localite: Stramberg, tr&s rare. Geologische Reichsanstalt (Vienne). Le Crdaris propingua existe dans un grand nombre de localites. En Allemagne sa presence a dt& signalde A Muggendorf et ä Kelheim (Baviere), ä Sirchingen, & Nattheim (Wurtemberg). En France, il caracterise surtout l’etage corallien inferieur et a &t& receuilli a Chatel-Censoir et A Druyes (Yonne), & Champlitte (Haute-Saone), aux environs de Macon (Saone et Loire), ä Selongey (Cote-d’or), & Ecommoy (Sarthe). Il se trouve 'egalement, dans l’ötage corallien superieur, A Bourges (Oher). Le Cidaris propinqua est tres abondant en Suisse, et sa presence a et& signalde dans un grand nombre de localites appartenant aux ötages oxfordien, corallien inferieur, sequanien et pterocerien. pl. II. fig. 19. Cidaris propinqua, vu de cöte. Stramberg. fig. 20. Le möme, vu sur la face superieure. fig. 21. Le möme, vu sur la face inferieure. fig. 22. Plaques ambulacraires et interambulacraires grossies. fig. 23. Tubereule interambulacraire, vu de profil, grossi. 14). 6. Cidaris gibbosa, Cotteau, 1884. pl. III, fig. 4—27. Nous ne connaissons cette espece qu’ä l’etat de moule interieur et nous ne pouvous en donner quant A prösent qu’une description tres incomplete: Dimensions. Hauteur: 25 mill. Diamötre: 41 mill. Monule intörieur mediocrement developpe, eirculaire, onduleux au ponr- tour, deprime en dessus et en dessous. Aires ambulacraires renflees, saillantes, tres &troites surtout A la partie superieure, Hexueuses. Aires interambulacraires Cidaris. 19 renflees au milieu et presentant de fortes gibbosites, correspondant aux tubercules interambulacraires et indiquant que ces derniers 6taient peu nom- breux, saillants et places sur de larges plaques. Peristome arrondi. Appareil apical etendu, solide d’apres l’empreinte qu'il a laissde; plaques genitales tres grandes, pentagonales: plaques ocellaires relativement bien developpdes, sub- triangulaires. Rapports et differences. Cette espece nous a paru se distinguer de tous les moules interieurs de Cidaris que nous avons sous les yeux: elle se rapproche un peu du moule du (Cidaris cerwicalis, mais elle s’en distingue par ses aires ambulacraires plus etroites et plus flexueuses, par les protuberances plus irrögulieres et plus fortes qui se montrent sur les aires interambulacraires, par son peristome moins large, par son appareil apical beaucoup plus developpe£. Localite: Stramberg, rare. Musde de Munich. pl. III. fig. 24. Moule interieur du Cidaris globosa, vu de cöte. Stramberg. fig. 25. Le m&me, vu sur la face superieure. fig. 26. Le meme, vu sur la face inferieure. fig. 27. Variete plus gibbeuse, vue de cöte. Stramberg. 15). 7. Cidaris marginata, Goldfuss, 1826. pl. IV, fig. 1 et 2. Voyez pour la synonymie et la description de cette espece la Pal&on- tologie francaise, terrain jurassique, t. X, 1" partie, p. 179. Les calcaires de Stramberg ne nous ont offert de cette espece qu’un seul exemplaire; il est incomplet, mais parfaitement conserv@ et ne peut laisser aucun doute sur son identits avec le Oldaris marginata. Sa taille est moyenne, haute, renflee, cireulaire, un peu rentrante en dessous, a peu pres ega- lement deprimde snr les deux faces; ses zones poriferes sont onduleuses et lege- rement creusees, ses aires ambulacraires planes et garnies de quatre rangees de granules serres, egaux et reguliers. Les series externes sont a peine un peu plus developpees que les autres et arrivent seules au sommet et au peristome. Les tubereules interambulacraires, fortement mamelonnes et perfores, mais presque toujours depourvus de crönelures, sont au nombre de cing par rangee, tres espaces A la face sup6rieure, plus petits et: plus serres en se rapprochant du peristome. Les serobieules deprim6s, circulaires, entoures de granules assez gros touchent on A peu pres les zones poriferes. La zone miliaire est sinueuse, large seulement vers l’ambitus, couverte, ainsi que l’espace qui separe les tubereules, de granules fins, serr&s, homogenes. Loealite: Stramberg, trös rare. Musde de Munich. Cette espece est assez commune A Nattheim, A Sirchingen, & Heidenheim, & Oerlingen (Wurtemberg), a Kelheim (Baviere) dans l’etage Sn En 30 Les Echinides des eonches de Stramberg. France, on la rencontre dans l’etage corallien superieur, a La Rochelle (Cha- vente inferieure), & Valfin (Jura), a Rougon (Basses Alpes), et dans l’etage kimmeridgien, A Montareux-les-Gray (Haute-Saone). pl. IV. fig. 1. Oidaris margınata, vu de cöte, Stramberg. fig. 2. Plaques ambulacraires et interambulacraires grossies. 16). 8. Cidaris subpunctata, Cotteau, 1884. pl. IV, fig. 3—5. Test inconnu. Radiole allonge, subcylindrique, un peu acumine et tronqud au sommet, grele et resserr& vers la base, garni A la partie superieure de cötes saillantes, espacdes, @pineuses qui s’attenuent, se multiplient, deviennent moins r&gu- lieres et plus visiblement granuleuses au fur et a mesure qu’elles se rapprochent de la base de la tige. Collerette bien limitee, lisse et longue. Le bonton n'est par conserve. Rapports et differences. Cette espece, par sa forme generale, rap- pelle les radioles du Cidaris florigemma; elle s’en distingue par sa forme plus elancde et »lus gräle, par ses cötes plus saillantes & leur partie superieure, plus granuleuses et plus attönuees vers le milieu de la tige, par sa collerette plus longue. Loecalit@: Nesseldorf, tres rare. Musde de Munich. pl. IV. fig. 3. Radiole du Oidaris subpunetata. Nesseldorf. fig. 4. Partie superieure de la tige grossie. fig. 5. Partie införieure de la tige grossie. 10). 9. Cidaris Sturi, Cotteau, 1884. pl. IV, fig. 6—18. Test inconnu. Dimensions du radiole. Longueur: 25 mill. Epaisseur pres du sommet: 9 mill. Radiole allonge, suhcylindrique, augmentant graduellement et insen- siblement de volume depuis la base jusgu’au sommet qui est assez brus- quement trongud sur le bord et plus ou moins arrondi en dessus. La tige est garnie de granules inögaux, abondants, presque toujours tr&s serres, tantot disseminds au hazard, formant le plus souvent des series longitudinales qui s’6levent du bouton jusqu’au sommet. Ind&pendamment des granules, la partie superieure du radiole presente des protuberances indgales, arrondies, placdes sans ordre, quelques unes souvent disposdes en couronne autour de la Cidaris — Rhabdocidaris. zoll troncature de la tige. Collerette nulle. Bouton peu developpe; anneau saillant; facette articulaire paraissant lisse. : Ce radiole, dont nous connaissons un tr&es grand nombre d’exemplaires offre plusieurs varietes interessantes. Le plus souvent la tige augmente gra- duellement de volume, ainsi que nous l’avons indique, et est subtronqude au sommet, mais il n’en est pas tonjours ainsi: tantöt la tige est assez rögulierement glandiforme et la troncature du sommet tres attenuee; tantöt le radiole se renfle un peu vers la base, d’un cöt& seulement ; quelquefois aux deux tiers de sa longueur, la tige est plus vu moins fortement etranglee, mais, dans ces varietes, nous retrouvons les mömes granules et au sommet les memes prodminences caracteristiques, aussi nous n’hesitons pas a les con- siderer comme devant se reunir au m&me type. Rapports et differences. Cette espece se distingue nettement de ses congeneres par sa forme gen6rale et la disposition des granules qui recouvrent la tige; elle se rapproche par sa forme des radioles du Oldaris punctatissima, du terrain neocomien de lIsere; elle en differe par sa taille moins forte, par ses granules plus apparents et formant des series lougitudinales plus distinctes, par son sommet garni de protuberances plus accusees. Les deux especes sont assurernent voisines, cependant il ne nous a pas paru possible de les reunir. Nous laissons provisoirement ces radioles parıni les Ordaris, tout en recon- naissant qu’on devrait peut-etre, en raison de leur forme, les placer parmi les Pseudocidar's. Localite: Stramberg (Cidariten-Mergel), abondant. Geologische Reichsanstalt (Vienne), collection de M. Hebert. pl. IV. fig. 6. Radiole du Oidaris Sturi. Stramberg. fig. 7. Facette articulaire grossie, fig. 8. Sommet de la tige grossi. fie. 9. Portion de la tige grossie, fig. 10. Base de la tige, collerette et bouton grossis. fig. 11—13. Autres radioles. Stram berg. fig. 14. Variete A tige etranglee. fig. 15. Facette articulaire grossie. fig. 16. Sommet de la tige grossı. fig. 17. Autres radioles. Ix. Rhabdoeidaris, Desor, 1855. Le genre Rhabdocidaris a &t& demembr& des Cidaris par Desor; il s’en distingue par ses pores ambulacraires &cartes, unis par un sillon et separes transversalement par une petite cöte saillante. Les tubercules interambula- craires, chez certaines especes, sont marques de erönelures profondes, et chez d’autres, tout ä fait lisses. Les especes jurassiques sont en general remar- quables par leur grande taille et par leurs tubercules profondöment crneles. 29 Les Echinides des couches de Stramberg. Les radioles sont le plus souvent tr&s developpes, &pais, robustes, cylindriques, comprimes ou prismatiques, parfois etalds en forme de rames, toujours pourvus de granules, de dentelures ou de fortes &pines. Le genre Rhabdocidaris a commenc& A se montrer dans le terrain ju- rassique et y atteint son maximum de developpement, offrant des represen- tants dans presque tous les dtages. 11 existe egalement dans le terrain eretace, dans le terrain tertiaire et A l’&poque actuelle, mais beaucoup plus rare. Les couches de Stramberg nous ont fournis une espece tr&s bien carac- terisee du genre Rrhabdocidaris. 18). 1. Rhabdocidaris maxima, (Munster), Moesch, 1867. Voyez, pour la synonymie et la description de cette espece, ’Echino- logie helvetique, terrain jurassique, p. 71, pl. XI et XII, fig. 1. L’exemplaire que nous rapportons ä cette espece presente parfaitement les caracteres du type: taille tres forte. Zones poriferes subonduleuses, peu deprimdes, plus &troites que les aires ambulacraires. Plaques poriferes tres peu larges. Aires ambulacraires planes, munies de deux rangees marginales de granules peu apparents, entre lesquelles se montrent d’autres granules beaucoup plus petits, irreguliers et &pars. Tubercules interambulacraires fortement creneles et perfores, entoures d’un scrobieule large, a peine deprime presqu’ä fleur de test, circulaires et &cartes a la face superieure, elliptiques et serr6s en se rapprochant de la base, entoures de granules identiques aux autres. Zone miliaire large, couverte de granules tr&es petits, peu serres, assez homogenes. Zone granuleuse intermediaire entre les scrobicules et les zones poriferes, tres developpee. Rapports et differences. Le Rhabdocidaris mazxima ne saurait ötre confondu avec aucune autre espece. Voisin du Rhabdoeidaris horrida, il s’en distingue par ses tubercules plus &cartes en dessus et ne se confondant jamais en dessous, par sa zone miliaire plus large et plus finement granuleuse, par ses scrobicules encore moins deprimes et non entoures d’un cercle de gra- nules distincts. Cette espece offre &galement quelques rapports avec le Rhabdoeidaris nobilis, mais cette derniere espece sera toujours reconnaissable A ses zones poriferes plus larges, a ses aires ambulacraires garnies de deux rangees de granules plus distincts, ä ses scrobicules entoures d’un cercle de granules apparents, ä& sa zone miliaire pourvue de granules plus serres, et plus abondants. Localite: Stramberg, trös rare. Geologische Reichsanstalt (Vienne). En Suisse, cette espece a e&t&e rencontree ä& Schönenwerdt, Löchli, Dänikon pres Olten, Rothacker (Soleure), & Randen, Hornberg pres Endingen (Argovie), dans l’ötage sequanien; & Lägern (Argovie), dans l’etage pterocerien, Diplocidaris. 23 En France, l’espece est tres rare, et nous n’en connaissons qu’un seul individu recueilli a Crussol par M. Huguenin dans le terrain jurassique superieur, et faissant partie de la collection de M. Gauthier. L’exemplaire prove- nant des calcaires de Stramberg nous est parvenu trop tard pour que nous ayons pu le faire figurer. X. Diploeidaris, Desor, 1856. Le genre Diplocidaris par sa physionomie generale rappelle le genre Cidaris avec lequel il a et€e longtemps confondu; il en differe par la structure de ses zones poriferes presentant quatre rangdes de pores au lieu de deux bien qu’il n’y ait cependant qu’une seule paire de pores par chaque plaque porifere; il s’en distingue egalement par la solidit& de son appareil apical qui a persist@ chez presque tous les exemplaires que nous connaissons, et par ses radioles allonges, cylindriques, couverts de granules &pais et homog£nes. Le genre Diplocidaris, etabli, en 1856, par Desor dans le Synopsis des Echinides fossiles et adopte depuis par tous les auteurs, est special jusqu’ici au terrain jurassique; il commence ä se montrer dans les couches inferieures de l’etage bathonien et atteint le maximum de son developpement a l’epoque corallienne. Une seule espece fort rare, Diplocidaris Elallomi, a et& rencontree A Inwald. 19). 1. Diplocidaris Etalloni, de Loriol, 1869. pl. IV. fig. 19ret 20.et pl. VW, fig. 21 et. 22. 1856. Diplocidaris gigantea, Desor, Synopsis des Echinides fossiles, jbz kan jeilg IE (pars) fig. 4 et 5. 1858. Oidarites gigantea Desori, (uenstedt, Der Jura, p. 733, pl. LXXXIX, fig. 20--22. 1858. Diplocidaris Desori, Desor, Synopsis des Echinides fossiles, Supplöment, (non Wright) p- 439. 1862. Diploeidaris pustuhfera, Cotteau, Echinides nouveaux ou peu connus, Ir ser.. p- 60, pl. IX, fig. 1—4. 1866. Diplocidearis Desori, Etallon, Etudes palöontologiques sur le Jura graylois, mem. soc. d’Emulat. du Doubs, 2de ser., t. VIII, p379. 1869. Diplocidaris Etalloni, Desor et de Loriol, Echinologie helvetique, terrain Jurassique, p. 85, pl. XIII, fie. 3. 1370. _ _ Greppin, Jura bernois et distriets adjacents, p: 82. 1872. — _ Cotteau, Oursins jurassiques de la Suisse, Bull. soc. geol. de France, 3me ser,, t. I, p. 84. 24 Les Echinides des couches de Stramberg. 1873. Diploeidaris gigantea, Quenstedt, Petrefacten Deutschlands, Echinodermen, (non Desor) p: 223 et 426, pl. LXIX, fig. 38 et 39. 1878. Diploeideras Etalloni, Cotteau, Palöont. frang., terrain jurassique, t. X, Ire partie, p. 331, pl. 233. 234 et 235, fig. 1 et 2, Nous ne connaissons de cette espece qu’un fragment de la face infer- ienre:; bien qu’il soit un peu use et d’une assez mauvaise conservation, nous n’hesitons pas A le considerer comme appartenant au Diplocidaris Etalloni : les zones poriferes, un peu deprimees, sont presque droites et composdes de pores arrondis, visiblement dedoubles vers l’ambitus, devenant presque simples aux approches du peristome; les granules ambulacraires sont regul- iörement disposes sur le bord des zones poriferes; les tubercules interambula- craires, paraissant au nombre de sept ou huit par rangee, prösentent vers ’am- bitus de fortes erenelures qui s’attenuent A la face inferieure; le scrobicule qui eirconscrit les tubereules est mediocrement deprime et affecte, ä partir de Vambitus, une forme subelliptique bien prononcde; les granules qui les entourent sont espaces, mamelonnes, saillants, un peu plus developpes que les autres. Plusieurs series de granules söparent les cercles scrobiculaires des zones poriferes. L’espace intermediaire entre les deux rangees de gros tuber- cules est tres large, garni de granules &cartes, homogenes, assez saillants, quelque fois un peu allonges. Nous rapportons ä cette espece un fragment de radiole allonge, eylindrique, remarquable par ses petites cötes onduleuses et transverses. Rapports et differences. Le Diplocidaris Etalloni, parfaitement caracterise par sa grande taille, par sa forme mediocrement renflee, par ses aires ambulacraires convergeant en ligne presque droite du sommet au peristore, par ses tubereules interambulacraires presque nuls & la face superieure, tres gros vers ’ambitus, serrds et subälliptiques en se rapprochant du peristome, toujours un peu &loignds des aires ambulacraires, par sa zone miliaire large, garnie de granules homogenes’ et espacs, ne pouvait &tre confondue avec aucun de ses congen£res. Localites: Inwald, Kotzobenz, tres rare. Collection de M. Hebert, Musde de Munich. Cette espece a &t& rencontree dans le Jura blanc du Kienlesberg pres d’Ulm et de Friedingen pres de Riedlingen (Wurtemberg). En France, elle caracterise l’&tage corallien de Neuville (Haute-Saone), de Courchamps (Cote- d’or), du Lac Sauvain (Yonne). En Suisse, elle a et recueillie dans le terrain A chailles de Delemont, de Wahlen et de Liesberg (Jura bernois). pl. IV. fig. 19. Fragment du Diploeidaris Etalloni, de la collection de M. Hebert. Inwald. fig. 20. Pores ambulacraires grossis. fig. 21. Radiole du Diplocidaris Etalloni, du Musce de Munich. Kotzobenz. fig. 22. Le m&me grossi. Hemicidaris. 235 XI. Hemieidaris, Agassiz, 1840. Le genre Hemieidarıs etabli par Agassiz, en 1840, et adopte depuis par tous les auteurs constitue un type tres bien caracterisöe par ses zones poriferes l&gerement onduleuses & la face sup£rieure, formdes de pores simples, rapproches les uns des autres, se multipliant pres du peristome, par ses aires ambulacraires garnies A leur base et souvent jusqu’au milieu de leur eten- due, de tubercules moins gros que ceux des aires interambulacraires, mais, comme eux, distinctement creneles et perfores, par ses tubercules interambula- craires tres developpes, fortement creneles et perfores, entoures de scrobicules saillants, par l’absence de tubercules secondaires, par son peristome grand, subdecagonal, pourvu de fortes entailles, par ses radioles &pais, tantöt eylindriques et allonges, tantöt en forme de massue, presque toujours fine- ment stries dans le sens de la Jongueur. Le genre Hemiecidaris, tel qu'il est aujourdhui circonserit, commence A se montrer dans le terrain penen, et atteint son maximum de developpement a l’epoque jurassique. Dans les couches inferieures du terrain cretace, il devient beaucoup moins abondant en especes et en individus, et disparait tout & fait au dessus de l’ötage c@nomanien. Trois espöces d’Hemicidaris se rencontrent dans les couches qui nous oceupent; lune d’elle est reprösentee par le test et les deux autres par des radioles. 20). 1. Hemicidaris Agassizi (Roemer), Dames, 1872. pl. IV, fig. 21 et 22, Nous renvoyons, pour la description et la synonymie de cette esp£ce, ä la Pal&eontologie frangaise, terrain Jurassique, t. X, 1° partie, p. 114 et suiv., pl. 292 —294. Dimensions. Hauteur: 27 mill. Diamötre: 32 mill. Exemplaire de grande taille: Hauteur: 35 mill. Diametre: 50 a 55 mill.? Nous n’avons sous les yeux que deux moules interieurs assez mal conserves, mais ils ne sauraient &tre rapportös A aucune autre espece: la taille est grande, circulaire, subdeprimde en dessus, presque plane en dessous. Les zones poriferes un peu onduleuses, ä fleur de test, sont form6es de pores petits, arrondis, se multipliant pres du p6ristome. Les aires ambula- 26 Les Echinides des couches de Stramberg. craires, telativement assez developpees, legerement renfldes, s’elargissent graduellement du sommet ä& l’ambitus. Les tubercules interambulacraires, d’apres les traces qu'ils ont laissees, tr&s gros vers l’ambitus, s’attenuent et disparaissent completement a la face superieure. Le peristome est assez etendu, subdecagonal et parait marqu& de fortes entailles. Rapports et differences. Les moules interieurs offrent quelques rapports avec ceux de l’4erocidaris nobilis; ils en different par leur forme plus Epaisse, par leur zones poriferes moins flexueuses, par leur aires ambula- craires plus saillantes et marqudes au milieu d’une depression plus prononcee, par l’empreinte de leur tubercules interambulacraires disparaissant aux approches du sommet. Dans la Pal&ontologie francaise (loc. cit.), p. 118, pl. 294. fig. 4, nous avons fait figurer un moule interieur siliceux, pro- venant des calcaires ä chailles de Druyes, qui presente beaucoup de ressem- blance avec nos deux exemplaires et ne nous laisse aucune incertitude sur leur identite specifique. Localites: Stramberg, rare. Musde de Munich. Cette espece a ete rencontree dans un grand nombre de localites et ä plusieurs niveaux du terrain jurassique superieur: en Allemagne, elle a ete recueillie dans le Coral-rag de Kahleberg et de Nattheim. En France, nous l’avons signalde & Merry-sur-Yonne, Crain, Druyes (Yonne), a Rocourt-Ja-cote (Haute Marne), &Novion (Ardennes), dans l’etage corallien inferieur; a Tonnerre Courson, Bailly, Chemilly, Thury (Yonne), ä Mortagne (Orne) etc., dans l’etage corallien superieur. M. de Loriol, dans l’Echinologie helvetique, lindi- que A Ste. Croix (Vaud), a Laupersdorf pres Balstal (Soleure), a Pratteln (Bäle), dans les couches A Hemicıdaris erenularis, calcaire ä chailles; — & Hobel, Wangen pres Olten (Soleure), au Locle, St. Sulpice (Neuchatel), ä Perrefitte, Angolat (Berne), dans l’ötage sequanien; — ä Glovelier, Vorbourg (Berne), dans l’etage pterocerien. pl. IV. fig. 21. Moule interieur de !’Hemicidaris Agassixi, vu de cöte. Stramberg. fig. 22. Autre fragment, vu sur la face superieure. Stramberg. Nous avons recu tout recemment, et trop tard pour qu'il soit possible de les figurer, deux exemplaires de cette espece faisant partie de la collection du Geologische Reichsanstalt de Vienne: l’un est garni de son test, l’autre est A l’etat de moule interieur. Bien que leur taille ne soit pas tres forte, ils paraissent appartenir a la variete ä tubercules petits, nombreux et serres que nous avons signaldee dans la Pal&ontologie francaise, terrain jJurassique, t. X, 2de partie, p. 118, Hemicidaris, 27 21). 2. Hemicidaris crenularis (Lamarck), Agassiz, 1840. pl. IV, fig. 23—25 Voyez, pour la description et la synonymie, Pal&eontologie fran- gaise, terrain jurassique, t. X, 1”° partie, p. 85, pl. 286—288. Le test de cette espece n’a pas encore receuilli & Stramberg ; les radioles seuls nous sont connus et pı6esentent la plus part des varietes qui caracterisent cette espece: les uns sont allonges, subcylindriques; les autres, claviformes et etroits A la base, s’elargissent graduellement jusqu’au sommet qui est tres fortement dilate, puis tronqu& brusquement, plane en dessus on un peu arrondi. La tige parait lisse, mais en realit&E est partout recouverte de stries fines et longitudinales. Dans certains exemplaires, la tige est tres 6paisse vers la base, la collerette nulle, le bouton &troit, muni d’un anneau saillant et fortement crönel£. Rapports et differences. Les radioles de cette espece, remarquables par leur tige &paisse, trös souvent claviforme et fortement tronquee au sommet ne sauraient ötre confondus avec ceux d’aucune autre Hemicıdaris. Localites: Stramberg, Inwald, rare. Musee de Munich, collection de M. Hebert. L’Hemicidaris crenularis est une des especes les plus anciennement connues et les plus caracteristiques de l’etage corallien; elle a &te signalde dans un tres grand nombre de localites d’Allemagne, de France et de Suisse qu'il serait trop long d’&numerer ici et pour lindication des quelles nous renvoyons ä la Pal&ontologie frangaise, loco citato et a l’Echinologie helvetique, p. 104. pl. IV. fig. 23. Radiole de ’Hemicidaris erenularıs, de la collection de M. Hebert. In wald. fig. 24. Autre radiole, du Musee de Munich. Stramberg. fig. 25. Base de la tige et bouton, de la collection de M. Hebert. Inwald. 22). 3. Hemicidaris Zitteli, Cotteau, 1884. pl. IV, fig. 26—28, Test inconnu. Radiole &pais, cylindrique, renfle, plus ou moins resserr& vers la base, garni, sur toute la tige, de grosses cötes espacdes, transverses, lisses et ondu- leuses. Dans certains exemplaires, les cötes, tout en restant apparentes, paraissent s’attönuer vers le sommet de la tige. Le bouton et le sommet ne sont conserves dans aucun de nos exemplaires. Rapports et differences. Bien que tres incomplets, ces radioles se distinguent nettement de toutes les espöces que nous connaissons par leur forme &paisse et renflde et surtout par les cötes saillantes et onduleuses qui 28 Les Echinides des eouches de Stramberg. recouvrent la tige. L’Hemicidaris ondulata, comme l’espece qui nous occupe, est recouvert de lignes onduleuses et transverses, mais ses petites cöfes fines, serrees et attenuees n’ont aucun rapport avec les cötes @paisses et fortement accentudes de l’Hemicidaris Zitteli. Nous reunissons A cette espece des radioles a cötes onduleuses et saillantes recneillis par M. Jeanjean dans les calcaires jurassiques superieurs de departement de l’Herault: ils sont moins renfles, plus allonges, plus regulierement cylindriques. mais les cötes onduleuses sont les mömes, et ces radioles nous paraissent appartenir au m&me type. Localite: Stramberg, rare. Musee de Munich, Geologische Reichs- anstalt (Vienne). La variete que nous rapportons A cette espece a ete recueillie A Cazillac- le-Haut (Herault). pl. IV. fig. 26—28. Radioles de I’ Hemieidaris Zitteli, Stramberg. XII. Acrocidaris, Agassiz, 1840. Le genre Acrocidaris, bien que voisin des Hemicidaris, en est parfaitement distinet; il sera toujours facilement reconnaissable & ses zones poriferes onduleuses, A ses aires ambulacraires garnies, dans toute leur etendue, de deux rang6es de gros tabercules saillants, creneles et perfores, s’elevant jusqu’au sommet, le plus souvent marquds ä leur base de sillons irr@guliers correspondant A la suture des plaques, & ses tubercules interambulacraires de meme nature, mais plus developpes, A l’absence de tubercules secondaires, & son peristome grand, circulaire, fortement entaill&, a son appareil apical pentagonal, solide, prösentant, sur chacune des plaques genitales paires, un tubereule mamelonn& et perfore, A ses radioles allonges, robustes, subeylindri- ques, souvent tricarends et un peu aplatis & leur extremite, lisses en appa- rence, mais en realite couverts de stries fines, serrees, transverses. Le genre Aecrocidaris ne venferme qu’un petit nombre d’especes; il commence ä se montrer dans l’ötage bathonien et disparait avec les dernieres assises de l’etage nedocomien. Une seule espece, Acrocidaris nobilis, a ete recueillie dans les calcaires de Stramberg. 23). 1. Acrocidaris nobilis, Agassiz, 1840. pl. IV, fig. 29—34. Voyez, pour la synonymie de cette espöce, Pal&ontologie francaise, terrain jurassique, t. X, 2d° partie, p. 217. Dimensions. Echantillon de grande taille: hauteur: 30 mill. diamötre: 52 mill. Äerocidaris. 29 Individu jeune: hauteur: 16 mill. diametre: 26 mill. Espece de grande taille, mediocrement renfl&e en dessus, presque plane en dessons. Test &pais. Zones poriferes onduleuses, form&es de pores simples, arrondis, se multipliant autour du p@ristome. Aires ambulacraires presque droites, &troites au sommet, s’&largissant vers l’ambitus, garnies de deux rangdes de tubereules assez gros, saillants, fortement mamelonnes, faiblement eränel6s et perfores, marqueds & la base de sillons rayonnants, diminuant graduellement de volume aux approches du sommet et du peristome, affeetant a la face superieure une disposition alterne. Granules intermediaires inegaux et tres peu nombreux. Aires interambulacraires pourvues de deux rangees de tuber- cules de m&me nature que ceux qui couvrent les aires ambulacraires, mais plus gros et plus saillants surtout vers l’ambitus, diminuant assez rapidement de volume A la face superieure, entonrös de scrobicules subelliptiques et se touchant souvent par la base. Zone miliaire presque nulle, occupee, ainsi que l’espace qui s@pare les tubereules des zones poriferes, par des granules peu abondants. inegaux, quelque fois mamelonnes. Peristome etendu, sub- eirculaire, A feur de test, muni de fortes entailles. Appareil apical solide, subpentagonal; plaques genitales A peu pres @gales, munies chacune d’un gros tubereule perfore et fortement mamelonne, & l’exception de la plaque madre- poriforme qui est .bombee et finement spongieuse: pores genitaux s’ouvrant A Vextrömite externe des plaques; plaques ocellaires petites, subtriangulaires, intercaldes ä l’angle des plaques genitales. Plusieurs de nos exemplaires sont & l’&tat de moule interieur: les aires ambulacraires sont pr&sque droites, renflöes et fortement sillonnees an milien. Les aires interambulacraires, relativement dtroites A leur partie superieure, offrent les traces de deux rangees de tubercules gros et saillants surtout. vers l’ambitus. Nous retrouvons, dans nos &chantillons de Stramberg, quelques unes des varietes que nous avons signalees en France. Les tubereules ambulacraires, toujours moins developp6s que les tubercules interambulacraires, sont plus ou moins nombreux et serres, et affectent quelque fois une disposition alterne. Les tubereules de la face superieure presentent des perforations plus ou moins accusees et souvent le mamelon est presque lisse. Rapports et differences. L’Acrocidaris nobilis, en y r&unissant, comme l’ont fait Desor et M. de Loriol, les Acrocidaris formosa et tuberosa, Agassiz, et les Aecrocidaris ovalis, elongala et subformosa, Etallon, forme un type toujours parfaitement reconnaissable aux caracteres que nous venons d’indiquer. Voisin de l’Aerocidaris stiata, de l’etage bathonien, il s’en distingue par sa forme plus surbaissde et moins conique, par ses zones poriferes plus ondu- leuses, par ses aires ambulacraires plus larges, garnies de tuberceules moins nombreux et plus developpes, offrant surtout vers l’ambitus une difference moins sensible avec les tubercules interambulacraires. 30 Les Echinides de couches de Stramberg. Localites: Stramberg, assez commun. Musde de Munich, Geologische Reichsanstalt (Vienne). L’Acroeidaris nobilis est une des esp£ces caracteristiques de l’&tage corallien, et sa presence a te signalde dans un grand nombre de localites: En France, l’Aecroeidaris mobilis a ete rencontıe A Chatel-Censom, Merry-sur-Yonne, Cou- langes-sur-Yonne, Crain, Andryes, Druyes (Yonne), ä Crecy-sur-Tille (Cote-d’or), a Champlitte (Haute-Saone), dans l’ötage corallien inferieur; ä La Rochelle (Charente inferieure), ä Preuilly (Indre et Loire), ä Levier (Doubs), ä Djebel- seba (Algerie), dans l’&tage corallien superieur; ä Echaillon (Isere), au puits de Rians (Var), dans les couches superieures du terrain jurassique. En Suisse, l’espece parait propre a l’&tage sequanien et a &t€ recueillie & Hobel (Soleure), ä St. Sulpice, au Col des Roches pres le Locle (Neuchatel), ä& Ste. Croix (Vaud) au sud de Villeret, sur le mont Chasseral, a Moutiers, la. Scheulte et Corceles (Jura bernois). pl. IV. fig. 29. Aecrocidaris nobilis, vu de eöte, du Musee de Munich. Stramberg. fig. 30. Le m&me, vu sur la face saperieure. fie. 31. Le möme, vu sur la face inferieure. fig. 32. Individu jeune, vu de cöte, du Geologische Reichsanstalt. Stramberg. fig. 33. Le möme, vu sur la face superieure. fig. 34. Le m&me, vu sur la face inferieure, XII. Pseudodiadema, Desor, 1856. Les Pseudodiadema sont caracterises par leurs zones poriferes droites ou subonduleuses, composees de pores simples, quelquefois bigemines aux approches du sommet, se multipliant toujours vers le peristome, par leurs aires ambulacraires convergant en ligne droite du sommet ä la bouche, s’elar- gissant vers l’ambitus, garnies de deux rangdes de tubercules princeipaux creneles et perfores, par leurs aires interambulacraires pourvues de tubereules de mäme nature que ceux des aires ambulacraires, mais ordinairement plus gros et accompagnes de tuberenles secondaires disposes en rangees plus ou moins nombreuses, par leur appareil apical largement developpe, tres peu solide. Les especes du genre Psewdodiadema peuvent se diviser en deux groupes basds sur la disposition simple ou big&minde qu’offrent les pores ambula- craires aux approches du sommet. Ce caractere, insuffisant au point de vue generique, doit toujours &tre pris en consideration pour la distinction des especes et coincide du reste avec certaines autres differences: les Psexdo- diadema & pores simples sont en general cireulaires & l’ambitus, renfles, sub- h@mispheriques en dessus et munis d’un appareil apical mediocrement deve- loppe; au contraire les Pseudodiadema & pores bigemines sont fortement deprimes en dessus; leur ambitus est subpentagonal; leur appareil apical, ä en juger par l’empreinte qu’il a laissee, occupe une grande partie de la face Pseudodiadema. 31 superieure, affeete une forme pentagonale trös prononcee et n'est. conserve dans aucun des exemplaires que nous connaissons. (Ce second groupe corres- pond au genre Diplopodia, &tabli par Mac Coy, et que quelques auteurs ont adopte, mais que nous avons cru devoir depuis longtemps rejeter de la methode, en raison du peu de constance de ses caracteres. Le genre Pseudodiadema, tres abondant dans les terrains jurassiques et dans les tages inferieurs du terrain eretace, disparait dans la craie supe- rieure, et c’est A peine si quelques rares especes ont &te signalees dans les terrains tertiaires; c’est A l’&poque corallienne que ce genre atteint son maxi- mum de developpement. Trois especes existent dans les couches de Stramberg: deux d’entre elles, Pseudodiadema pseudodiadema et Ps. florescens, appartiennent au pre- mier groupe; le Ps. aroviense fait partie du second groupe. 24). 1. Pseudodiadema pseudodiadema (Lamarck), Cotteau, 1882. pl. V, fig. 1 et 5. Voyez, pour la synonymie et la description de cette espece, la Pal&on- tologie francaise, terrain jurassique, t. X, 2de partie, p. 330, pl. 353— 355. Nous ne possedons de cette espece qu’un fragment de test et deux moules interieurs. Le test, bien que tres incomplet, est suffisamment caracterise par ses zones poriferes droites, & fleur de test, composees de pores simples et rögulierement superposes, par ses aires ambulacraires presentant, & la face superieure et jusqu’aux approches du sommet, deux rangees de tubercules serobicules, creneles, perfores, finement mamelonnes, accompagnes de granules indgaux et assez abondants, par ses tubercules interambulacraires beaucoup plus gros et A scerobicules confluents. Notre fragment de test fait partie de la face superieure et n'est muni que de quelques tubereules secondaires peu developpes et qui tendent dejä A se confondre avec les granules. et echan- tillon appartient & la variete de petite taille qu’on rencontre assez abon- damment dans l’etage corallien superieur et que nous avons fait figurer, pl. 355, fig. 1 (loco sup. cit.). Les moules interieurs que nous rapportons ä& cette espece sont moins bien caracterises: ils different assur&ment des moules interieurs de l’Hemici- daris Agassixi et de l’Acroeidaris nobilis, mais nous ne pouvons avoir de certitude sur leur identite speeifique. Rapports et differences. Le Pseudodiadema pseudodiadema est une des especes les plus r&epandues du genre Pseudodiadema; il sera tonjours facilement reconnaissable ä son ambitus .eirculaire, ä sa face superieure uni- form&ment bombee, A ses pcres simples, ä l’abondance de ses tubercules 32 Les Echinides des couches de Stramberg. secondaires, aux profondes entailles de son peristome. Mentionnde, pour la premiere fois, par Lamarck, en 1816, sous le nom de Oldarites pseudodiadema, cette espece a recn successivement des auteurs les noms d’hemisphaerieum, de lransversum, de Lamarcki et de Flamandi. La loi de priorit@ nous fait un devoir de revenir au nom speeifique de pserdodiadema, donne par Lamarck, tout en regrettant quil soit identique au nom de genre choisi par Desor. = Localite: Stramberg, tres rare. Musde de Munich. Cette esp&ce se rencontre dans un tr&es grand nombre de localites. En Allemagne, elle a et signal&e A Hoheneggelsen (Hannovre); en Angleterre, ä Calne et a Malton; en France, elle est abondante «dans l’ötage corallien inferienr ä Merry-sur-Yonne et a Druyes (Yonne). a Selongey ACöte-d’or), A St. Mihiel (Meuse), ä Novion, Puisieux (Ardennes), ä Benerville, Trouville (Calvados) ete., et dans l’etage corallien superieur, & Tonnere (Yonne), A Brucdale Houreceq (Pas de Calais), a la Rochelle (Uharente inferieure): elle est egalement commune en Suisse et a te receuillie soit dans le calcaire A Chailles, ä Combe aux Loups (Jura bernois), A Klein Lützel (Soleure), & Kilchberg, Zeglingen (Bäle); — soit dans l’&tage säquanien, A St. Sulpice, ä la Baume pres le Locle (Neuchatel), ä Sainte-Croix (Vaud), ä Hobel (Soleure) etc. pl. V. fig. 1. Fragment du Pseudodiadema pseudodiadema. Stramberg. fig. 2. Le möme grossi. fig. 3. Moule interieur vu de cöte. Stramberg. 3 2 fig. 4. Le möme, vu sur la face superieure. fig. 5. Autre moule interieur, vu sur la face superieure, Stramberg. 25). 2. Pseudodiadema florescens (Agassiz), de Loriol, 1881. pl. V, fig. 6—10. Voyez, pour la synonymie de cette espäce, Pal&ontologie francaise, terrain jurassique, t. X, 2de partie, p. 317. Dimensions. Hauteur: 11 mill. Diametre: 24'/, mill. Espece de taille moyenne, circulaire, l&gerement bombde en dessus, presque plane en dessous. Zones poriferes droites, A fleur de test, compos&es de pores simples disposds par paires &cartdes que s@parent de petites cloisons saillantes, se multipliant un peu autour du peristome. Aires ambulacraires tres etroites surtout pres du sommet, garnies de deux rangees de tubercules saillants, faiblement crönel&s, surmontds d’un petit mamelon finement perforg, au nombre de neuf ou dix par serie. Ces tubercules places pres des zones poriferös s’elevent au dessus de l’ambitus et sont remplaces assez brusquement, Pseudodiadema, 33 aux approches du sommet, par des granules epais, formant dans rangees irrögulieres. Aires interambulacraires pourvues de deux series de tubereules saillants, plus developpes que ceux des aires ambulacraires, comme eux faiblement cröneles, mamelonnes et perfores, au nombre de dix ou onze par serie. Ces tubercules s’attenuent pres du sommet et paraissent remplaces par de simples granules scerobicules. Zone miliaire large, occupde par des granules assez abondants, inegaux, quelquefois mamelonnes, tendant A se grouper autour des scrobicules, laissant, vers la suture mediane notamment A la face superieure, quelques espaces lisses. Peristome ä fleur de test, assez etenda, circulaire, marqu& d’entailles relevees sur les bords. P£riprocte ar- rondi, entoure d’un petit bourrelet saillant. Appareil apical solide, penta- gonal, granuleux; plaques genitales A peu pres &gales, perfordes A une cer- taine distance du bord; plaques ocellaires subtriangulaires, intercaldes dans les angles externes des plaques genitales. Un seul exemplaire de cette espece a &t& recueilli ä Stramberg, mais il presente tous les caracteres essentiels du Psexdodiadema florescens, et ne differe du type que par ses tubercules ambulacraires et interambulacraires un peu plus serres et plus nombreux. Ces me&mes tubercules paraissent dans notre öchantillon presque depourvus de cerenelures et imperfores, mais cet aspect est du a la fossilisation, et en les examinant ä& la loupe on reconnait, chez quelques uns, de legeres traces des cränelures. Rapports et differences. Le Pseudodiadema florescens se distingue de ses congeneres par ses pores simples disposds par paires &cartdes, par ses tubereules ambulacraires que de simples granules remplacent brusquement aux approches du sommet, par ses tubereules interambulacraires s’attönuant et disparaissant completement autonr de l’appareil apical, par sa zone miliaire large, par son periprocte eireulaire, bord@ d’an löger bourrelet, par son ap- pareil apical solide et granuleux. Localite: Stramberg, tres rare. Geologische Reichsanstalt. Le Pseudodiadema florescens a &t& signale, en France et en Suisse, dans un grand nombre de localites. En France, il a &t& recmeilli A Merry- sur-Yonne, ä Crain,. & Coulanges-sur-Yonne (Yonne), ä Selongey, Courchamps (Cöte-d’or), a Champlitte, Chassigny (Haute-Saone), A Vincket (Haute-Rhin), dans l’etage corallien inferieur, — ä& Tonnerre, ä Thury (Yonne), ä Vertaut (Aube), a La Rochelle (Charente inferieure), A Valfın (Jura), & Brucdale (Pas de Calais), ä Djebel Seba (Algsrie), dans l’6tage corallien superieur. L’espece se rencontre egalement, en Suisse, ä Zwingen, Blauen, Graitery, Tariche (Jura bernois), dans l’&tage corallien sup£rieur. pl. V. fig. 6. Pseudodiadema floreseens, vu de cöte. Stram berg. fig. 7. Le meme, vu sur la face superieure, fig. 8. Le meme, vu sur la face inferieure, fig. 9. Portion des aires ambulacraires et interambulacraires grossies. fig. 10. Appareil apical grossi. Palaeontologische Mittheilungen Bd. 3. 3 34 Les Echinides des conches de Stramberg. 26). 3. Pseudodiadema subangulare (Goldfuss), Cotteau. pl. V. fig. 11—14. 1826. Diadema subangulare, Goldfuss, Petref. mus. univ. Boruss. Rhen. Bonn., p. 122, pl. XL, fig. 8. 1847. —_ - (pars) Agassiz et Desor, Catal. rais. des Echin., p. 44. 1850. _ _ d’Orbigny, Prod. de palöont. strat., t. IT, p. 27. 1852, — _ Giebel, Deutschlands Petrefacten, p. 320. 1852. — = Bronn, Lethaea geognostica, t. Il, p. 144. 1856. Diplopodia subangularis, Desor, Synopsis des Echin. foss., p. 75 (excl. fig.). 1873. Diadema subangulare, Quenstedt, Petrefactenkunde Deutschlands, Echinod., p. 310, pl. LXXII, fig. 18. 1882. Pseudodiadema subangulare, Cotteau, Paleont. frang., terrain jurassique, t. X, 2de partie, p. +11. Nous ne conaissons que les moules interieurs de cette espece, et sans que nous puissions avoir une certitude absolue, ıl nous a paru qu'ils devaient appartenir au Pseudodiadema subangulare; ls different du type figure par Goldfuss et des exemplaires de Muggendorf que nous possedons dans notre collection, par leur taille un peu plus forte, mais ils s’en rapprochent par tous leurs autres caracteres, par leur forme deprimde en dessus et en dessous, par leur ambitus nettement pentagonal, par leur pores dedoubles a la face superieure, sans etre aussi fortement big&minds que dans certaines especes voisines, par l’etendue et la forme pentagonale de l’empreinte qu’a laissee l’appareil apical. Le Pseudodiadema subangulare a longtemps et& confondu avec une espece abondante en France et en Suisse, le Pseudodiadema aroviense, Desor ; c’est ä M. de Loriol que revient le merite d’avoir reconnu que les deux especes sont parfaitement distinctes et que le Pseudodiadema aroviense diftere du Pseudodiadema, subangulare par sa taille plus forte, sa forme relativement plus deprimde, ses pores ambulacraires plus completement et plus largement bigemines ä& la face superieure, par ses tubereules principaux plus saillants et plus serres, par ses granules moins distinets, par ses tubercules secon- daires plus nombreux et plus apparents. Localite: Nesseldorf, assez rare. Mus&de du Munich. Le Pseudodiadema subangulare n’a pas encore 6t& rencontre en France, en Suisse et en Angleterre; il parait jusqu’ici special ä l’Allemagne et a ete recueilli en assez grande abondance A Thurnau et Muggendorf (Baviere), A Galgenberg pres Hildesheim et ä& Lendenberg pres Hanovre, dans l’etage corallien. pl. V, fig. 11. Moule intörieur du Pseudodiadema subangulare, vu de cöte. Nisseldorf. fig. 12. Le möme, vu sur la face superieure. fig. 13. Autre exemplaire, vu de cöte. Nisseldorf. fig. 14. Le meöme, vu sur la face inferieure. Pedina. 35 XIV. Pedina, Agassiz, 1840. Le genre Pedina est remarquable par la tenuite de son test, par sa forme circulaire, rarement subpentagonale, presque &galement deprimde en dessus et en dessous, par ses pores ambulacraires disposes par paires obliques, se relevant aux approches du sommet, par ses tubercules perfores et non creneles, en general espaces et attenues, formant des rangees prineipales et secondaires, par son peristome petit, decagonal, muni de fortes entailles, par son appareil apical large et superficiel. Le genre Pedina est propre jusquici au terrain jurassique; il commence ä se montrer dans le lias, acquiert le maximum de son developpement A l’epoque corallienne et disparait avec l’etage kimmeridgien. Une seule espece a &t& rencontree a Stramberg. 27). 1. Pedina sublaevis, Agassiz, 1840. pl. V, fig. 15—16. Voyez pour la synonymie et la description, la Paleont. francaise, terrain jurassique, t. X, 24° partie, p. 646, pl. 431—434. Nous n’avons sous les yeux qu’un exemplaire de petite taille et assez incomplet, mais il est garni de son test; la plupart de ses caracteres sont visibles et nous n’eprouvons aucune incertitude sur son identite avec le Pedina sublaevis: son ambitus est circulaire et sa face superieure tres deprimee; ses zones poriferes, etroites et superficielles, se composent de pores disposes par triples paires obliques qui se relevent et deviennent presque droites aux approches du sommet. Les aires ambulacraires, aiguös a leur partie sup@rieure, s’elargissent en descendant vers l’ambitus et sont garnies de deux rangees de tubercules espaces, inegaux, alternes & la face superieure, lisses et per- fores. Les tubercules interambulacraires, un peu plus gros, mais de m&öme nature que les tubercules ambulacraires, sont comme eux espac6s et attenues, lisses et perfores, sans que la perforation soit bien apparente ä cause de l’usure des tubereules; ils sont accompagn&s de tubercules secondaires indgaux, espaces, disparaissant avant d’arriver au sommet. Le peristome n'est pas visible dans notre exemplaire. Le periprocte affecte une forme subeirculaire. L’appareil apical est grand, superficiel et presente quelques granules et tuber- cules inögaux. Rapports et differences. Le Pedina sublaevis, tel que nous l’avons eirconscrit dans Ja Pal&ontologie francaise, constitue une espece plus ou moins tuberculeuse, de taille tres variable, mais qui sera toujours reconnais- sable a sa forme arrondie, & sa face superieure deprimde, ä ses zones pori- feres superficielles, composees de pores ranges par triples paires peu obliques, et ne se multipliant pas autour du peristome, a ses tubereules ambulacraires 36 Les Echinides des couches de Stramberg. et interambulacraires espaces et attenuds, A ses tubercules secondaires abon- dants, irreguliers, toujours apparents, mais moins developpes que les tuber- cules principaux, ä son appareil apical superficiel et tr&s large. Localite: Ignaziberg, tres rare. Musde de Munich. Le Pedina sublaevis occupe, en France, un horizon stratigraphique tres etendu; il a &t@ rencontre a Chauffour (Sarthe), A Daix (Cöte-d’or), dans l’etage oxfordien; — ä Selongey, & Laignes (Cöte-d’or), & Chatel-Censoir et Druyes (Yonne), a St. Mihiel (Meuse), ä Champlitte (Haute-Saone), dans l’etage corallien inferieur; — ä Commissey et ä Lezinnes (Yonne), dans l’6tage corallien moyen; — ä& Bar-sur-Aube, Fontaines, Baroville, Gy&-sur-Seine, Les Riceys (Aube); a Marb£ville, Vouecourt (Haute-Marne), dans l’&tage kimmeridgien. L’espece est &galement abondante en Suisse: dans ’Echinologie helveti- que, M. de Loriol l’a signalde ä Seewen, Graitery, Fringeli, Combe d’Eschert pıes Moutiers (Jura bernois), dans le terrain A chailles; — ä Montchaibeux, Vorbourg (Jura bernois), a la Baume les Ravieres pres le Locle (Neuchätel), a St“ Croix (Vaud), dans l’tage söquanien. pl V. fig. 15. Fragment du Pedina sublaevis. Ignaziberg. fig. 16. Le m&me grossi. Sept exemplaires de Pedina provenant des couches de Stramberg et faisant partie des collections du Geologische Reichsanstalt de Vienne nous ont dte recemment communiques: presque tous ces &echantillons sont garnis de leur test, et bien que leur conservation laisse ä desirer, il nous a &t& possible de les etudier et nous croyons devoir, comme le fragment que nous avons precedemment decrit, les rapporter, au Pedina sublaevis; ils sont en general plus &pais, plus renfles, plus bomb£s a la face sup6rieure que les Echantillons de Suisse et de France; leur aspect est plus granuleux; leur tubereules secondaires sont plus abondants, plus developpds et les deux rangees princi- pales interambulacraires se detachent moins nettement surtout A la face superieure. Malgre ces differences, il nous a paru difficile de separer les exemplaires de Stramberg, du Pedina sublaewis qui, d’apres les observations de M. de Loriol et les miennes, varie beaucoup dans le nombre et la dis- position de ses tubercules. XV, Stomechinus, Desor, 1857. Le genre Stomechinus, &tabli par Desor, en 1857, et adopte par tous les auteurs, constitue un groupe tres naturel que caracterisent parfaitement ses zones poriferes droites, formdes de pores disposes par triples paires d’autant plus obliques quelles se rapprochent de l’ambitus, ses tubercules petits, abondants, imperfores et non creneles, ä pen pres d’egale dimension sur les deux aires, couvrant toute la surface du test de series verticales plus nombreuses et plus de&veloppees vers ’ambitus et ä la face inferieure, Stomechinus. 37 son peristome largement ouvert, subpentagonal, muni de fortes entailles, remarquable par l’&troitesse des Jövres interambulacraires qui se reduisent A de simples lobes anguleux, tandisque les levres ambulacraires sont presque droites et beauconp plus &tendues. Le genre Stomechinus est abondant A l’&£poque jurassique et multiplie dans chaque dtage ses espöces et ses individus; il est beaucoup plus rare dans le terrain cıretacd et dans les terrains tertiaires. Il existesa l’Epoque actuelle et est represente par les Zylhechinus, Al. Agassiz, que nous avons reunis aux Stomechinus, dont ils ne different par aucun caractere essentiel. Une seule espece, la plus repandue de toutes en France et en Suisse. a öt& recueillie dans les couches de Stramberg. 28). 1. Stomechinus perlatus (Desmarets), Desor, 1856. pl. IV, fig. 17—20. Voyez, pour la synonymie et la description de cette espece, l’Echino- logie helvätique, terrain jurassique, p. 221, pl. XXXVII, 1870. Dimensions. Type du Stomechinus perlatus. Moule interieur: hauteur: 48 mill. diametre: 60 mill. Var. lineata.. . » » » . . Moule interieur: hauteur: 33 mill. diamötre: 49 mill. Exemplaire de tr&es grande taille. Moule interienr: hautenr: 58 mill. diamötre: SO mill. Les exemplaires recueillis ä Stramberg sont assez nombreux, mais presque tous & l’&tat de moules interieurs. Aussi ne pouvons nous en donner une description complete. Quelques uns, cependant, ont conserv& des portions de test qui ne nous laissent aucun doute sur leur determination: Les zones poriferes sont larges, droites et formdes de pores disposds par triples paires obliques. Les tubercules sont abondants, serrdes, homogenes et augmentent de volume & la face inferieure. Les deux rangdes prineipales de tubercules ambulacraires se maintiennent parfaitement distinctes aux approches du sommet et paraissent nıeme augmenter un peu de volume. Les granules qui les accompagnent sont nombreux, inögaux, groups autour des scrobicules et se prolongent ca et lä en series horizontales et delicates. Le milieu de l’aire interambulacraire est un peu nu; le peristome subpentagonal est marque d’entailles profondes et les levres ambulacraires sont beaucoup plus &tendues que celles qui correspondent aux aires interambulacraires. Nous retrouvons & Stramberg les principales varietes signaldes en France et en Suisse: certains exemplaires sont renfles, eleves, subconiques, c’est le type de l’ancien Echinus perlatus,; d’autres sont moins &pais, subh&mispheri- ques en dessus, un peu deprimes et correspondent parfaitement ä& la variete 38 Les Echinides des couches de Stramberg. " designee longtemps sous le nom de Stomechinus lineatus. La variets globu- leuse, remarquable par les larges proportions de son test existe @galement, et nous avons sous les yeux un &chantillon recueilli par M. Hebert & Inwald, dont le diametre est de 80 millimetres et depasse de 5 millimötres notre plus grand exemplaire de France. Les monles interieurs, comme ceux que nous trouvons en France A l’etat siliceux, portent l’empreinte de la suture des plaques; celles qui constituent les aires ambulacraires sont petites, pentagonales, &troites, allongees, recourbedes au milien; les plaques interambulacraires sont longues, de medioere largeur, legerement subllexueuses: au fur et ä mesure qu’elles s’elövent vers le sommet, elles deviennent relativement plus larges. Rapports et differences. Le Stomechinus perlatus, en y reunissant les Stomechinus lineatus, serialis, psammophorus et aroviensis, se distingue nettement de ses congeneres par l’ensemble de ses caracteres et notamment par l’abondance de petits granules fins et delicats qui se groupent autour des scrobicules, et se prolongent cä et lä en series horizontales. Localite: Stramberg, Inwald, assez rare. Musde de Munich, Geo- logische Reichsanstalt (Vienne), Coll. de M. Hebert. Cette espece connue depuis longtemps, souvent citee et figurde par les auteurs, est extrömement repandue en France et en Suisse. En France, elle commence A se montrer dans l’ötage oxfordien et a et& recueillie a Talant (Haute-Marne) et A Sennevoy (Yonne) ou elle est rare. Le Stomechinus perlatus atteint le maximum de son developpement dans l’etage corallien inferieur et se rencontre A Courchamps, Briancourt, Piepape (Haute-Marne), ä Champlitte, a Beaujeux (Haute-Saone), ä Laignes, Vertaut, Selongey (Cöte- d’or), a Chätel-Censoir, Druyes (Yonne) etc. et dans beaucoup d’autres localites, partout tres abondante. Moins frequente dans l’etage corallien sup£rieur, elle a &t& recueillie A Tonnerre (Yonne), a Bourges (Cher), A Bar-sur-Seine et Fontaine (Aube), a Soncourt (Haute-Marne). M. de Loriol indique sa presence dans le terrain ä chaille (tage corallien inferieur) A Fringeli, au val de Moutiers, A la Combe d’Eschert etc. dans le jura bernois, & Joux (Neuchätel), a St* Croix (Vaud), a Auenstein Wöschnau (Argovie), A Obergösgen (Soleure) et dans beaucoup d’autres localites; elle est bien plus rare dans l’&tage sequanien, et M. de Loriol mentionne seulement Elay, Gratery (Berne), Olten (Soleure). pl. V. fig. 17. Moule interieur avec portion de test du Stomechinus perlatus (var. lineata), du Geologische Reichsanstalt, vu de cöte. Stramberg. fig. 18. Autre exemplaire, type du Stomeehinus perlatus, du Musee de Munich, vu de cöte. Stramberg. fig. 19. Autre exemplaire (var. Zineata), «lu Geologische Reichsanstalt, vu de eöte, Stramberg. fig. 20, Autre exemplaire, de tres grande taılle, de la collection de M, Hebert, vu de cöte. Inwald. Considerations generales. 39 Considerations generales. Les Echinides deerits dans notre travail sont au nombre de vingt huit repartis dans quinze genres: Metaporhinus convexus (Catullo), Oidaris subpunctata, Cotteau. Cotteau. 0. — Sturi, Cottean. Collyrites carinata, Des Moulins. Rhabdoeidaris mazxima (Münster), Pachyelypeus semiglobus (Gold£uss), Moesch. Desor. Diploeidaris Elalloni, de Loriol. Fseudodesorella Orbignyi (Cotteau), Hemieidaris Agassixi (Roemer), Dames. Etallon. HA. — erenularis Agassız. (La- Holectypus corallinus, d’Orbigny. marck). H. — orifieiatus (Schlotheim), 4. — Zitleli, Cottean. de Loriol. Acrocidaris nobilis, Agassiz2. Pyrina tcaumensis (Cotteau), de Loriol. Pseudodiadema pseudodiadema (La- Pygaster Gresslyi, Desor. marck), Cottean. Oidanris glandifera, Goldfuss. Pseudodiadema florescens (Agassiz), de 0. — carinifera, Agassiz. Loriol. 0. — Blumenbacht, Münster. Pseiudodiadema subangulare (Goldfuss), C. — strambergensis, Uottean. *) Cotteau. ©. — propingua, Münster. Pedina sublaevis, Agassiz. C. — gibbosa, Cottean. Stomechimus perlatus (Desmaret), ©. — marginata, Goldfuss. Desor. Sur ce nombre eing especes seulement sont nouvelles et signalees pour la premiere fois: Oidaris strambergensis, gibbosa, subpunctata, Stuwri et He- micidaris Zitlei. Cette derniere espece se retrouve, en France, dans le terrain jurassique superieur, A un niveau probablement identique. Vingt trois especes ont &t& rencontrees, en Europe, dans d’autres gisements. Neuf especes, en y comprenant l’Hemieidaris Zitteli, se vetrouvent, en Europe et en Algerie, dans des depots ä peu pres du m&me äge et consider6s comme tithoniques: Metaporhinus convexus, Pachyelypeus semiglobus, Collyrites carinatus, Holectypus orificiatus, Oidaris glandifera, Oidaris carinifera, Rhab- docidaris masima, Acrocidaris nobilis. Tvois especes seulement ne descendent pas plus bas: Metaporhinus converus, Pachyelypeus semiglobus et Hemieidaris Zitteli; les six autres s’etaient d6ja montrees dans les depots inferieurs. *) Le C. Strambergensis se vapproche beaucoup des radioles attribues par Gemellaro au Cidaris tithonica,; cependant, n’ayant pas sous les yeux les types deerits par l’auteur italien, il nous reste quelgue doute, et nous n’avons pas ose reunir nos exemplaires a cette espece (Gemellaro, Studi paleont. sulle fauna del cal a Tereb. janitor di Sieilia, part. II, p- 89, pl. XIII, fig. 6, 10 et 11, 1871). 40 Les Echinides des couches de Stramberg. L’etage corallien, en y comprenant les couches inferieures et les depots superieurs (söquanien), renferme soit en Europe, soit en Algerie, dix huit especes communes avec les calcaires de Stramberg. Psexdodesorella Orbignyi, Holectypus corallimus, Holectypus orificiatus, Pyrina veanmensis, Pygaster Gressiyi, Oidaris Blumenbachi, Cidaris propingua, Oidaris marginata, Rhab- docidaris maxima, Diplocidaris Etalloni, Hemieidaris Agassixi, Hemieidaris erenulanis, Acrocidaris nobilis, Pseudodiadema pseudodiadema, Pseudodiadema florescens, Pseudodiadema subangulare, Pedina sublaevis, Stomechinus perlatus. Quelques unes de ces especes sont assnurement les plus r&epandues et les plus caracteristiques de l’etage corallien, considere dans son ensemble. Il suffit de citer les Odaris Blumenbachi, propingua et marginata, \es Hemieidarıs erenularis et Agassixi, V Acrocidaris nobilis, le Pseudodiadema pseudodiadema, le Pedina sublaevis et le Stomechinus perlatus pour etablir combien sont etroits les liens qui unissent les couches de Stramberg aux depots coralliens meme les plus inferieurs. C'est un fait & noter que presque tontes les espöces, d’origine corallienne, les plus röpandues A Stramberg, sont precise- ment celles qui ont eu le plus de durde et ont occupe les horizons les plus etendus dans les äges precedents. Le Pedina sublaevis par exemple, dont le Geologische Reichsanstalt de Vienne possede une importante serie provenant de Stramberg, a commence ä se montrer, en France, dans les couches oxfor- diennes et möme calloviennes; il abonde dans les calcaires A chailles et dans le corallien inferieur, et se developpe avec profusion dans l’&tage kimmerid- gien proprement dit de la France et de la Suisse: il en est de m&me de l’Holeeiypus corallinus, de l’Acrocidaris nobilis, des Hemieidaris erenularis et Agassixi qu’on rencontre A Stramberg, et qui caracterisent, en France et en Suisse, les divers depots du terrain jurassique moyen et superieur. Il en est encore de m@me du Stomechinus perlatus, Yun des Echinides les plus abon- dants des calcaires A chailles et du Corallien inferieur, et qui a vecu en grand nombre ä Stramberg ou il est represente par ses principales varietes. „wer! PALAEONTOLOGISCHE UNS: T HEIL UNGEN AUS EN Le | DRITTER BAND. 3 on a Die Korallen der Stramberger Schichten. Die euc der Stramberger Schichten. N Ss TU T T GART. SCHWEIZERBART SCHE. VERLAGSHANDLO NG (E. | * Feah 8791897, Palaeontologische Studien über die Grenzschichten der Jura- und Kreide-Formatin im Gebiete der Karpathen, Alpen und Apenninen. Sechste Abtheilung. Die Crustaceen der Stramberger Schichten Wilhelm Moericke. Mit Tafel VI. —— — a —— "Stuttgart. E. Schweizerbart’sche Verlagshandlung (E. Koch.) 1897. 4, I TER FEBIIIEgB en, Druck von Carl Hammer in Stuttgart. MAR & 1898 Nachdem die Fauna der sogenannten Stramberger Schichten theils durch Suess, theils durch Bönm und CorreAv, vor Allem aber durch v. Zırren in meisterhafter Weise grösstentheils beschrieben wurde, blieben eigentlich nur noch die Crustaceen, Korallen und Spongien aus dieser Formation zur Be- arbeitung übrig. In Folge des Erwerbes der Honen&sGer'schen Sammlung durch den bayerischen Staat, kam auch eine verhältnissmässig grosse Anzahl von Cru- staceen aus den Stramberger Schichten in das Münchener palaeontologische Museum. Alle diese Reste fallen, von einem kleinen Macruren abgesehen, unter die Rubrik derjenigen Krebse, welche H. v. Meyer in der Familie der Prosoponiden oder Maskenkrebse zusammenfasste. Auf Veranlassung meines verehrten Lehrers, des Herrn Prof. Dr. v. Zırrev, machte ich mich an die Bearbeitung dieses Materiales. Bei der Ausführung meiner Arbeit standen mir zum Vergleich stets die MEveEr'- schen Original-Exemplare zur Verfügung, welche der ehemaligen WETZLER'- schen Sammlung angehörten und jetzt Eigenthum des Münchener palae- ontologischen Museums sind. Ausserdem erhielt ich durch die Freundlich- keit des Herrn Director D. Stur in Wien die Originale zur Besichtigung, welche Reuss zu seiner Arbeit „Ueber fossile Krabben des Mährischen Jurakalkes“ benützt hatte. Zuletzt war es mir möglich, durch die Güte des Herrn Prof. Dr. Fraas das einschlägige Material, welches sich im Stutt- garter Naturalienkabinet befindet, näher anzusehen. Ich habe daher bei den Identificirungen mit schon bekannten Arten fast stets die Originale ver- gleichen können. Vor Allem aber musste mir daran gelegen sein, Vergleichs- material entsprechender recenter Formen zu erhalten. Meinem Wunsche hierin kam Herr Prof. Dr. Herrwıc in liebenswürdigster Weise entgegen, indem er mir eine grössere Anzahl recenter Crustaceen aus dem Münchener zoologischen Museum zur Verfügung stellte. Hiebei kam ich zu dem Re- sultat, dass die als Prosoponiden zusammengefassten Krebse keineswegs sämmtlich in einer Familie untergebracht werden können. Ich sehe mich daher veranlasst, in einem einleitenden Theile meine Ansicht über die 44 Literatur-Verzeichniss. systematische Stellung der Prosoponiden näher zu begründen, wobei ich zu- gleich ihre verwandtschaftlichen Beziehungen zu einander und ihre muth- maassliche Abstammung berühren werde. Allen obengenannten Herren, welche mir durch Ueberlassung von Material behilflich waren, sage ich meinen besten Dank. Vor allem aber bin ich meinem hochverehrten Lehrer, Herrn Prof. Dr. v. Zırren, welcher mir die Bearbeitung dieses Materials anvertraute und durch Literaturangabe äusserst behilflich war, zu grösstem Danke verpflichtet. Verzeichniss der benützten Literatur. 1) Boas, Studier over Decapodernes Slaegtskabsforhold. Kiöbenhavn, 1880. 2) Desmarest, Öonsiderations generales sur la classe des cerustaces. Paris, 1825. 3) Etallon, Notes sur les erustacds Jurassiques du bassin du Jura. Gray, 1861. 4) Gemmellaro, Studii paleontologiei sulla fauna del calcare a Terebratula janitor del Nord di Sicilia. Palermo, 1868—1876. 5) H. v. Meyer, Die Prosoponiden oder die Familie der Maskenkrebse. (Palae- ontograpbica, Bd. VII, 1859— 1861.) 6) Milne Edwards, Histoire naturelle des Crustaces. Paris, 1837. 7) Milne Edwards, Alph., Portuniens et Thalassiniens. (Ann. des sciences nat. Zoologie. 4. ser. Tome 14. 1861.) 8) Oppel, Palaeontologische Mittheilungen. I. Ueber jurassische Crustaceen. Stuttgart, 1862. 9) Quenstedt, Handbuch der Petrefactenkunde, 3. Auflage. 1885. 10) Reuss, Zur Kenntniss fossiler Krabben. Wien, 1869. 11) Zittel, Palaeontologische Studien über die Grenzschichten der Jura- und Kreideformation. 12) Zittel, Handbuch der Palaeozoologie. I. Abth. I. Band. 1881—18S5. Einleitender Theil. Die Familie der Prosoponiden oder Maskenkrebse wurde von H. v. MEYER im Jahre 1835 aufgestellt. Derselbe war auch der erste und einzige, wel- cher eine ausführlichere Arbeit über diese fossilen Crustaceen verfasste. Weitaus der grösste Theil des von H. v. Meyer beschriebenen Materials rührt aus dem Schwäbischen Jura und ganz besonders von einer Localität desselben, dem Oerlinger Thal, her. Ueber schwäbische Reste dieser Art schrieb ausserdem auch noch QuENnstepDrT. Erst später wurden aus den Stramberger Schichten emige Prosoponiden bekannt, welche von Reuss be- arbeitet worden sind. Letztere bilden jedoch nur einen Bruchtheil der in diesen Schichten vorkommenden Prosoponiden. Sonst hat, meines Wissens, sich nur noch ErAutox und GEMMELLARO mit Prosoponiden befasst; ersterer beschrieb einige Formen aus dem französischen Jura, letzterer einige aus dem Tithon von Sieilien. Leider ist von diesen eigenthümlichen Krebsen fast immer nur der Cephalothorax erhalten. Scheeren und Segmente sind sehr selten und da sie nie mit dem Cephalothorax im Zusammenhang gefunden werden, ist es sehr fraglich, ob sie überhaupt Prosoponiden angehören. Dieser Umstand macht es sehr schwierig, dieser Krebssippe mit Bestimmtheit ihren Platz im System der Crustaceen anzuweisen, da ja dasselbe hauptsächlich auf dem Bau der Extremitäten beruht. Der Gründer der Familie der Prosoponiden, H. v. Meyer, stellte dieselben zu den Anomuren, also einem Bindeglied zwischen Macruren und Brachyuren. Er wies hiebei auf die Beschaffenheit des Cephalothorax hin, welcher gemeinsame Merkmale sowohl mit den Ma- eruren als mit den Brachyuren theilt. Reuss machte besonders auf die grosse Aehnlichkeit der Regionen des Rückenschildes aufmerksam, welche zwischen den Prosoponiden und den noch lebenden Dromien besteht. Zur Gruppe der Dromien wurden dieselben bis jetzt auch allgemein gestellt; v. Zırtev drückt die Vermuthung aus, die Prosoponiden könnten persistente Jugendformen der Dromien sein, wenn die von H. v. Meyer be- schriebenen Segmente in der That zu Prosoponiden gehören. 46 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. Bei seiner Beschreibung der schwäbischen Prosoponiden theilte H. v. Meyer dieselben in drei verschiedene Gattungen ein: in Prosopon, Gastro- sacus und Pithonoton. Letztere Gattung liess der Autor später selbst wieder fallen. Reuss fügte denselben noch zwei weitere Genera bei, nämlich: Goniodromites und Oxythyreus. Da jedoch ein schärferer Unterschied zwi- schen Prosopon und Goniodromites nicht besteht, bestritt H. v. Meyer die Berechtigung des letzteren als Gattungsbegriff. Hingegen liess er Oxythyreus als eigene Gattung gelten, indem er das Hauptgewicht darauf legt, dass das Rückenschild einer sichtbaren Magenbegrenzung entbehrt. Jedoch lässt sich auch diese Gattung durch den neuerdings von GEMMELLARO beschrie- benen Prosopon oxythyreiforme auf die eigentlichen Prosoponiden zurück- führen. Prosopon oxythyreiforme besitzt nämlich, wie ja schon sein Name andeutet, viel Aehnlichkeit mit dem von Reuss beschriebenen Oxythyreus gibbus, legitimirt sich aber doch durch eine wohlausgeprägte Magenregion als ächten Prosopon. Immerhin mag Oxythyreus als eigene Gattung betrachtet werden, die sich jedoch eng an die Gattung Prosopon anschliesst. Ganz anders verhält es sich nnn mit der von H. v. Meyer aufge- stellten Gattung Gastrosacus. Gastrosacus nannte H. v. Meyer diese Gattung wegen der vermeint- lichen grossen Magenbegrenzung; dieselbe hat der Autor jedoch falsch gedeutet. Wie QuENSTEDT schon bemerkte, ist die Magenregion bei Gastrosacus von ähnlich flaschenförmiger Form, wie bei den Prosoponiden, allerdings meist viel schwächer ausgeprägt. Schon in seiner ganzen äusseren Form ähnelt das hückenschild von Gastrosacus mehr dem Cephalothorax eines Macruren, oder besser gesagt Anomuren, als dem eines Brachyuren, eine Aehn- lichkeit, welche durch das lange spitze Rostrum noch bedeutend erhöht wird. Man bekommt bei genauen Vergleichen von Rückenschildern, welche von Gastrosacus und Prosopon herrühren, unwillkührlich den Eindruck, dass die erstere Form den Macruren noch näher stehen müsse, als Prosopon. Besonders wird man in dieser Ansicht durch folgenden Umstand bestärkt: Die Prosoponiden besitzen alle mehr oder minder lange und tiefe Augen- höhlen, ähnlich den Brachyuren, während sämmtlichen Vertretern der Gat- tung Gastrosacus eigentliche Orbiten fehlen. Sie nähern sich dadurch also schon mehr den Macruren resp. Anomuren als den Brachyuren, für welch’ letztere ja die Augenhöhlen charakteristische Merkmale sind. Durch genaue Vergleiche nun, welche ich mit Rückenschildern fossiler Gastrosaceen und recenter Anomuren anstellte, kam ich zu dem Resultate, dass die Rückenschilder von Gastrosacus zweifellos von ächten Anomuren und von Galatheen herrühren, denn die Aehnlichkeit mit den Rückenschildern der lebenden Galatheen ist eine geradezu frappante. Einleitender Theil. 47 Der Cephalothorax der fossilen Gastrosacen besitzt dieselbe äussere Form, dieselben Furchen und Regionen auf seiner Oberfläche, wie die vückenschilder der recenten Galatheen. Selbst die spitzen, dornenähnlichen Zähne, welche mit ihrer Spitze nach vorn gerichtet sind, verzieren, wofern sie nicht abgebrochen sind, was allerdings meist der Fall ist, die Seiten- ränder des Cephalothorax von Gastrosacus genau so, wie es bei den lebenden Vertretern der Gattung Galathea der Fall ist. Wir haben es also unzweifelhaft mit ächten Galatheen zu thun, den muthmasslichen Vorfahren der heutigen. Daher wird der an und für sich schon unglücklich gewählte Name Gastrosacus hinfällig. Bei dem Eintheilen der fossilen Galatheen in einzelne Species, glaubte ich wenig Werth auf die mehr oder minder scharfe Begrenzung der Regionen des Rückenschildes legen zu dürfen. Wir sehen nämlich, dass bei den lebenden Galatheen die Rücken- schilder verschiedener Individuen einer und derselben Species theils scharfe Furchen und Begrenzungen zeigen, theils dass dieselben kaum angedeutet sind. Es scheint, dass je älter die Individuen sind, welchen die Rücken- schilder angehören, desto schärfer die Furchen und Regionen auf denselben hervortreten. Zur Unterscheidung der Species bei den fossilen Galatheen habe ich vorzugsweise die Verzierung des Cephalothorax und die Beschaffenheit des Rostrums, wofern dasselbe nicht abgebrochen war, benützt. Nachdem die ehemalige Gattung Gastrosacus als Galathea erkannt worden, verliert sie natürlich ihren bisherigen Platz unter den Dromien und wird den Anomuren zugetheilt. Unter den schwäbischen Prosoponiden der ehemaligen WETZLEr'schen Sammlung befindet sich auch eine Form, welcher H. v. Meyer den Samm- lungsnamen Gastrodurus beilegte. Dieser Gastrodurus stimmt in seinem ganzen Habitus sehr mit den recenten Vertretern der Gattung Pagurus überein, so dass man ihn wohl als einen Vorgänger der späteren Paguren betrachten darf. Da diese Form jedoch nur im Schwäbischen Jura und nicht auch in den Stramberger Schichten vorkommt, begnüge ich mich darauf hinzuweisen. Werfen wir num noch einen Blick auf die eigentlichen Prosoponiden. Der Besitz tiefer Augenhöhlen und die grosse Aehnlichkeit, welche zwischen den einzelnen Regionen der Rückenschilder von Prosopon und Dromia be- steht, deuten auf die Zugehörigkeit der Prosoponiden zu den letzteren hin. Wir müssen die Prosoponiden wohl als die Vorfahren der späteren Dromien ansehen. Es kann allerdings nicht geleugnet werden, dass, während einige Prosoponiden ausserordentlich viel Aehnlichkeit mit Dromien besitzen, andere wieder, namentlich durch ihre lange schmale Form, wesentlich von denselben abweichen. Letztere stehen vielleicht dem Macrurentypus noch etwas näher, 48 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. als die anderen, welche schon in ihrem ganzen Habitus mehr ächten Dro- mien gleichen. Es dürfte nun jedenfalls von Werth sein, etwas über die verwandt- schaftlichen Beziehungen der Dromien (Prosoponiden) zu den Anomuren und Macruren in Erfahrung zu bringen. Hierüber eibt uns der dänische Natur- forscher Boas in einer trefflichen Arbeit, welche „Studier over Decapodernes Slaegtskabsforhold“ betitelt ist, befriedigenden Aufschluss. Boas machte seine Studien bei recenten Crustaceen, wobei er sein Hauptaugenmerk auf den Bau der Extremitäten der betreffenden Thiere legte. Nach ihm besteht eine sehr nahe Verwandtschaft zwischen Dromien und Anomuren, wobei Pagurus und Galathea die primitivsten Formen der letzteren repräsentiren. Vor allem soll es Galathea sein, welche den Dromien von sämmtlichen Anomuren am nächsten steht. Von Galathea glaubte denn BoAas anfangs auch, müssten die Dromien ihre Abstammung herleiten, allein verschiedene Gründe sprachen wieder gegen diese Ansicht. Auf Grund der Untersuchungen von Zo@alarven kam er zu dem endgültigen Schluss, dass die Dromien mit den Anomuren, vor allem Galathea, zwar nahe verwandt sind, aber nicht von denselben direct abstammen. Nach Boas Ansicht leiten vielmehr beide Crustaceentypen ihre Abstammung von Macruren her und zwar speciell von Repräsentanten der Familie der Thalassimiden. Besonders soll es ein Glied der Thalassiniden sein, Axdus oder eine demselben nahe stehende Form, welcher als gemeinsamer Ahne der Anomuren und Dromien zu betrach- ten sei. Es ist nun gewiss nicht ohne Interesse, dass in denselben Stramberger Schichten, aus welchen die Prosoponiden und Galatheen herrühren, auch vückenschilder von kleinen Macruren vorkommen, welche in ihrem ganzen Habitus so an ächte Thalassiniden erinnern, dass man wohl keinen Anstand nehmen darf, dieselben zu dieser Familie zu stellen. Der Cephalothorax ist klein, seitlich stark zusammengedrückt, mit scheimbar dreieckigem, von einer klemen Medianfurche durchzogenem Rostrum, zu beiden Seiten der Basis des Rostrums befindet sich je ein spitzer Zahn. Die Magenregion ist drei- eckig mit vorderem, langem und schmalem Ende. Wie schon aus der kurzen Beschreibung des Rückenschildes dieses kleinen Krebses hervorgeht, erinnert derselbe ausserordentlich an die recente Gattung Gebia, welche der Gattung Azxius sehr nahe steht. Zur Gattung Gebia glaube ich diesen klemen Krebs stellen zu müssen. Bemerkenswerth ist es, dass die deutliche Magen- begrenzung der fossilen Gebia von ähnlicher dreieckiger, flaschenförmiger Form ist, wie sie für die Prosoponiden so typisch ist und auch bei den Galatheen mehr oder minder angedeutet zu sein pflegt. Die recente Gebia besitzt zwar auch noch eine ähnliche Begrenzung der Magengegend, aber weniger deutlich, was mit dem weichen Cephalothorax zusammenhängen mag. Einleitender Theil. 49 In phylogenetischer Hinsicht ist es jedenfalls nicht ohne Bedeutung, (dass in denselben Schichten mit den Prosoponiden, den Vorgängern der Dromien, auch Galatheen und Thalassiniden vorkommen, gerade diese Cru- staceentypen also, welche Boas als die nächsten Verwandten, resp. Vor- fahren der Dromien bezeichnet. Die Galatheen des oberen Jura (Tithon) theilen zwar viele verwandtschaftliche Merkmale mit den Vorfahren der Dromien, den Prosoponiden, unterscheiden sich aber doch schon von den- selben durch den Mangel eigentlicher Orbiten und durch den Besitz eines langen spitzen Rostrums. Beide Crustaceentypen theilen aber auch ein ge- meinsames Merkmal, nämlich die ähnliche Magenbegrenzung, mit Macruren, und zwar mit den Vertretern der zu den Thalassiniden gehörigen Gattung Gebia. Es dürften wohl die palaeontolosischen Funde zur Bestätigung der von Boas bei seinen Studien der entsprechenden lebenden Krebse erzielten Resultate dienen. Anomuren, besonders Galatheen, sind nahe mit den Dromien verwandt, doch sind erstere nicht als Vorfahren der letzteren zu betrachten, sondern beide leiten ihren Ursprung als gesonderte Zweige von Thalassiniden (Azius, Gebia) ab. Die Prosoponiden repräsentiren dabei das Uebergangsstadium von den Macruren zu den eigentlichen Dromien. Aus den Dromien mögen sich später die eigentlichen Brachyuren (Brachyura genuina) entwickelt haben. Ein anschauliches Bild dieser Stammesgeschichte gibt ein von Boas verfertigtes Schema, welches ich mit geringer Veränderung hier wiedergebe. o % PBrachyura genuina Thalassinidae (Axius, Gebia) Palaeontologische Mittheilungen, Band 3. 4 Beschreibender Theil, Crustacea. Thoracostraca. Ordnung: Decapoda. A. Macrura. Familie: Thalassinidae Mine Enwarns. Gattung: Gebia Leacn. Der Cephalothorax ist ziemlich kurz und seitlich zusammengedrückt. Das flache Rostrum ist von dreieckiger Form, genügend breit, um die Augen beinahe ganz zu verdecken, auf jeder Seite der Basis des Rostrums befindet sich ein Zahn. Die nieht sehr grosse Magengegend ist vorn sehr schmal. Gebia dura n. sp. Taf. VI Fig. 2a, 2b. Dimensionen: Grösste Länge des hückenschildes — 4 mm. s 3reite „ a —3 97mm: Der sehr kleine Cephalothorax ist seitlich stark zusammengedrückt und in Folge dessen ziemlich schmal. Das verhältnissmässig breite Rostrum scheint von dreieckiger Gestalt gewesen zu sein, leider ist die Spitze des- selben bei beiden mir vorliegenden Exemplaren abgebrochen. Mitten durch das Rostrum läuft eine kurze Längsfurche; an der Basis desselben be- findet sich auf jeder Seite ein spitzer, etwas gebogener Zahn. Vor der sehr deutlichen Nackenfurche e liegt die dreieckige (flaschenförmige) Magen- begrenzung o, welche in ein langes, sehr schmales Vorderende ausgezogen ist. Ausser der Nackenfurche sind nachfolgende verschiedene Furchen vorhanden: Vom Hinterrand des Cephalothorax läuft eine lange Furche « nach vorn, dieselbe verbindet sich mit einer kleinen, von der Nackenfurche auslaufenden Furche b. Von der Furche b zeigt eine kleine, etwas gebogene Verlängerung bi Gebia. 51 nach unten. Diese Verlängerung ist für die Gebien charakteristisch (nach Boas). In der Mitte zwischen der Nackenfurche e und der Furche a be- findet sich eine halbkreisförmige Furche d, welche auch bei der recenten Species Gebia litoralis zu sehen ist. Von der Stelle, wo die Furchen d und a zu- sammentreffen, läuft eine Längsfurche /£ nach der Nackenfurche. Diese letztere dürfte der linea thalassinica (BoAs) entsprechen. Das Rostrum und die Magenregion erhalten durch kleine Rauhigkeiten ein granulirtes Aus- sehen, der übrige Theil des Cephalothorax sieht fast glatt aus. Vergleiche und Bemerkungen. (Gebia dura besitzt viele Aehnlichkeit mit der lebenden Art Gebia litoralis. Zwar hat Gebia dura einen harten Cephalothorax besessen, im Gegensatz zu den weichen Rückenschildern der heutigen Vertreter der Gattung Gebia. Dies beeinträchtigt die Vergleichung nicht; es ist sowohl im Allgemeinen der Kalkgehalt der hornigen Basis der Crustaceenschalen ein wechselnder, es hat auch andererseits die zur selben Familie gehörige Gebia in vielen Beziehungen sehr nahe stehende Gattung Thalassina einen harten Cephalothorax. Abgesehen hievon müssen über- haupt die älteren Vertreter der Gattung Gebia ein hartes Rückenschild be- sessen haben, da dieselben nach dem von Boas aufgestellten Stammbaum ihren Ursprung von den Homariden, den hartschaligen Urformen der ganzen Sippe nahmen. Untersuchte Stücke: 2. Vorkommen: Wischlitz. B. Anomura. Familie: Galatheidae Farr. Der Cephalothorax ist flach und ziemlich breit, jedoch übertrifft die Länge immerhin noch etwas die Breite. Das Rostrum ist mehr oder weniger hervorstehend; es bedeckt die Basis der Augenstiele. Auf der Oberfläche des Rückenschildes befinden sich verschiedene Furchen, von welchen eine, die halbkreisförmige Furche a, der Nackenfurche bei den Macruren ent- spricht. Direct unterhalb der Nackenfurche, in der Mitte sogar mit der- selben vereinigt, läuft eine Querfurche D von einem Seitenrand des Rücken- schildes zum anderen. Die Magengegend ist mehr oder minder deutlich; sie ist von dreieckiger (flaschenförmiger) Form, meist jedoch ist nur die hintere Parthie durch zwei nach vorn convergirende Furchen e angedeutet. Die Seitenränder des Cephalothorax sind mit dornenähnlichen Zähnen ver- sehen. Von Orbiten ist keine Spur vorhanden. 59 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. Galathea euteeta n. sp. Taf. VI Fig. 5. Dimensionen: Länge des Rückenschildes von den seitlichen Ecken des Stirnrandes an gemessen — 13 mm. Grösste Breite des Rückenschildes = 12 mm. Der Cephalothorax ist länglich viereckig, wobei die Ecken des Stirn- randes ziemlich abgestumpft erscheinen. Die Seitenränder des Rückenschildes sind umgeschlagen, sie lassen noch deutlich eine Naht erkennen, welche der linea anomurica (BoAs) entspricht. Das Rostrum ist flach und an der Basis ziemlich breit, die Spitze desselben leider abgebrochen. In der Nähe des Vorderrandes, direct vor Beginn des Rostrums, erheben sich zwei kleinere Höcker, welche wahrscheinlich früher mit Stacheln besetzt waren. Die Nackenfurche befindet sich etwas oberhalb der Mitte des Rückenschildes, sie zieht in einem halbkreisförmigen Bogen nach den stumpfen Ecken des Vorderrandes. Die Querfurche ist undeutlich, was mit der Verzierung des Rückenschildes zusammenhängt. Vor der Nackenfurche befindet sich die Magenregion, von derselben ist jedoch nur das schmale, vordere Ende sichtbar. Die Herzgegend ist bei dieser Species kaum angedeutet. Einen eigentlichen Ausschnitt besitzt der Hinterrand des Cephalothorax nicht. Die Oberfläche der Steinkerne ist dicht mit langen Querriefen bedeckt. Diese Querriefen sind in der hinteren Parthie des Rückenschildes besonders lang, je mehr sie sich aber dem Vorderrand nähern, um so kürzer werden sie, bis sie endlich auf dem Rostrum eine rundliche, schuppenförmige (Gestalt annehmen. Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species schliesst sich in der Ver- zierung des Rückenschildes eng an die lebenden Vertreter der Gattung Galathea an. Besonders mit jungen Individuen der lebenden Species Galathea strigosa, bei welchen die Furchen des Rückenschildes noch nicht so scharf ausgeprägt sind, zeigt Galathea eutecta auffallende Aehnlichkeit. Untersuchte Stücke: 4. Vorkommen: Mischlowitz, Wischlitz. Galathea Zitteli n. sp. Taf. VI Fig. 6. Dimensionen: Länge des Rückenschildes von den Ecken des Stirnrandes an gemessen = 5 mm. Grösste Breite des Rückenschildes = 4 mm. Das Rückenschild dieser Species ist bedeutend kleiner, als das der vorhergehenden, jedoch bleibt das Verhältniss der Länge zur Breite das- Galathea. 53 selbe. Das flache, leicht gekrümmte Rostrum ist sehr breit und von drei- eckiger Form, mit einem feinen spitzen Zahn am vorderen Ende. Genau in der Mitte des Rostrums läuft ein schmaler Längskiel bis in die äusserste Spitze. Vor der recht gut ausgeprägten Nackenfurche befindet sich der Raum, in welchem die Magenregion liegt. Letztere stellt ein scharf be- erenztes Dreieck mit der längeren Spitze nach oben gerichtet dar. Die etwas erhabenen, zu beiden Seiten an die Magengegend grenzenden Parthieen werden wohl als die Leberregionen zu deuten sein. Die in der Mitte an die Nackenfurche grenzende Querfurche ist deutlich. Eime schärfere Be- srenzung der Herzgegend findet auch bei dieser Species nicht statt. Einen eigentlichen Ausschnitt besitzt der Cephalothorax nicht, hingegen ist der Hinterrand mit einem ziemlich breiten Saum eingefasst. Die Verzierung der Steinkerne besteht im der hinteren Parthie des Rückenschildes aus läng- lichen Querriefen. In der vorderen Region des Cephalothorax nehmen diese Querriefen mehr runde Gestalt an, um bis in die äusserste Spitze des Rostrums fortzusetzen, wo sie aber sehr fein werden. Untersuchte Stücke: 5. Vorkommen: Wischlitz. Galathea acutirostris n. sp. (Gastrosacus Wetzleri H. v. MEvEr?) Taf. VI Fig. 7. Dimensionen: Länge des Rückenschildes von den Ecken des Stirnrandes an gemessen — 6 mm. Grösste Breite des Rückenschildes — 5 mm. Das Rückenschild ist von länglich viereckiger Form, fast ganz gleich- mässig breit; das lange Rostrum ziemlich schmal, von dreieckiger Ge- stalt, vorn zugespitzt, mitten hindurch läuft ein sehr scharfer Längskiel. Direct vor Beginn des Rostrums befinden sich zwei kleine Höcker, welche wohl zur Lebergegend gehören. Die Magengegend stellt ein Dreieck dar, jedoch ist nur die hintere Parthie derselben schärfer ausgeprägt. Die halb- kreisförmige Nackenfurche ist sehr scharf eimgeschnitten, und ebenso die sich daran anschliessende Querfurche recht deutlich. Von den seitlichen Theilen der letzteren läuft je eine kurze, aber scharfe Furche nach der Herz- begrenzung. Die Herzregion ist bei dieser Species besser angedeutet, als bei der vorhergehenden; sie scheint ein gleichschenkliges Dreieck darzustellen, dessen spitzer Winkel dem Hinterrand zugekehrt ist. Der Hinterrand des Cephalothorax ist in der Mitte ein wenig ausgeschnitten. Die Steinkerne weisen auf ihrer Oberfläche Wärzchen auf, welche in der hinteren Hälfte 54 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. des Rückenschildes länglich sind, in der vorderen dagegen mehr rundlich. Die Seitenränder des Rückenschildes sind mit dornenförmigen, spitzen Zähnen besetzt, welche ihre Spitze nach oben kehren. Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species besitzt viele Aehnlichkeit mit Gastrosacus Wetzleri H. v. Meyer, doch scheint Galathea aecutirostris ein etwas längeres und schmäleres Rostrum zu besitzen. Vielleicht darf Galathea acutirostris nur als eine Varietät von Gastrosacus Wetzleri ange- sehen werden. Von der Species Galathea acutirostris fand sich ein Exem- plar, welches die dornenförmigen Zähne an den Seitenrändern noch fast unversehrt zeigt. Dieselben sind genau so gestellt, wie bei den lebenden Vertretern der Gattung Galathea; das dolchähnliche Rostrum dieser Art ähnelt am meisten dem langen spitzen Rostrum der recenten Galathea rugosa. Untersuchte Stücke: 6. Vorkommen: Kotzobenz, Stramberg, Willamowitz. Wischlitz. Galathea antiqua n. sp. Taf. VI Fig. A. Dimensionen: Länge (des Rückenschildes von den Ecken des Stirnrandes an gemessen — 14 mm. Grösste Breite des Rückenschildes = 13 mm. Die grösste Breite fällt im die hintere Hälfte des Cephalothorax. Das tostrum ist sehr flach und von dreieckiger Form, jedoch bei sämmtlichen mir vorliegenden Exemplaren etwas defect. Vor der tief eimgeschnittenen Nackenfurche befindet sich die Magenbegrenzung, welche ein deutliches Dreieck darstellt. Zu beiden Seiten des vorderen schmalen Endes der Magenregion befinden sich zwei Höcker, welche der Lebergegend angehören, und früher wohl mit kleinen Stacheln besetzt waren. Die Querfurche ist gleichfalls gut markirt, sie trennt sich wie bei allen Galatheen an den Seiten von der Nackenfurche, um nach den Seitenrändern des Cephalothorax hin zu verlaufen. Die Verzierung des Rückenschildes besteht aus kräftigen Wärzchen, dieselben sind rundlich; nur da, wo sich die Herzbegrenzung zu befinden pflegt, sind sie länglich; vor dem Hinterrand des Cephalothorax liegt ein verhältnissmässig breiter, scheinbar glatter Saum, welcher jedoch unter der Lupe kleine runde Grübchen erkennen lässt. Die Stacheln, mit welchen die Seitenränder des Rückenschildes besetzt waren, sind fast alle abgebrochen. Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species unterscheidet sich haupt- sächlich durch ihre tief eingeschnittenen Furchen und durch den mit Galathea. 55 Grübchen besetzten Saum vor dem Hinterrand von den vorhergehen- den Arten. ; Untersuchte Stücke: 3. Vorkommen: Mosty, Raczhichow. Galathea Meyeri n. sp. Taf. VI Fig. 8. Dimensionen: Länge des hückenschildes von den Ecken des Stirnrandes an gemessen —= 10 mm. Grösste Breite des Rückenschildes = 9 mm. Das flache Rostrum ist nicht sehr lang, dreieckig, vorn zugespitzt, und mit einem medianen Längskiel versehen. Die Magenbegrenzung wird durch ein deutliches Dreieck repräsentirt. Nackenfurche wie Querfurche sind ziem- lich tief eingeschnitten. Die Herzregion, welche bei dieser Species gut sichtbar ist, ist von querovaler Form. Eine zweite Querfurche läuft von den Seitenrändern des Cephalothorax nach der Mitte des Hinterrandes. Das Rtückenschild besitzt hinten einen kleinen, aber deutlichen Ausschnitt, wel- cher von einem schmalen, glatten Saume eingefasst wird. Die Verzierung der Steinkerne besteht aus grösseren und kleineren Wärzchen. Vergleiche und Bemerkungen. Galathea Meyeri unterscheidet sich von den übrigen Species dieser Gattung hauptsächlich durch den Besitz einer deutlichen zweiten Querfurche, hiedurch nähert sie sich etwas mehr dem Prosoponidentypus. Untersuchte Stücke: 2. Vorkommen: Wischlitz. Galathea verrucosa n. Sp. Taf. VI Fig. 9. Dimensionen: Länge des Rückenschildes von den Ecken des Hinterrandes an gemessen = 9 mm. Grösste Breite des Rückenschildes = 8 mm. Das etwas gewölbte hückenschild ist hinten am breitesten, vorn ver- schmälert es sich etwas. Das flache und ziemlich breite Rostrum ist drei- eckig und leicht gekrümmt, ohne einen Längskiel. Die deutliche Nacken- furche läuft in einem halbkreisförmigen Bogen nach den Ecken des Stirnrandes. Eine eigentliche Magenbegrenzung lässt sich schwer nachweisen. Ebenso ist die Querfurche kaum angedeutet, was mit der Verzierung des Rücken- schildes zusammenhängen mag. Die Herzregion wird durch längliche Wärz- chen bezeichnet, während sonst die Verzierung des Rückenschildes aus rund- 56 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. lichen Wärzchen besteht. Diese Wärzchen stehen so dicht gedrängt, dass die Oberfläche der Steinkerne förmlich gepflastert erscheint. In der Mitte der Nackenfurche befinden sich zwei längliche Wärzchen. Der Hinterrand des Cephalothorax ist in der Mitte leicht ausgeschnitten. Die Stacheln der Seitenränder des Rückenschildes sind sämmtlich abgebrochen. Vergleiche und Bemerkungen. Das Rückenschild lässt keine bestimmte Umgrenzung der einzelnen Regionen auf seiner Oberfläche erkennen, hie- durch nähert sich diese Art etwas der Gattung Oxythyreus. Untersuchte Stücke: 2. Vorkommen: Willamowitz. C. Brachyura. a) Dromiacea. Familie: Prosoponidae H. v. Mever. Der Cephalothorax wird meist durch zwei Querfurchen, eine vordere und eine hintere, in drei Abtheilungen zerlegt. Das Rückenschild ist bei den einen länger als breit, bei anderen findet dagegen das umgekehrte Ver- hältniss statt. Das Rostrum ist gewöhnlich stark gebogen, und mit einer medianen Längsfurche versehen. Die Augenhöhlen sind tief ausgeschnitten. Die Magenbegrenzung, welche nur bei ganz wenigen fehlt, ist dreieckig (flaschenförmig) mit langem, vorderem Ende. Die Herzregion stellt meist ein Dreieck oder ein Pentagon dar. Die Seitenränder des Rückenschildes sind umgeschlagen. Ein mehr oder minder deutlicher Ausschnitt am Hinter- rand ist gewöhnlich vorhanden. Oxythyreus gibbus Reuss. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 11mm. n Breite „ n — 8mm. Der ovale Cephalothorax ist stark gewölbt, hinten ziemlich breit ver- schmälert er sich allmählich nach vorn. Der dreieckige, stark abwärts ge- bogene Schnabel wird vorn von einer kleinen, medianen Längsfurche in zwei Hälften getheilt. Eine deutliche Magenbegrenzung ist bei dieser Species nicht sichtbar. Von den beiden (@uerfurchen ist blos die vordere scharf eingeschnitten, die hintere dagegen nur schwach angedeutet. Die Herz- region scheint ein Pentagon darzustellen, ist jedoch sehr verschwommen. Die Seitenränder des Cephalothorax sind mit grösseren und kleineren, säge- fürmigen Zacken besetzt. Der Hinterrand des Rückenschildes ist in der Prosopon. 57 Mitte mit einem kleinen, aber scharfen Ausschnitt versehen, welcher von einem schmalen, glatten Saum eingefasst wird. Die Schale ist mit einer Menge kleiner Wärzchen bedeckt, welche jedoch nur auf der hinteren Parthie des Rückenschildes deutlich hervortreten. Vergleiche und Bemerkungen. Die ziemlich hohe Wölbung des Rücken- schildes und das gänzliche Fehlen einer sichtbaren Begrenzung des Magens sind für die von Reuss aufgestellte Gattung Oxythyreus chavakteristische Merkmale. Untersuchte Stücke: 6. Vorkommen: Stramberg, Wischlitz. Prosopon oxythyreiforme GrEMmM. Taf. VI Fig. 10. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 11 mm. 5 Breite „ ei —Sl3.mm. Die grösste Breite des Cephalothorax fällt in die hintere Hälfte; ganz allmählich verschmälert er sich gegen den Vorderrand hin, um in einem stark gekrümmten, dreieckigen Schnabel zu endigen. Zwei spitze Ecken auf den Seiten des Stirnrandes deuten auf den Ort hin, wo sich die Orbiten befinden. Die Seitenränder des Rückenschildes sind mit stumpfen, lappen- förmigen Zähnen versehen. Die Begrenzung der Magenregion ist recht deutlich, sie besitzt die den Prosoponiden eigenthümliche flaschenförmige Form. Beide scharf markirten Querfurchen laufen seitlich etwas in die Höhe. Die fünfseitige Herzgegend zeigt mit einer langen Spitze nach dem Hinterrand des Rückenschildes. Der Cephalothorax endigt hinten mit einem kleinen, nicht sehr scharfen Ausschnitt. Die Verzierung der Schale besteht aus einer Menge theils grösserer, theils kleinerer, unregelmässig gestellter Wärzchen. Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species wurde zuerst im Tithon von Sieilien gefunden und von GEMMELLARO Prosopon oxythyreiforme be- nannt, wegen der Aehnlichkeit, welche sie mit Oxythyreus gibbus besitzt. Von letzterer Species unterscheidet sich Prosopon oxwythyreiforme hauptsäch- lich dureh grössere Breite und durch den Besitz einer deutlich begrenzten Magengegend. Untersuchte Stücke: 3. Vorkommen: Willamowitz, Wischlitz. Ausserdem Tithon von Sieilien. 58 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. Prosopon heraldieum n. sp. Taf. VI Fig. 13. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 11 mm. R Breite „ ; — 28mm: Der etwas gewölbte Cephalothorax besteht aus einem grösseren, ovalen Haupttheil und aus einem kleinen, durch eine Einschnürung von ersterem getrennten Theil, dem Stirnfortsatz. Dieser Fortsatz oder Schnabel besitzt viele Aehnlichkeit mit einer kleinen Krone, welche aus 4 Wülsten gebildet wird; zu beiden Seiten dieses kronenartigen Stirnfortsatzes befinden sich spitze Verlängerungen, welche jedenfalls als die Ecken der Augenhöhlen- winkel zu betrachten sind. Eine deutliche Begrenzung der Magengegend ist nicht sichtbar. Von den beiden Querfurchen ist die hintere weit schärfer eingeschnitten als die vordere. Die zwischen den beiden Querfurchen be- findliche mittlere Abtheilung des Rückenschildes stellt nur ein schmales Band dar. Die Herzregion ist im Gegensatz zu der nicht einmal ange- deuteten Magengegend äusserst scharf markirt. Dieselbe stellt ein etwas erhabenes Dreieck dar, mit der ziemlich langen Spitze nach dem Hinterrand des Rückenschildes gekehrt. Die Seitenränder des Rückenschildes waren mit kleinen, feinen Stacheln besetzt. Einen eigentlichen Ausschnitt besitzt der Cephalothorax nicht, wohl aber ist der Hinterrand mit einem verhältniss- mässig breiten, glatten Saum eingefasst. Die Steinkerne sind nur auf der hinteren Parthie mit kräftigen Wärzchen verziert, vorn erscheinen sie da- gegen ganz glatt. Vergleiche und Bemerkungen. Prosopon heraldicum habe ich diese Spe- cies wegen der Aehnlichkeit benannt, welche sie mit einem Wappen be- sitzt. Durch den Mangel einer sichtbaren, äusseren Magenbegrenzung nähert sich diese Species etwas der Gattung Oxythyreus. Der aus 4 kleinen Längs- wülsten gebildete Schnabel ist für diese Art charakteristisch, sie weicht hiedurch von den übrigen Prosoponiden etwas ab. Untersuchte Stücke: 5. Vorkommen: Koniakau, Kotzobenz, Willamowitz. Prosopon paradoxum H. v. Meyer. Taf. VI Fig. 12. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 7 mm. " Breite „ ; —= 55mm. Das Rückenschild dieser merkwürdigen Species ist in seiner hinteren Hälfte breit und aufgebläht, gegen vorn wird es bedeutend schmäler. Die Schnäbel sind leider bei den mir vorliegenden Exemplaren abgebrochen. Die Prosopon. 59 Magengegend ist recht deutlich; auf ihrer äussersten Spitze befindet sich eine kräftige Warze. Zu beiden Seiten der Magenregion erheben sich zwei starke, etwas zugespitzte Höcker. In der Mitte der vorderen kleinen Quer- furchen scheint sich ein Porenpaar zu befinden. Von dieser Querfurche aus ziehen zwei kleine, längliche Wülste nach der Herzregion hin. Letztere stellt ein sehr stark erhabenes Fünfeek dar, mit drei in ein Dreieck ge- stellten Wärzchen verziert. Eine zweite, gleichfalls deutliche Querfurche läuft gegen die Mitte des Hinterrandes, sie trennt die Herzregion von den beiden aufgeblähten Kiemengegenden, welch’ letztere an den Seiten je zwei grosse spitze Wärzchen tragen. Eine breite Furche umsäumt den nur schwach ausgeschnittenen Hinterrand des Rückenschildes. Die Steinkerne sind mit vielen kleinen Wärzchen versehen, welche besonders auf der paarigen Kiemengegend stärker hervortreten. Vergleiche und Bemerkungen. Die Exemplare aus den Stramberger Schichten stimmen in allen Merkmalen mit der von H. v. MeEyEr aus dem Oerlinger Thal beschriebenen Species gut überein. Nur fehlen den Stramberger Exemplaren die grösseren Wärzchen auf der Magenregion, sie sind daher vielleicht als eine Varietät der schwäbischen Art zu be- trachten. Untersuchte Stücke: 2. Vorkommen: Wischlitz. Prosopon longum n. sp. Taf. VI Fig. 11. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 12 mm. 5 Breite „ —=6mmm: Der Cephalothorax ist etwa gerade noch einmal so lang als breit. Der Stirnfortsatz ist von dreieckiger Gestalt, vorn etwas abgestumpft, mit 2 Höckern und einer kleinen, medianen Längsfurche versehen. Zu beiden Seiten des Schnabels bilden die Augenhöhlenwinkel spitze Ecken. Die hin- tere Parthie der Magengegend ist stark aufgebläht und das vordere Ende mit einer Warze versehen. Zu beiden Seiten der Magenregion ist die paarige Lebergegend je zu einem starken Höcker angeschwollen, vor wel- chem sich je ein Wärzchen befindet. Der Abschnitt des Rückenschildes, welcher zwischen den beiden deutlichen Querfurchen liegt, besteht gleichfalls aus zwei kräftigen Höckern, welche je mit einem Wärzchen verziert sind. Die erhabene Herzregion ist von birnenförmiger Gestalt mit dem schmalen, länglichen Theil nach vorn gerichtet. Die hinter der zweiten Querfurche befindliche Abtheilung des Rückenschildes, welche wohl als Kiemengegend zu deuten ist, nimmt kaum */s der gesammten Höhe des Cephalothorax ein; 60 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. (dieselbe schemt auch mit Wärzchen verziert zu sem. Der Hinterrand des lrückenschildes ist in der Mitte etwas ausgeschnitten. Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species zeichnet sich durch ihre lange, schmale Form aus. Am meisten ähnelt sie Prosopon ormatım H. v. Meyer, doch besitzt Prosopon Tongum viel stärkere Höcker als letzt- genannte Species. Untersuchte Stücke: 1. Vorkommen: Koniakau. Prosopon ornatum H. v. Meyen. Taf. vIeRio1b. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes — 7!/z mm. Breite „ = — 55mm! Seine grösste Breite besitzt das Rückenschild in der hinteren Hälfte, nach vorn verschmälert es sich ziemlich rasch. Der gekrümmte Schnabel wird durch eine sehr tiefe Medianfurche in zwei gleiche Hälften getheilt. Die Magenregion stellt ein kleines Dreieck dar; auf der hinteren Parthie befinden sich drei in ein Dreieck gestellte Wärzchen; ebenso ist die äusserste Spitze der Magengegend mit einem kleinen Wärzchen verziert. Die an die Magenregion grenzenden Theile sind gleichfalls mit verschiedenen Wärzchen versehen. Die zwischen den beiden Querfurchen befindliche Abtheilung weist sechs kleine Wärzchen auf. Die erhabene Herzgegend liegt zwischen zwei Wülsten. Die hintere Abtheilung des Cephalothorax, welche die etwas er- habene Kiemengegend enthält, ist durch eine kleine mediane Längsfurche halbirt. Der Hinterrand des Cephalothorax wird von einem schmalen, glatten Saum eingefasst. Ausser den schon angeführten grösseren Warzen besitzt das Rückenschild noch eine Unzahl kleiner Wärzchen. Vergleiche und Bemerkungen. Die mährische Species stimmt, abgesehen von dem etwas schärfer ausgeschnittenen Rostrum, gut mit der von H. v. Meyer aus dem Oerlinger Thal beschriebenen überein. Untersuchte Stücke: 2. Vorkommen: Stramberg, Willamowitz. Ausserdem im Oerlinger Thal. Prosopon mirum n. sp. Taf. VI Fig. 14. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes —= 11 mm. a Breite „ 4 — {m Das ziemlich gleichmässig breite Rückenschild läuft in einen sehr stark gekrümmten Schnabel aus. Von der dreieckigen Magengegend ist die hin- Prosopon. 61 tere Parthie ein wenig gekerbt; das vordere schmale Ende ist sehr lang. Die an die Magenbegrenzung stossende Lebergegend besteht aus je drei Höckern mit verschiedenen grösseren Warzen verziert. Die Seitenränder der oberen Abtheilung des Rückenschildes sind mit zahnartigen Vorsprüngen versehen. Die zwischen den beiden (@uerfurchen befindliche mittlere Ab- theilung des Cephalothorax ist nur ein schmales Band, von welchem kleine Wülste nach der Herzgegend himziehen. Die Herzregion stellt ein verhältnissmässig grosses Pentagon dar, welches mit einer Ecke nach dem Hinterrand des Rückenschildes gekehrt ist. Die Steinkerne lassen auf ihrer Oberfläche eine Menge kleiner Wärzchen erkennen. Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species besitzt viele Aehnlichkeit mit Prosopon Heydeni H. v. Meyer, unterscheidet sich aber von der schwä- bischen Art durch breitere Form der Herzregion und durch die seitliche 3ezahnung der oberen Abtheilung des Rückenschildes. Untersuchte Stücke: 1. Vorkommen: Kotzobenz. Prosopon angustum Reuss. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes —= 11 mm. : Breite „ a = 8mm. Der dreieckige Schnabel ist ausserordentlich stark gebogen. Direct vor Beginn des Stirnfortsatzes befinden sich zwei kleine Warzen. Vor der (reieckigen Magenregion ist nur das vordere, schmale Ende deutlich ausge- prägt. Die Augenhöhlenwinkel der grossen rundlichen Orbiten bilden an den Seiten des Stirnrandes spitze Ecken. Zwischen den beiden tief einge- schnittenen Querfurchen befindet sich ein schmales glattes Feld, von welchem zwei Wülste nach der fünfeckigen Herzgegend hinlaufen. Die hintere Ab- theilung des Rückenschildes wird durch eine kleine Längsfurche halbirt. Der Hinterrand des Cephalothorax ist kaum ausgeschnitten. Die Steinkerne lassen auf ihrer Oberfläche eine recht undeutliche Wärzchenverzierung erkennen. Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species steht, wie schon H. v. MEyEr bemerkte, Prosopon exeisum v. Meyer aus dem Oerlinger Thal sehr nahe. Von letzterer Art unterscheidet sich eigentlich Prosopon angustum nur durch die viel schmälere Form. Untersuchte Stücke: 6. Vorkommen: Koniakau, Kotzobenz, Stramberg, Willamowitz, Wischlitz. 62 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. Prosopon punetatum H. v. MrEyEr. Taf. VI Fie. 23. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 12 mm. " Breite „ = = ll, Das Rückenschild endigt mit einem kurzen, abgerundeten Schnabel, welcher mit einer breiten Medianrinne und zwei kleinen Höckern versehen ist. Die hintere Parthie der Magengegend ist deutlich gekerbt, wodurch sie ein herzförmiges Aussehen erhält. ‚Das vordere schmale Ende der Magen- region wird durch einen kleinen Einschnitt von der hinteren Parthie vollständig getrennt. Die zu beiden Seiten der Magenbegrenzung befindliche, paarige Leberregion wird von kurzen, aber tiefen Furchen eingeschnitten. Die beiden (Juerfurchen sind verhältnissmässig tief und breit. Zu beiden Seiten der Herzregion befinden sich zwei Wülste. Der Hinterrand des Cephalothorax ist kaum ausgeschnitten, aber von einem schmalen, glatten Saum eingefasst. Die Verzierung der Steinkerne besteht aus kleinen, nicht sehr gedrängt stehenden Wärzchen. Vergleiche und Bemerkungen. Bei den aus den Stramberger Schichten herrührenden Exemplaren ist die Magengegend schärfer gekerbt, als es bei den Schwäbischen der Fall ist. Untersuchte Stücke: 2. Vorkommen: Kotzobenz, Raczhichow. Ferner im Oerlinger Thal. Prosopon verrucosum Russ. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes —= 15 mm. aBreiter, ® —aammE Die grösste Breite des Cephalothorax fällt m das hintere Drittel. Der ziemlich gebogene Schnabel ist von etwas abgerundeter, dreieckiger Form. Eine kleine, mediane Längsfurche, welche auf jeder Seite von einer Warze eingefasst wird, theilt den Stirnfortsatz in zwei Lappen. Die sehr deutliche, dreieckige Magenregion ist an ihrer hinteren Parthie etwas gekerbt. Zu beiden Seiten der Magenbegrenzung bilden die Leberregionen Höcker. Die erste Querfurche, welche seitlich etwas in die Höhe geht, besitzt in ihrer Mitte zwei Körnchen, resp. wenn dieselben ausgefallen sind, ein Porenpaar. Die dreieckige Herzgegend befindet sich zwischen zwei ziemlich langen Wülsten. Meistens lassen sich auf der Herzregion drei m ein Dreieck ge- stellte Wärzchen erkennen. Die Kiemengegend ist etwas angeschwollen. Der Hinterrand des Cephalothorax ist nur schwach ausgeschnitten und mit einer glatten Furche eingesäumt. Die Oberfläche der Steinkerne ist mit zahlreichen, kräftigen Wärzchen bedeckt. Prosopon. 63 Vergleiche und Bemerkungen. Wie schon Reuss und H. v. Meyer be- merkten, ähnelt Prosopon verrucosum sehr dem aus dem Neocom stammenden Prosopon tuberosum H. v. Meyer. Untersuchte Stücke: 11. Vorkommen: Ignatziberg, Kotzobenz, Racziechow, Strambere, Willamo- witz, Wischlitz. Prosopon Fraasi n. sp. Taf. VI Fig. 17. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 18 mm. n zreite „ j —= 13 mm. Das fast gleichmässig breite Rückenschild besitzt vorn einen leicht ge- krümmten Schnabel, welcher durch eine seichte Rinne in zwei gleiche Hälften getheilt wird. Die sehr deutliche, dreieckige Magenregion ist hinten nur ganz schwach gekerbt. Die zu beiden Seiten der Magenbegrenzung befind- liche paarige Leberregion zerfällt durch verschiedene kleine Furchen in je vier Höcker. Die schmale mittlere Abtheilung des Cephalothorax, welche von den beiden, ziemlich breiten Querfurchen begrenzt wird, zerfällt durch zwei etwas schräge Furchen in vier Theile. Die Herzgegend stellt ein Fünf- eck dar, mit drei in ein Dreieck gestellten Wärzchen. Die paarige Kiemen- gegend ist ebenfalls mit ganz schwachen Furchen versehen. Eine glatte Furche umsäumt den kaum ausgeschnittenen Hinterrand des Cephalothorax. Der Steinkern weist auf der Kiemengegend kräftige Wärzchen auf, während der übrige Theil des Rückenschildes völlig glatt erscheint. Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species dürfte in die Nähe von Prosopon laeve H. v. Meyer aus dem Oerlinger Thal gestellt werden. Die beiden Furchen, welche die mittlere Abtheilung des Rückenschildes durch- schneiden, sind für Prosopon Fraasi charakteristisch. Untersuchte Stücke: 1. Vorkommen: Willamowitz. Prosopon pustulosum Reuss em. H. v. Meyer. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes — 20 mm. r Breite „ n = 14 mm. Der ziemlich gleichmässig breite Cephalothorax ist stark gewölbt. Der sehr kurze Stirnfortsatz ist schwach gebogen und vorn abgestumpft. Von der dreieckigen Magengegend ist nur die hintere, schwach gekerbte Parthie und das vorderste Ende schärfer ausgeprägt, während der mittlere Theil nur schwach angedeutet ist. Die tiefen Augenhöhlen sind ausserordentlich 64 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. lang. Beide scharf eingeschnittenen Querfurchen laufen seitlich etwas in die Höhe. Die vordere Querfurche trägt in ihrer Mitte zwei kleine Körn- chen, oder wenn dieselben ausgefallen, ein Porenpaar. Die etwas ver- schwommene Herzregion stellt em Pentagon dar, mit vier Wärzchen in der Mitte. In der Mitte des Hinterrandes des Rückenschildes befimdet sich ein kleiner, aber scharfer Ausschnitt zur Aufnahme des Abdomens. Die Ober- fläche der Steinkerne erscheint glatt, nur mit der Lupe lassen sich undeut- lich flache Wärzchen erkennen. Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species hat viele Aehnlichkeit mit Prosopon aegqwilatum H. v. Meyer, von welch’ letzterem sie sich eigentlich nur durch den Besitz der flachen Wärzchen unterscheidet. Untersuchte Stücke: 4. Vorkommen: Kotzobenz, Tierlitzko, Willamowitz. Prosopon marginatum H. v. Meyer. Taf. VI Fig. 22. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes — 15 mm. Breite „ = —BnmmE Der kurze, etwas gebogene Schnabel wird von einer kleinen, aber tiefen Längsfurche in zwei gleiche Lappen getheilt, zu beiden Seiten dieses Stirnfortsatzes bilden die Augenhöhlenwinkel scharfe Ecken. Die Orbiten selbst sind ziemlich lang und verhältnissmässig sehr tief. Kurz vor dem An- fang des Schnabels befinden sich zwei rundliche Höcker, welche wohl zur Lebergegend zu rechnen sind. Der vordere und hintere Theil der Magen- region ist deutlicher als der mittlere. In der Mitte der etwas geschweiften, vorderen Querfurche ist ein Porenpaar sichtbar. Die hintere Querfurche läuft in der Mitte gegen den Hinterrand des Cephalothorax hin. Die Herzbe- grenzung besitzt die gewöhnliche fünfeckige Form mit drei in ein Dreieck gestellten Wärzchen in der Mitte. Die ganze Schale ist mit Wärzchen be- deckt, welche in der unteren Hälfte des Rückenschildes etwas gedrängter stehen, als in der oberen. Der Hinterrand des Cephalothorax besitzt in der Mitte einen kleinen Ausschnitt und wird von einem schmalen, glatten Saum eingefasst. Vergleiche und Bemerkungen. Prosopon marginatum besitzt von sämmt- lichen Prosoponiden den weitesten Verbreitungsbezirk. Untersuchte Stücke: 35. Vorkommen: Koniakau, Kotzobenz, Ignatziberg, Stramberg, Tierlitzko, Wil- lamowitz, Wischlitz. Ausserdem im Tithon von Sieilien und im Oerlinger Thal. Prosopon. 65 Prosopon ovale n. sp. Taf. VI Fig. 16. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 11 mm. ; jreite „ la — 9 mm. Das Rückenschild ist von ovaler Form, mit einem stark gekrümmten Schnabel versehen. Direet hinter dem Schnabel liegen zwei kleine, zur Leber- gegend gehörige Höcker. Die kleine, dreieckige Magenbegrenzung ist nur sanz schwach ausgeprägt. Von den beiden Querfurchen ist die vordere tief eingeschnitten, die hintere Querfurche dagegen nur seitlich scharf markitt. Die länglich dreieckige Herzgegend befindet sich zwischen zwei Wülsten. Drei undeutliche Warzen sind in der Herzregion bemerkbar. Der fast ganz gerade Hinterrand des Rückenschildes wird von einer schmalen, glatten Furche umsäumt. Der Steinkern lässt auf seiner Oberfläche nur ganz un- deutliche Wärzchen erkennen. Vergleiche und Bemerkungen. Prosopon ovale ‚erinnert etwas an Prosopon angustum Reuss, ist aber nicht so schmal, sondern mehr rundlich. Untersuchte Stücke: 1. Vorkommen: Stanislowitz. Prosopon Hoheneggeri n. sp. Taf. VI Fig. 18, Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes —= 9 mm. en Breite „ ey — 28mm: Der Cephalothorax dieser Species bekommt dadurch, dass die Länge und Breite fast gleich sind, ein rundliches Aussehen. Der schwach gebogene Schnabel ist kurz, dreieckig, vorn etwas zugespitzt. Von der Magenbegren- zung ist nur der hintere Theil und die vorderste Spitze deutlich, die mittlere Parthie dagegen ist etwas verschwommen. Beide Querfurchen sind sehr nahe zusammengerückt, sie gehen seitlich stark in die Höhe. Die sehr verwischte Herzregion stellt ein Dreieck dar, mit einer Spitze nach dem Hinterrand des Rückenschildes gekehrt. Die hintere Abtheilung des Rücken- schildes wird durch eine kleine Längsfurche in zwei Hälften getheilt. Der Cephalothorax besitzt hinten einen kleinen, aber deutlichen Ausschnitt. Die Schale ist mit vielen kleinen, flachen Wärzchen bedeckt, welche in der hin- teren Hälfte des Rückenschildes deutlicher hervortreten, als in der vorderen. Untersuchte Stücke: 3. Vorkommen: Koniakau, Stramberg, Willamowitz. oO Palaeontologische Mittheilungen, Band 3, 66 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. Prosopon latum n. sp. Taf. VI Fig. 20. Dimensionen: (Grösste Länge des Rückenschildes = 7 mm. > Breite „ 2 — 9 mm. Bei dieser Species ist das Rückenschild nicht unbedeutend breiter als lang. Der Stirnfortsatz besteht aus einem gebogenen, (dreieckigen Schnabel, welcher vorn zugespitzt ist. Von der Magenbegrenzung ist nur die hintere Parthie und die vorderste Spitze angedeutet. Auf dem hinteren, etwas ge- kerbten Theil der Magenbegrenzung befinden sich zwei längliche, rauhe Felder. Auf der paarigen Lebergegend, unweit des Stirnrandes, kommt je eine kleine, ringförmige Vertiefung zum Vorschein. Der Cephalothorax lässt nur eine deutliche Querfurche erkennen, welche sich etwas oberhalb der Mitte des Rückenschildes befindet und seitlich sanft gebogen ist. Zu beiden Seiten der breiten, fünfeckigen Herzregion befindet sich je eine kleine, rund- liche Vertiefung. Hinten ist der Cephalothorax in der Mitte scharf ausge- schnitten. Der Steinkern weist auf seiner Oberfläche undeutlich verschiedene kauhigkeiten auf. Vergleiche und Bemerkungen. Prosopon latum unterscheidet sich von sämmtlichen übrigen Prosoponiden dadurch, dass das Rückenschild nur eine deutliche Querfurche besitzt. Es zerfällt daher der Cephalothorax anstatt in drei Abtheilungen nur in zwei. Untersuchte Stücke: 1. Vorkommen: Koniakau. Prosopon complanatiforme n. sp. Tat. vIeRio31): Dimensionen: Grösste Länge des hückenschildes — 10 mm. n Breite „ “ — Der in der Mitte sehr breite Cephalothorax verschmälert sich vorn und hinten. Der gekrümmte Schnabel ist ausserordentlich breit, er wird durch eine kleine mediane Rinne im zwei rundliche Lappen getheilt. Von der Magengegend ist lediglich nur das vordere, schmale Ende zu erkennen. Die vordere deutliche Querfurche bildet genau im Centrum des Rücken- schildes einen kleinen Bogen, seitlich geht sie dann in je eine längere, etwas geschweifte Furche über. Die hintere (@Querfurche ist nur an den Seiten des Cephalothorax eingeschnitten, in der Mitte wird sie dagegen ganz unsichtbar. Die Herzregion besitzt die Form eines verhältnissmässig sehr grossen Fünfecks, jedoch sind die äusseren Begrenzungsfurchen nur äusserst schwach ausgeprägt. Der Hinterrand des Rückenschildes besitzt in der Prosopon. 67 Mitte einen kleinen, scharfen Ausschnitt, umsäumt von einer schmalen, glatten Furche. Die Schale ist gleichmässig mit eimer Menge kleiner, runder Grübchen bedeckt. Die Seitenränder besitzen in der oberen Hälfte des Rückenschildes je zwei lappenartige Vorsprünge. Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species ist in ihrer äusseren Form Prosopon complanatum sehr ähnlich; die Verzierung des Rückenschildes und der Verlauf der Querfurche sind jedoch anders. Untersuchte Stücke: 1. Vorkommen: Kotzobenz. Prosopon complanatum R&uss. Dimensionen: (srösste Länge des Rückenschildes = 15 mm. " Breite „ - — 15 mm. Bei dieser Species erhält das Rückenschild dadurch, dass Länge und Breite gleich sind, eine rundliche Form. Der gekrümmte, dreieckige Schnabel ist recht kurz. Die Augenhöhlen sind lang und äusserst schmal. Auf der hinteren Parthie der ganz undeutlichen Magenbegrenzung, gleich vor der ersten Querfurche, befinden sich zwei längliche, rauhe Felder und vor diesen wieder zwei kleine, glatte Erhebungen. Die beiden Querfurchen sind eigent- lich nur seitlich tiefer eingeschnitten, in der Mitte wird besonders die hintere (Querfurche fast ganz unsichtbar. Die Herzregion ist sehr verschwommen, jedoch lassen sich in ihrer Mitte vier kreuzförmig gestellte Wärzchen er- kennen. Ausserdem sind noch verschiedene andere Wärzchen und Rauhig- keiten auf der Oberfläche der Steinkerne unregelmässig vertheilt. Der Aus- schnitt des Hinterrandes des Cephalothorax ist ziemlich scharf, er wird von einem schmalen, glatten Saum begrenzt. Untersuchte Stücke: 17. Vorkommen: Tierlitzko, Willamowitz, Wischlitz. Prosopon grande H. v. Meyer. Taf. VI Fig. 21. Dimensionen: (srösste Länge des Rückenschildes = 34 mm. Breite . = —733Imm: D) Diese Species verdient mit Recht ihren Namen, denn sie ist der Riese unter den Prosoponiden. Das breite hückenschild ist nach vorn etwas ge- wölbt. Gleich vor Beginn des gebogenen, dreieckigen Schnabels befinden sich zwei starke, rundliche Höcker, welche noch der Lebergegend angehören. Von der Magenregion ist eigentlich nur das schmale Vorderende deutlich zu sehen. Auf der hinteren Parthie der Magenbegrenzung befinden sich bei 68 Die Crustaceen der Stramberger Schichten. den Steimnkernen meistens zwei längliche, rauhe Erhebungen. Die beiden tief eingeschnittenen Querfurchen sind seitlich sanft gebogen, die vordere weist im ihrer Mitte ein kleines Porenpaar auf. Die Herzbegrenzung stellt ein breites Pentagon dar, mit drei Wärzchen in der Mitte, welche ein Dreieck bilden. Da wo die Schale noch erhalten ist, lassen sich auf der mittleren Parthie des Rückenschildes eine Menge kleiner, runder Grübchen erkennen, welche wahrscheinlich früher mit kleinen Borsten besetzt waren. Die seit- lichen Parthien des Cephalothorax dagegen waren mit kleinen Wärzchen verziert. Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species zeichnet sich hauptsächlich vor den übrigen Prosoponiden durch ihre bedeutende Grösse aus; allerdings gibt es auch kleinere Exemplare, welche aber jedenfalls als junge Individuen zu betrachten sind. Untersuchte Stücke: 18. Vorkommen: Kotzobenz, Stramberg, Willamowitz. Ferner im Oerlinger Thal. Prosopon bidentatum Reuss. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 14 mm. 5 Breite „, h — 6) suniik Der Cephalothorax ist etwas breiter als lang, wobei die grösste Breite in die vordere Hälfte fällt. Der Stirnfortsatz ist stark gebogen, vorn etwas abgestutzt, und in der Mitte von emer kleinen Längsfurche tief einge- schnitten. Die Seitenränder sind in der oberen Abtheilung des Rücken- schildes je mit zwei scharfen Zacken versehen. Die Magengegend ist im ganzen recht deutlich, ihr Vorderende reicht bis zu den zwei kleinen, rund- lichen Höckeru der Lebergegend. Die erste Querfurche, welche sich etwa in der Mitte des Rückenschildes befindet, geht seitlich in sanftem Bogen etwas in die Höhe. Die fünfeckige Herzregion ist gegen den Hinterrand des Cephalothorax stark zugespitzt, sie lässt in ihrer Mitte ziemlich undeut- lich drei Wärzchen erkennen. Die hintere Abtheilung des Rückenschildes ist durch eine kleine, von der Mitte des Hinterrandes ausgehende Längs- furche in zwei Hälften getheilt. Hinten endigt der Cephalothorax mit einem kleinen, scharfen Ausschnitt. Die gesammte Oberfläche der Schale ist gleichmässig mit ovalen Erhabenheiten verziert, die in langen Reihen ange- ordnet sind und sämmtlich je ein kleines Grübchen tragen. Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species lässt sich leicht durch die eigenthümliche Verzierung des Rückenschildes von den übrigen Prosoponiden unterscheiden. Untersuchte Stücke: 25. Vorkommen: Ignatziberg, Kotzobenz, Stramberg, Willamowitz, Wischlitz. Ausserdem Semmelberg bei Ernstbrunn. Prosopon. 69 Prosopon polyodon Russ. Dimensionen: Grösste Länge des Rückenschildes = 21 mm. e; Breite „ — E>lem® Diese Art besitzt eim Rückenschild von ausgesprochen sechsseitiger Form. Der dreieckige, etwas gekrümmte Schnabel ist ziemlich kurz. An den Seitenrändern des Cephalothorax befinden sich schwache, in die Höhe gerichtete Zähne. Die gut markirte Magenregion reicht weit nach vorn, auf ihrer hinteren, etwas gekerbten Parthie befinden sich zwei rauhe Felder. Die erste Querfurche ist besonders seitlich tief eingeschnitten, sie weist in ihrer Mitte zwei kleine Poren auf. Die dreieckige Herzregion ist mit einer Spitze nach dem Hinterrand gekehrt, sie lässt in ihrer Mitte drei kräftige Warzen sehen. Die letzte Abtheilung des Rückenschildes zerfällt durch eine kleine, mediane Längsfurche in zwei gleiche Hälften. Der kleine Ausschnitt am Ende des Rückenschildes ist mit einem schmalen, glatten Saum ver- sehen. Die Steinkerne sind mit theils grösseren, theils kleineren Warzen bedeckt. Vergleiche und Bemerkungen. Diese Species nähert sich in ihrem ganzen Habitus am meisten der aus der Kreide stammenden Gattung Dromiopsis. Untersuchte Stücke: 3. Vorkommen: Stramberg, Kotzobenz, Mischlowitz. Schlussbemerkungen. Wenn man die geologische Verbreitung der Prosoponiden ins Auge fasst, so findet man, dass, abgesehen von zwei Species, von welchen die eine im Dogger, die andere jm Neocom vorkommt, sämmtliche übrigen Arten im oberen Weissen Jura, resp. im Tithon zu Hause sind. Weitaus die meisten jurassischen Arten hat das in Schwaben gelegene Oerlinger Thal geliefert. Mit letzterer Localität haben nun die Stramberger Schiehten 5 Arten gemein. Ausserdem kommt noch eine Art im Tithon von Sieilien und eine andere bei Ernstbrunn vor, welche sich auch in den Stramberger Schichten wiederfinden. Es sind dies folgende: ‚Semmel- | x esse berg Sieilien | linger bei | Thal | Evnst- brunn | Sn N 1. | Prosopon oxythyreiforme GEmm. . . SF — = 2. 2 paradoxum H. v. Meyer . — + — a | 5 ornatum H. v. Meyer . . — + == 4. | - punctatum H. v. Meyer . _ + _ 5. FA marginatum H. v. MEyEr . + + - 6. 5 grande H. v. Meyer . . . _ + _ | > bidentatum Reuss . . . . — = Sr | | 2 B} | 1 | Wie aus dieser Tabelle hervorgeht, sind es vor allem die Prosoponiden aus den Kalken des Oerlinger Thals, mit welchen die entsprechenden Cru- staceen aus den Stramberger Schichten am meisten übereinstimmen. Diese Kalke, aus welchen die Oerlinger Prosoponiden herrühren, ge- hören dem Weissen Jura e QuExstepr's an; demselben Horizont also, zu welchem die Korallenkalke von Nattheim gerechnet werden. Es liefern die Stramberger Prosoponiden somit dasselbe Resultat, welches Bönm bei Bearbeitung der Stramberger Bivalven gewonnen hat. Schlussbemerkungen. 71 Nach Bönm sind es neben Kelheim und Valfin vor allem die Korallenkalke von Nattheim, welche in ihrer Fauna mit den Stramberger Schichten die grösste Uebereinstimmung besitzen. Genauere geologische Schlussfolgerungen erlauben die Stramberger Prosoponiden leider nicht, da die entsprechenden Ueberreste aus dem fränkischen und französischen Jura, welche zum Ver- gleich noch in Betracht kämen, bis jetzt noch zu ungenügend bekannt sind. Es bestätigt aber auch das Vorkommen der Prosoponiden den aus anderen Thiergruppen geschlossenen oberjurassischen Charakter der Stram- berger Schichten. Da sich jedoch nicht einmal ein Viertheil der in letzteren Schichten vorkommenden Prosoponiden auch im ausseralpinen Jura wieder- findet, die weitaus grössere Anzahl von Arten vielmehr auf die Stramberger Kalke beschränkt ist, so zeigt sich auch hierin die geologische und fauni- stische Selbständigkeit derselben. Zum Schlusse füge ich noch eine Tabelle bei, welche sämmtliche von mir beschriebenen Arten und ihre Fundorte enthält. S Sonstige | Sogen. = 3 3 = | Fundorte ı ältere Sonstige slej8|= | Er: | Tithon- Fund 4 S| E IS S || Stramberger Safs unruze a sjElsje|) Kalke | Ordnung: Decapoda. | A. Macrura. | ı Fam.: Thalassinidae. | IalGebiasdungne sper se ul | B. Anomura. | | Fam.: Galatheidae. I | | | .\ Galathea eutecta n.sp.. . — — — | — + Mischlowitz 2 3. Galathea Zitteli n. sp... \— — — — +| j 4. | Galathea acutirostris n.sp. + — + SE SF | a 5. Galathea antiqua n. sp. . — — — — — | Mosty,Misch-| 2 RS 6. | Galathea Meyerin.sp.. . — — + — = lowitz. 7. Galathea verrucosa n. sp. . — — —\—| C. Brachyura. | a) Dromiacea. | Fam.: Prosoponidae. 8. Oxythyreus gibbus Reuss . ++ 9. | Prosopon oxythyreiforme | | ; GEMM. . 2.0.0. = uloelal: Sieilien 10. | Prosopon heraldicum n. sp. — + + + — 11. | Prosopon paradoxum | [Pa]: H. v. Meyer . . „1-1 + Öerlinger Thal 12. Prosopon longum n.sp.. . — 0 | | 79 Schlussbemerkungen. % urtzsie= Sl TTENTIET TER IACWTEREEE 7 S | Sonstige | Sogen en "=|s| | . = e| | D E- “ s 31|5|21 Fundorte ältere Sonstige =|<| 8212 der Till : 2 |.3|8 Sa ithon- T » saz=|S| 2 Stramberger der Fundorte 2 [=} om r = < alSıE|lSs IF Kalke Stufe 13. | Prosopon ornatum | | H. v. Meyer . . .' + — +1 |) Oerlinger Thal 14. | Prosopon mirum n. Sp... » — — — | 15. | Prosopon angustum Reuss + + ++ + 16. Prosopon punctatum eMail Racziechow Öerlinger Thal 17. | Prosopon verrucosum Reuss + — + + + Raeziechow, 2 EN: Ignatziberg 18. | Prosopon Fraasin.sp.. . — — + _ 19. | Prosopon pustulosum Reuss — — + + — Tierlitzko 20. | Prosopon marginatum a Ignatziberg, | seili Aalen, | H. v. Meyer-. . „+ —/+| 7/1 Tierlitzko in sen Oerlinger Thal 21. Prosopon ovale n. Sp. . . — — — — — Stanislowitz | 22. Prosopon Hoheneggerin.sp. =|lerlası- 23. | Prosopon latum n. sp... „|| + ||| 24. | Prosopon complanatiforme| | 2. SD 2.2.2.0. |+|— 25. Prosopon complanatum fa 101 8 Reuss . . .. .— —|+[— + Tierlitzko 26. | Prosopon grande H.v.Meyer — — + + = Öerlinger Thal 27. | Prosopon bidentatum Reuss + — + + + Ignatziberg Semmelberg 28. | Prosopon polyodon Reuss + — — + — Mischlowitz | Palaeontologische Studien über die Grenzschichten der Jura- und Kreide-Formation im Gebiete der Karpathen, Alpen und Apenninen. Siebente Abtheilung. Die Korallen der Stramberger Schichten von Maria M. Ogilvie Dr. Sc. (Lond.) Mit Tafel VO—XVII. — Stuttgart. E. Schweizerbart'sche Verlagshandlung (E. Koch.) 1896. 1897. i 1 v i TER ER h Jill) TREE LERNT ALT N SEN 1 \ f 4 , N LE 2 ‘ 131 sr sv 1 A ZER N alt 9} fü $ Druck von Carl Hammer in Stuttgart. Vorwort. Die vorliegende Arbeit bildet eine Fortsetzung der „Palaeontologischen Studien“ v. Zırrer's „Ueber die Grenzschichten der Jura- und Kreide-Formation im Gebiete der Karpathen, Alpen und Apenninen“. Sie schliesst sich als 7. Abtheilung an die bisherigen Arbeiten v. Zırrkn’s (über die Cephalopoden und Gastropoden), Böum’s (über die Bivalven), Corrzau’s (über die Echi- niden) und MÖRIcKE's (über die Crustaceen) an und enthält eine Monographie der Korallen der Stramberger Schichten. Ich ergreife diese Gelegenheit, um meiner Erkenntlichkeit Ausdruck zu geben für die unablässige Ermunterung, welche mir während eines fast vier- jährigen Aufenthaltes im Münchener palaeontologischen Institut zu Theil wurde. In erster Linie habe ich meinen Dank darzubringen Herrn Professor von ZirterL, welcher Alles was in seinen Kräften stand that, um meine Studien zu fördern. Auf seine Veranlassung unternahm ich die Untersuchung der Stramberger Korallen und durch seine Güte hatte ich den unschätzbaren Vorzug, die literarischen Hilfsmittel und die reiche Korallensammlung des palaeontologischen Museums unumschränkt benutzen zu dürfen, Herr Magister E. Prarz gewährte mir in liebenswürdigster Weise Ein- blick in seine Literatur-Notizen über Korallen und in die von ihm angelegten Listen fossiler Korallen-Genera und Species. Zu besonderem Dank bin ich Herrn Dr. ScHÄrer, Custos an der palaeon- tologischen Sammlung, verpflichtet; er besorgte die Uebersetzung meines Manuskriptes aus dem Englischen ins Deutsche, mit Ausnahme einiger Species- IV Vorwort. Beschreibungen, welche Fräulein Rieger aus Darmstadt ins Deutsche übertrug. Da Herr Dr. SchÄrer mit Korallen und Korallenliteratur vertraut ist, so war dies für die Klarheit und Präcision des Ausdrucks von hohem Werth. Das bearbeitete Korallenmaterial ist zum grössten Theil Eigenthum des Münchener palaeontologischen Museum. Eine Anzahl von Exemplaren wurden ınir auf mein Ansuchen von den Vorständen der Museen in Berlin und Wien anvertraut, wofür ich denselben hiermit meinen ergebensten Dank ausspreche. Die systematischen Ergebnisse meiner Studien über fossile und recente Korallen sind in einer besonderen, nach Abschluss der vorliegenden Mono- graphie veröffentlichten Abhandlung (Microscopie and Systematie Study of Madreporarian Types of Corals. Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896. vol. 187) niedergelegt und näher begründet. München, im Juni 1895. M. M. Ogilvie. I. Bemerkungen über die feinere Struktur des Korallen- Skeletes und dessen Bedeutung für die Systematik. A. Aufhebung der Gruppen Tetracoralla u. Hexacoralla (Havcxen), sowie der Gruppen Aporosa u. Perforata (Miusw Eowaros). In den nachstehenden einleitenden Bemerkungen sollen die Resultate von Untersuchungen über die feinere Struktur und die Bedeutung der Anord- nung der einzelnen Skeletelemente für die Systematik kurz erörtert werden. Ich theile im Folgenden die Resultate meiner Untersuchungen nur so weit mit, als es zur Begründung der von mir im System der Madreporarier vorgenommenen Aenderungen nöthig erscheint, da ich bereits bei Bearbeitung der Stramberger Korallenfauna diese Aenderungen im System berücksichtigt habe. Eine eingehende Darstellung meiner Untersuchungen und der sich daraus ergebenden Schlussfolgerungen erfolgt an anderem Orte (Phil. Trans. Roy. Soc. London 1896); ich habe jedoch in der Monographie der Stram- berger Korallen auf jene Arbeit des öfteren Bezug genommen. Bekanntlich haben Mıtne EpwArps und Haımz die Madreporarier oder Steinkorallen in die Gruppen der Aporosen, der Perforaten, der Rugosen, der Tabulaten und der Tubulosen eingetheilt. Später führte HAEckEL, bezug- nehmend auf die tetramere resp. hexamere Symmetrie im Kelch für die Ru- sosen den Namen Tetrakorallen und für die Aporosen und Perforaten den Namen Hexakorallen ein. Im Jahre 1869 hatte KuntrH' für die meisten Rugosen ein Gesetz fest- gestellt, nach welchem sich die Septen im Kelch einschieben. Diese Ein- schiebung erfolgt fiederstellig und paarig zum Hauptseptum und zu den beiden 1 Zeitschr. d. Deutsch. geolog. Ges. 1869. Bd. 21. S. 647. Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 5* 74 Die Korallen der Stramberger Schichten. Seitensepten, während durch diese 3 Septen und durch das dem Hauptseptum gegenüberstehende Gegenseptum die tetramere Symmetrie hergestellt wird. Aus den Untersuchungen von lAcAzE-Dururers und KocH über die verschiedenen Entwicklungsstadien recenter Korallen geht hervor, dass sich bei verschiedenen Hexakorallen zwar die 12 ersten Septen gleichzeitig und in radiärer Anordnung einschieben, dass aber die zwischen den Septen ge- legenen Mesenterialfilamente paarig auftreten und zwar in einer Reihenfolge, die genau an das Kunt#'sche Einschiebungsgesetz erinnert. Es haben bereits mehrere Autoren darauf hingewiesen, dass dies die directe Abstammung der Tetrakorallen von den Hexakorallen wahrschemlich macht. ORrrMmann sagt treffend (Zoolog. Jahrbücher, Bd. IV. Abtheilung für Systematik etc. p. 570): „Die bilaterale Symmetrie wurde allmählich in ihrem Auftreten in der indi- viduellen Entwicklungsreihe auf die Jugendstadien zurückgedrängt und spricht sich schliesslich im Skelet gar nicht mehr, sondern nur noch in den ersten skeletlosen Embryonalstufen aus.“ Derselbe Autor hob auch schon hervor, dass, wenn man bei den sogenannten Hexakorallen überhaupt von einer Grund- zahl reden will, jedenfalls die 12-Zahl mehr Berechtigung hätte als die 6-Zahl. Schon früher waren aus der mesozoischen Periode, namentlich aus dem oberen Jura, einzelne Formen bekannt, von denen die Gattung Amphiastraea die wichtigste war, welche keinen radiären Bau der Septen zeigten. Gleich- wohl wurden sie zu den Astraeiden gestellt. Später hat dann Kogyr noch eine ganze Anzahl hieher gehöriger und zum Theil neuer Formen beschrieben und dieselben als eine besondere Gruppe der Rugosen betrachtet. Solche Formen sind auch in der Stramberger Korallenfauna sehr häufig und für sie charakteristisch. Bei dieser Gruppe ist der Septalbau zwar bilateral, aber die Septen sind nicht fiederstellig angeordnet. Deshalb kann ich diese Formen weder zu den Zaphrentiden noch zu den Cyathophylliden stellen, sondern betrachte dieselben als eine selbständige und gleichwerthige Familie Amphia- straeidae, die von der palaeozoischen Periode bis zur Jetztzeit reicht. Wegen der Bilateralität des Septalbaues sind die Amphiastraeiden jedenfalls von den Zaphrentiden abzuleiten und haben zu den Cyathophylliden weniger Bezieh- ungen. Unter den gleichalterigen Familien, welche hauptsächlich Colonie- bildende Formen umfassen, haben die Amphiastraeiden die grösste Aehnlich- keit mit den Styliniden. Bekanntlich sind bei dieser Familie die Septen wenig zahlreich, an Länge regelmässig alternirend und nach der 6-, S-, 10- oder 12-Zahl angeordnet. Bei mehreren der Stramberger Styliniden konnte ich nun beobachten, dass sich die längeren Septen paarweise einschieben und zwar in derselben Reihenfolge, wie dies Kunra für die meisten Rugosen nach- gewiesen hatte. Die Septen sind hier aber nicht fiederstellig und auch nicht bilateral, sondern radiär angeordnet. Das verdient deshalb besondere Be- Aufhebung der Gruppen Tetracoralla und Hexacoralla. 75 achtung, weil die Styliniden somit ein Uebergangsstadium repräsentiren zwi- schen den typischen Rugosen mit bilateral und fiederstellig angeordneten Septen und den meisten heute vorkommenden Korallen, bei welchen das Kunrte’sche Wachsthumsgesetz nur noch in der Einschiebung der Mesenterial- filamente ausgedrückt ist. Bei den Astraeiden, Fungiden und Eupsammiden, wo die Zahl der Septen eine sehr beträchtliche ist, konnte ich ein paarweises Einschieben der Septen nicht beobachten. Hier fand ich auch in jungen Kelchen schon eine ganze Anzahl gleichmässig entwickelter Septen vor. Es sind also hier Ver- hältnisse vorhanden, wie sie auch bei manchen Cyathophylliden vorkommen. Oyathophyllum heterophylloides Frec# z. B. besitzt im Embryonalkegel schon 12 bilateral-symmetrisch angeordnete Septen. Beim Weiterwachsthum werden dann die Septen sehr zahlreich und radiär. Im Allgemeinen kann man sagen, dass das paarweise Auftreten der Septen nur bei solchen Formen in der mesozoischen Periode noch deutlich ausgeprägt ist, die überhaupt keine grosse Septalzahl erreichen, während bei solchen Formen, wo sich die Septen stark vermehren, das paarweise Einschieben durch ein eyclisches Auftreten verdrängt wurde. Ueberhaupt muss man annehmen, wie dies bereits ORTMANN hervor- hob, dass die paarweise Einschiebung und die fiederstellige Anordnung der Septen das ursprüngliche Stadium ist und dass sich hieraus früher oder später bei den verschiedenen Gruppen erst die cyclische und radiäre Anord- nung der Septen entwickelte. Hinsichtlich der Einschiebung und der Anordnung der Septen lassen sich folgende Stadien unterscheiden: a) Paarige Einschiebung der Septen mit fiederstelliger Anordnung in Bezug auf ein Haupt- und 2 Seitensepten. b) Paarige Einschiebung der Septen und zwar noch in Bezug zu Haupt- und Seitensepten aber nicht mehr fiederstellige Anordnung derselben. e) Gleichzeitiges Einschieben von einer Anzahl Septalpaare, so dass 6, 8, 10 oder 12 einen ersten Cyclus von Septen bilden. Unter den Korallen, bei denen die ersten beiden Stadien vertreten sind, kommen sowohl solche Formen vor, bei welchen in ausgewachsenen Kelchen die Anordnung der Septen noch bilateral, als auch solche, bei welchen sie schon radiär geworden ist. Zum Beispiel: bilateral: radiär: „Stadium a.“ Zaphrentis. Streptelasma. n b.. Amphiastraea. Stylina. Unter den Repräsentanten des dritten Stadiums finden sich viele Ko- rallen, die in ihren Jugendkelchen noch bilaterale Symmetrie zeigen, während in ausgewachsenen Kelchen die Septen bereits radiär angeordnet sind (Oya- 76 Die Korallen der Stramberger Schichten. thophyllum pars, Frungia ete.). Weitaus die Mehrzahl der hieher gehörigen Korallen ist schon von Jugend an im Septalbau radiär. Es wäre hier noch hinzuzufügen, dass es namentlich in der Trias- und Juraperiode Gattungen giebt, bei welchen einzelne Arten oder auch nur ein- zelne Exemplare in ausgewachsenen Kelchen noch bilaterale Symmetrie zeigen, obwohl das eycelische Auftreten der Septen für die Gattung bereits gesetz- mässig geworden ist. Solche Gattungen sind Haplaraca, Epistreptophyllum, Stylophyllum, Montlivaltia und andere. Ich fasse solche Fälle nur als Ata- vismus auf. Aus dem bisher Gesagten geht schon hervor, dass die Eintheilung der Korallen in Tetra- und Hexakorallen nicht natürlich ist, da im Septalbau die Zahl 4 resp. 6 durchaus keine so wesentliche Rolle spielt. Man könnte eigentlich auch nur solche Rugosen mit Recht als ‚Tetrakorallen bezeichnen, bei welchen im ausgewachsenen Kelch noch Haupt- und Gegensepten, sowie die beiden Seitensepten nachzuweisen sind. Andererseits giebt es auch unter den verschiedensten Familien der sogenannten Hexakorallen Formen, deren Hauptsepten auch nach den Zahlen 8, 10, 12 oder überhaupt ganz unregel- mässie angeordnet sind. (Astrocoenia, Stephanocoenia, Stylina, Enallohelia, Madracis, Madrepora, Porites etc.). Wenn man überhaupt die palaeozoischen Korallen (die ehemaligen Ru- gosen) von den jüngeren scharf trennen wollte, so könnte man als Unter- scheidungsmerkmal nur den bilateralen resp. den radiären Bau der Septen hervorheben. Allein auch das wäre nicht durchzuführen, denn eine ganze Anzahl palaeozoischer Korallen, namentlich unter den Cyathophylliden besitzt yadiären Kelchbau und andererseits sind auch manche mesozoische und jüngere Korallen, namentlich die Amphiastraeiden, bilateral. Auch der Name Pterocorallia, den FrecH für den Namen Tetracoralla einführen wollte, erscheint mir, ganz abgesehen davon, dass durch diese Namensänderung die Gruppe selbst keine Aenderung erfuhr, nieht zweck- mässie, da durchaus nicht alle sogenannten Tetrakorallen fiederstellige An- ordnung der Septen zeigen, auch nicht immer im „Embryonalkegel.“ Meiner Ansicht nach, und im Laufe dieser Arbeit wird dies noch weiter auseinander gesetzt werden, besteht überhaupt nicht die scharfe Grenze zwischen den palaeozoischen und jüngeren Korallen, wie dies gewöhnlich angenommen wird. Im Silur und Devon finden wir bereits neben Formen mit ausgesprochen bilateralem und tetrameren Bau und fiederstelliger Anordnung der Septen, wie Zaphrentis und deren Verwandte, solche Formen wie O'yathophyllum oder Phillipsastraea, bei welchen die Bilateralität nicht mehr nachzuweisen ist und wo die Septen radiär gebaut sind. Diese letztere Gruppe von Korallen ge- winnt in jüngeren Zeitperioden mehr und mehr die Oberhand gegenüber den Korallen, die noch Bilateralität des Septalbaues oder wenigstens Anklänge Aufhebung der Gruppen Tetracoralla und Hexacoralla. 77 derselben zeigen. Einzelne derartige Formen reichen bis in die Jetztzeit herein. Aus diesen Gründen halte ich es für zweckmässiger die Eintheilung in Tetrakorallen und Hexakorallen überhaupt fallen zu lassen. Auch die frühere Eintheilung der Hexakorallen in Aporosa und Perforata erwies sich durch die im Laufe der Zeit vorgenommenen Untersuchungen als immer weniger zu- treffend. So hat es sich z. B. herausgestellt, dass die Madreporinae und Eupsamminae, welche MıuLne EpwaArps und HaımeE als Madreporidae zu den Perforaten gestellt hatten, viel mehr Verwandtschaft mit gewissen Aporosen besitzen. Es haben die Madreporinae sehr enge Beziehungen zu den Stylo- phorinae und Pocilloporinae, während die Eupsamminae sich nahe an die Frunginae anschliessen. Aus diesen Gründen habe ich auch die Eintheilung der Hexakoralla in Perforata und Aporosa fallen gelassen und theile die Madreporaria (Stein- korallen) nur in eine Anzahl gleichwerthiger Familien ein. Diese Familien sind die Zaphrentidae, COyathophyllidae, Amphiastraeidae, die Turbinolidae (mit den Unterfamilien Turbinolinae, Trochocyathinae, Trochosmilinae), ferner die Familie der Oculinidae, der Poeilloporidae (Unterfamilien Poeilloporinae, Seriatoporinae, Stylophorinae), die Madreporidae (mit den Unterfamilien der Madreporinae, Turbinarinae und Alweoporinae), die Stylinidae, die Astraeidae, die Fungidae (mit den Unterfamilien Funginae, Lophoserinae, Thamnastraeinae), ferner die Eupsammidae, die Archaeoeyathidae und die Poritidae. Die Diagnosen und die Abgrenzung der einzelnen Familien wurde, soweit sie für die Stramberger Fauna in Betracht kam, unten besprochen. Ueber die übrigen Familien sind eimgehendere Mittheilungen in meimer bereits er- wähnten, in den „Philosophical Transactions“ erscheinenden Abhandlung ent- halten. Die von mir vorgeschlagenen Aenderungen im System der Madreporarier sind auf genaueres Studium der einzelnen Skeletelemente und ihrer gegen- seitigen Anordnung begründet. Bereits im den 80er Jahren erschienen eine Reihe zoologischer Arbeiten von Koch, HEIDER, FOWLER, BOURNE und anderen, die sich auch eingehend mit dem Verhältnisse zwischen den Weichtheilen und dem Skelet einiger Korallen beschäftigten. Ich habe nun unter Be- rücksichtigung der aus dem Studium der Weichtheile gewonnenen Resultate noch eine Reihe anderer recenter Korallen mikroskopisch untersucht, um auch für das genauere Studium der Skelettheile fossiler Korallen weitere Anhalts- punkte zu gewinnen. Einzelne Zoologen haben auch bereits hervorgehoben, dass eine bessere Erkenntniss der natürlichen Beziehungen der verschiedenen Korallen nur unter genauerer Berücksichtigung der feineren Struktur der Hartgebilde möglich ist. BouURNE, der genaue anatomische Studien über Fungia, Mussa, Euphyllia und andere gemacht hat und auch noch die Skeletelemente 78 Die Korallen der Stramberger Schichten. anderer Korallen in den Kreis seiner Betrachtungen gezogen hat, gelangte zu der Ansicht, dass man den Werth des Studiums der Weichtheile allein für eine Verbesserung der Systematik nicht allzu hoch anschlagen dürfe. Er sagt dann weiter noch: „Die bisher untersuchten Formen zeigen (in Bezug auf die Struktur der Weichtheile), auffallend wenig Verschiedenheit. Ich glaube deshalb, dass eine Umgestaltung der Systematik nur auf Grund eines viel genaueren, eingehenderen Studiums der Harttheile, als dies bisher ver- sucht wurde, möglich sein wird.“ (Quart. Journ. Mierose. Se. 1888. Vol. XXVII. pag. 45). B. Verkalkung der Calicoblasten; Wachsthumslamellen ; Fascikel ; Trabekel; Dunkle Linie. Folgende recente und fossile "Korallen wurden von mir untersucht: Galaxea, Mussa, Heliastraea, Goniastraea, Montlivaltia, Thecosmilia, Fungia, Siderastraea, Thamnastraea, Haplaraea, Stylophyllum, Kupsammia, Turbinaria, Actinacis, Madrepora und Porites. Dieselben sind in meiner mehrfach er- wähnten Abhandlung genauer behandelt. Dort habe ich auch die Beziehungen der Weichtheile zu den Harttheilen besonders hervorgehoben. Hier sei nur erwähnt, dass nach meinen Beobachtungen die Calicoblasten-Zellen des Ekto- derms selbst verkalken, wie dies schon HEIDEr gefunden hatte und dass sie nicht ausserhalb Kalk ausscheiden, wie dies Koch, FowrLEer und BourNE im Gegensatz zu HEıper behaupten. Ferner wurde von mir gezeigt, dass das eanze Korallenskelet aus verkalkten Calicoblasten aufgebaut wurde. Das Ektoderm enthält naturgemäss nur da Calicoblastenzellen, wo die Weichtheile mit dem Skelet in Berührung sind. Da nun die Weichtheile der Korallen auf die Hartgebilde so zu sagen nur aufgestülpt sind, befinden sich die Skelettheile ausser- und unterhalb der aboralen Ektodermschicht, welche von den Traversen, resp. basalen Gebilden in die Höhe steigt und die Septen allseitig überzieht, soweit sich die Septen über die oberste Traversenlage erheben. Auch an der Innenseite der Mauer steigt die Ektodermschicht in die Höhe, legt sich über den Kelchrand und reicht dann, bei Einzelkorallen die Aussenseite der Mauer, sowie die Costen überziehend, meist ein Stück weit hinab. Hier bieet sodann die Ektodermschicht um, und steigt als so- genannte orale Schicht in die Höhe, um in die Mundscheibe überzugehen. Von der Umbiegungsstelle an fehlen die Calicoblasten. An derselben bildet sich bei einfachen Formen die Epithek. Bei coloniebildenden Formen geht die skeletbildende aborale Schicht continuirlich von einem Kelch bis zum nächsten. Verkalkung der Calicoblasten etc. 79 In der oben angeführten Arbeit ist nun von mir gezeigt, wie die aus der Verkalkung hervorgegangenen Schuppen seitlich eng zusammenhängen und Kalklamellen von der Dicke einer Calicoblastenzelle bilden. Aus dem oben Gesagten geht ferner hervor, dass diese Lamellen genau dieselbe Lage und den Verlauf haben, wie die aborale Ektodermschicht. Während des weiteren Höhenwachsthums der Koralle lagert sich Lamelle auf Lamelle ab und jede neue Lamelle greift in den unteren Theilen der Koralle, wo keine Verkalkung mehr stattfindet, dachziegelförmig über die vorhergebildete über. Jede solche Lamelle nenne ich Wachsthumslamelle. Da nun die Aragonit- fasern in den übereinander liegenden Lamellen alle gleich orientirt und um bestimmte Caleificationscentren gruppirt sind, sieht man bei mikroskopischen Untersuchungen, dass von diesen Calificationscentren Faserbündel ausstrahlen, welche scheinbar continuirlich die Lamellen bis zur Oberfläche durchsetzen. Solche Faserbündel nenne ich Faseikel und die Anordnung derselben in den verschiedenen Skelettheilen, namentlich in den Septen ist eines der wichtig- sten systematischen Merkmale. An eben gebildeten Skelettheilen sieht man an den Lamellen noch Ueberreste der organischen Substanz der ursprüng- lichen Calicoblastenzellen. Dieselben zersetzen sich weiter und hinterlassen kohlige Partikelchen. Da wo die Calcification am raschesten und energischsten vor sich geht, sind die Calicoblastenzellen am grössten * und bei der Rasch- heit der Verkalkung bleibt verhältnissmässig mehr wunverkalkte organische Substanz übrig, die dann nach der Zersetzung auch mehr kohlige Partikelchen hinterlässt. Solche Stellen energischer Kalkablagerung befinden sich am Ober- rand der Septen und der Mauer, da wo die Ektodermschicht sich über die- selbe faltet. Dem entsprechend finden sich in der Median-Ebene der Septen und der Mauer dunkle Punkte oder dunkle Striche. Bei fossilen Korallen findet man nicht selten diese Ueberreste zersetzter organischer Produete entfernt und andere, fremde Substanz an ihre Stelle gelagert. Ab und zu ist es auch nur zum Theil ausgefüllt oder stellenweise ganz leer. Es können sich manchmal auch mehr oder minder durchsichtige Kalksalze in diesen Spalten absetzen, die sich dann sehr scharf von der eigentlichen Faserstructur des Skeletes abheben. In den folgenden Ausführungen habe ich von den an recentem Material gemachten Beobachtungen hauptsächlich nur solche Erscheinungen berück- sichtigt, die für das Verständniss des hier behandelten fossilen Materials wichtig sind. Es wurde bereits erwähnt, dass die Verkalkung um die Calei- ficationscentren am Oberrand der Septen am energischsten vor sich geht, also da, wo sich die Ektodermschicht von einer Seitenfläche des Septums über den ! Das wurde schon von Fowter und von Bourne hervorgehoben. cf. z. B. Quart. Journ. Micr. Sc. Vol. 28 p.9. Fig. S (Fowrer bei Besprechung von Lophohohelia), ferner ibid. p. 25 (Bourne bei Besprechung von Mussa). 30 Die Korallen der Stramberger Schichten. Oberrand hinüber biegt zur anderen Seitenfläche, ausserdem findet aber auch noch an den Seitenflächen der Septen Kalkablagerung statt, wenn auch in geringerem Grade. Die Ektodermschicht, welche die Septen allseitig über- zieht, ist bei den verschiedenen Familien entweder glatt oder mehr oder minder gefaltet und mit Ausbuchtungen versehen. Da nun das Septum so zu sagen der genaue Ausguss dieser Ektodermhülle ist, sind die Septen dem- gemäss an der Oberfläche entweder glatt oder mit Streifen (Striae) und Er- habenheiten (Granulationen) versehen. Jede Ektodermfalte, in welcher sich auf der Seitenfläche des Septums eine Stria bildet, läuft am Oberrand des Septums in eine conische Erhöhung aus. An der Spitze solcher Erhöhungen ist die Caleification, wie bereits erwähnt, am energischsten. Da aber die Lage dieser Caleificationscentren während des ganzen Wachsthums der Koralle am höchsten Punkt der Ektodermfalten war, so findet man naturgemäss im Inneren eines jeden Streifen eine Reihe übereinander liegender Caleifications- centren. Von jedem Caleificationscentrum strahlt aber, wie bereits erwähnt, ein Fascikel von Fasern aus und man erhält dadurch innerhalb jeder Falte eine fortlaufende aufsteigende Reihe eng aneinander liegender Fascikel. Jeder Falte auf der einen Fläche des Septums entspricht eime gleiche und symme- tische auf der anderen Seite desselben Septums, in welcher die Fascikel in gleicher Weise angeordnet sind. Eine solche zweiseitige aufsteigende Fascikel- reihe, die sich innerhalb symmetrischer Ektodermfalten bildet, heisst ein Trabekel. Galaxea. Betrachten wir zunächst den Septalbau der recenten Galawea. Tafel VO, Fig. 1 stellt einen Querschliff durch einige Septen und die Mauer dar. In der Medianebene der Septen, resp. der Mauer sieht man die dunklen Punkte und Striche, die bereits oben erklärt wurden. Von diesen Punkten aus strahlen die Fasern gegen die Seitenflächen. Fig. 3 zeigt einen tangentialen, etwas schief gehenden Längsschnitt durch ein Septum, die Mauer und etwas Coenenchym. Hier sieht man gut, wie im Septum und in der Mauer die Fascikel von der (idealen) Axe des Trabekels abwechselnd nach beiden Seiten ausstrahlen. Fig. 4 ist ein ähnlicher Schliff. Es sind 2 Septen und die da- zwischen liegende Mauer tangential und längs geschnitten, nur geht hier der Schnitt sehr nahe der Oberfläche der Mauer. Die Septen zeigen dasselbe Bild wie in Fig. 3, während an der Stelle, welche die Mauer scheidet, nur dunkle Punkte von radiär ausstrahlenden Fasern umgeben, sichtbar sind. Das rührt (daher, dass die Fascikel-Axen sich nach Aussen zu mehr umbiegen und sich nahezu senkrecht gegen die Oberfläche stellen. Fig. 2 ist ein radiärer Längs- schliff durch ein Theil des Septums und das schwammige Säulchen. Auf der rechten Seite der Figur, d.i. gegen die Mauer zu, verläuft der Schliff mehr in der Medianebene, während er gegen links, d. i. gegen das Säulchen, mehr gegen die Oberfläche des Septums kommt. Man sieht hier die Richtung und gegen- Verkalkung der Calicoblasten etc. si seitige Lage der Trabekel, welche von einer (idealen) senkrechten Linie fächerförmig nach Aussen gegen die Mauer und nach Innen, gegen das Säulchen zu, gerichtet sind. Da die Anordnung dieser Divergenzzonen in der Systematik von Bedeutung ist, so nenne ich einen derartigen Trabekelfächer Divergenzfeld. In solchen Längsschliffen sieht man nicht mehr gut das Abzweieen der einzelnen Fascikel von der idealen Trabekelaxe, da eben die Axen der Fascikeln alle in Flächen liegen, die von der Trabekelaxe aus senk- recht gegen die Seitenflächen der Septen und damit also auch senkrecht zur Schnittfläche verlaufen. In Folge (dessen projieiren sich in einem solchen Längsschliff die Axen der Faseikel auf einander und zugleich auf die ideale Trabekelaxe. Weiter nach links dagegen, wo der Schliff nahe an die Ober- fläche kommt, schneidet er schliesslich die Axen der einzelnen Fascikel senk- recht, da sie sich senkrecht zur Oberfläche des Septums stellen, wie wir dies schon m Fig. 4 gesehen haben. Die Breite eines Trabekels beträgt bei Galawea in der Medianebene ca. 0,08 mm und die Dicke einer Wachsthumslamelle entspricht, wie erwähnt, der Dicke eines Calicoblasten. Die Mauer von Galaxea ist im Allgemeinen analog gebaut wie die Septen, nur liegen die Caleificationscentren nicht genau in der Median-Ebene, sondern sind etwas mehr gegen Innen zu gerückt. Eine derartige Mauer mit selbständigen Caleificationscentren nenne ich nach dem Vorgange ORTMANN’S eine ächte Mauer. Die Traversen sind nur einseitig gebaut, da die Ver- kalkung hier nur von unten nach oben stattfindet. Sie bestehen aus lauter schief nach oben gerichteten parallelen Kalkfasern. Man bemerkt, dass die Ueberreste zersetzter organischer Substanz auch hier an denjenigen Stellen mehr vorhanden sind, wo die Calification begann, «d. h. auf der Unterseite der Traversen. An Längsschliffen, parallel der Septaloberfläche, bemerkt man gekrümmte, über die Septalfläche ziehende Linien, welche parallel zum Oberrand des Septums verlaufen. In Figur 2 sind mehrere solcher Linien angedeutet. Diese Linien entsprechen Unterbrechungen im Wachsthum des Septums und ich bezeichne den zwischen 2 solchen Wachsthumscurven befindlichen Theil des Septums als Wachsthums-Segment und die Zeit, innerhalb welcher sich ein Wachsthums-Segment bildete, als Wachsthums-Periode. Bei Galaxea kann man auch an der Septaloberfläche beobachten, dass jedes Wachsthums-Segment mit einer Reihe nebeneinander stehender Granulationen besetzt ist. Im Uebrigen ist die Oberflächen-Skulptur der inneren feinen Struktur genau entsprechend. Eine divergirende Gruppe von erhabenen Streifen bezeichnet oberflächlich den Verlauf der Trabekeln. Die verschieden grossen und verschiedenförmigen Granulationen, die auf diesen Streifen reihenförmig angeordnet sind, deuten die äusseren Endigungen der Fascikel an. Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 6 83 Die Korallen der Stramberger Schichten. Thamnastraeinae. — Bekamntlich hat Prarz (Palaeontographica Bd. XXIX, 1882) eingehende Untersuchungen über die Septalstruktur und die verwandtschaftlichen Beziehungen einer Anzahl von Korallen- Gattungen ver- öffentlicht. Ich hatte die günstige Gelegenheit, die Prarz’schen Original- schliffe in München studiren zu können. Prarz beschreibt in seiner Arbeit auch die Trabekeln und ihre Anordnung ausführlich. Er spricht aber nur eimmal bei den Thamnastraeiden von Faserbündeln (l. e. p. 88): „An einigen Stellen wird die Anordnung der Kalkfasern zu Bündeln ziemlich deutlich und die Stellung der Bündel lässt darauf schliessen, dass dieselben den Hervor- ragungen (Knötchen) an den Trabekeln entsprechen.“ Es sind also auch bei den Thamnastraeiden die Trabekel aus Faserbündeln oder Fascikeln gebaut, welche an der Oberfläche der Trabekeln Knötchen oder Granulationen hervor- rufen. In diesem Punkte stimmen also die Trabekeln von Galaxea mit den Trabekeln der Thamnastraeiden überein. Während aber bei Galaxea in jeder Wachsthumsperiode nur zwei Fascikel ausstrahlen, nämlich je einer an jede Seitenfläche des Septums, ist dies bei den Thamnastraeiden nicht mehr der Fall. Prarz selbst sagt: „Die einzelnen Trabekeln bestehen aus einer oder mehreren Verticalreihen regelmässig auf- und übereinander stehender Knöt- chen, die sich zu verschiedenen regelmässigen Formen gruppiren.“ Eine Gruppirung der Fascikel zu einer regelmässigen Form ist eigentlich nur dann möglich, wenn mehrere Verticalreihen nebeneinander stehender Fascikel in einem Trabekel vorkommen. Da ich diese Verhältnisse im Folgenden öfter berühren muss, so nenne ich solche Trabekeln, die nur aus einer Reihe paarig angeordneter Fascikeln bestehen, einfache Trabekeln und solche Trabekeln, die aus mehreren Verticalreihen von Fascikeln bestehen, nenne ich zu- sammengesetzte Trabekeln. Nebenbei sei bemerkt, dass die Trabekeln durchaus nicht immer mit Knötchen besetzt zu sein brauchen, wie dies nach der Arbeit von Prarz fast der Fall zu sem schien, sondern dass sie auch glatt sem können. Dies kommt z. B. unter jurassischen Formen häufig bei den Amphiastraeiden und Turbinoliden vor. Auch an den Schliffen von PrAarz liessen sich die durch das Wachsthum hervorgerufenen Erscheinungen, wie Wachsthums-Segmente etc. beobachten. Am Septum von Cyelolites zum Beispiel sind die Grenzlinien der einzelnen Wachsthums-Segmente durch die mehr oder minder horizontal verlaufenden knotenartigen Verdickungen auf der Septalfläche angedeutet. Dementsprechend sieht man auch in den Längsschliften, dass in diesen horizontalen Linien die büschelförmig ausstrahlenden Faserbündel am breitesten sind, und dass zwischen hier und der nächstfolgenden Horizontalreihe von Fasern, eine Unterbrechung stattfindet. Ich nenne den Theil eines Trabekels, der die Höhe eines Wachs- thums-Segmentes umfasst, ein Trabekelglied. Bei den Thamnastraeiden treten die Wachsthums-Segmente besonders Verkalkung der Calicoblasten ete. 83 stark dadurch hervor, dass die knötchenartigen Hervorragungen am oberen Ende eines jeden Trabekelgliedes mit den benachbarten zu Horizontalleisten verwachsen. Es sind also die Wachsthums-Segmente nach oben und unten durch diese Leisten begrenzt. Bei den Thamnastraeiden verschmelzen aber nicht nur die knötchenartigen Hervorragungen der Trabekeln ein und des- selben Septums, sondern auch die Knötchen zweier gegenüber stehender Septen. Derartige Querverbindungen zwischen den Septen wurden von Prarz genau untersucht und von ihm unter dem Namen Pseudo-Synaptikel be- schrieben. Dieselben bestehen nur aus der Verlängerung und gegenseitigen Verschmelzung der aus der Septalfläche heraustretenden Fascikel. Fungia und Siderastraea. — Bekanntlich besitzt die recente Gattung Fungia auf den Seitenflächen der Septen Leisten und zwischen den Septen Synaptikeln, beides Erscheinangen, die auch für die ausgestorbene Gruppe der Thamnastraeinae charakteristisch sind. Taf. VII, Fig. 5 stellt einen tangen- tialen Längsschliff durch drei Septen von Fungia und die zwischenliegenden Synaptikel dar. Leider ist diese Figur auf der Tafel vom Zeichner falsch gestellt, (sie würde um 90° zu drehen sein). Es fällt sofort auf, dass die Faseikel hier buschförmig von der Medianebene der Septen ausstrahlen, wie dies auch bei der Thamnastraeinae der Fall ist, und dass der Oeffnungswinkel zwischen dem Caleifieationscentrum und den äussersten Aragonitfasern ein grösserer ist, als in den analogen Schnitten von Galaxea (Taf. VII, Fig. 3). Die einzelnen Trabekelglieder in Fungia sind wie bei den Thammastraeinae aus mehreren um die ideale Trabekelaxe gruppirten Fascikeln angeordnet. Auf Bruchflächen von Septen von Fungia sieht man ab und zu mit starker Lupenvergrösserung auf den Trabekeln 6—8 ziemlich parallel gerichtete Furchen, die den „Verticalreihen von Knötchen“ bei Oyelolites und anderen Thamnastraeinae entsprechen. Während aber bei den letzteren die Knötchen in regelmässigen Vertical-Abständen vorkommen und in der Septalebene die seitliche Berührung der einzelnen Trabekel hervorrufen, hat man in Fungia unregelmässig zerstreute Granulationen (Knötchen), und die nebeneinander stehenden Trabekel sind ihrer ganzen Länge nach in Berührung. So weit hinab als die Weichtheile die Seitenflächen der Septen ganz überziehen, sind die darunter liegenden Granulationen nicht sehr gross. Weiter unten bilden sich zwischen den Granulationen neue Calcificationscentren und neue Fascikel, welche gegenüberstehende Granulationen verbinden. Auf diese Art von Synaptikelverbindungen, an welchen neue Calecificationscentren Theil nehmen, beschränkte Prarz den Namen Synaptikel. Taf. VII, Fig. 8 zeigt einen ra- diären Längsschlift (parallel der Septal-Oberfläche). Das ganze Fungia-Septum besteht aus einem einzigen Divergenz-Feld, nur liegt bei Fungia die Divergenz- linie nicht vertical, sondern nahezu horizontal. Zum besseren Vergleich mit 6* 34 Die Korallen der Stramberger Schichten. anderen Septalschliffen wurde übrigens auf Taf. VII, Fig. 8 das Fıungia-Septum so gestellt, dass der Oberrand links von der Figur wäre, d. h. also die Diver- genzlinie wurde senkrecht gestellt wie dies bei den Korallen sonst der Fall ist. Man hat sich die Fungia überhaupt als eine sich nach und nach auf- klappende Koralle zu denken, so zwar, dass die ursprüngliche eylindrische oder conische sog. Mauer nach und nach ganz horizontal und ausgebreitet wurde. Siderastraea schliesst sich sehr eng an Fungia an, da auch hier die Trabekel zusammengesetzt und comprimirt sind und mit einander ihrer ganzen Länge nach in Verbindung treten. Wie schon Prarz hervorgehoben hat, finden sich auch hier ächte Synaptikel neben Pseudosynaptikel. Taf. VII, Fig. 3 zeigt einen Querschnitt durch einige an einander grenzenden Kelche, allerdings sind verschiedene Septen herausgebrochen. Der Querschnitt zeigt an den Stellen der Trabekelaxen etwas in die Länge gezogene dunkle Punkte. Dies rührt daher, dass hier mehrere Caleificationscentren zusammentreffen. Bei Siderastraea legen sich die Septen oft zu bestimmten Gruppen seitlich an einander an, dies geschieht durch Vermittelung der Pseudosynaptikel. Die ächten Synaptikel sind hauptsächlich m der Peripherie des Kelches vor- handen, wo die Septen schon etwas weiter von einander abstehen. Die eigent- liche Grenze zwischen zwei Kelchen ist hauptsächlich dadurch besonders aus- geprägt, dass die Synaptikel hier besonders häufig sind und eine Art Mauer bilden. Bei Siderastraea fällt die Divergenzlinie ungefähr mit den Stellen zusammen, wo die Synaptikel so häufig sind, dass sie eine Art Mauer ver- treten. Von da an steigen die Trabekel in den Septalflächen der aneinander grenzenden Kelche nach oben und innen auf. Dieselbe Lage der Divergenz- linie hat bereits Prarz für coloniebildende Thamnastraeinen nachgewiesen. Eupsammia hat jedenfalls mehr Beziehungen zu Fungia und Sidera- straea als bisher angenommen wurde. In neuerer Zeit hat bereits FowLER auf mancherlei Anklänge von Stephanophyllia zu Fungia hingewiesen. (Quart. Journ. Mier. Se. Vol. 28, p. 419). Hupsammia hat zusammengesetzte Tra- bekeln, deren Faseikeln aber mehr regellos gruppirt sind, so dass damit auch der ganze Trabekel unregelmässig wird, wesshalb man auch nicht gut von der (idealen) Axe des Trabekels hier sprechen kann. Dadurch wird auch die Abgrenzung der einzelnen Trabekel von einander weniger scharf, so dass man im Querschnitt eher das Aussehen einer fortlaufenden dunklen Linie erhält. Es bleiben indess häufig zwischen den einzelnen Trabekelgliedern mehr oder minder grosse Zwischenräume und zugleich wird dadurch die An- ordnung der übereimander vertical angeordneten Trabekelglieder manchmal etwas unregelmässig, indem die Trabekelglieder seitlich etwas verschoben werden. Solche Unregelmässigkeiten treten ganz besonders gegen die Kelch- Verkalkung der Calicoblasten etc. 85 peripherie hervor und bedingen, dass es hier keine eigentliche Divergenzlinie giebt, sondern eine breitere Randzone, wo sich neue Trabekel einschieben und nach oben divergirend nach beiden Seiten aufsteigen. Je nach der Form des Septums kann auch noch ein zweites Divergenz-Feld mehr gegen das Säulchen zu vorhanden sein. Taf. VIII, Fig. 1 zeigt wie durch das Auftreten von Pseudosynaptikeln die Septen seitlich verschmelzen, sowie ächte Synaptikel gegen Aussen, an Stelle der Mauer. Fig. 2 zeigt auch (auf der rechten Seite der Abbildung) die unregelmässige Form der ächten Synaptikeln, die ein unregelmässig maschiges Gewebe bilden. Eupsammia ist wegen des un- regelmässigen Baues und der Anordnung der Trabekeln besonders bemerkens- werth. Aehnliche Unregelmässigkeit im Bau der Trabekel hat Prarz bereits bei den jurassischen Gattungen Haplaraea und Diplaraea, sowie bei der recenten Coscinaraea beschrieben. Auch die triasischen Gattungen Stylophyllum und Stylophyllopsis zeigen in der Septal-Struktur grosse Uebereinstimmung mit Haplaraca ete., d.h. die einzelnen Trabekelglieder trennen sich gegen das Kelchcentrum mehr von einander und bilden hier ein lockeres, schwammiges Gewebe. Bei anderen Arten erstreckt sich die lockere Verbindung der Tra- bekel sogar über das ganze Septum, so dass die einzelnen Trabekelglieder weder in horizontaler, noch in verticaler Richtung mit einander verwachsen, sondern meist als einzelne freie „Dornen“ im Kelch vorkommen. Ein solcher Kelch ist auf Taf. VIII, Fig. 5 im Querschliff dargestellt. Ein jeder „Dorn“ hat die Struktur eines Trabekelgliedes mit schief nach oben und aussen (d. i. im Querschnitt mit scheinbar radiär nach aussen) gruppirten Fascikeln. Es zeigt sich also, dass die Septen bei all’ den zuletzt besprochenen Korallenformen, nämlich bei den Thamnastraeinae, bei Fungia, bei Siderastraea, Eupsanmia, Haplaraea etc. aus zusammengesetzten Trabekeln bestehen. Das heisst also jedes einzelne Trabekelglied besteht aus mehr als 2 Fascikeln, und diese Fascikel sind um die ideale Trabelaxe rings herum gruppirt und nicht nur in einer durch die Trabelaxe gehenden Ebene, die senkrecht zur Medianebene des Septums steht. Bei Cyelolites stehen die einzelnen Fascikeln z. B. mehr im Kreis um die Trabekelaxe, bei Fungia mehr in einer Ellipse und bei Hupsammia sind sie regellos gruppirt. Damit, dass die einzelnen Trabekelglieder aus mehreren Fascikeln zusammengesetzt sind, hängt dann auch die charakteristische Hervorragung der Fascikelenden als mehr oder minder grosse und dicht gedrängte Granulationen („Knötchen‘), sowie die Verwachsung solcher Granulationen zu Septalleisten und zu Synaptikeln zusammen. Astraeidae. — Eine sehr häufige sowohl fossil als recent vorkommende Astraeiden-Gattung ist Heliastraea. Von ihr wird gewöhnlich angegeben, dass die Kelche durch ihre Costen verbunden seien. Ein Querschnitt durch Kelche 36 Die Korallen der Stramberger Schichten. und Costen ist auf Taf. VII, Fig. 11 abgebildet, während Fig. 10 ein noch stärker vergrössertes Septum nebst Costa und einem Theil der Kelchmauer darstellt. In Fig. 10 sieht man wie in der Medianebene des Septums dunkle Punkte, streckenweise zu dunklen Linien vereinigt, vorkommen, von welchen nahezu parallel gerichtete Kalkfasern nach beiden Seiten gegen die Septal- oberfläche zu ausstrahlen. Andererseits sieht man aber auch solche Stellen, wo eine Gruppe dunkler Punkte vorhanden ist, die etwas ausserhalb der Medianebene des Septums heraustreten und von welchen aus die Kalkfasern in radiärer Anordnung nach aussen strahlen. An den letzteren Stellen sind zusammengesetzte Trabekel quer geschnitten, während an den dazwischen liegenden Stellen nur einfache Trabekel vorkommen. Diese zusammengesetzten Trabekel haben einen continuirlichen Verlauf und divergiren von emer Linie, die da liegt, wo die Mauer sich von den Septalflächen abtrennt. Von dieser Divergenzlinie steigen die zusammengesetzten Trabekeln nach innen und oben in den Septen und nach aussen und oben in Costen auf. Diese zusammen- gesetzten Trabekeln sind aber nicht im seitlicher Berührung, sondern zwischen dieselben schieben sich eine ganze Reihe dicht gedrängter einfacher Trabekeln ein, deren feinerer Bau dem oben für Galaxea beschriebenen gleicht. In den Costen treten diese einfachen Trabekeln häufig zurück, d.h. sie werden nicht mehr zwischen den zusammengesetzten Trabekeln entwickelt, so dass dann hier die zusammengesetzten Trabekeln seitlich frei bleiben, wie dies im Querschnitt Fig. 11 zu sehen ist. Die Astraeidengattung Goniastraea besitzt noch einfacher gebaute Septen. Gegen die Mauer zu sind diese Septen stark verdickt, während sie sich gegen das Kelchcentrum zu beträchtlich verdünnen. Zusammengesetzte Trabekeln kommen hier nur gegen die Mauer zu vor, und da die Kelche dicht an einander grenzen, so ist die Divergenzlinie immer gemeinsam für 2 Kelche, Zwischen den zusammengesetzten Trabekeln kommen auch einfache Trabekeln vor, die nach innen, gegen «das Kelcheentrum zu, mehr und mehr überhand nehmen, während zusammengesetzte Trabekeln fast ganz fehlen. Wegen des Zurücktretens der zusammengesetzten Trabekeln sind auf den Goniastraea- Septen die Granulationen auch nur von geringer Grösse und bilden keine Pseudosynaptikeln. Die Abbildung Taf. VII, Fig. 12 zeigt, wie durch seitliche Berührung der Septen die Mauer zu Stande kommt. Dieselbe wird durch das Hinzutreten neuer Caleifications-Centren, sowie durch Antheilmahme von Tra- versen weiter verdickt und vervollständigt. Unter den Astraeiden spielen in Trias und Jura die Gattungen Mont- liwaltia und Thecosmilia wegen ihrer Häufigkeit eme ungemein wichtige Rolle. Dieselben werden bei Besprechung der Gattung Montlivaltia weiter unten eingehender behandelt. Es giebt nun recente Gattungen, die sich hinsichtlich Verkalkung der Ualicoblasten etc. 87 ihres Septalbaues in analoger Weise zu Montlivaltia und Thecosmilia ver- halten, wie die recente Pungia zu Cyelolites und Thamnastraea. Bei Mussa werden die Trabekeln, anstatt dass sie rundlich und mit einer Reihe grosser Granulationen versehen sind, in der Breite ausgedehnt und im Querschnitt mehr elliptisch und an der Oberfläche mit zahlreichen, regellos zerstreuten Granulationen bedeckt. In jedem der Dornen, die über den Ober- rand des Mussa-Septums hervorragen, erkennt man, dass die Trabekeln von einer Divergenzlinie fächerförmig nach oben gerichtet sind und dass sich in jedem Wachsthums-Segment neue Trabekeln einschieben. Diese Divergenzlinien in jedem Dorn divergiren wieder von einer in der Richtung der Pseudotheka aufsteigenden Divergenzlinie, sowohl nach innen gegen das Septum, als nach aussen gegen die kurzen Costen. Es würde also im Septum von Massa hin- sichtlich der Anordnung der Trabekeln jeder einzelne Dorn einem ganzen Septum von Galawea entsprechen. Wegen des Vorhandenseins dieser äusseren Haupt-Divergenzlinie nahe am Aussenrand des Mussa-Septums lässt sich ein solches Septum auch mit anderen Astraeiden-Septen, wie z. B. von Heliastraea oder Montlivaltia vergleichen. Es sind somit die Dornen des Mussa-Septums analog den Zacken der Septen von Heliastraea oder Montlivaltia, nur sind die Dornen von Mussa verhältnissmässig stärker und complieirter gebaut. Bei Mussa sind ausserdem noch zwischen den einzelnen Dornen eine Anzahl einfacher Trabekel eingeschaltet. Es sind hier also ähnliche Verhältnisse vor- handen wie bei Heliastraea, wo auch zwischen den zusammengesetzten Tra- bekeln einfache vorkommen. Die Septen von Turbinaria und verwandten Arten sind in ihrem Bau im Gegensatz zur Porosität des Coenenchyms ganz dieht und compact. Taf. VII Fig. 13 stellt einen Querschnitt durch eine recente Turbinaria, Taf. VIII Fig. 4 einen solchen durch eine ceretaceische Actinacis dar. Bei beiden ist das Septum aus einfachen, eng gestellten Trabekeln gebaut, deren Caleifica- tionscentren so gut wie gar nicht aus der Median-Ebene heraustreten. Im Trabekelbau der Septen stimmen diese Gattungen im Wesentlichen mit Galaxea überein, nur ist die Anordnung der Trabekeln im Septum eine ver- schiedene. Während bei Galaxea die Trabekeln fächerförmig von einer im Septum gelegenen Divergenz-Linie aus nach innen und oben gegen das Kelchcentrum und nach aussen und oben gegen die Costa divergiren, gibt es bei Turbinaria und Aetinacis überhaupt keine solche Divergenz-Linie. Wie schon auf den Seitenflächen der Septen zu sehen ist, verlaufen hier alle die fein granulirten Striae, resp. Trabekel nach einer Richtung, und zwar von der Mauer fast horizontal, oder nur wenig nach oben geneigt gegen das Kelcheentrum, Mit dieser Thatsache hängt eine zweite wichtige zusammen, nämlich, dass die Costen nicht immer die directe Fortsetzung der Septen sind. Es schieben 88 Die Korallen der Stramberger Schichten. sich an der Mauer oft neue radiale Skelet-Elemente ein, die dann als Costen weiter verlaufen. Es hat den Anschein, als ob in dieser Beziehung eine ziemlich regelmässige Abwechslung stattfände, insofern, als in einer Wachs- thumsperiode eine Costa sich nicht an ein Septum anschliesst, in der nächst- folgenden Periode aber stellt sich ein Zwischenraum zwischen 2 Septen ein. Aehnliche Verhältnisse zeigen auch die Septen, die Mauer und Costen bei der Gattung Madrepora. Auch hier sind die kurzen Septen aus ziemlich horizontal liegenden, einfachen Trabekeln gebaut und es fehlt jede Spur einer gemeinsamen Divergenz-Linie für die Septal- und Costal-Trabekeln. Taf. VIII Fig. 6 und 7 sind Längs- und Querschnitt durch das Innere eines Madrepora- Zweiges, da wo das Skelet sehr dicht ist. Obwohl nun bei der ursprünglichen Anlage der Costalelemente von Madrepora manche unausgefüllte Räume bleiben, sind diese durch Einschiebung neuer Trabekeln meistens nachträglich aus- gefüllt, wie auch der Querschnitt Fig. 7 zeigt. Nebenbei sei bemerkt, dass die Löcher in Fie. 6 nur interseptal Loculi einiger Kelche sind, die schräg vom Schnitt getroffen sind. Porites zeigt einen Bau, der in manchen Punkten sehr von Durbinaria und Madrepora abweicht, in zwei wichtigen Merkmalen aber übereinstimmt, das sind das Fehlen einer Divergenzlinie der Trabekeln in den Septen und die Abwechslung in der Stellung der Costen in Beziehung zu den Septen und Interseptal-Räumen. Die Trabekeln in den Septen und im Coenenchym von Porites steigen fast senkrecht oder doch sehr steil auf. Sie sind im Quer- schnitt rundlich und berühren sich nicht über ihre ganze Höhe, sondern lassen ab und zu Löcher zwischen sich. Bei sehr starker Vergrösserung kann man sehen, dass mehrere Faseikeln um eine gemeinsame Axe angeordnet sind, deren Fasern nicht steil nach oben, sondern direct gegen die Oberfläche der Trabekeln gerichtet sind. Die Abbildung Taf. VIII, Fig. 8 gibt eine allge- meine Uebersicht der Trabekeln in einem recenten Porites und zeigt deren Verbindung durch ächte Synaptikel. Eine ähnliche senkrechte Stellung der Trabekeln zeigt auch Fig. 9. Sie stellt einen Längsschliff durch Trabekeln im „Coenenchym“ einer mir aus der alpinen Trias bekannten Gattung — Heptastylis — dar. Auch hier sieht man, wie die Trabekeln aus mehreren Faseikeln zusammengesetzt sind. Man kann auch leicht die einzelnen Tra- bekelglieder wahrnehmen sowie das regelmässige Zusammentreffen der Synap- tikel-Verbindungen an der Grenze zwischen aufeinanderfolgenden Wachsthums- segmenten. Zusammenfassung der Resultate. 89 C. Zusammenfassung der aus der feineren Struktur gewonnenen Resultate. Aus dem Studium der mikroskopischen Struktur der oben betrachteten Typen von Korallen sieht man, dass die Unterschiede in der Septalstruktur bedingt sind durch die verschiedene Anordnung der Fascikeln zu Trabekel- eliedeın und ebenso durch die Anordnung der Trabekelglieder. Es wurde gezeigt, dass die einfachste Anordnung der Trabekeln zu Trabekelgliedern die paarige ist. Hierdurch entstehen „einfache“ Trabekeln wie bei Galazxea. Solche einfache Trabekeln sind meistens sehr dicht gedrängt, infolgedessen stehen die Caleifieationscentren in der Medianebene sehr nahe, wodurch dann eine continuirliche Reihe dunkler Punkte, die manchmal auch als dunkle Limie erscheinen, hervorgerufen wird. Wegen der gedrängten Stellung und der Kleinheit der Fascikel fehlen bei solchen Korallen Granulationen auf den Seiten- flächen der Septen so gut wie ganz, oder sind sehr klein. Die Septen der hierher gehörigen Formen sind von den früheren Autoren als ganzrandig und entweder mit glatten Seitenflächen oder mit Reihen von Granulationen parallel zum Septaloberrand beschrieben worden. Ich rechne hierher die Amphiastraeidae, Turbinolidae, Oculinidae, Pocilloporidae, Madreporidae und Stylinidae. Ausser dieser paarigen Anordnung der Fascikel zu einem Trabekelglied haben wir auch noch complieirteren Bau der einzelnen Trabekelglieder kennen gelernt, indem mehr als zwei am Aufbau der Trabekelglieder theilnehmen. In diesem Fall sind die Trabekelglieder nicht mehr bilateral symmetrisch an- geordnet. Sie gruppiren sich vielmehr um die ideale Axe des Trabekelglieds, entweder im Kreis herum, oder mehr elliptisch, oder ganz unregelmässig. Solche „zusammengesetzte“ Trabekelglieder sind im allgemeimen gröber; die Enden der Fascikel geben da, wo sie die Septaloberfläche erreichen, zur Bildung von ziemlich grossen Granulationen Veranlassung, oder auch durch seitliche Verwachsung zu Horizontalleisten. Diese Trabekelglieder bilden im allgemeinen durch continuirliche Aufeinanderfolge starke, wohlausgeprägte Trabekel, die ich „zusammengesetzte“ Trabekel genannt habe. Es gibt aber auch Formen (Zupsammia, Stylophyllum), bei welchen die Trabekelglieder keine continuirliche Vertikalreihe bilden, sondern jedenfalls stellenweise, frei bleiben. Bei den drei Familien der Astraeidae, Fungidae und Eupsammidae kommen immer zusammengesetzte Trabekeln vor. Bei den Astraeidae schalten sich zwischen denselben noch einfache Trabekeln ein, dadurch wird das Septum dicht und compact. Bei den Fungiden und Eupsammiden dagegen besteht das Septum nur aus zusammengesetzten Trabekeln. Dieselben sind entweder ihrer ganzen Länge nach in Berührung, oder lassen unregelmässige oder regel- 90 Die Korallen der Stramberger Schichten. mässige Lücken zwischen sich. Die Poritiden haben ebenfalls zusammen- gesetzte Trabekeln, deren Struktur indess von der Struktur der drei letzt- genannten Familien etwas abweicht. Bezüglich der Anordnung der Trabekeln in den Septen und Costen haben wir gesehen, dass die Trabekeln meist von einer Divergenzlinie fächerförmig aufsteigen und ein solcher Fächer von Trabekeln wurde als Divergenzfeld be- zeichnet. Der gewöhnlichste Fall ist der, dass die Divergenzlinie sich an der Peripherie des Kelches befindet, also an der Stelle, von welcher an man die äusseren Verlängerungen der Septen als Costen bezeichnet. Es ist das zu- gleich die Stelle, wo Mauerbildung stattfindet, sei es nun, dass eine echte Theka vorhanden ist, oder dass eine Pseudothek sich bildet. Ausnahmsweise kommen solche Fälle vor, wo die Divergenzlinie nicht genau ınit der Lage der Mauer zusammenfällt, wie bei Galawea. Es giebt auch Korallen, bei denen sich in den Septen allerdings secundär, auch um die von der Haupt- Divergenzlinie ausstrahlenden Trabekeln wieder neue Divergenzfelder bilden. Ein solcher Fall wurde bei Mussa beschrieben, auch bei den Lophoseriden und Eupsammiden kommen diese Fälle oft vor. Da die feinere Struktur der Septen aufs innigste von der Beschaffenheit der Weichtheile abhängt, ist es einleuchtend, dass bei fossilen Korallen die Kenntniss der feineren Struktur auch in systematischer Hinsicht von grosser Bedeutung ist. Im Grossen und Ganzen bestätigen meine in dieser Hinsicht gewonnenen Resultate die bisherige Eintheilung der Korallen in die haupt- sächlichsten Familien. Im einzelnen jedoch zeigte sich, dass verschiedene Gattungen eben wegen ihrer Struktur eine andere systematische Stellung er- halten müssen, sowie, dass die verwandtschaftlichen Beziehungen zwischen verschiedenen Korallengruppen andere sind, als man bisher meist angenommen hat. Trochosmilia und ihre nächsten Verwandten z. B., gehören ihrer feineren Struktur nach nicht zu den Astraeiden, sondern zu den Turbinoliden. Haplaraea und Diplaraea nicht zu den Fungiden, Epistreptophylium und Stylophyllum nicht zu den Astraeiden, sondern alle vier zu den Eupsam- miden. Bisher wurde ziemlich allgemein angenommen, dass die Perforaten von den jurassischen Thamnastraeiden herstammen müssten. Wie aus der Struktur- verschiedenheit hervorgeht, sind die sogenannten Perforaten überhaupt keine zusammengehörige Gruppe. Die Eupsammiden stehen zwar in verwandt- schaftlichen Beziehungen zu den Fungiden, doch zweigen sie sich keineswegs von den jurassischen Thamnastraeiden ab. Ich werde im Verlauf dieser Ar- beit zeigen, dass schon jurassische Gattungen vorkommen, die als Vorfahren der Eupsammiden anzusehen sind. Die Gattungen Madrepora und Turbinaria haben einen Septalbau, der wesentlich verschieden vom Bau der Thamnastraeiden, dagegen ähnlich dem Zusammenfassung der Resultate. 91 der Styliniden, Oculiniden und Poeilloporiden ist. Auch von Seite der Zoo- logen, besonders von FowLer und Bourne, wurde in neuerer Zeit, auf Grund von Untersuchungen der Weichtheile, hervorgehoben, dass zwischen Poeillo- poriden (sammt Seriatopora) und Madreporiden eine sehr enge Verwandtschaft bestehe. Ich rechne auch die Stylophorinae zu den Pocilloporiden. Daraus geht hervor, dass unter diesen Umständen auf die Dichtheit der Mauer und des Coenenchyms bei den Pocilloporiden und auf deren Porosität bei den Madrepori- den nicht mehr der grosse systematische Werth gelegt werden kann, wie dies Epwarps und HaAıme und andere Autoren gethan haben. Wir wissen doch, dass es unter den Fungiden Gattungen gibt, bei welchen sämmtliche Septen dicht sind, andererseits gibt es Gattungen, bei welchen sie porös sind, und endlich gibt es manche Arten, bei welchen die Septen sowohl dicht als porös sein können. Deshalb kann man auch, abgesehen von den schon erwähnten Gründen, nicht wegen der Dichtheit oder geringeren oder grösseren Porosität _ des Coenenchyms die Pocilloporiden und Madreporiden so weit von einander trennen. Die Struktur-Verhältnisse in den beiden Familien der Pocilloporiden und Madreporiden deuten darauf hin, dass sie mit den jurassischen Oculiniden und Styliniden viel mehr gemein haben als mit den jurassischen Thamna- straeiden. Kosy gibt mehrere Abbildungen des Baues und der Anordnung der Trabekeln von jurassischen Oculiniden und Styliniden („Polyp. Jur.“ Kosy pl. 129, 130). Dieselben zeigen auffallende Uebereinstimmung mit den leben- den Vertretern der Pocilloporiden und Madreporiden. Die wenig zahlreichen Septen und ihre Anordnung in Cyelen nach der Zahl 6, 8, 10 oder 12 sind gemeinsame Merkmale; ausserdem sei noch ein Merkmal erwähnt, wenn es auch nur von geringerer Bedeutung ist, nämlich das häufige Vorhandensein flacher Böden als Basal-Struktur im Kelchinnern, während ein reichliches blasiges Gewebe sich zwischen den Kelchen entwickelte. Schon unter den jurassischen Styliniden gibt es eine Gattung Heterocoe- mia, bei welcher die Entwicklung des Coenenchyms sehr ähnlich mit der Ent- wicklung desselben bei der lebenden Gattung Galaxea war. Man dürfte viel- leicht mit einer gewissen Berechtigung Galawea unter die Styliniden stellen. Ich lasse dies indess vorderhand unentschieden, bis sich bessere Anhaltspunkte aus der Untersuchung weiteren recenten Materiales finden. Die Mauer bei den Korallen hat lediglich den Zweck den übrigen Theilen des Skelets einen grösseren Zusammenhang und eine grössere Stütze zu bieten und zugleich die innerhalb der Mauer gelegenen wichtigen Organe gegen aussen zu schützen. Bei Einzelkorallen ist demgemäss die Mauer möglichst weit gegen die Peripherie gerückt. Die Mauer selbst entsteht auf verschiedene Weise: Entweder bildet sich zwischen den Septen eine selbstständige La- melle, die ganz analog gebaut ist, wie die Septen selbst und die sich nur 99 Die Korallen der Stramberger Schichten. durch die tangentiale Stellung von den radiär gestellten Septen unterscheidet. Eine derartige Mauer wird allgemein als echte Mauer bezeichnet. Anderer- seits kann derselbe Zweck, nämlich eine Verfestigung des Septalapparats auch dadurch erreicht werden, dass sich die Septen im peripheren Theil etwas verdicken und entweder direct berühren oder durch eine Zone dicht ge- drängter Synaptikel oder besonders hoch gestellter Traversen verbunden werden. Diese verschiedenen Modificationen von Mauerbildung sind alle als Pseudotheka zu bezeichnen. ORTMANnN unterscheidet ausserdem noch Formen, bei welchen seiner Ansicht nach von einer Mauer nicht gesprochen werden sollte (Athekalia Orrmans). Diese Formen wären nach meiner Auffassung ent- weder als solche zu bezeichnen, die eine poröse echte Mauer haben, oder als solche, deren Pseudotheka durch Betheiligsung von Synaptikeln gebildet werden. Man bezeichnet der Bequemlichkeit halber die innerhalb der Mauer gelegenen radialen Strukturen als Septen und die ausserhalb gelegenen als Costen. Das Auftreten der Mauer ist nun durchaus nicht auf eine bestimmte Stelle im Kelch beschränkt. Dieselbe kann vielmehr bei sonst nahe ver- wandten Gattungen in verschiedener Entfernung vom Kelcheentrum vorkommen. Betrachten wir eine palaeozoische Einzelkoralle, z. B. ein Oyathophyllum. Hier ist die Mauer ganz aussen gegen die Peripherie gerückt und im Kelch- inneren bemerkt man hinsichtlich der Lage und Anordnung der Traversen zwei Zonen: eine innere mit flachen bodenartigen Traversen und eine äussere mit dichteren blasigen und gegen den Kelch ansteigenden Traversen. In dieser äusseren Zone bilden sich die Knospen in der Weise, dass die blasigen Traversen zur Bildung der neuen Scheidewand gegen den Mutter- kelch verwendet werden. Diese Art Knospung ist in der Literatur unter verschiedenen Namen (Entothekalknospung, Tabularknospung, Taschen- knospung) bekannt. Andere Verhältnisse hinsichtlich der Mauer treffen wir zum Beispiel bei der jurassischen Gattung Diplocoenia. Diese Gattung ist aufs engste ver- wandt mit Siylina. Diplocoenia hat eine Mauer in der gleichen Lage wie die zusammengesetzten Cyathophyliden-Arten. Innerhalb dieser Mauer kann man zwei Zonen von T’raversen unterscheiden, eine flache innere und eine steil ge- stellte blasige äussere. An der Grenze, an den blasigen Traversen gegen die flachen, entsteht dadurch, dass die blasigen Traversen sich hier steil und continuirlich senkrecht über einander anordnen, eine Pseudotheka. Es ist das die sogenannte innere Mauer von Diplocoenia, die von den meisten Autoren als die hauptsächlichste Mauer angesehen wird, weshalb dieselben auch die Verlängerung der Septen über diese Mauer hinaus als Costen be- zeichnen. Die gleiche Anordnung der Traversen, wie in Diplocoenia in zwei Zonen, zeigt auch Stylina, hier fehlt aber die äussere Mauer, so dass man dem alten Sprachgebrauch gemäss hier von Costen reden dürfte. Die meisten Zusammenfassung der Resultate. 93 zusammengesetzten palaeozoischen Korallen haben die Mauer ausserhalb der blasigen Zone von Traversen, in Folge dessen benachbarte Korallen sich mittelst ihrer Mauer direct berühren. Ein gleiches Verhältnis gilt auch für die meisten mesozoischen Amphiastraeiden. Die grössere Menge der meso- zoischen und jüngeren Korallen haben die Mauer an der Stelle wie bei Stylina und bis jetzt wurden dann bei diesen Formen nur die innerhalb der Mauer gelegenen Zonen als Kelch bezeichnet. Man muss sich aber klar werden, dass man dann unter Kelch bei fossilen Korallen nicht immer das nämliche versteht. Bei den erwähnten palaeozoischen Formen umfasst der Kelch beide Traversen-Zonen, bei den jüngeren Formen dagegen würde der Kelch nur die innere Zone umfassen, die äussere Traversen-Zone würde bereits extracalycinalem Gewebe angehören. Dies ist hauptsächlich insofern wichtig, als solche Knospen, die in den erwähnten palaeozoischen Formen in der äusseren Traversen-Zone und zwar intracalyeinal entstehen, wenn sie bei mesozoischen Korallen, wie Siylina in derselben Zone auftraten, bisher als extracalycinale Knospen bezeichnet wurden. Wenn man dies einmal erkannt hat, so sieht man, dass fast sämmtliche Knospungsarten intracaly- cinal erfolgen. Hiedurch fallen dann auch zugleich eine ganze Anzahl irr- thümlicherweise für wesentlich gehaltene Unterscheidungsmerkmale zwischen den bisherigen sogenannten Rugosen (Tetracorallen) und den jüngeren Hexa- corallen (Aporosen und Perforaten) fort. Das extracalyeinale Gewebe kann in verschiedener Weise modiheirt sein. Entweder haben wir in der Verlängerung der Septen Costen, die mit denen der Nachbarkelche zusammentliessen (z. B. Heliastraea); in diesem Fall ist das extracalyeinale Gewebe ganz analog gebaut, wie die äussere Zone von Oyathophyllum oder die Costen werden mehr und mehr zurück- gebildet und verschwinden schliesslich ganz. Das würde solchen Fällen bei palaeozoischen Korallen entsprechen, wo die Septen nur ein Stück weit oder gar nicht in die äussere Traversen-Zone fortsetzen (z. B. Chonawis, Petalawxis). Derartige Modificationen des extracalyeinalen Gewebes wurden nach der bisherigen Ausdrucksweise gewöhnlich nicht als Coenenchym bezeichnet. Bis jetzt wurde in der Regel Coenenchym nur solches extracalyeinales Gewebe genannt, das schon äusserlich eine ziemliche Verschiedenheit von dem Bau der Skeletelemente innerhalb des Kelches aufwies. Man kann aber die ver- schiedenen Coenenchym bildenden Formen, wie Oculiniden, Madreporiden, Poeilloporiden, Poritiden und manche Eupsammiden immer auf Modificationen von costalen und basalen Elementen und damit auf eine Modification der äusseren Kelchzone zurückführen. Bei solchen Korallen sagt man, dass die Knospung am Kelchrand (margimal und submarginal) und innerhalb des Coenenchyms stattfindet, und das ist nach dem oben gesagten kein Unterschied 94 Die Korallen der Stramberger Schichten. von der typischen intracalyeinalen Knospung. Die meisten Fälle der soge- nannten Theilung sind, wie ich unten und anderswo (Philosoph. Transactions) zeige, entweder weiter nichts als eine bestimmte Modification der intracaly- ceinalen Knospung, wobei sich die Knospen rasch in der ursprünglich äusseren Zone des Mutterkelches entwickeln. Eine echte Theilung ist überhaupt sehr selten. Dann allerdings geht die Theilungsebene auch durch die innere und äussere Zone des Mutterkelchs. I. Beschreibung der Familien, Genera und Arten. Familie: Amphiastraeidae ÖcıLvıE. Einfache oder zusammengesetzte Stöcke, mit starker Epithek bedeckt. Die Septen sind bilateral, aber nicht fiederstellig ange- ordnet. Hauptseptum meist etwas länger und stärker als die übrigen. Oberrand der Septen entweder glatt oder nur sehr fein gezähnelt. Seitenflächen glatt oder granulirte. Am Kelchrand meist Reihen kurzer Septaldornen entwickelt. Aechte Wand vor- handen. Böden oder Traversen gut entwickelt, im peripheren Theil meist grossblasig und steilgestellt, gegen den centralen Theil zu häufig eine scheinbare innere Wand bildend. Vermehrung sowohl durch Endothekalknospung im blasigen Gewebe nahe am Rand (Taschenknospung), als auch durch Septalknospung (Theilung). Ich habe diese Familie nach der Gattung Amphiastraea benannt, weil dieselbe die characteristischen Merkmale in typischer Weise zeigt und weil die Hauptmerkmale auch zuerst (1858) bei Amphiastraea von ErAuLon beobachtet und beschrieben wurden. (Erauuon Haut-Jura p. 100). In Bezug auf Anordnung der Septen gibt er Folgendes an: „Septen an einer Seite des Kelches besser entwickelt als an der gegenüberstehenden, wodurch der Punkt, wo die (Verlängerungen der) Septen sich schneiden würden, excentrisch wird; die Primärsepten 10 an der Zahl, von welchen 5 besser entwickelt sind und deren mittleres noch dieker und länger ist.“ Hiezu sei bemerkt, dass eben dieses mittlere längere Septum das Hauptseptum ist, dem eines von den kürzeren Septen genau gegenüber steht und das als Gegenseptum zu be- trachten ist. Da nun die excentrische Stellung der Kelchgrube und die Ver- theilung der Septen in längere auf der einen Seite und kürzere auf der gegenüberstehenden Seite für die Mehrzahl der hieher gehörigen Gattungen characteristisch ist, so nenne ich den Theil des Kelches, in dem um das Haupt- septum die längeren Septen stehen, Hauptsegment und den gegenüber- 96 Die Korallen der Stramberger Schichten. stehenden, wo um das Gegenseptum die kürzeren Septen angeordnet sind, Gegensegment. Auch hinsichtlich der Traversen bemerkt Eraunox bereits, dass dieselben im peripheren Theil gröbere Blasen von 2 mm Abstand bilden, während dieselben im centralen Theil dichter gedrängt stehen. Ueber die Art der Knospung sagt Erarvon, dass in einem der Ecken des Kelches sich eine geradlinige Trennungsfläche einschiebt, worauf sich in der so gebildeten Tasche eine neue Knospe entwickelt. Eravvox stellte bekanntlich diese Gattung zu den Astraeiden und seinem Vorgange schlossen sich alle übrigen Autoren an. Später wurde von MitascHrwirz (Natth. Korallen, p. 112, Taf. 51, Fig. 9) die Quenstedt’sche Art Mitrodendron (Lithodendron) mitratum sehr sorefältig und eingehend be- schrieben. MiıtAschzwitz machte auch auf die manchfachen Anklänge an Amphiastraea aufmerksam, sowie an Latusastraea alveolaris Gpr. Mit Amphi- astraea hätte Mitrodendron grössere Aehnlichkeit, sowohl wegen der Anord- nung der Septen als auch der Art der Knospung. MrvAscHEwITZ vereinigte indess Mitrodendron desshalb nicht mit Amphiastraea, da letztere einen massiven astraeenförmigen Polypenstock besitzt. MILAscHEwITZ weisst ferner auf die Beziehungen hin, die Mitrodendron sowohl wegen (der bilateralen Anordnung der Septen, als auch hinsichtlich der caleinalen Knospen zu den tugosen zeigt und lediglich desshalb, weil nur Bilateralität, nicht aber fieder- stellige Anordnung der Septen zu beobachten ist, zögerte er diese Form zu den Rugosen zu stellen. Als Kogy das reiche Material der Korallen aus dem Schweizer Jura untersuchte, fand er eine ganz beträchtliche Anzahl von Formen, die einen für eime mesozoische Fauna ziemlich fremdartigen Eindruck machten und die, wie Amphiastraea wegen der Bilateralität des Septalbaues und der grobblasigen Entwicklung der Traversen im peripheren Theil mehr an palaeozoische Gat- tungen erinnerten. Hieher gehörten nach Kosy die Gattungen Cheilosmilia Kogy, Lingulosmilia Kopy, Selerosmilia Kosy, Schizosmilia Kopy, Pseudo- thecosmilia Kogy, Thecidosmilia Kosy und Amphiastraea Er., welche er zu den Cyathophylliden stellte und zwar Cheilosmilia zum Tribus Cystiphylliae und alle übrigen zum Tribus Axophylliae. Ausserdem führt Kosy unter den Axophylliae am Schlusse seiner Arbeit noch die Gattung Cladophyllia E. und H. auf, die er vorher (p. 177) unter den Astraeiden beschrieb, und ferner erwähnte er hier auch noch Latusastraea alveolaris QuEnST. sp. und Mitro- dendron (Lithodendron) mitratum (urnst. Kozy’s Diagnose seines Tribus der Axophylliae lautet: „Septen lamellär sich mit einem grossen Columellar- Septum vereinigend. Aeusserer peripherer Theil der Kelche von vesiculärem Gewebe erfüllt, das wenig oder gar nicht von Septen durchsetzt ist“. Diese beiden Merkmale treffen aber durchaus nicht für alle von Kogy unter den Axophyllia angegebenen Gattungen wirklich zu. So vereinigen sich z. B. bei Amphiastraeidae. le Amphiastraea die Septen durchaus nicht mit dem Hauptseptum, höchstens kann man sagen, dass ein falsches lamelläres Säulchen durch Vereinigung der verdickten Septalenden zu Stande kommt. Andererseits durchsetzen bei der Gattung Thecidosmilia nach Kosy’s Beschreibung und Abbildungen die Septen die äussere blasige Zone des Kelches und reichen bis zur Mauer. Wenn auch Kosy’s Beschreibung mangelhaft ist und wenn er auch die Sache nicht vollständig erschöpft hat, so hat er doch in so weit recht, als diese Gattungen eine zusammengehörige Gruppe bilden. Dass die Septen den peripheren, blasigen Theil ab und zu nicht durch- setzen hat meiner Ansicht nach seinen Grund darin, dass sich bei der sehr häufigen Vermehrung in den Blasen an der Mauer, namentlich in den Ecken, Taschen bilden, in welchen neue Knospen entstehen, wodurch die Septen gegen das Kelch-Innere zurückgedrängt werden. Dieses Vorkommen von groben Blasen im peripheren Theil bei diesen Gattungen kann man daher nicht direct mit den äusseren Blasen der Cyathophylliden vergleichen. Der Septalbau der Cyathophylliden ist ausserdem bekanntlich radiär, wenn sich auch in einigen fiederstellige Anordnung noch in unausgewachsenen Exemplaren beobachten liesse. Bei den Amphiastraeiden dagegen sind die Septen aus- gesprochen bilateral angeordnet, dagegen ist fiederstellige Anordnung nicht zu beobachten. Wegen der Bilateralität des Septalbaues könnte man sie eher mit den Zaphrentiden vergleichen, die indess lauter Einzelkorallen sind, wess- halb auch die fiederstellige Anordnung der Septen gut zum Ausdruck kommt. Bei den meisten coloniebildenden Amphiastraeiden-Gattungen kann man an verschiedenaltrigen Kelchen ein und desselben Stockes beobachten, dass sich die Septen paarweise einschieben. Kopy hat verschiedene derartige Stadien bei Theeidosmilia abgebildet (Pol. Jur. Pl. 115, Fig. 4). Dieselben stimmen mit meinen Beobachtungen an Amphiastraea und anderen überein. Zuerst entsteht Haupt- und Gegen-Septum, dann die Seitensepten, dann ein Paar Septen im Gegensegment, darauf ein Paar im Hauptsegment u. s. w. Dies ist wichtig, da es zeigt, dass die Einschiebung der Septen paarig und zwar nach dem Kunte’schen Gesetz erfolgt. Die Bedeutung, welche diese paarige Einschiebung der Septen im phylogenetischer Hinsicht hat, habe ich weiter unten bei den Styliniden besprochen. Ausnahmsweise konnte ich bei einigen Embryonalkelchen fiederstellige Anordnung der Septen beobachten, bei ausgewachsenen Kelchen indess war die fiederstellige Anordnung nicht mehr vorhanden. Einige coloniebildende palaeozoische Formen, deren systematische Stel- lung zweifelhaft war, nämlich solche wie Colummaria, Stauria, Heterophyllia und Battersbyia, dürften in der That mit den Amphiastraeiden vereinigt wer- den, da der Kelehbau bei diesen zwar bilateral symmetrisch, aber nicht fieder- stellig ist. Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 1 58 Die Korallen der Stramberger Schichten. Bei einem Vergleich von Columnaria mit der Kosy’schen Gattung Schizosmilia (ef. Placophyllia p. 113) fällt sofort die Aehnlichkeit im Habitus, im Septalbau und in der Art der Vermehrung auf (Endothekalknospung). Auch die Gattung Columnaria hat blasige Traversen. Auch die Theilung des Kelches durch Septalknospung findet bei Schizosmilia in der gleichen Weise wie bei Stauria statt. Die verwandtschaftlichen Beziehungen, die zwischen Columnaria und Stauria einerseits und Schizosmilia andererseits bestehen, werden sicherer begründet, wenn man erwägt, dass auch im der Triasperiode Formen vor- kamen, nämlich Pinacophyllum und Coccophyllum, die denselben Habitus, die- selbe Anordnung der Septen und die gleiche Vermehrungsart (Theilung- und Taschenknospung) zeigen. FRECcH stellte diese beiden Gattungen be- kanntlich zu den Zaphrentiden und betrachtet sie „als die letzten Super- stiten der palaeozoischen Pterocorallier“. Zugleich wiess er allerdings auf die Möglichkeit hin, dass hiemit die Kogy’sche Gattung Schizosmika zu ver- gleichen wäre. Auch Kogy erwähnt nur kurz, dass seine Axophylliae als jurassische Ver- treter der sonst nur im palaeozoischen Zeitalter vorkommenden Rugosen zu betrachten seien. Dass die bisher besprochenen Formen sehr viele Anklänge zu palaeozoischen Rugosen haben und mit ihnen verwandt sind, darin stimme ich sowohl mit FrecH als mit Kopy überein. Dagegen kann ich aus Grün- den, die schon oben angegeben wurden, nicht mit Frec# übereinstimmen, . wenn er Pinacophyllum und Coccophyllum zu den Zaphrentiden stellt, noch mit Kosy, wenn er seine Axophylliae als zu den Cyathophylliden gehörig betrachtet. Ehe ich mir hinsichtlich der systematischen Stellung dieser Gruppe ein Urtheil erlauben wollte, hielt ich es für nöthig, auch die Beziehungen dieser Formen zu jüngeren zu untersuchen. Unter dem ziemlich reichen Material, das mir von Stramberg vorlag, fanden sich eine Anzahl Formen, die manchfache Beziehungen zu Amphi- astraea und überhaupt zu den Axophylliae Kopy’s aufwiesen. Es sind das die neuen Gattungen Aulastraea, Selenegyra und Acanthogyra. Von diesen bildet Selenegyra ein Bindeglied von Amphiastraea, Schizosmilia ete. zu Formen wie Aplosmilia, Rhipidogyra, Phytogyra, Placophyllia, Euphyllia, während Acanthogyra zu den mit den letzteren eng verwandten Gattungen Dendrogyra, Psammogyra, Pectinia ete. überleitet. Alle diese Formen sind entweder Einzelformen oder buschige Stöcke, deren Kelchröhren dicht nebeneinander stehen und auch streckenweise ver- wachsen, oder es sind massive Stöcke, deren Kelchröhren ihrer ganzen Länge nach verwachsen und deren Kelche entweder wohl umgrenzt bleiben oder die confluente Reihen bilden können, Amphiastraeidae, 99 Die neue Gattung Aulastraea andererseits verbindet Amphiastraea mit solchen Gattungen, wie Phillastraea, Pachygyra ete., deren einzelne Kelche durch reichlich entwickeltes blasiges Gewebe (Coenenchym) verbunden sind. Wenn nun unter den bisher erwähnten Formen auch solche sind, bei welchen der bilaterale Bau der Septen in ausgewachsenem Zustand nicht mehr zum Ausdruck kommt, weil die Kelche sich sehr in die Länge ziehen oder weil mehrere Kelche zusammenfliessen und eine Reihe bilden, so fasse ich doch alle diese Formen unter der neuen Familie der Amphiastraeiden zu- sammen. Die sämmtlichen hieher gehörigen Gattungen zeigen eben wie be- reits erwähnt Merkmale, die sie von den Rugosen unterscheiden. Andererseits sind aber auch solche Merkmale vorhanden, die sie von den Astraeiden trennen, zu denen ursprünglich die meisten dieser Gattungen gerechnet wur- den. So besitzen die Amphiastraeiden eine ächte Mauer, während bei den Astraeiden keine oder nur eine Pseudotheka vorhanden ist. Ferner sind für die Amphiastraeiden die auf der Mauer vorhandenen Septaldornen cha- rakteristisch und die Septen zeigen bei ihnen nicht, wie bei den Astraeiden eine deutliche Anordnung in Cyelen, sondern es wechseln bei ihnen nur längere und dickere mit kürzeren und feineren ab. Ferner unterscheiden sich die Amphiastraeiden auch hinsichtlich der Septalstruktur von den Astrae- iden, die ich auf Grund mikroskopischer Untersuchungen etwas anders be- grenze als die früheren Autoren. Die Amphiastraeiden-Septen sind glattrandig oder nur sehr fein ge- zähnelt, die Trabekeln sind gleichmässig angeordnet und sehr dicht gedrängt, so dass die Caleificationscentren im Querschnitt eine fast zusammenhängende dunkle Linie bilden. In Folge dessen sind auch die Septen sehr dicht und compact. Ein sehr constantes Merkmal für die Gruppe der Amphiastraeiden ist die reichliche Entwicklung endothekalen Gewebes. Dasselbe bildet im peri- pheren Theil der Kelche meist grosse Blasen, während gegen das Centrum zu die Traversen dicht gedrängter und flacher sind. An den Stellen nun, wo die steil und regelmässig übereinander stehenden grossen äusseren Blasen gegen die feineren und flacheren inneren Traversen endigen, wird manchmal (durch die übereinander stehenden Traversen) eine scheinbare innere Wand hervorgerufen, Wenn sich auch ab und zu, aber verhältnissmässig selten, unter den Astraeiden (einige Montlivaltien und Thecosmilien) zwei Zonen von Traversen unterscheiden lassen, so sind diese doch wesentlich verschieden von denen der Amphiastraeiden. Bei diesen Astraeiden ist nämlich die periphere Zone sehr feinmaschig, während die inneren Blasen grösser sind und entfernter stehen. Die Beziehungen zwischen Amphiastraeiden und Styliniden werden unten, bei Besprechung der Styliniden eingehender behandelt werden. 7* 100 Die Korallen der Stramberger Schichten. Die für die Amphiastraeiden so charakteristische Art der Vermehrung durch „Taschenknospen“ steht mit der Entwicklung des grossblasigen äusseren Gewebes im engsten Zusammenhang, indem sich die Taschen in Blasen, nahe am Rand, bilden. Marginale Knospung, so bezeichnend für die Astraeiden, kommt bei den Amphiastraeiden nur selten vor. Die Septalknospung (Theilung) erfolgt bei den Amphiastraeiden vorzugs- weise in der Medianebene (Richtung des Hauptseptums), wodurch dann zwei halbmondförmige Hälften entstehen (cf. Schizosmilia Kosx — Placophyllia), die bei ihrer weiteren Entwicklung entweder halbmondförmig bleiben (Selene- gyra) oder sich in die Länge ziehen (Aplosmilia, Dendrogyra) oder rundlich werden (Placophylla). Aus dem bisher Gesagten geht hervor, dass die Formen, welche ich zur Gruppe der Amphiastraeiden stelle, auch noch wegen anderer wichtiger Merk- male als die Bilateralität der Septen zusammen gehören und eine phyloge- netische Reihe bilden von palaeozoischer Zeit bis zur Gegenwart. Die Bilate- ralität der Septen ist ein Merkmal, das sich erst sehr spät in dieser Gruppe verwischt hat und zwar durch Wachsthumsbedingungen, hauptsächlich durch rasch und unregelmässig vor sich gehende Theilung. Bei Gattungen, wie Dendrogyra liess sich indess an jungen Kelchen die Bilateralität noch nach- weisen. Das Vorkommen von Septaldornen auf der Wand bei den meisten Amphiastraeiden-Gattungen ist eine Eigenthümlichkeit, die bei den Astraeiden nicht zu beobachten ist. Bei mikroskopischer Untersuchung im Querschliff sieht man, dass von der dunklen Linie der Wand Ausläufer rechtwinkelig abzweigen und in der Mitte der Septaldornen verlaufen. Die feinen Aragonit- fasern, die von der dunklen Linie der Wand, wie des Septaldornes ausstrahlen, sind nicht büschelformig angeordnet, sondern verlaufen parallel zu einander und rechtwinklig zur dunklen Linie nach Aussen. Auch in die eigentlichen Septen setzt die dunkle Linie von der Mauer aus continuirlich fort. Hieraus geht hervor, dass die Verhältnisse zwischen Septen und Mauer hier die gleichen sind wie bei den Turbinoliden. Bei den Amphiastraeiden wachsen, ebenso wie bei den Turbimoliden, Mauer und Septen meistens gleichmässig in die Höhe. Es giebt aber auch bei beiden Familien eine Anzahl Gattungen, in welchen die Septen im Wachsthum der Mauer etwas voraneilen, d.h. wo sie überragend sind. Nun wachsen aber die Septen da, wo sie gerade über der Mauer sind, rascher als wie innen gegen das Kelcheentrum, wodurch dann die Septen über dem Kelchrand kammerartige Erhöhungen bekommen. Da nun die Amphiastraeiden in der feineren Struktur der Septen und Wand sehr viel Uebereinstimmung mit den Turbinoliden zeigen und da ich glaube, dass die feinere Struktur für die systematische Stellung der Korallen mehr Berücksichtigung verdient als bisher, so bin ich der Ansicht, dass sich Opisthophyllum. 101 die Amphiastraeiden besser an die Turbinoliden anschliessen als an die Astraeiden. Die Turbinoliden umfassen nur Einzelformen, diese unterscheiden sich aber doch leicht von den wenigen Einzelformen der Amphiastraeiden (z. B. Opisthophylium) durch das Fehlen bilateraler Symmetrie im Septalbau. Zum Schluss sei noch darauf hingewiesen, dass bei einigen Gattungen der Amphiastraeiden, nämlich bei Acanthogyra auch auf den grösseren Septen feine Ausläufer zu beobachten sind, die genau wie die Septaldornen auf der Wand aussehen. Auch hinsichtlich der feineren Struktur stimmen sie voll- kommen überein. Der feineren Struktur nach würden dann diese Septen als eine Art Wand aufzufassen sein, die ebenso, wie die eigentliche Wand, mit Septal- dornen besetzt ist. Wie ich in einer anderen Arbeit schon hervorgehoben habe, besteht bei den Korallen hinsichtlich einer ächten Wand und eines Septums kein wesentlicher Unterschied und wir sind nur gewöhnt, die tangen- tial gestellten Skelettheile als Wand, die radiär gestellten dagegen als Septen zu betrachten. Diese Dornen auf den Septen können nicht mit Granulationen der Astraeiden-Septen verglichen werden, da sie ganz anders gebaut sind. Diese Familie, die wie bereits erwähnt, im palaeozoischen Zeitalter be- ginnt und bis zur Jetztzeit reicht, gewinnt das Maximum ihrer Entwicklung im oberen Jura und in der Kreide. Die mit den Amphiastraeiden nahe ver- wandten Turbinoliden treten erst in der Kreidezeit etwas stärker hervor und erlangen ihre Hauptblüthe im Tertiär und namentlich in der Jetztzeit. Wie ich in Trans. Roy. Soc. London 1896 näher ausgeführt habe, leite ich die Amphiastraeiden und Turbinoliden von den Zaphrentiden ab. Gen. Opisthophyllum Ocınvır. Einzelkorallen lang, eylindrokonisch, comprimirt. Kelehgrube tief, ver- längert, excentrisch. Haupt-, Gegen- und Seiten-Septen stark ausgeprägt. Im Hauptsegment befindet sich eine Gruppe längerer Septen, alle gleich lang und gleich stark, auf jeder Seite des Hauptseptums meist drei solcher Septa (ohne das Seitenseptum). Das Gegensegment von beträchtlicher Grösse, un- gefähr °/ı des ganzen Flächenraumes einnehmend. In diesem Segment sind nicht weniger als 12 längere Septen vorhanden, von welchen die den Seiten- septen zunächst stehenden gegen diese gerichtet sind und sich an dieselben anlegen. Mit sämmtlichen längeren Septen des Kelches alterniren kürzere Septen, nur etwa ?/s so lang, aber ebenso dick wie erstere. Ausserdem sind noch am Kelchrand kurze Septalstreifen eingeschaltet. Durch die Verdickung und Verschmelzung der inneren Enden der langen Septen bildet sich ein in der Verlängerung der Seitensepten gelegenes falsches Säulchen. Traversen sehr häufig, blasig, regelmässig angeordnet, im peripheren Theil steil gestellt. Wand dick, mit starker runzeliger Epithek bedeckt. Knospung intracalycinal 102 Die Korallen der Stramberger Schichten. und marginal (Taschenknospung) und gewöhnlich am Rande des Hauptsegments. Die zu dieser Gattung gehörigen Korallen haben ihrem Habitus nach grosse Aehnlichkeit mit der jurassischen Gattung Lingulosmilia Kogy. Hinsichtlich der Septalbaues unterscheidet sich indess Zingulosmilia von Opisthophyllum durch das auffallend starke und hervorragende Hauptseptum, gegen welches die nächststehenden convergiren. Hinsichtlich der Traversen findet man bei Kosy nichts erwähnt, auch seine Abbildungen geben in dieser Richtung keinen Aufschluss. Die Art der Gruppirung der Septa im Hauptsegment ist bei Opistho- phyllum genau dieselbe wie bei Amphiastraea Er. und Mitrodendron Quanst., die beide jedoch coloniebildende Formen sind und sich ausserdem noch durch geringere Zahl der Septen und weniger entwickelte Traversen unterscheiden. Opisthophyllum Zitteli Ocı.vıe. — Taf. XH, Fig. 11, 11a, 11b, I1e, 11d. Lange, comprimirte Zellröhren, im Querschnitt nierenförmig. Die äussere Begrenzung des Gegensegments entspricht der convexen Seite, während jene des Hauptsegments geradlinig oder concav ist. Durchmesser 20 : 14 mm bei einem Exemplar, bei einem andern 19:13 mm. Im Hauptsegment sind auf jeder Seite des Hauptseptums je 3 längere und damit alternirend 3 kürzere. Im Gegensegment reichen, ausser den Seitensepten noch 10 andere bis zum Centrum. Zwischen diesen und den Seitensepten sind auf jeder Seite noch 4 längere Septa eingeschaltet, die gegen die Seitensepten convergiren und mit ihnen verschmelzen. Auch im Gegensegment alterniren mit diesen längeren Septen kürzere, so dass man in einem Kelch gegen 50 gut entwickelte Septen zählt. Ausserdem kommen zwischen diesen Septen ganz am Rand noch kurze Septalstreifen vor. Traversen zahlreich, im peripheren Theil steiler gestellt. Wand sehr dick, mit feinen Costalstreifen versehen. Epithek wohl entwickelt. Allgemeine Bemerkungen: Die eigenthümliche Form des Kelches, und die Zahl und Grösse der Septen unterscheidet diese Art leicht von den beiden unten beschriebenen Arten. Zahl der untersuchten Stücke: 4. Vorkommen: Stramberg. Opisthophyllum vesieulare OGınvie. — Taf. XII, Fig. 15, 15a, 15b, 15c, 16. Taf. XII, Fie. 14, 14a. Cylindrische, wenig comprimirte Zellröhren, 30:24 mm im Durchmesser. Der Kelchquerschnitt nähert sich (im Gegensatz zu voriger Art) mehr einer Ellipse. Septen wie bei voriger Art angeordnet, nur dicker. Traversen klein und feinmaschig. Die verschmelzenden Septalenden bilden im Verein mit den Opisthophyllum. 105 Traversen ein schwammiges, falsches Säulchen. Im peripheren Theil steigen die Traversen seitlich an die Fläche der längeren Septen etwas in die Höhe, wodurch das ziekzackförmige blasige Gewebe der Randzone hervorgerufen wird, wie es Taf. XII, Fig. 15b dargestellt ist. Im centralen Kelchtheil sind die Traversen flacher und in gleichmässiger Höhe von einem Septum zum andern verlaufend, wie dies in Fig. 15c zu sehen ist. Wand dick, mit zahl- reichen feinen Costalstreifen versehen, die sämmtlichen Septen und auch den Spiralstreifen entsprechen. Epithek gut entwickelt. Allgemeine Bemerkungen: Das in Fig. 16 abgebildete Exemplar zeigt eine eigenthümliche Verdrehung der Kelchröhre. Zugleich bemerkt man folgende eigenthümliche Erscheinung. Ein Querschnitt an der unteren Fläche des Bruchstückes zeigt die Septen in der für die Gattung charakteristischen Anordnung, d. h. die längere Axe..des comprimirten Kelches steht senkrecht zum Hauptseptum. Ein Querschnitt an der oberen Fläche des Stockes hingegen zeigt, dass die längere Axe mit der Richtung des Hauptseptums zusammenfällt. Zahl der untersuchten Stücke: 3. Fundorte: Stramberg, Jgnatziberg. Opisthophyllum minimum Ocıvır. — Taf. XII, Fig. 12, 13, 14. Cylindrische Kelchröhren, nahezu rund im Querschnitt, 16:14 mm im Durchmesser. Im Hauptsegment 6 längere, sämmtlich bis zum Säulchen reichende, gleich starke Septen, im Gegensegment sind 8 bis zum Säulchen reichende Septen vorhanden. Zwischen diesen und den Seitensepten finden sich auf jeder Seite 4, gegen das Seitenseptum gerichtete, aber nicht mit ihm verschmelzende Septen. Zwischen all diese Septen schieben sich sowohl im Haupt- wie im Gegensegment noch kürzere Septen ein, so dass die Ge- sammtzahl der Septen in einem Kelch 48 beträgt. Traversen fein und reich- lich entwickelt. Wand mit runzeliger Epithek versehen. An der Aussenseite der Kelchröhren sind ab und zu unregelmässige Vorsprünge zu beobachten, die durch Taschenknospung bedingt sein dürften. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art hat hinsichtlich des Septal- baues und der Form des Kelches viel Aehnlichkeit mit Opisthophyllum vesi- eulare. Man könnte dadurch vielleicht veranlasst werden die eben beschriebene Form als Jugendform von O. vesiculare aufzufassen, dagegen spricht indess, dass der Durchmesser der Kelchröhren, wie aus den vorliegenden Stücken hervorgeht, auf grössere Höhe vollkommen gleich bleibt. Ausserdem sind bei O. minimum die Traversen sehr fein und gleichmässig im gangen Kelch ent- wickelt. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Vorkommen: Stramberg, Juwald, Koniakau. 104 Die Korallen der Stramberger Schichten. Gen. Amphiastraea Yırauvon. 1858. Amphiastraea Er. Ray. du Haut-Jura p. 100. 1858—60. » From. Introduetion p. 231. 1879. > Zirmern Handbuch Vol. I, p. 255. 1384. Phymastraea Dencan Madrep. p. 106. 1889. Amphiastraea Kosy Polyp. jurass. pp. 432, 572. Massive Colonien bildend. Kelchröhren parallel, polygonal und ihrer ganzen Länge nach mit einander mittelst ihrer Wände verbunden. Die Kelch- grube ist sehr tief. Im Hauptsegment des Kelches sind 5 Primärsepten vor- handen, von welchen die 2 äusseren als Seitensepten und das mittlere, ver- längerte als Hauptseptum betrachtet werden kann. Sehr oft sind diese 3 Septen besonders dick und hervorragend. Im Gegensegment treten 3—5 kurze Primärsepten auf. Zwischen diesen Septen schiebt sich noch ein zweiter Cyelus und jedenfalls theilweise ein dritter Cyclus von Septen ein. Am Kelchrand sind ausserdem eme grosse Anzahl ganz kurzer und gleichmässig starker, feiner Septaldornen vorhanden. Die Septen sind sehr fein gezähnelt, womit auch die mikroskopische trabekuläre Bau der Septen vollkommen übereinstimmt. Die Traversen sind zahlreich, fein und regelmässig angeordnet; mitten im Kelch fast horizontal und bodenartig, nahe am Rand dagegen schräg, zuweilen senkrecht gestellt. Die Vermehrung erfolgt durch intracalyemale marginale Knospung („Taschenknospung“ versch. Autor.) ganz besonders in den Ecken der Kelche. Dadurch dass meist mehrere solche Knospen gleichzeitig im Mutterkelch auf- treten, wird oft auf ziemliche Strecken zwischen Mutterkelch und Knospen eine Art Wand gebildet. Erauzon und Kogy haben dies für eine ächte Wand gehalten. Erauuon beschrieb eine äussere Umrandung des Kelches durch Epithek, die nur sehr locker mit der Wand zusammenhänge. Kosy spricht dagegen von zwei Wänden, einer inneren und einer äusseren, welch letztere mit Epithek bedeckt sei. Ich konnte imdess aussen am Kelch eine — ihrer Struktur nach — ächte Mauer beobachten, während die sogenannte innere Wand Kosr’s eine Erscheinung ist, hervorgerufen zum Theil durch die nahezu senkrechte Stellung der Traversen in der Randzone, hauptsächlich aber durch rasche Randknospung, verbunden mit nachträglicher Contraetion und Abtrennung des Mutterkelches. Diese „Wand“ ist ihrer Entstehung nach oft nur streckenweise in den Kelchen vorhanden; zuweilen umgibt sie den Mutterkelch ganz, zuweilen fehlt sie. Eine derartige Bildung ist nach meiner Ansicht analog der „Pseudo- theka“ der meisten Astraeiden. Ich habe schon (p. 92 u. 93 oben) diese Ver- hältnisse in Bezug auf Uebergangsstadien zwischen paläozoischen und jüngeren Korallen eingehender behandelt. Ich halte „Taschenknospung“ für eine Amphiastraea. 105 frühere und alterthümlichere Vermehrungsart als „Selbsttheilung“; von dieser letzteren unterscheidet sich die phylogenetisch frühere Methode hauptsächlich durch den langsameren Verlauf der Entwicklungsstadien in dem knospenden Theile des Mutterkelches. Wie schon gesagt, wäre die „äussere Wand“, nach Erauvon und Kosgy, mit Epithek umgeben. Nach meinen Beobachtungen der Stücke, auch durch mikroskopische Untersuchungen, konnte ich keine Epithek constatiren. Viel- leicht waren diese Autoren hiezu dadurch veranlasst, dass durch die bereits erwähnten feinen Septaldornen auf der Mauer alternirende concentrische Er- höhungen und Vertiefungen hervorgerufen werden, die mit Epithekalringen verwechselt werden können. Diese Septaldornen, die dann scheinbar unter (der sogenannten Epithek liegen, nennen Erarvon und Kopr „Costen“. Duncan (Madreporaria pg. 106) vereinigte die jurassische Gattung Amphiastraea mit der recenten und früher aufgestellten Gattung Phymastraea E. und H. Ich halte diese Vereinigung nicht für richtig, denn beide unterscheiden sich sehr wohl in wichtigen Punkten. Während bei Amphiastraea die Kelch- röhren ihrer ganzen Länge nach mittelst der Mauer verbunden sind, ragen bei Phymastraea zwischen der Epithek, welche die einzelnen Zellröhren um- gibt, breite Auswüchse hervor, vermittelst welcher die Zellen verschmelzen. Das Säulchen ist bei Phymastraea spongiös und scharf hervortretend, während bei Amphiastraea ein Säulchen fehlt, sofern man nicht das verlängerte Haupt- septum als solches bezeichnen will. Amphiastraea graecilis Kosy. — Taf. XII, Fig. 17, 18, 19. 1889, Amphiastraea gracilis Kosy Polyp. jur. p. 434. Pl. 115. Fig. 3. Grosse massive Stöcke bildend, die aus lauter prismatischen, nach Art der Basaltsäulen eng aneinander stehenden, Kelchröhren gebildet sind. Kelche in ihrem Umriss oft regelmässig hexagonal. Durch die Knospung in den Ecken wird häufig auch ein rundlicher Querschnitt des Kelches bedingt. Kelchdurchmesser 3—4 mm. Meist sind die 4 hauptsächlichsten Septen, nämlich Haupt-, Gegen- und Seitensepta deutlich zu unterscheiden. Neben diesen treten noch 4 weitere besonders hervor, so dass man von einem ersten Cyelus von 8 Septen, die aber sehr streng bilateral angeordnet sind, sprechen kann. Zwischen diesen schiebt sich ein zweiter Cyclus von 8 Septen von geringerer Grösse und Länge ein. Ein dritter Cyclus meist theilweise, selten vollkommen vorhanden. Bemerkenswerth ist, dass dieser dritte Cyclus im Hauptsegment des Kelches vollkommen vorhanden sein kann, während er im Gegensegment ganz fehlt. Am Rand schiebt sich ausserdem noch eine grosse Anzahl feiner, kurzer Septaldornen ein. Diese sind ziemlich regelmässig an- 106 Die Korallen der Stramberger Schichten. geordnet, meist 3—4 zwischen zwei benachbarten Septen des ersten und zweiten Cyclus. Traversen im peripheren Theil blasig, im centralen Theil des Kelches flacher, bodenförmig. Allgemeine Bemerkungen: Von dieser Art liegen mir eine Anzahl gut erhaltener Bruchstücke vor, deren grösstes eine Höhe von 26 em besitzt. Obwohl Kosyr wegen des schlechten Erhaltungszustandes seiner Exemplare keine näheren Angaben über die Anordnung der Septen machen konnte, bin ich doch über die Zugehörigkeit der Stramberger Exemplare zur A. gracilis Kosy nicht im geringsten Zweifel. A. gracilis unterscheidet sich nach Kogy von A. basaltiformis Er. durch geringeren Kelchdurchmesser und grössere Zahl der „Costen“ (d.h. der Septaldornen). Beide Arten sind jedenfalls aufs engste verwandt und vielleicht ist A. gracilis nur eine Varietät der basaltiformis. Zahl der untersuchten Exemplare: 8 (Bruchstücke). Fundorte: Stramberg, Kotzobenz, Koniakau; ausserdem Soyhieres, (Corallien blanc). Amphiastraea eylindriea OcıLvız. — Taf. XII, Fig. 8, 9 und 10. Stock eylindrisch, bis zur Oberseite mit dicker Epithek bedeckt. Kelch- röhren mittelst ihrer polygonalen Wände verwachsen, 21/,—4 mm im Durch- messer. Septen kurz, wenig entwickelt, nach Aussen nicht bis an die Wand reichend. Bilateralität vorhanden. Die Septen im Hauptsegment etwas länger, jene im Gegensegment ganz rudimentär, gewöhnlich S—12 an Zahl. Zwischen den Septen und der Wand mehr oder weniger blasiges Gewebe entwickelt, nach Innen nicht regelmässig begrenzt und dadurch den Anschein einer so- genannten Innenwand nicht hervorrufend. Auf den Wänden und theilweise auch auf den Blasen sind kurze Septaldornen vorhanden. Vermehrung er- folgt durch intracalycinale Knospung im blasigen Gewebe nahe der Mauer, wodurch dann die Kelche ein rundliches Aussehen erhalten. Ausserdem findet auch noch Theilung in der Richtung der Medianebene statt. Diese Art zeigt hinsichtlich der eylindrischen Form des Stockes, dann der mit den Wänden eng verwachsenen Kelchröhren und der rudimentären Septen im Gegensegment grosse Uebereinstimmung mit der Gattung Theei- dosmilia Kosy, von der bis jetzt nur eine einzige Art Th. valvata aus dem Astartien bekannt ist. Nach Kosy sind aber bei T’hecidosmilia die Traversen horizontale Böden, in gleichen Abständen angeordnet und von der Wand bis zum Kelcheentrum reichend. Bei A. cyländrica sind (cf. Fig. 9) die Blasen in der äusseren Zone etwas gröber und weiter als in der inneren. Diese Art unterscheidet sich von A. gracilis durch die geringere Zahl der Septen und namentlich durch die rudimentäre Entwicklung der Septen im Gegensegment. Ferner ist es bei A. eylindrica fast die Regel, dass die Septen vom Kelch- Aulastraea. 107 rand durch reichliche Entwicklung der Taschenknospen zurückgedrängt wer- ‚len. In dieser Hinsicht hat A. eylindrica mehr Aehnlichkeit mit A. basalti- formis Er. Bei beginnender Theilung werden die Kelche länger und schnüren sich in der Medianebene etwas ein, wodurch die Kelche sozusagen ein etwas bretzenförmiges Aussehen erlangen. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg. Sen, Aulastraea Ocıvvın. Stöcke kurz konisch mit ebener Oberfläche. Von dieser gehen entweder kurze astartige Fortsätze aus, oder die Stöcke bleiben massiv und breiten sich aus. Epithek umkleidet die Stöcke vollständig mit Ausnahme der fast ebenen Oberseite. Es ist ein längeres Septum (Hauptseptum) vorhanden, das bis über die Kelchmitte in den Kelch hineinragt. In Bezug auf dieses Septum lassen die übrigen Septa eine gewisse Bilateralität erkennen. Septen glatt- randig, an Länge nicht sehr verschieden. In allen, mit Ausnahme von den Jugendkelchen, reichen nun die Septen nicht bis an die Mauer. Es schiebt sich vielmehr zwischen den Septen und der Mauer noch eine breite Zone grobblasigen Gewebes ein, in welcher häufig wie in einem Art Coenenchym neue Knospen auftreten. Im inneren Theil zwischen den Septen sind die Traversen flach, fein und dicht gedrängt. An der Grenze zwischen der grob- blasigen äusseren und der flachen inneren Zone endigen die äusseren groben und steilgestellten Traversen sehr regelmässig übereinander, wodurch der An- schein einer inneren Wand hervorgerufen wird. Die eigentliche Mauer ist ausserhalb der grobblasigen Zone und die Septen reichen ursprünglich bis an sie heran. Man erkennt indess auch noch später auf der Mauer Reihen von Septaldornen, die theilweise auch auf die groben Blasen fortsetzen. Die Vermehrung erfolgt durch intracalycinale Knospung (Taschenknospung) im grobblasigen äusseren Gewebe, gewöhnlich nahe am Rand. Diese Gattung hat sowohl zu palaeozoischen Gattungen, wie Endophyllum, Spongophyllum, als auch zu verschiedenen jurassischen Gattungen aus der Amphiastraeiden-Gruppe Beziehungen, über die bei Beschreibung der hieher gehörigen Species des Näheren gesprochen werden soll. Aulastraea Schäferi Ocınvır. — Taf. XII, Fig. 1—7. Von einer stumpf- oder eylindroconischen Einzelkoralle aus erheben sich mehrere dicke kurze astförmige Stümpfe, wobei jeder Ast an seinem oberen 108 Die Korallen der Stramberger Schichten. Ende mehrere Kelche zeigt. Der ganze Stock ist bis oben mit starker runze- liger Epithek überzogen. Die einzelnen Aeste sind rundlich oder elliptisch, die grosse Axe beträgt 50—36 mm, die kleine 20—26 mm. Aussenwand dick. Auf der Innenseite der Wand sind feine Septaldornen, etwa 9 auf der Breite von 5 mm, vorhanden. Die Septen sind nur auf den centralen Theil des Kelches beschränkt, während der äussere nur von grossblasigem Gewebe ausgefüllt ist. Zwischen der inneren und der äusseren Zone ist eine Wand nicht vorhanden. Septen von octomerer Anordnung, an Stärke alternirend, in 4 Cyclen vorhanden. 8 Septen reichen bis nahe zum Kelchcentrum, die nächsten 8 sind nur sehr wenig kürzer. Eines der Primärsepten (das Haupt- septum) ist besonders lang und am Ende etwas verdickt, wodurch die bila- terale Symmetrie zu Stande kommt. Bei jungen Kelchen ist zu beobachten, dass der vierte Cyclus noch nicht ausgebildet ist und dass die Septen des dritten Cyelus nur im Gegensegment vorhanden sind. Die Traversen im Innern des Kelches sind sehr regelmässig, ganz flach und im Vergleich mit den äusseren groben Blasen sehr eng stehend. Die Vermehrung ist intra- calyeinal und zwar entstehen in dem grobblasigen äusseren Gewebe innerhalb einer oder mehreren Blasen neue Knospen. Auch auf den groben äusseren Blasen lassen sich ab und zu feine Septaldornen, wie sie auf der Mauer vor- kommen, beobachten. Allgemeine Bemerkungen: Bei der Knospenbildung lassen sich fol- gende Stadien beobachten. Ursprünglich findet man in einer cylindroconischen Koralle nur einen Kelch, an den die Mauer allseitig ziemlich nahe herantritt, da in diesem Stadium das äussere grossblasige Gewebe nur spärlich entwickelt ist. Beim Weiterwachsen vermehrt sich das grobmaschige Gewebe rasch und nimmt eine breitere Zone um den Kelch ein, wodurch dann die Mauer weiter nach Aussen rückt. Später bilden sich dann innerhalb der grossen äusseren Blasenzone eine oder mehrere neue Knospen, die ursprünglich ziemlich nahe am Rand stehen, beim Weiterwachsen aber allseitig mit grossblasigem Gewebe umgeben werden. Später zweigt dann häufig ein neu gebildeter Kelch oder eine Gruppe neuer Kelche, die durch das grobe Blasengewebe verbunden sind, von dem ursprünglichen Ast ab und diese wachsen nahezu parallel mit ihm in die Höhe. Diese neuen Aeste sind natürlich auch äusserlich von der Mauer und von Epithek umgeben. An der Stelle, wo zwei Aeste von einander abzweigen, erkennt man dann im Querschnitt, wie sich zwischen das grobmaschige Ge- webe die Mauer einschiebt und so die zwei Kelchgruppen von einander trennt. Diese Art der Vermehrung ist im Wesentlichen die gleiche wie die Taschen- knospung, die bei der ganzen Gruppe der Amphiastraeiden zu beobachten ist. Eigenthümlich ist nur das grobmaschige äussere Gewebe, das innerhalb eines Astes mehrere verschieden alte Kelche wie mit einem Art Coenenchym verbindet. Aulastraea. 109 Man kann jeden derartigen Ast als eine Colonie von Kelchen betrachten, die mittelst Coenenchym verbunden sind. Es entwickeln sich ja auch meistens bei derartigen noch heute lebenden Colonien die Knospen im Coenenchym, wie es in analoger Weise bei dieser jurassischen Art der Fall war. Von Coenenchym im gewöhnlichen Sinne des Wortes kann man allerdings nicht sprechen, da ja nach dieser Auffassung auch dann, wenn innerhalb der Mauer nur ein einziger Kelch vorhanden ist, dieser Einzelkelch von Coenenchym umgeben wäre. Ausserdem sprechen auch die auf der Mauer vorhandenen Septaldornen dafür, dass ein derartiger Einzelkelch einem einzelnen Amphi- astraeakelch sehr ähnlich ist, welch letzterer ja auch im peripheren Theil eine reichlich entwickelte Zone gröberer Blasen besitzt. Bei Betrachtung der unten beschriebenen Aulastraea conferta werden wir sehen, dass Aulastraea auch hinsichtlich der Stockform ganz den Amphiastraeatypus annehmen kann. Aulastraea sieht auf den ersten Blick ganz fremdartig aus und Niemand würde glauben eine jurassische, sondern viel eher eine palaeozoische Form vor sich zu haben. Hinsichtlich des grobblasigen peripheren Gewebes und des nur auf den centralen, eigentlichen Kelch beschränkten Septal-Apparates ähnelt es am meisten den devonischen Gattungen Eindophyllum und Spongo- phyllum. Bei Endophyllum ist allerdings nach Mıtne Enwarps und Haımz die Aussenwand rudimentär und die Innenwand deutlich. Was nun die Innen- wand betrifft, so ist sie jedenfalls auch nur durch steil über einander gestellte Traversen gebildet und nach dieser Auffassung könnte man bei Aulastraea ebenso gut von einer deutlichen Innenwand sprechen, besonders wenn man Exemplare vor sich hat, die so erhalten sind wie die Taf. XI, Fig. 5 und 6 abgebildeten. Bei Fig. 5 ist das ganze Kelchinnere, also der Septalapparat sammt den feinen Traversen ausgewittert und die inneren Grenzen der steil über einander stehenden und mit einander verwachsenen groben Blasen bilden Scheinbar eine solide Kalkröhre. In Fig. 6 sieht man wie von dieser schein- baren Röhre die groben Blasen nach Aussen schräg aufsteigen. Bei Eindo- phyllum abditum ist übrigens auch die Aussenwand ziemlich gut entwickelt und diese Art erinnert vermöge ihrer polygonalen Kelche dann besonders an Aulastraea conferta. Aulastraea ist übrigens vermöge ihres Septalbaues von Endophyllum sehr leicht zu unterscheiden. Bei Endophyllum tritt nämlich die bilaterale Anordnung sehr zurück und die Septen sind dünn, zahlreich und gegen Innen wellig gewunden. Fast noch mehr Beziehungen könnte man zwischen Aulastraea und Spongophyllum anführen. Hier ist eine sogenannte innere Wand nicht mehr zu beobachten und die Septen sind auch verhältniss- mässig kräftiger und zeigen eine Neigung zu bilateraler Symmetrie (cf. Spongo- phyllum Büchelense Schvürer, Anthoz. d. rhein. Mitteldevon, Abhandlung. z. Geol. Specialkarte von Preussen. Bd. VII, 4, p. 63. Taf. VII, Fig. 8). Auch die Erscheinung, dass bei Aulastraea Aeste vorkommen, die im Innern 110 Die Korallen der Stramberger Schichten. nur einen einzigen (aussen von Blasen umgebenen) Kelch haben, finden wir bereits bei der devonischen und mit Spongophyllum aufs Engste verwandten Gattung ZEndophyllum wieder. Wenn nun auch aus dem bisher Gesagten hervorgeht, dass zwischen Aulastraea und den eben erwähnten devonischen Gattungen sehr viele enge Beziehungen bestehen, so unterscheidet sich Aulastraea doch sehr wesentlich von ihnen, da es die fiederförmige Anordnung der Septa nicht zeigt, die z. B. für Spongophyllum sicher nachgewiesen ist. Zahl der untersuchten Exemplare: 20. Fundorte: Stramberg, Willanowitz. Aulastraea eonferta Ocınyıe. — Taf. XI, Fig. 1, la, 1b. Breite, eylindroconische, oben abgeflachte Stöcke mit starker runzeliger Epithek umgeben. Die einzelnen Kelchröhren sind mit ihren Wänden ganz verwachsen. Kelche unregelmässig polygonal, S—10 mm im Durchmesser. Septa nicht ganz bis zur Wand reichend. Im peripheren Theil des Kelches meist nur grobblasiges Gewebe. Kelchgrube excentrisch, Septen bilateral angeordnet. Im Hauptsegment sind 5—7 fast parallele längere Septen vor- handen, im Gegensesment eine unregelmässige, aber grössere Anzahl kurzer Septen. Traversen im Innern des Kelches flach und dichter auf einander folgend. Vermehrung durch reichliche Entwicklung von Knospen im (äusseren) blasigen Theil des Kelches. Knospen bald wieder durch ächte Wände vom Mutterkelch getrennt. Auf den Wänden Septaldornen zu beobachten, Allgemeine Bemerkungen: Die jungen Kelche dieser Art zeigen, dass die Septen noch bis an die Wand reichen und dass die längeren Septen auf beiden Seiten des Hauptseptums genau so angeordnet sind, wie es in Amphiastraea oder Opisthophyllum der Fall ist. Das grobblasige äussere Gewebe schiebt sich sehr bald ein. Hiedurch ist die Zugehörigkeit dieser Art zu Aulastraea bedingt, wenn auch der Habitus des Stockes sehr an Amphiastraea erinnert. Von der Aulastraea Schäferi unterscheidet sie sich durch geringere Kelchgrösse und durch den Habitus sowie durch die rasche Entwicklung neuer Wände, wodurch die Zellen sich eng aneinander legen und polygonal werden. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundort: Stramberg. Sclerosmilia. Pseudothecosmilia. al Gen. Selerosmilia Kopr: 1889. Selerosmilia Kopy, Polyp. Jur. p. 426. Koralle einfach, lange cylindrische Röhren bildend. Kelch rund, mit excentrischer Kelchgrube. Septen zahlreich, eyclische Anordnung nicht zu unterscheiden. Hauptseptum lang, nicht dicker als die übrigen, Gegenseptum kurz, Seitensepta von den übrigen kaum zu unterscheiden. Traversen grob- maschig, blasig. Wand mit Epithekalringen umgeben. Selerosmilia Strambergensis OcıLvız. — Taf. XII, Fig. 21, 22. Cylindrische Röhren, 13—18 mm im Durchmesser. Im Kelch sind 10—12 längere Septen vorhanden, die gegen das Centrum zu etwas verdickt sind, zwischen diesen Septen von gleicher Dicke aber nur halb so lang. Bei einem Kelchdurchmesser von 13 mm beträgt die Länge des Hauptseptums ca. 8 mm, die des Gegenseptums 3—4 mm. Nahe am Kelchrand sind noch eine unbestimmte aber grosse Zahl feiner kurzer Septen vorhanden. Auf die Breite von 5 mm treffen 14 solche Septen. Traversen sehr dick, nahe der Peripherie steil gestellt und dadurch im Querschnitt scheinbar concentrische Ringe bildend. Allgemeine Bemerkungen: Keines der mir vorliegenden Stücke ist vollständig erhalten. Sie sind alle oben und unten abgebrochen. In Folge dessen kann ich weder über die Kelchgrube, den Septalrand noch über den Embryonalkelch Näheres angeben. Kopy beschrieb aus dem Corallien blane zwei Formen, für welche er die Gattung Selerosmilia errichtete. Es sind dies die Sel. rugosa und Sel. Laufonensis. Beide unterscheiden sich von der Stramberger Art durch eine grössere Zahl gut entwickelter Septen. Die Stramberger Art nähert sich hinsichtlich der Kelchgrösse und der nahezu radiären Anordnung der Septen der Selerosmilia Laufonensis. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundorte: Stramberg, Jgnatziberg. Gen. Pseudothecosmilia Kopr. 1889. Pseudothecosmilia Kosy, Polyp. Jurass. p. 428. Buschige Stöcke mit langen cylindrischen oder comprimirten Kelchröhren. Kelchgrube excentrisch. Septen zahlreich, meist an Grösse alternirend. An das Hauptseptum legen sich eine Anzahl der nächststehenden Septa mit ihren inneren Enden an. Die Seitensepten gut ausgeprägt. Wenn die Kelchröhre 112 Die Korallen der Stramberger Schichten. comprimirt ist, liegen die Seitensepten in der Richtung des grössten Durch- messer. Traversen regelmißssig und ziemlich gleichmässig entwickelt. Wand dünn, mit Epithekalringen umgeben. Knospung meist intracalyeinal, seltener lateral. Diese Gattung nähert sich ihrem Habitus nach sehr der Quexstepr'schen Gattung Mitrodendron, welche M. mitratum von Nattheim umfasste. Mitro- dendron unterscheidet sich aber von ihr dadurch, dass es im Hauptsegment eine Gruppe von 5 längeren (nicht mit einander anastomosirender) Septen besitzt, von welchen das mittlere, Hauptseptum, etwas stärker hervortritt. Pseudothecosmilia Etalloni Kogy. — Taf. XU, Fig. 23, 23a. 1889. Pseudothecosmilia Etalloni Kory, Polyp. Jurass. p. 428. Pl. OXIV, Fig. 1, 2. Buschige Stöcke, deren Kelchröhren sich auf grössere Entfernung be- rühren. Kelche rundlich, etwas comprimirt (10—14 mm im Durchmesser). Septen dick, an Grösse regelmässig alternirend. Zwischen dem Hauptseptum und den Seitensepten auf jeder Seite 3 längere Septen. Dieselben sind gegen das Hauptseptum zu gerichtet und legen sich an dasselbe an. Seitensepten manchmal stark verlängert und sich berührend, eine Art lamelläres Säulchen bildend. Gegenseptum sehr kurz. Zwischen Seitensepten und Gegensepten auf jeder Seite 3 längere Septen, die sich an (die Seitensepta anlegen. Zwischen diesen 16 bis jetzt besprochenen Septen sind, regelmässig damit alternirend und nur halb so lang, 16 ahdere Septen eingeschaltet. Traversen stark und regelmässig angeordnet, im Querschnitt 3 oder 4 mauerähnliche eoncentrische Ringe bildend. Mauer mit leichter Epithek versehen. Alleemeine Bemerkungen: Von dieser Art liegt mir zwar nur ein Bruchstück vor, doch lassen die ausgesprochene Bilateralität der Septen und die scharfe Ausprägung der Seitensepten keinen Zweifel über die Zugehörigkeit dieses Stückes zur Gattung Kosy's. Auch über die Artbestimmung besteht wegen der Grösse und der Zahl der Septen kein Zweifel. Placophyllia rugosa BECKER, (die im Habitus eine gewisse Aehnlichkeit mit Pseudothecosmilia Etalloni hat, ist vermöge ihrer Anordnung der Septen auf den ersten Blick zu unterscheiden. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundorte: Stramberg; ausserdem: Bressaucourt, Hobel (Astartien). Gen. Stylosmilia E. und H. emend. Ocınvız. 1826. Lithodendron (paxs) Gonpruss. Petref. Germ, Taf. I, p. 45. 1840—47. on „ Micneum. Jcon. p. 95. 1848, Stylosmilia EpwArns und Hammer. Compt. rend. de !’Academie des Sc. Taf. XXVII. p. 468. Stylosmilia. 115 1849. Stylosmilia Epwarps und Hase. Ann. des Sc. nat. 3. ser. T. X. p. 275. Pl. 6, Fig. 2. 1849. Placophyllia v’Orsıeny. Note sur des Pol. foss. p. 8. 1850. Cladophyllia (pars) Eopwarps und Hamme. Brit. Foss. Cor. p. 113. 1850. Stylosmilia D’Orsısny. Prodr. T. U. p. 31. 1852. Lithodendron (pars) Quensr. Handb. d. Petrefactenkunde p. 654. 1856. Pleurophyllia Fromenter. Bull. Soc. Geol. France. 2. ser. T. XIII. p. 860. 1357. Stylosmilia Epwaros und Haıme. Hist. Nat. Cor. T. II. p. 220. 1357. Placophyllia ” r ” R 5 = np 222 1858—61. Stylosmilia Fronenteu Introduction p. 147. 1858—61. Placophyllia Fr F p. 148. 1862. h THURMANN et Eaton, Lethaea Bruntrut. p. 361. 7 1875 u. 76. Stylosmilia Becker. Nattheimer Korallen Palaeontogr. Bd.21. p. 139. 1875 u. 76. Placophyllia „ 4 e en Hp 140. 1877. Cladophyllia (pars) Fromenser. Pol. Foss. de Etage Neocomien p. 29. 1576—80. Stylosmilia u. Placophyllia Zur. Handb. T. I, p. 261. 1880. Oladophyllia w’Acuıarpı. Cor. Giur. p. 36. 1884. Stylosmilia u. Placophyllia Duncan. Madreporaria. pp. 77, 73. 1880—89. Cladophyllia (pars) Kory. Pol. Jur. pp. 179, 545, 572. F Stylosmilia e "„_» PP. 60, 538, 566. “ Pleurophyllia ” ” „u B..192: B Schizosmilia ” = „ PP. 435, 572. Stock buschig, niedrig oder hochwachsend, Zellröhren meist gerade, dicht neben einander stehend, ab und zu ihrer Länge nach, oder durch kurze, quer gestellte Fortsätze, verwachsen; Kelchgrube tief. Septen ganzrandig, an Grösse regelmässig alternirend. Eines der Septen ist länger und stark entwickelt, am Oberrand dieses Hauptseptums nahe dem Kelchcentrum ist ein Einschnitt, der das Septum in zwei Theile, einen Septal- und einen Columellartheil scheidet. Mit dem Columellartheil vereinigen sich alle die längeren Septen durch zahnartige Fortsätze, so dass im Kelch das einfache Aussehen von einem mit den Septen vereinigten Säulchen gegeben wird. Traversen sehr zahlreich, innen flach, nach aussen steiler gestellt. Die Vermehrung erfolgt sowohl durch Septalknospung in der Medianebene des Kelches als auch durch extra- calyeinale (laterale oder subbasilare) und intracalyeinale Knospung. Eine ächte Wand, mit Epithek bedeckt, vorhanden. Uebereinstimmung der Gattungen Placophyllia D’ORrz., Pleuro- phyllia From. und Schizosmilia Kosy mit EpwaArns u. Haıme’s Gattung Stylosmilia. Die Gattung Stylosmilia wurde im Jahre 1848 von Mıtne EpwaArns und HAımeE für eine jurassische Art $. Michelini E. H. errichtet. Im folgen- den Jahre hat D’OrBIGNnY die Gattung Placophyllia für eine früher von GoLD- russ beschriebene jurassische Art P. dianthus GLDE. sp. aufgestellt. Beide Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 8 114 Die Korallen der Stramberger Schichten. Gattungen wurden im Jahre 1857 von Epwarps und Haımz aufrecht erhalten; als Unterschiede haben diese Autoren folgende Merkmale angegeben: Stylosmilia. Placophyllia. Septen am Kelchrand debordirend. Septen nicht debordirend. Epithek nicht vorhanden oder zweifel- | Epithek stark, gerunzelt. haft. | Traversen spärlich. Traversen reichlich. Die Aeste bleiben niedrig und sind Die Aeste wachsen in die Höhe und mehr oder weniger mit einander werden frei. verbunden. Für beide Gattungen wurde ein griffelförmiges Säulchen angegeben. Diese Merkmale sind aber nicht ganz richtig. Das Original-Exemplar von Placophyllia zeigt in manchen Kelchen (d. h. in den best erhaltenen) debordirende Septen. Die Traversen sind sehr zahlreich und lassen eine äussere, steiler gestellte Zone, von einer inneren, flachen Zone unterscheiden. Auch hat reichliches Material von demselben Fundort (Nattheim) gezeigt, dass auch Stücke mit höher wachsenden Aesten vorkommen. BECKER (Natth. Kor. p. 140) hat wesentliche Aenderungen in der Diagnose von EDwARDS und Haıme auf Grund seiner Untersuchung des Nattheimer Materiales ge- macht. Er hat besonders hervorgehoben, dass ein sogenanntes comprimirtes oder griftelförmiges Säulchen nicht vorhanden sei, sondern (dass sich nur, wie schon Quesstepr beobachtet hatte, eines der Septen durch Länge und Stärke besonders auszeichne. Bei Pl. dianthus convergiren noch gegen dieses Septum eine Anzahl der nächst stehenden Septen, oft sind alle die langen Septen im Kelch, wenn auch nicht mit dem ganzen Innenrand mit demselben verwachsen. Würde nun ein Querbruch so durch den Kelch gehen, dass er das Säulchen, dann den Fortsatz des Septums und dieses selbst treffen würde, so bekäme man den Eindruck eines verlängerten Septums. Würde dagegen der Querbruch etwas höher oder tiefer verlaufen, so würde er zwischen zwei Fortsätzen eines Septums durchschneiden und man bekäme dann den Eindruck eines vom Septum getrennt stehenden Säulchens. Das Original-Exemplar von Pl. dianthus zeigt in den meisten Kelchen, dass ein Septum länger ist als die anderen. Wo indess die Kelche und namentlich auch der Septaloberrand gut erhalten sind, kann man ab und zu beobachten, dass das Septum gegen (das Kelcheentrum zu einen Einschnitt zeigt, wodurch dann eine Columella genau so wie in Siylosmilia abgetrennt wird. Bei Placophyllia dianthus bekommt der Kelch durch das verlängerte Septum ein bilaterales Aussehen, dies wird oft noch stärker ausgeprägt, wenn der Kelch in der Richtung des verlängerten Septums sich ausdehnt und elliptisch wird, manchmal ist übrigens die Kelchform auch kreisförmig und Stylosmilia. 115 der Septalbau ist in diesem Fall radiär, wie bei Stylosmilia Michelini. In Bezug auf die Anordnung der Septen kann ich keinen wesentlichen Unter- schied zwischen diesen beiden Gattungen finden. Dieselben stimmen auch in der Art der Vermehrung und im Habitus der Stöcke mit einander überein. Es würde also nur das Vorhandensein oder Fehlen von Epithek ein Unter- scheidungsmerkmal bleiben. Manche Abbildungen von Sfylosmilia zeigen in- (less noch Spuren von Epithek. Aus allen diesen Gründen vereinige ich Placophyllia mit Stylosmilia. Die nicht ganz zutreffende Beschreibung dieser Arten durch Mıune EpwArDs und Haımz war jedenfalls Schuld daran, dass von anderen Autoren noch eine oanze Anzahl von Korallen, die die grösste Uebereinstimmung mit Stylosmilia zeigen, unter anderen Gattungsnamen beschrieben wurden. Da v’ÖrBIcnY und Mıune Epwarns und Haıme für Placophyllia ein oriffelförmiges Säulchen angaben, errichtete FROMENTEL für derartige Formen, die ein „Columellar-Septum“ zeigen, die Gattung Pleurophylliia. Bis jetzt finden wir diese Gattung nur bei Kopy wieder erwähnt, der eine neue Art, allerdings mit Fragezeichen hiezu stellt. Wie schon oben erwähnt, ist das Originalstück von Placophyllia genau so wie es FROMENTEL für Pleurophyllia angibt und da die übrigen Merkmale die gleichen sind, ist auch Pleurophyllia einzuziehen und mit Stylosmilia zu vereinigen. Dass die Gattung Calamophyliia nicht mehr aufrecht erhalten werden kann, hat bereits Frecm hervorgehoben, der Calamophyllia mit Thecosmilia vereinigte. Ebenso vereinigte Frecn Cladphyllia p.p. mit Thecosmilia. Die so sehr verbreitete Art Calamophyllia radiata Lam. sp., die Miunt EDwArns und Hamm in (Brit. Foss. Cor.) ausführlich beschrieben haben, gehört nun jedenfalls vermöge ihres Septalbaues zu der Gattung Stylosmilia. Von der Gattung Oladophyllia dürften jedenfalls mehrere Arten hieher gehören, 7. B. 01. Babeana E. und H., (1. Olemeneia From., Cl. Mentonensis v’Acn. und möglicher Weise Ol. Choffati Kopy. Cl. Mentonensis v’Acu. scheint mir wahrscheinlich identisch mit Placo- phyllia rugosa BEcKer und Pleurophyllia alpina Kopy. Die Gattung, Schizosmilia, die Kosy errichtete, ist meiner Ansicht nach ebenfalls identisch mit Stylosmilia. Bei einer Art derselben, nämlich bei Schizosmilia Bollieri Kosy, wies Kopy selbst auf die grosse Aehnlichkeit mit Stylosmilia Michelini hin. Für Schizosmilia Rollieri wäre nur die häufige Selbsttheilung in der Richtung der Medianebene charakteristisch. Es zeigen nun bei Kosy’s eigenen Abbildungen von Stylosmilia Michelini (Pol. Jur. Pl. 13. Fie. 5) mehrere Kelche Anfänge von Selbsttheilung in der Median- ebene. Ausserdem habe ich von Stramberg ziemlich reichhaltiges Material von zwei Arten, die sich sehr nahe an Stylosmilia Michelini anschliessen und diese Arten zeigen ebenfalls Selbsttheilung im allen verschiedenen Stadien, 8* 116 Die Korallen der Stramberger Schichten. wie es Kopy für seine Gattung Schizosmilia abbildet. Ich kann keinen Unterschied zwischen Kosy's Gattung Schizosmilia und Stylosmilia finden und vereinige desshalb Schizosmilia mit Stylosmilia. Was nun die systematische Stellung dieser Gattung anlangt, so ist zu- nächst zu bemerken, dass von den früheren Autoren Stylosmilia und Placo- phyllia neben einander in die Nähe von S£ylina und zu den Astraeiden ge- stellt wurden. Ich finde indess, dass Stylosmilia viel weniger mit Stylina als mit den Amphiastraeiden zu thun hat. Die bilaterale Symmetrie ist bei manchen Arten sehr ausgesprochen. Ferner ist die Septalstruktur und der ganze Habitus übereinstimmend. Ausser der oben erwähnten Theilknospung kommt bei Stylosmilia auch noch marginale Knospung vor, die nichts anderes ist als intracalyeinale Knospung bei den Amphiastraeiden. Knospen bilden sich in dem peripheren blasigen Theil der Kelche und werden gleichzeitig durch eine neue Wand (Tasche) von dem centralen Theil getrennt. Während nun der Mutterkelch rasch weiter wächst, entwickelt sich die Knospe etwas langsam und es sieht dann aus, als ob sie unterhalb des Kelchrandes ent- standen ist. Dass dies aber nicht der Fall ist, beweisen Durchschnitte durch Mutterkelch und Knospe. Dieselbe Erklärung gilt auch für die „äusseren Taschen“ in Zingulosmilia und manche andere Amphiastraeiden -Gattungen. Beziehungen der Gattung Stylosmilia zu den palaeozoischen Gattungen Stauria und Columnaria. Die Gattung Stylosmilia bietet nun ein besonderes Interesse durch ihre grosse Aehnlichkeit mit der gut bekannten palaeozoischen Gattung Columnaria. Sowohl hinsichtlich des allgemeinen Habitus, der Anordnung der Septen und der reichlichen Entwicklung der Traversen, als auch hinsichtlich der marginalen Knospung stimmen diese beiden Gattungen überein. Bei Colum- naria wurde indess bis jetzt Theilung des Kelches durch Verschmelzung zweier gegenüberliegenden Septen (Septal-Knospung) nicht beobachtet. In dieser Hinsicht aber stimmt Stylosmilia mit Stauria überein, die überhaupt mancherlei Beziehungen sowohl zu Columnaria wie zu Stylosmilia aufweist. Frec# (Triaskorallen p. 84) verglich bereits die von ihm errichtete Gattung Pinacophyllum mit Columnaria. Nach ihm unterschied sich Pina- cophyllum von Columnaria hauptsächlich durch kürzere Septen, regelmässige und weit entfernte Böden und die Art der Vermehrung, die ausschliesslich Septalknospung ist. Ebendaselbst (p. 85) bemerkt er auch, dass die Gattung „Schizosmilia“ Kosy vielleicht mit Pinacophyllum zu vergleichen wäre. Dieselben Unterscheidungsmerkmale, die Pinacophyllum von Columnaria trennen, trennen es auch von „Schizosmilia“ Kor — d. h. von Stylosmilia E. und H. emend. aut. — mit einziger Ausnahme, dass letztere Gattung so- wohl Endothekalknospung wie Septalknospung aufweist. Es steht somit Stylosmilia. 117 eigentlich Stylosmilia näher als Pinacophyllum bei Columnaria. Ausserdem steht nach Frectm auch die triasische Gattung Coccophyllum Pinacophyllum nahe. Coccophyllum hat nun sowohl hinsichtlich des Habitus, als hinsichtlich der marginalen Knospung in den Ecken der Kelche grösste Aehnlichkeit mit Amphiastraea. Aus diesen Erwägungen stellte ich, wie bereits oben erwähnt, die Gat- tungen Pinacophyllum, Coccophyllum, sowie die palaeozoischen Gattungen Columnaria und Stauria zu der neu errichteten Familie der Amphiastraeidae. Stylosmila Kobyi Ocınvız. — Taf. XII, Fig. 20, 20a. 1888. Schizosmilia excelsa Kosy. Polyp. Jurass. p. 435. Pl. 114. Fig. 3, 3a, 3b, 3c, 3d. Stock dieht, ästig; Stockoberfläche convex. - Zellröhren rundlich oder comprimirt. Kelchgrube tief. Kelche 4—7 mm im Durchmesser. Haupt- septum länger und etwas höher als die anderen. Es sind 12—16 längere, bis gegen das Centrum reichende Septen und mit denen alternirende, kürzere Septen vorhanden. Die längeren Septen sind an ihren inneren Enden etwas verdickt und verschmelzen manchmal mit einander. Traversen häufig und gut entwickelt. Auf der Mauer sind Reihen von Septaldornen vorhanden. Epithek vorhanden. Der Name Siylosmilia excelsa kann für die Stramberger Form deshalb nicht beibehalten werden, da er bereits durch Toms für eine Koralle aus dem Dogger Englands vergeben ist. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundorte: Stramberg; ausserdem Bressaucourt, Montagne de Courroux (Astartien). Stylosmilia rugosa Becker sp. — Taf. XV, Fig. 4, 5. Lithodendron rugosum Münst. (Manuscript) in Mus. Monac. 1875— 76. Placophyllia (?) rugosa Becker. Natth. Kor. p. 140. Taf. 38, Fig. 9. 1880. Cladophyllia mentonensis p’Acu. Cor. Giur. p. 36. Taf. 18, Fig. 4. 1381. Lithodendron dianthus Quexst. Petrefk. Deutschl. Taf. 170, Fig. 26. 1884. Pleurophyllia (?) alpina Kosy. Polyp. Jur. p. 193. Pl. 56, Fig. 4. Stock buschig, die Aeste zweigen zunächst unter einem grossen Winkel von einem Ast ab und wachsen später damit parallel. Auf diese Weise ent- stehen grosse buschige Stöcke mit dichtgedrängten Zellröhren, die im Quer- schnitt rundlich sind und einen Durchmesser von 5—7 mm haben. Die mir vorliegenden Stücke erreichen eine Höhe bis zu 30 em. Septen 20—24 von gleicher Stärke, von denen die meisten bis zum Säulchen reichen. Hiemit alterniren etwas kürzere und dünnere Septen, aber nicht vollkommen regel- mässig. Zwischen diese kommen am Rand noch ganz rudimentäre, so dass 118 Die Korallen der Stramberger Schichten. man im Ganzen etwa 60 Septen zählen kann. Traversen häufig, fein, Epithek sehr gut entwickelt. Theilknospung in der Richtung des verlängerten Haupt- septums häufig zu beobachten. Ausserdem kommen Knospen am Rand des Kelches vor, d. h. innerhalb des Mutterkelchs. Becker hat bekanntlich die Nattheimer Exemplare nur mit einigem Zweifel zur Gattung Placophyllia gestellt. Das mir vorliegende, sehr reiche Material von Stramberg, stimmt in vollkommenster Weise mit den BEckEr- schen Exemplaren überein und ergänzt sie in einigen Punkten, wesshalb für mich die Zugehörigkeit dieser Art zu derselben Gattung wie die vorangehende Art S. excelsa Kosy sp. nicht zweifelhaft sein kann. S. rugosa BECKER Sp. hat zahlreiche Septen und durchschnittlich etwas grössere Kelche als 8. Kobyi. Bei Besprechung seiner Art Oladophyllia mentonensis erwähnt D’ACHIARDI, dass sie viel Aehnlichkeit mit der Gattung Placophyllia zeigt. Nach der Art des Septalbaues, wie er in Pl. 18. Fig. 4b dargestellt ist, kann die p’Acasarpr'sche Art nicht gut von „Placophyllia?“ rugosa BECKER unter- schieden werden. Dasselbe gilt für Pleurophyllia alpina Kosy (cf. Pl. 56. Fig. Sb), die einzige Pleurophyllia, die Kopy beschreibt und die er selbst nur mit Fragezeichen zu dieser Fromzxrev’sche Gattung stellt. Ich habe schon oben (p. 115) die Uebereinstimmung zwischen Pleurophyllia From. und Stylosmilia E. und H. emend. OcınvıE erwähnt. Zahl der untersuchten Stücke: 24. Fundorte: Stramberg, Koniakau, Wischlitz, Jskritschin; ausserdem Giengen, Nattheim, Mühlithal, Monaco, Mentone. Stylosmilia Koniakensis Ocınyıe. — Taf. XV, Fig. 5, 3a, 5b. Buschige Stöcke mit feinen, dichtgedrängten, nahezu parallel stehenden Zellröhren. Die mir vorliegenden Bruchstücke haben bis zu 10 cm Höhe und 15 cm im Durchmesser. Die Kelche sind rund oder wenig comprimirt 1--1,5 mm, selten bis zu 2 mm im Durchmesser. 12—16 stärkere Septen reichen bis zum Kelcheentrum; zwischen diese schiebt sich noch eime un- bestimmte, aber geringe Zahl sehr kurzer Septen ein. Eines der Septen (das Hauptseptum) ist etwas länger und meist auch etwas dicker als die übrigen. Mit diesem Septum vereinigt sich ab und zu das gegenüberstehende Septum und hiedurch wird in der Mittellmie des Septums eine Theilungs- fläche gebildet, die etwas über die Kelchgrube hervorragt. Auf beiden Seiten dieser Theilungsfläche entwickeln sich dann später zwei neue Kelche. Wand nit dünner Epithek bedeckt. Traversen fein, zahlreich, ziemlich flach. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art ist durch die geringe Kelch- grösse ausgezeichnet. Unter den jurassischen Arten ist vielleicht die Stylos- milia (Calamophyllia) radiata am ähnlichsten, deren Kelche ebenfalls sehr Selenegyra. 119 klein sind, doch zählt man bei ihr 16—20 gut entwickelte Septen (Kory gibt sogar 24—30 an). Auch Stylosmilia Michelini steht jedenfalls sehr nahe, nur hat sie grössere Kelche und es erreichen nur 6 Septen das Centrum. FRoMENTEL beschrieb aus dem Neocom einen kleinen buschigen Stock als Oladophyllia Olemeneia, deren Kelche jedenfalls sehr ähnlich sind. Diese Art würde sicher zu Stylosmilia zu stellen sein, wenn FROMENTEL nicht angeben würde, dass die Septen gezähnelt seien. Auch diese Species zeigt die beiden Vermehrungsarten, die bei dieser Gattung vorkommen, nämlich Theilknospung und intercalycinale resp. submarginale Randknospung. Zahl der untersuchten Exemplare: 20. Fundorte: Koniakau, Kotzobenz, Stanislowitz, Willanowitz. (Gen. Selenegyra ÖGILVIE. Buschige Stöcke mit dicht gedrängten, zuweilen mit sich berührenden Kelchröhren. Kelehröhren comprimirt, im Querschnitt stark nierenförmig bis halbmondförmig. Die Lage des Hauptsegments befindet sich an der kürzeren concaven (Aussen-) Seite des Querschnittes. In ihm sind eine Anzahl (S—12) längere Septen, die bis zu dem etwas excentrisch gelegenen falschen Säulchen reichen. Ungefähr die gleiche Zahl ebenfalls das Säulchen erreichender Septen findet man im Gegensegment. Die Seitensepten befinden sich an den Schmalseiten des Kelchrandes, und neben diesen im Gegensegment noch eine Anzahl gegen dieselben gerichteter Septen. Traversen gut entwickelt, be- sonders reichlich in der Nähe des Kelchrandes. Wand nicht sehr diek, mit Costalstreifen versehen. Epithekalringe spärlich. Vermehrung entweder durch Selbsttheilung (parallel der Längsaxe des Kelches) oder durch marginale intra- calycinale Knospung an den Schmalseiten der Kelche, wobei sich das Ende in der Richtung der Längsaxe der Kelche oft bedeutend in die Länge zieht. Diese Gattung ist nicht nur wegen der manchfachen Beziehungen zu anderen Gattungen, sondern besonders auch desshalb wichtig, weil sie eine ganze Reihe meist mäandriner Formen, hauptsächlich aus dem oberen Jura und der Kreide erklärt. Hinsichtlich der Anordnung und des feineren Baues der Septen schliesst sie sich den bereits besprochenen Gattungen der Amphi- astraeiden in allen wesentlichen Punkten an. Ganz besonders möchte ich auf die Beziehungen zu Amphiastraea, Mitrodendron, Opisthophylium hinweisen und von letzterer Gattung ist es namentlich wieder O. Imare, die durch ihren nierenförmigen Querschnitt bereits sehr an die Kelehform von Selenegyra erinnert. Sonst steht noch besonders die im Jura so häufige Gattung Aplos- milia wegen des Habitus der Stöcke, dann wegen der Art der Vermehrung der Selenegyra nahe. Aplosmilia unterscheidet sich aber durch die mehr elliptische Form des Kelches und durch das ausgesprochen lamelläre Säulchen. 120 Die Korallen der Stramberger Schichten. An Zahl und feinerem Bau der Septen stimmen beide Gattungen sehr gut überein. Bis jetzt wurde noch nie etwas Näheres über die Anordnung der Septa von Aplosmilia berichtet, nämlich ob Bilateralität vorhanden wäre oder nicht. Wenn man indess viele Abbildungen von Aplosmilia durchsieht, findet man doch oft Kelche, in welchen das Säulchen excentrisch liegt und in welchen demgemäss ein Hauptsegment und ein Gegensegment sich unterscheiden liesse. In solchen Fällen stimmt auch die Anordnung der Septen in den Schmalseiten des Kelches mit jener bei Selenegyra. Dass beide Vermehrungsarten, welche bei Selenegyra vorkommen, sich auch bei einer anderen Gattung der Amphiastraeiden finden, nämlich bei Schizosmilia, wurde bereits früher (p. 115) erwähnt. Bei Selenegyra ist die Art der Randknospung insofern von besonderem Interesse, als sie an den Schmalseiten der bereits in die Länge gezogenen Kelche auftritt und zwar in der Verlängerung der langen Axe. Die neugebildete Knospe bleibt meist noch geraume Zeit mit dem Mutterkelch in seitlichem Contact und zweigt erst später ab. Derselbe Vorgang lässt sich auch ab und zu bei Rhipidogyra und Phytogyra beobachten. Derartige Erscheinungen dürften vielleicht auf die Vorgänge bei Bildung der sogenannten maeandrinischen Formen, wie Psammogyra, Pachygyra, Dendrogyra und andere hinweisen. Meiner Ansicht nach ist eine Kelchreihe bei Pachygyra z. B. nicht als eine Reihe einer Un- zahl ganz kleiner, verschmolzener Kelche aufzufassen, sondern besteht aus nicht mehr als 2—3 Rhipidogyren ähnlichen Einzelkelchen. Es wird weiter unten bei Besprechung verschiedener Arten von Isastraea darauf hingewiesen werden, dass bei /sastraea in der Regel die neugebildeten Knospen sehr bald durch eine Wand vom Mutterkelch geschieden werden. Andererseits gibt es aber auch Formen, bei welchen die Knospen vom Mutter- kelch nur theilweise oder gar nicht abgeschieden werden, wodurch längere Zellreihen entstehen (Latimaeandra-Formen früherer Autoren). Zwischen diesen beiden Formen gibt es alle möglichen Uebergänge. Wie sich nun Latimaeandra-Formen und überhaupt maeandrinische Astraeiden zur typischen Isastraea verhalten, ebenso verhalten sich die Dendrogyra-Formen und die anderen oben erwähnten, damit verwandten maeandrinischen Formen zu Amphi- astraea, Schizosmilia, Selenegyra ete. Die den letztgenannten Amphiastraeiden- Formen eigenthümliche Bilateralität verwischt sich natürlich bei Bildung langer Zellreihen. Es gibt indess ausserdem eine Reihe von Merkmalen, welche die verwandtschaftlichen Beziehungen der Dendrogyra-ähnlichen Formen zu den Amphiastraeiden beweisen. Es ist das namentlich die Anordnung der Septen in sehr wenig Cyclen, meist sind es höchstens drei an Grösse verschiedene Septen; ferner ist die feinere Struktur der Septen bei beiden Gruppen die gleiche, insofern, als die Caleificationscentren eine nahezu eontinuirliche Linie in der Mitte des Septums bilden. Die Mauer ist bei beiden Gruppen eine Selenegyra. 121 ächte, mit eigenen Calcificationscentren. Nur nebenher sei erwähnt, dass bei den Dendrogyra-ähnlichen Formen die Epithek im allgemeinen schwach ent- wickelt ist, wie dies ja auch bei der heute noch lebenden und genauer unter- suchten Euphyllia der Fall ist. Selenegyra Geikiei OcınLvır. — Taf. XVI, Fig. 5, 6. Stock buschig, Kelchröhren im Querschnitt mondsichelförmig (aber mit gerundeten Schmalseiten). Kleiner Durchmesser der Kelche 2,5—3 mm, erosser S—9 mm. Das Hauptsegment liegt an der kürzeren nach innen gebogenen Längsseite des Kelchrandes. In ihm befinden sich auf beiden Seiten des Hauptseptums 6 gleich dicke längere Septen, zwischen welche sich keine kürzeren Septa einschieben. Hauptseptum nur wenig länger als die übrigen. Seitensepten an den beiden Schmalseiten. Zwischen den Seiten- septen und dem Gegenseptum je 4—5 längere Septen, zwischen welche sich ab und zu kürzere Septen einschieben. Ausserdem am ganzen Kelchrand kurze Septaldornen vorhanden. Traversen hauptsächlich im peripheren Theil gut entwickelt. Wand nicht sehr dick, mit den Septen und Septalstreifen entsprechenden Costalstreifen versehen, etwa 17—20 auf die Breite von 5 mm. Die Epithek bildet nur einen sehr dünnen Ueberzug. Theilung des Kelches (und zwar in der Richtung der Längsaxe) findet sehr häufig statt und zwar sind meist nach der Theilung die Hauptsegmente der neu ent- standenen Kelche gegen einander gerichtet. Taschenknospung ist weniger häufig. Allgemeine Bemerkungen: Wie bereits erwähnt, sind diese Korallen auch desshalb interessant, weil sie sowohl Theilung als auch Taschenknospung zeigen. Auch hier sieht man wieder wie gering eigentlich der wesentliche Unterschied zwischen beiden Vermehrungsarten ist. In beiden Fällen werden durch eine senkrecht in die Höhe wachsende Trennungsfläche 2 neue Kelche hervorgerufen. Im ersten Fall erstreckt sich diese Trennungsfläche über die ganze Längsaxe des Kelches durch den centralen Theil, wodurch 2 neue nahezu gleich grosse Kelche entstehen, im anderen Fall ist die Scheidewand quer gerichtet und befindet sich in der Ecke nahe am Kelchrand, wodurch die Symmetrie des Septalbaues nur wenig gestört wird. In diesem Fall ge- brauchte man die Ausdrücke Mutterkelch und Knospe hauptsächlich nur wegen der so verschiedenen Grösse beider. Diese Verhältnisse sind bei den Astraeiden nur desshalb nicht so klar, weil hier die neue Scheidewand erst dann scharf hervortritt, nachdem sich bei den neu entstandenen Kelchen die neue Gruppirung der Septa schon vollzogen hat. (Vergl. für Astraeiden z. B. Taf. XV, Fig. 11a, 14a mit Taf. XVI, Fig. 18b, 20a für Amphi- 123 Die Korallen der Stramberger Schichten. astraeiden). Manchmal bildet sich bei solchen Astraeiden überhaupt keine neue Scheidewand, dann sprechen die Autoren von confluenten Kelchen. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundort: Stramberg. Gen. Aplosmilia »’Ors. 1843. Lobophyllia (pars) MıcH. Icon. Zooph. p. 59. 1849. Eusmilia (pars) Ev. und H. Ann. des Se. Nat., 3. ser. T. X, p. 226. 184). Aplosmilia v’Ors. Note sur des pol. foss. p. 6. 1851. > Mn Cours Elem. de Palaeont. T. II, p. 162. 1857. 5 Ev. und H. Corall. T. II, p. 189. 1359. ei Erarı. Ray. du Haut-Jura, p. 54. 1858—61. „ From. Introd., p. 132. 1876—80. „ Zırter. Handb., Bd. I, p. 260. 1834. r Duncan. Madrep., p. 76. 1850—89, „ Kopy. Polyp. Jur., p. 49, 536, 566. Pl. OXXIX, Fig. 2. Zusammengesetzte buschige Stöcke mit dicht gedrängten Zellröhren, die im oberen Theil sich häufig theilen und schwach dichotomiren. Die Kelch- röhren sind bei den meisten Arten etwas comprimirt. Kelchgrube meist eentral, Säulchen lang, mit den verdickten Enden der längeren Septen ver- wachsen. Costen hervorragend, Epithek nicht zu beobachten. Schon oben (p. 119) wurde hervorgehoben, dass die Gattung Selenegyra einen gewissen Uebergang bildet zwischen typischen Amphiastraeiden und Aplosmilia. Wenn auch die Bilateralität in der Anordnung der Septa von Aplosmilia nicht scharf ausgeprägt ist, so stimmt sie doch, wie bereits oben ausgeführt, hinsichtlich des Habitus des Stockes, dann der beiden Arten von Vermehrung (Theilung und Taschenknospung), des glatten Oberrandes der Septen und durch das Vorhandensein einer ächten Mauer mit Selenegyra überein. Auch diese letztere Gattung hat kräftige Costen und spärliche Epithek. Interessant ist es, dass bei manchen Aplosmilia-Arten die langen Septen in der Nähe des Kelchrandes und gegen die Costen zu kammerartige Erhöhungen tragen. Diese kammerartigen Erhöhungen werden mit den Wachsthumsperioden grösser und vermindern sich dann wieder, wodurch dann aussen auf den entsprechenden Costen eine Reihe von Kämmen hervorgebracht werden. Die gleiche Erscheinung ist sehr verbreitet unter den lebenden Turbinoliden, zu welcher Familie überhaupt die Amphiastraeiden mancherlei Beziehungen besitzen. Auch bei derartigen Turbinoliden ist zu beobachten, (dass mit dem Vorkommen von Septal- und Costalkämmen auch ein Zurück- gehen der Epithek nach unten oder spärliche Entwicklung derselben eintritt. Erst in allerletzter Zeit, nachdem das Manuskript dieser Arbeit bereits im Wesentlichen vollendet war, konnte ich in das kürzlich erschienene „Second Aplosmilia. 123 supplement ä& la Monographie des polypiers jurassiques de la Suisse“ (Mem. Soe. Pal. Suisse Vol. XXI. 1894) Einblick nehmen. Hier stellt Kosy (p. 8) eine neue Gattung Cymosmilia auf, die sich nach Kosy von Aplosmilia nur durch die Form der Kelchröhren und durch die „supracalycinale“ d. h. Taschenknospung unterscheidet. Zunächst sei daran erinnert, dass die früheren Autoren über die Art der Knospung bei Aplosmilia keine näheren Angaben machen, sondern immer nur schreiben, dass die Aeste dichotomiren. Wie bereits oben erwähnt konnte ich in Aplosmilia sowohl Septalknospung (Thei- lung) als auch Taschenknospung beobachten. Dadurch aber, dass die Taschen- knospen bei Aplosmilia immer einzeln und nur an den Schmalseiten der Kelche auftreten, ist diese Art der Vermehrung nur schwer von der gewöhn- lichen Theilung zu unterscheiden. Bei Oymosmilia dagegen treten meist 2—3 Taschenknospen gleichzeitig auf, wie dies bei Amphiastraea, Mitrodendron etc. der Fall ist. Dies, im Zusammenhang mit der stark konischen Form der kurzen Kelchröhren, unterscheidet Cymosmilia von Aplosmilia und gibt ihm zugleich ein alterthümliches Aussehen. Mir scheint die Gattung von be- sonderem Interesse desshalb, weil sie die engen Beziehungen zwischen Aplos- milia und typischen Amphiastraeiden noch stärker betont. Hinsichtlich der Septalstruktur gibt bereits Kory auf Pl. 129, Fig. 2 Abbildungen, aus denen hervorgeht, dass die nicht sehr bedeutenden Granu- lationen, die auf der Septalfläche unregelmässig vertheilt sind, gegen innen zu stärker werden und am Innenrand Anschwellungen bilden. Diese An-. schwellungen sind mit dem Säulchen in regelmässigen Abständen verwachsen. Ich kann diese Beobachtung Kosy’s für Aplosmäilia bestätigen. An anderem Orte (Trans. Roy. Soc. London 1896) habe ich bereits darauf hingewiesen, dass (derartige stärkere Granulation durch die Verschmelzung schwächerer entstehen und dass diese Granulationen den Pseudosynaptikeln von Prarz entsprechen. Die Pseudosynaptikeln galten bekanntlich bis jetzt immer als ein charakteristisches Merkmal für die Gruppe der 'Thamnastraeiden. Ich habe aber bereits (Trans. Roy. Soc. London 1896) darauf hingewiesen, dass Pseudosynaptikeln, wenn auch weniger regelmässig angeordnet, auch bei anderen Gruppen (Astraeiden, Eupsammiden, Turbinoliden) vorkommen. Sie dienen meist zur Verbindung der Septen mit dem Säulchen, dann zur Ver- bindung der inneren Enden der kürzeren Septen mit längeren Septen, sowie in der Pseudothecalzone zur Verbindung der Septen. Aplosmilia rugosa Kopy. 1880. Aplosmilia rugosa Kosy. Polyp. Jurass, p. 52, pl. VII, Fig. 1—6. Stock ästig, die Aeste dicht gedrängt, nach der Verzweigung nur sehr wenig divergirend, Kelche im Allgemeinen rundlich, (ca. S—-10 mm im Durch- 124 Die Korallen der Stramberger Schichten. messer) vor der Verzweigung meist stärker comprimirt ca. 15:5 mm im Durchmesser. Kelchgrube wenig excentrisch, meist central. Eine Anordnung der Septen in Haupt-, Gegen- und Seitensepten nicht scharf ausgedrückt. Doch sieht man häufig, wie das in der centralen Kelchgrube verlaufende blattförmige Säulchen in der Nähe der Schmalseiten gegen eine der Längs- seiten umbiegt und sich mit zwei Septen vereinigt, die vermöge ihrer Lage und ihrem Verhältniss zu den nächststehenden Septen etwas an die Seiten- septen bei den früher besprochenen Gattungen erinnern. Zwischen diesen beiden Septen zähle ich im einen Kelchsegment in der Regel 9, im anderen 11 stärker entwickelte und sehr dicke Septen, die bis zum Säulchen reichen. Diese Septen sind es, die ausserhalb der Mauer als Costen besonders hervor- treten. Mit diesen Septen alterniren solche, die nicht viel kürzer aber be- trächtlich dünner sind. Ausser diesen sind noch am Septalrand eine unbe- stimmte Anzahl feiner Septalstreifen resp. -Dornen vorhanden. Wand dünn. Vermehrung auf beiderlei Art, sowohl als Taschenknospung, wie als Theilung in zwei Hälften. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art ist dadurch besonders aus- gezeichnet, dass die kammerartigen Erhebungen auf den Costen besonders hervortreten. Der Erhaltungszustand der mir vorliegenden Exemplare ist im Allgemeinen nicht sehr günstig, doch konnte ich an einzelnen besser er- haltenen Kelchen auf den Seitenflächen der Septa feine dornartige Fortsätze, ähnlich den Septaldornen am Kelchrand beobachten. Diese Erscheinung erinnert einigermassen an die ähnlich gebauten Septa von Acanthogyra. Im Innern des Kelches konnte ich die Traversen, wohl wegen des Erhaltungs- zustandes, nicht beobachten, im peripheren Theil dagegen waren sie häufig, unregelmässig angeordnet und grobmaschig. Zahl der untersuchten Exemplare: Mehrere Bruchstücke. Fundorte: Stramberg; ausserdem Caquerelle, Soyhieres. Gen. Dendrogyra Eukenn. 1834. Dendrogyra Eure. Corallen des rothen Meeres, p. 100. 1546. Meandrina p.p. Dana. Zooph. p. 252. 1850. m p-p. D’Ors. Prodr. II. p. 58. 1850. Myriophyllia v’Ore. Prodr. II. p. 38. 1857. Maeandrina p.p. Epw. und H. Corall. II. p. 395. 1359. Dendrogyra p.p. Eravton. Haut-Jura. p. 56. 1855—61. „ p.p- From. Introd. p. 157. 1877. Ktenodema ScuaruäurL. Neues Jahrb. Min. etc. p. 622. 1877. Dendrogyra p.p. From. Terr. Cröt. p. 438. 1876—80. „ Zırr. Handb. T. I. p. 260. 1884. » Duncan. Madrep. p. 86. 1880—89. ,„ Kosy. Monogr. polyp. Jur. pp. 56, 537, 566. pl. OXXIX, Fig. 3. Dendrogyra. 125 Zusammengesetzte, massive, mehr oder wenig kugelförmige Stöcke, deren Kelche oder Kelchreihen mit dünnen Wänden vereinigt sind. Die nicht sehr häufigen, vollkommen begrenzten Jugendkelche haben unregelmässig polygonalen Umriss, werden dann bald lang gezogen. Diese älteren Kelche theilen sich sehr oft, so dass der ganze Stock meist aus unregelmässig ge- wundenen Kelchreihen besteht. Oberrand der Septen glatt. Es alterniren hauptsächlich zweierlei an Grösse verschiedene Septen mit einander. Säulchen meist durch die verdickten und rechtwinklig umbiegenden Septalenden ge- bildet!. Traversen dick und gut entwickelt. Unterseite mit starker Epithek versehen. Es kommt sowohl Septalknospung (Kelchtheilung) wie marginale Randknospung häufig vor. Kelchgrube tief, häufig etwas excentrisch (bei Einzelkelchen zu beobachten). An gut erhaltenen Kelchen lässt sich auch ein Hauptseptum gut unterscheiden. Dasselbe ist durch bedeutendere Länge und Stärke sowie durch viel stärkeres Hervorragen über die Kelchgrube vor den übrigen deutlich ausgezeichnet. Das gegenüberstehende Gegenseptum sehr kurz, ebenso die Seitensepta. Bei vollkommen ausgebildeten Kelchen wird in der Randparthie das blasige Gewebe sehr gross, wodurch sich die Randzone von dem centralen Kelchtheil scharf abhebt. Bei gewissem Erhaltungszustand bekommt man dann den Eindruck, als ob nur der innere Theil der eigentliche Kelch wäre, während die äussere Parthie Verbindungsmasse (Costen und Blasen) wäre. Bei den nahestehenden Gattungen Psammogyra und Pachygyra, sowie bei der, nach meiner Ansicht ebenfalls in diese Gruppe gehörenden Gattung Phyllastraea From. erwähnen die Autoren stets, dass die Kelche durch Costen oder Coenenchym verbunden seien. Wenn die Abbildungen diese Ansicht auch bestätigen, so lassen sie doch erkennen, dass wir hier jedenfalls ganz analoge Erscheinungen vor uns haben, wie sie bei fast allen Amphiastraeiden schon erwähnt wurden. Meiner Ansicht nach haben wir es in den meisten Fällen nur mit einer Erweiterung der blasigen Randzone zu thun. p’AcHıarvı gibt (Cor. Giurass. pl. 19, Fig. 2a, b, e) verschiedene Abbildungen einer Pachygyra costata MENEGH. Sp. In Fig. 2a sind die einzelnen Zellreihen scheinbar mit Wänden wohl umgrenzt und ausserdem ein coenenchymähnliches Zwischengewebe von Costen und Traversen mit den Nachbarreihen verbunden. Nach der vergrösserten Fig. 2b dagegen erscheinen zwei benachbarte Kelchreihen nur durch eme einzige gemeinsame Wand verbunden, von der die Septen ausgehen. Nach der An- ordnung der Traversen liessen sich zwei (auch im Fig. 2c dargestellte) Zonen unterscheiden, eine äussere mit dicht gedrängten, blasigen und eine innere ‘ Ich möchte hier darauf hinweisen, dass auch bei der nahe verwandten recenten Gattung Euphyllia die längeren Septen am inneren Ende rechtwinklig umbiegen. 126 Die Korallen der Strambereer Schichten. mit etwas entfernteren flacheren Traversen. Nach der Zeichnung wäre die Grenze zwischen den beiden Traversenzonen äusserst scharf und konnte p’AcHTARDI dazu verführen diese Grenze als eine Mauer anzusehen. Hiedurch wird allerdings nicht verständlich, warum auf Fig. 2a die ächte Mauer aus- eelassen ist. Dass diese beiden Zonen von Traversen in der Familie der Amphiastraeiden allgemein vorkommen, wurde oben schon oft erwähnt. Auch ist diese Begrenzung beider Zonen zuweilen sehr scharf, wie z. B. bei Opisthophyllum vesiculare (Taf. XI, Fig. 15b). Auch bei der Hauptgattung Amphiastraea wurde Kopy durch die gleiche Erscheinung dazu geführt eine innere Mauer anzunehmen. (Vergl. oben p. 104). Aus all dem geht hervor, dass sich wegen der sogenannten Costen oder des Coenenchym die Gattungen Psammogyra, Pachygyra, Phyllastraea ete. nicht von Dendrogyra und den vorher angeführten Anıphiastraeiden-Gattungen unterscheiden. Vielmehr weisen alle Merkmale darauf hin, dass alle diese Gattungen zu der Gruppe der Amphiastraeiden zu stellen seien. Auf Pl. 129, Fig. 3 gab Kopy eine Abbildung von Septen von Dendro- gyra. Dieselben stimmen hinsichtlich der Vertheilung der Granulationen und des Vorkommens der Pseudosynaptikeln im Wesentlichen mit der Septal- struktur von Aplosmilia überein (vgl. oben p. 123). Dendrogyra sinuosa Ogınvır. — Taf. XVI, Fig. 3, 3a, 4, 4a. Halbkugelige Stöcke mit schmaler Basis festgewachsen, Unterseite mit Epithek bedeckt. Kelchdurchmesser 150, Höhe 100 mm. Kelche unregel- mässig polygonal oder in Reihen. Kelchgrube in Einzelkelchen etwas ex- centrisch, Kelchränder scharf hervortretend. Durchmesser 5—5'/, mm bei Einzelkelchen. Septen dick, glattrandig, nicht sehr zahlreich, an Grösse alternirend. Die längeren Septen verlaufen bis zum Säulchen und ragen über die übrigen Septen sowie über den Kelchrand etwas hervor. Hauptseptum in jungen Knospen und in Einzelkelcehen deutlich ausgeprägt. In ganz kleinen Kelchen sieht man überhaupt nur 4 kreuzförmig gestellte Septen. In Einzel- kelchen beträgt die Zahl der Septen 16—20, in zwei Cyelen angeordnet. In den Kelchreihen treffen am Rand auf die Breite von 5 mm 8 oder 9 Septen. Die Septen, welche von der gemeinsamen Mauer nach zwei verschiedenen Kelchreihen ausgehen, gehen selten in einer geradlinigen Verlängerung von einem Kelch in den andern über, sondern sind meist ziekzackförmig nach den beiden Septen der Mauer vertheilt. Wegen dieses Umstandes, sowie desshalb, weil die Septen über die Mauer überragen, ist die Mauer häufig nicht deutlich sichtbar. In Einzelkelehen ist das Hauptseptum stark ver- längert und an seinem inneren Ende verdickt, wodurch eime Art von Säulchen zu Stande kommt. In den Kelchreihen dagegen biegen im centralen Theil Rhipidogyra. 127 alle die längeren Septen senkrecht (zu ihrer Hauptrichtung) um und legen sich an einander, wodurch eine Art verlängertes, lamelläres Säulchen gebildet wird. Traversen im äusseren Theil dicht und blasig, im inneren entfernter und flacher. Allgemeine Bemerkungen: Es liessen sich verschiedene Fälle von Theilung beobachten. Zuweilen findet die Theilung durch Verschmelzung von Haupt- und Gegenseptum statt. Meist wird Theilung in den Kelchreihen durch Abschnürung der schmalen Enden vollzogen. Indess sind nicht zwei gegenüberstehende Septen verbunden, sondern die Theilungsfläche geht von einem Septum auf das Säulchen über, verläuft dann in dessen Richtung ein Stück weit und geht erst dann auf ein Septum der anderen Kelchseite über. Hiedurch bekommen die neuen Kelche einen unregelmässigen Verlauf und werden gewöhnlich während des weiteren Wachsthums gegen den ursprüng- lichen Kelch geneigt oder stark gebogen. Dendrogyra sinuosa hat am meisten Aehnlichkeit mit der weit verbreiteten oberjurassischen Dendrogyra rastellina MicH. sp., doch sind bei Dendrogyra sinuosa alle Dimensionen etwas grösser, so sind die Kelche breiter, die Septen zahlreicher und die Kelche stärker gewunden. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg. Gen. Rhipidogyra E. und H. 1823. Meandrina (pars) Derr. Diet. sc. nat. T. XXIX, p. 375. 1843. Lobophyllia (pars) Mıca. Icon. Zooph. p. 9. 1848. Rhipidogyra (pars) Ev. und H. Ann. des Se. nat. 3. ser. 1849. Stylogyra und Lasmogyra »’OrB. Not. sur les Polyp. foss. p. 6. 1851. n „ n Cours «lem. de Palaeont. p. 162. 1851. Zhipidogyra Ep. und H. Polyp. foss. des terr. palaeoz. p. 57. 1857. en 5 „ Hist. nat. des Corall. T. II, p. 214. 1855—61l. „ From. Introd. p. 154. 1859. ” Eravv, Ray. du Haut-Jura. p. 60. 1876—80. ,„ Zimmer. Handb. Bd. I, p. 261. 1884. r Duncan. Madrep. p. 85. 1850—89. „ Kogy. Polyp. Jur. pp. 43, 535, 566. Einfache, selten zusammengesetzte, lang gezogene, stark comprimirte Kelche, mit schmaler Basis festgewachsen. Septa ganzrandig, auf der Ober- fläche etwas granulirt. Es lassen sich 2—3 Arten verschieden starker und mit einander alternirender Septen unterscheiden, die bis zum Centrum reichen. Ihnen entsprechen auf der Aussenseite des Kelches Costen, von welchen in- dess die welche dem zweiten oder dritten Cyclus entsprechen nur gegen den Oberrand des Kelches zu gut entwickelt sind. Septen den Kelchrand über- 128 Die Korallen der Stramberger Schichten. ragend, die dickeren häufig mit Septalkämmen versehen, welche den am Oberrand stark hervorragenden Costen entsprechen. Säulchen lamellär und sleichmässig dick, mit den Zacken des Innenrandes der Septen verwachsen. Traversen gut entwickelt. Aechte Wand mit spärlicher Epithek. Alle früheren in der Synonymie eitirte Autoren, mit Ausnahme von Kopy, haben Rhipidogyra als eine Kelchreihe, d. h. eine maeandrinische Form be- schrieben. Kopy gibt aber die richtige Auffassung an, dass Rhipidogyra eine einfache, selten zusammengesetzte Koralle ist. Wenn auch zusammengesetzte Formen vorkommen, so gilt das nur für die Fälle, wo sich (wie es scheint gewöhnlich an den schmalen Enden und in der Längsrichtung der Kelche), eine neue Knospe bildet, die mit dem Mutterkelch sehr lang vereinigt bleibt. Man könnte hier ebensogut von Knospung wie von Theilung sprechen, da sich hier nicht zuerst und rasch eine Scheidewand bildete und dann erst sich der abgetrennte kleinere Kelch vollständig ausbildete, sondern weil sich die Scheidewand ganz allmählich und mit dem gleichzeitigen weiter in die Höhe- wachsen des neuen Kelches entwickelte. Am nächsten mit Rhipidogyra ist wohl die Gattung Phytogyra verwandt. In neuester Zeit (Second Suppl. Pol. Jur. Suisse. Mem. Pal. Suisse Vol. XXI. p. 4. Pl. I. Fig. 2—6) gab Kosy von der einzigen bisher bekannten und nur mangelhaft abgebildeten Art, nämlich von Phytogyra magnifica D’OrB. mehrere Abbildungen und fügt zu- eleich eine zweite Art Phytogyra rauraeiensis Kopy bei. Man kann die Phytogyra eigentlich als eine Rhipidogyra mit mehreren Knospen bezeichnen. Hiedurch wird em Uebergang zwischen der einfachen Rhipidogyra und den wirklich zusammengesetzten Stöcken, wie Dendrogyra und Pachygyra gebildet, in welchen die Kelche recht lang gezogen und gebogen sind. Andererseits bildet Kopy’s neue Gattung Cymosmilia (siehe oben p. 123), vermöge ihrer gedrungenen Gestalt und ihrer mehr elliptischen, aber nicht so lange gezogenen Kelchform, Uebergänge von Rhipidogyra zu solchen zusammengesetzten oder buschigen Stöcken wie Acanthogyra, Aplosmilia und Selenegyra, bei welchen die Kelche kürzer und breiter zu sein pflegen. Eratvon (Haut-Jura p. 61) erwähnt von der Gattung Phytogyra, dass auf den Seitenflächen der stärkeren Septa und auf deren kammartigen Costal- fortsätzen Reihen von Granulationen vorhanden seien, die aber nur bei günsti- sem Erhaltungszustand zu sehen wären. Kosy gibt öfters granulirte Ober- fläche der Septen unter seinen Rhipidogyren an, die bei Rhipidogyra percrassa unreselmässig angeordnet seien und gegen den Kelchrand zu an Stärke zu- nahmen. Bei dem mangelhaften Erhaltungszustand, in dem die Rhipidogyren und Phytogyren meist vorkommen, ist es möglich, dass wir hier dornförmige Septalfortsätze vor uns haben, wie ich sie später bei Acanthogyra beschreiben und abbilden werde. Hinsichtlich des Septalbaues stimmen alle 3 Gattungen jedenfalls wegen ihres glatten Oberrandes und der keulenförmigen Verdickungen Rhipidogyra. 129 am Innenrand des Septums überein. Auch konnte ich auf den mir vorliegen- (len zahlreichen Abdrücken von Seitenflächen der Septen verschiedener Rhiprdo- gyra-Arten, feine reihenförmig angeordnete, nadelstichförmige Vertiefungen beobachten, die sehr gut von Septaldornen herrühren können. Wie bereits oben, bei Besprechung der Familie der Amphiastraeiden erwähnt wurde, haben diese Dornen eine eigenthümliche Struktur, die von den sonstigen als Granu- lationen oder als Pseudosynaptikeln bezeichneten Hervorragungen der Septal- fläche abweicht. Rhipidogyra flabellum Miıca. sp. 1840—47. Lobophyllia flabellum Miıcm. Icon. Zooph, p. 92, pl. 18, Fig. 1. 1850. Stylogyra = p’OrRB. Prodr. II. p. 38. 1857. Rhipidogyra 5 Epw. und H. Corall. II. p. 215. 1859. a a Erauı. Haut-Jura. p. 60. 1858—61. „ a Frow. Introd. p. 155. 1362. E N Taurm. und Er. Leth. Bruntr. p. 364. pl. 51. F. 2. 1867. 5 n Grerrin. Essai geol. sur le Jura Suisse. p. 90. 1880—89. „ e Kos. Polyp. Jur. p. 43. pl. X, Fig. 3, 4. Koralle lang, stark zusammengedrückt, wenig gebogen, 70—90 mm lang, 20—50 mm breit. Septen von dreierlei Grösse, die einen sehr dick, bis zum Centrum reichend, die andern etwa °/s so lang und die letzten sehr kurz. Kelchgrube 10—12 mm breit. Die längeren Septen an ihrem inneren Ende verdickt und mit keulenförmigen Fortsätzen versehen, die aber nicht immer mit dem Säulchen verschmelzen. Säulchen lamellär, etwas wellieg. Costen über die ganze Aussenseite hinab verlaufend. Von dieser wohlbekannten und sehr weit verbreiteten Art liegen mir eine Anzahl Bruchstücke in verschiedener Erhaltungsart, meist als Abdrücke, vor. Ueber die Richtung der Septal-Trabekeln konnte ich nichts Näheres bestimmen, wohl aber dass die ursprünglichen Flächen der längeren Septen mit dornartigen Fortsätzen versehen waren. Zahl der untersuchten Stücke: 18—20. Fundorte: Kotzobenz, Wischlitz, Bobrek; ausserdem: Caquerelle, St.- Ursanne, Soyhieres, Zwingen, Bellevue pres de Porrentruy, Valfın, St. Mihiel. Rhipidogyra pererassa Erauvon, 1862. Rhipidogyra pererassa Tuurm. et Er. Leth. Bruntr. p. 364. Von dieser Art! liegt mir nur ein einziger Abdruck, oder besser Ab- guss, eines Kelchinneren vor, über (dessen Zugehörigkeit zu Rh. pererassa t Rhipidogyra percrassa Kraut, ist unten mit der neuen Stramberger Art Acantho- gyra subeompressa O6iLyıE verglichen, auf Grund einiger zusammengesetzter Stöcke, die Kory zu-der Eravvon’schen Art gestellt hat. Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. I 130 Die Korallen der Stramberger Schichten, kein Zweifel ist. Dieser Abdruck gestattet ein Studium der feineren Ober- flächen-Struktur der Septen. Die Trabekeln sind fein, alle parallel gerichtet und verlaufen unter einem Winkel von ungefähr 40° von der Mauer nach oben und innen. Die Breite eines einzelnen Trabekels beträgt etwa 0,2 mm. Auf dem Abdruck der Trabekeln sind feine Dornstiche deutlich sichtbar (vergl. oben p. 129). Traversen häufig, dicht gedrängt, concav gegen unten gebogen. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Ignatziberg; ausserdem: Caquerelle, St.-Ursanne, Wimmis. Rhipidogyra minima Kopy. 1880. Rhipidogyra minima Kovy. Polyp. Jur. p. 46. pl. X. Fig. 5. Koralle klein, seitlich stark comprimirt, Kelch gewunden, Septa von zweierlei Grössen, die grösseren bis zum Centrum reichend, aber sich nicht mit dem Centrum vereinigend. Säulchen sehr dünn, lamellär. Am Kelchrand sind auf der Breite von 5 mm 4 grosse und 4 kleine Septen vorhanden. Kelchbreite ca. 9 mm, Länge 40—50 mm. Wie schon Kosy sagt (Polyp. Jur. p. 46), unterscheidet sich diese Art durch ihre Kleinheit von den übrigen Rhipidogyren. Es liegt mir nur ein einziges Exemplar in einem ziemlich guten Ab- druck von Ignatziberg vor. Die Kopy'schen Exemplare stammen von Saleve. Acanthogyra OcILvıE. Zusammengesetzte massive oder knollige Stöcke, zuweilen mit Stiel auf- gewachsen, Kelche unregelmässig polygonal, etwas in die Länge gezogen, mit dieken Wänden ihrer ganzen Länge nach verwachsen. Septen alternirend und von sehr verschiedener Grösse. Oberrand glatt. In jungen und regel- mässig polygonalen Kelchen kann man beobachten, dass die Septen in gleicher Weise bilateral angeordnet sind, wie dies bei Amphiastraea der Fall ist. Beim weiteren Wachsthum der Kelche und der dadurch hervorgerufenen grösseren Unregelmässigkeit und grösseren Länge der Kelchform verwischt sich diese Bilateralität des Septalbaues mehr und mehr. Zugleich verlängert sich hiebei das ursprüngliche griffelförmige Säulchen-und wird schliesslich lamellär. Die inneren verdickten zahnartigen Fortsätze der grösseren Septen sind bald mit dem Säulchen verwachsen, bald frei. Die Kelchwand ist an ihrer ganzen Peripherie mit feinen Septaldornen versehen. Aehnliche Dornen sind auf den Seitenflächen der dicken Septa vorhanden. Traversen zahlreich, in der Mitte grösser und flacher, aussen klemer und steiler gestellt. Ver- Acanthogyra. 131 mehrungsart sowohl als Septalknospung (Theilung), wie als marginale Knospung vorhanden. Das eigenthümlichste und auffallendste Merkmal dieser Gattung sind die feinen Dornen auf den Seitenflächen der Septa. Auf der Wand kommen solche Dornen bei den meisten Gattungen dieser Gruppe vor, auf den Seiten- flächen der Septa aber nur ausnahmsweise. Bei keiner anderen Gattung ist die Septalknospung so stark entwickelt wie bei dieser. In den kleinen, mehr regelmässig polygonalen Kelchen, liess sich ab und zu beobachten, wie die Theilung in zwei Hälften durchs Haupt- septum geht. In den längeren Kelchen dagegen verläuft die Theilungslinie beliebig, meist nicht durch zwei gegenüberstehende Septen, sondern geht streckenweise von einem Septum auf die Längsaxe des Kelches über und erst dann wieder auf ein Septum der gegenüberliegenden Seite. Aehnliche Vor- sänge wurden schon oben für Dendrogyra beschrieben, bei Acanthogyra sind sie noch stärker ausgeprägt. Hiedurch ist die starke Unregelmässigkeit der Kelchform bedingt. Man findet in ein und demselben Stock alle Uebergänge von nahezu regelmässig polygonalen Kelchen, wie sie für Amphiastraea charakteristisch sind, zu breiteren, eoncav-convexen Kelchen, wie bei Aplos- milia, Selenegyra und endlich zu schmalen, langgezogenen Kelchen, wie bei Rhipidogyra und Dendrogyra. Die Gattung Acanthogyra beweist auch in überzeugender Weise, dass man Rhipidogyra als zusammengesetzten Stock wohl kaum auffassen kann. Zugleich erkennt man, dass Gattungen, wie Dendrogyra und Pachygyra nur aus Rhipidogyra -ähnlichen Finzelkelchen zusammengesetzt sind, wenn auch ab und zu zwei solche Einzelkelche stellen-. weise confluent bleiben. Acanthogyra columnaris Osmvır. — Taf. XVI, Fig. 2, 2a, 2b. Stock massiv, mit parallel stehenden Kelchröhren. Kelche zuweilen fast regelmässig pentagonal, meist aber unregelmässig polygonal oder mit theilweise gerundeten Umrissen. Ein solcher nahezu pentagonaler Kelch hat einen Durchmesser von 4 mm, ein längerer Kelch hat eine Breite von 4—5 und eine Länge von S—9 mm. In den mehr pentagonalen Kelchen, die ich als die ursprünglichen ansehe, ist die bilaterale Anordnung der Septen sehr stark ausgesprochen. Das Hauptseptum nimmt an Länge etwa ?/, des Kelch- durchmessers ein, Gegenseptum kurz, Seitensepten wohl entwickelt. Ausser diesen Septen gibt es noch 4, 6 oder 8, die ebenfalls bis zur excentrischen Kelchgrube reichen und deren Seitenflächen auch mit Septaldornen besetzt sind. Während diese 8—12 zuerst entwickelten Septen paarig ‚angeordnet sind, treten (die übrigen weder in Cyclen noch in Paaren, sondern in ganz unregelmässiger Weise hinzu. In Kelchen, die bereits etwas vom pentagonalen DE 1323 Die Korallen der Stramberger Schichten. Bau abweichen und mehr in die Länge gezogen sind, erkennt man, dass die Seitensepten an den Schmalseiten der Kelche auftreten, während die später entwickelten Septen im Hauptsegment in grösserer Zahl vorhanden sind, als im Gegensegment. Meist finden sich im Hauptsegment zwischen den längeren Septen zwei wenig kürzere, aber bedeutend dünnere und glatte, im Gegen- segment dagegen zwischen den längeren Septen nur ein kürzeres. Zwischen zwei benachbarte der zuletzt erwähnten glatten Septen schiebt sich nun im Hauptsegment noch ein kürzeres Septum ein. Im Gegensegment sind diese kurzen Septen unregelmässig vertheilt und weniger häufig. Wenn sich die Kelche beim Weiterwachsen nun noch mehr in die Länge ziehen, geht die Excentrieität der Kelchgrube verloren und die Seitensepten rücken immer mehr gegen die ursprüngliche Lage des Gegenseptums zu. Säulchen griftel- förmig bis lamellär, Traversen sehr blasig, im äusseren Theil zahlreicher und dichter angeordnet, im inneren flacher, die Grenze zwischen diesen beiden Zonen im Querschnitt nur stellenweise scharf sichtbar. Vermehrung haupt- sächlich durch Septalknospung. In einigen Fällen kann man beobachten, dass diese Theilung durch Haupt- und Gegenseptum geht. Taschenknospung verhältnissmässig selten. Bei allen Bruchstücken folgt die Spaltungsfläche vollständig der Aussenfläche der Kelchröhren. Epithek konnte ich indess nicht auf ihnen beobachten. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art hat grosse Aehnlichkeit mit Amphiastraea und speciell mit A. basaltiformis, sie unterscheidet sich aber von ihr durch die eigenthümlichen Dornen auf den Seitenflächen der Septen, sowie dadurch, dass die Vermehrung hauptsächlich durch Taschenknospung erfolgt. Von den beiden nächstfolgenden Acanthogyra-Arten unterscheidet sie sich durch die geringere Grösse des Kelches und die Feinheit der Septen. Bei dieser Art lässt sich auch ab und zu beobachten, dass zwei Septen, die nicht weit von einander am Kelchrand stehen, verschmelzen und so eine marginale Knospe abgrenzen. Genau der gleiche Vorgang: findet bei der lebenden Gattung Goniastraea und anderen Astraeiden sehr häufig statt. Zahl der untersuchten Exemplare: Mehrere Bruchstücke. Fundort: Strambereg. Acanthogyra multiformis Ocırvır. — Taf. XVI, Fig. 1, 1a. Koralle massiv, halbkugelig; ca. 75 mm hoch und 140 mm im Durch- messer. Die Kelche sind unregelmässig polygonal, meist etwas in die Länge gezogen. Kelchgrube flach, Kelchränder gerundet. Die Kelchbreite variirt von 5—17 mm, die Länge von 5—20 mm. Von den längeren, auf den Seitenflächen mit Septaldornen versehenen Septen, treffen am Kelchrand 6 auf die Breite von 10 mm. Die damit alternirenden Septen bleiben ziemlich Acanthogyra. 133 kurz. Hin und wieder kommen einige noch kürzere Septen vor. Säulchen wellig verlaufend, sich ab und zu mit den keulenförmig verdickten inneren Enden der Septen vereimigend. Traversen im centralen Theil spärlich, im peripheren häufig und blasig. Unterseite des Stockes mit Epithek versehen. Allgemeine Bemerkungen: Die mir vorliegenden Stücke sind ver- möge ihrer guten Erhaltung der feineren Struktur sehr interessant. An der Oberfläche des Kelches sehen die längeren Septen genau so dick und glatt aus wie in Rhipidogyra. Erst beim Anschleifen bekommt man ein derartiges Bild wie in Fig. 1 dargestellt ist. Man erkennt erst dann die feineren Septal- dornen auf Wand und längeren Septen. In Schliffen erkennt man auch in Septen und Mauer die ziekzackförmig verlaufende dunkle Linie. Diese Art unterscheidet sich von A. columnaris durch die bedeutendere Grösse des Stockes, sowie durch die etwas kleineren Kelche und zahlreicheren Septa. Zahl der untersuchten Exemplare: 3. Fundorte: Stramberg, Kotzebenz. Acanthogyra subcompressa OGILVIE. Stock conisch oder etwas comprimirt, von rundlicher Oberfläche, mit schmaler Basis aufgewachsen. Ca. 45 mm hoch und etwa 55 mm im Durch- messer. Ab und zu sieht man wie der Stock an zwei gegenüberstehenden Stellen seitlich stark comprimirt ist. Die Längsfurchen auf der Aussenseite des Stockes entsprechen den Theilungsflächen der Kelche im Innern des Stockes, Breite des Kelches (von Wandaussenseite bis Wandaussenseite) 8S—12 mm. Länge 15—25 mm. Auf die Breite von 10 mm kommen an der Wand 4—5 längere und dickere mit Dornen versehene Septen. Die damit regelmässig alternirenden Septen sind sehr fein und fast so lang wie die anderen. Traversen zahlreich. Den längeren Septen entsprechen an der Aussenseite des Stockes Costen, die indess nur gegen den Oberrand des Stockes zu stark hervortreten. Weiter unten Epithek vorhanden. Die Ver- mehrung erfolgt meist durch Septalknospung (Theilung) und zwar geht diese Theilung hauptsächlich in der Längsaxe des Kelches vor sich. Allgemeine Bemerkungen: Man konnte beobachten, wie sich bei einem in Längstheilung begriffenen Kelche die beiden gegenüberstehenden Seiten des ursprünglichen Kelches von einander entfernt hatten und wie sich in der dadurch erweiterten Kelchgrube zwei neue Reihen von Septen bildeten. Wie schon aus der obigen Beschreibung hervorgeht, erinnert diese Art vermöge ihres Costalbaues an die Gattung Rhipidogyra und speciell Rhipidogyra pererassa Er. Auch hinsichtlich der Art der Längstheilung hat die Art gewisse Anklänge an Rh. percrassa Er., denn in ErALLox’s ursprüng- licher Beschreibung (Leth. Bruntrut. Denkschriften Schweiz. Ges. für Natur- 134 Die Korallen der Stramberger Schichten. wissenschaft 1864. p. 364) heisst es: „polypier flabelliform, presentant une bifurcation“ und nach der Abbildung Taf. 51, Fig. 1 zu schliessen, ist diese Bifurcation die Folge einer ähnlichen Längstheilung, wie sie oben beschrieben wurde. Nachträglich gab Kosy (Pol. Jur. p. 451) eine zweite Beschreibung der Rh. pererassa, die in wesentlichen Punkten von der p. 44 gegebenen Beschreibung abweicht. Auch das neue auf Taf. 118, Fig. 1 abgebildete Stück weicht von seinen früheren Abbildungen ebenso wie von der EraLLox’s ab. Nach der ursprünglichen Diagnose der Gattung ist dieses zuletzt abge- bildete Stück jedenfalls keine Rhipidogyra, könnte aber möglicherweise der A. subcompressa nahe stehen. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundorte: Stramberg, Ignatziberg. Familie: Turbinolidae Ep. u. H. Unter-Familie: Trochosmilinae OcınvıE — Trochosmiliaceae E.u.H. (Hist. Nat. Cor. T. II. p. 164) + Turbinolinae p.p. E. u. H. (Hist. Nat. Cor. T. II. p. 7). — Trochosmilinae From. (Introd. p. 95) + Turbinolinae From. (Introd. p. 88) + Pleuro- smilinae From. (Introd. p. 104). Cylindrische oder eylindroconische, manchmal stark comprimirte Einzel- korallen. Septen mit glattem Oberrand und granulirten Seitenflächen. Aechte Theka vorhanden, mit Epithek umgeben. Mırnz Epwarps und Hams haben für eine Anzahl ausgestorbener Einzelkorallen die Gruppe der Trochosmiliaceae errichtet und dieselben zu der Unterfamilie Eusmäilinae und damit zu den Astraeiden gestellt. Bald darauf errichtete FROMENTEL zwei neue Gattungen Zpismilia und Pleurosmilia und vereinigte sie mit ein paar anderen Gattungen aus dem Tribus der Trochosmiliaceae E. u. H. zu einer neuen Gruppe Pleurosmilinae, die sich von den ZTrochosmiliaceae E. und H. durch das Vorkommen einer starken Epithek unterscheiden sollte. Auf dieses Merkmal ist wenig Werth zu legen, übrigens wurde auch später an Trochosmilia selbst eine, wenn auch schwache Epithek nachgewiesen. Sowohl Fromenten's Pleurosmilinae als die Trocho- smiliaceae E. u. H. haben in der Regel reichlich entwickelte Traversen, doch sind unter ihnen auch einzelne Gattungen, nämlich Axosmilia, Blastosmilia, Lophosmilia, Parasmilia und Coelosmilia. Die letztere ist die einzige Gattung, die auch in der Gegenwart noch durch die Art Coelosmilia poculum E. u. I. vertreten ist. Diese Gattung unterscheidet sich nach Angabe der Autoren nur durch die Seltenheit der Traversen. Ich konnte nun beobachten, dass Turbinolidae. 135 mit dem Rückgang der Traversen eine stärkere Ausbildung der Wand Hand in Hand geht. Das ist insofern interessant als Zrochosmilia, die Gattung mit starken Traversen, bereits im Jura auftritt und im Tertiär erlischt, wäh- rend Coelosmilia erst im der Kreide beginnt und bis zur Jetztzeit reicht. Vergleicht man eine cretaceische Placosmilia mit einem lebenden Flabellum, so hat man wieder ein Beispiel wie zwei Einzelkorallen, die im Habitus und in der Anordnung und Struktur der Septen übereinstimmen, sich in der gleichen Weise unterscheiden wie Trochosmilia und Coelosmilia. Man kann überhaupt sagen, dass die Gattungen mit reichlich entwickelten Traversen bereits verhältnissmässig früh begannen, ihre Blüthezeit hatten und schon dem Aussterben nahe waren, als andere Gattungen auftraten, die im Wesentlichen mit jenen übereinstimmten und sich nur durch weniger Tra- versen dafür aber stärker entwickelter Mauer von ihnen unterschieden. Diese letzteren Gattungen sind die Hauptrepräsentanten der Unterfamilie Turbino- linae E. u. H. Aus diesem Grund halte ich es nicht für angezeigt die Trochosmiliaceen zu den Astraeiden zu stellen. wie dies von Mırne Epwarps und Ham und den übrigen Autoren geschehen ist. Da ich dieselben vielmehr für die Vor- läufer der Turbinolinen halte, habe ich dieselben von den Astraeiden entfernt und mit den früheren Turbinolinae vereinigt. Den Namen Turbönolinae konnte ich aber desshalb nicht für die neue Gruppe gebrauchen, da gerade die typische Gattung Turbinolia wegen der Beschaffenheit des Säulchens, zu- sammen mit Axosmilia, Trismilia und einigen wenigen anderen Gattungen, von den übrigen etwas abzweigt nnd desshalb einen selbständigen Stamm zu vertreten scheint. Da Trochosmilia eine der ältesten und zugleich meist verbreitetsten Gattungen dieser Gruppe ist, habe ich derselben den Namen Trochosmilinae gegeben und betrachte dieselben als Unterfamilie der Turbinolidae. Dadurch, dass Mırnz Epwarps und Hamz ihre Trochosmiliaceen zu den Eusmilinen stellten, sprachen sie aus, dass die Septen ganzrandig seien. Allerdings verwickelten sie sich in einen gewissen Widerspruch, wenn sie bei der Diagnose von Trochosmilia angaben, die Septen seien gezähnelt. Auch FRoMENTEL gibt bei der von ihm errichteten Gattung Epismilia an, dass die Septen der höheren Ordnungen einen gezähnelten Rand besässen. Im Gegen- satz dazu behaupteten mehrere Autoren von Trochosmilia wie von Epismilia, dass sie ganzrandig seien, und Kosy hat (Pol. Jur. Pl. 129, Fig. 8, 9 u. 10) verschiedene solche Septen in vergrössertem Maassstab abgebildet. Wie ich in einer anderen Arbeit (Trans. Roy. Soc.) des Weiteren ausführe, rührt diese feine Zähnelung der Septen nur davon her, dass die einzelnen Tra- bekeln am Septalrand noch nicht fest verwachsen sind und dadurch etwas über den Rand hervorragen. Das ist aber nur bei den kleinen Septen der 136 Die Korallen der Stramberger Schichten. Fall, später verschmelzen diese Zähnchen. Diese Zähnelung hat nichts zu thun mit den eigentlichen Zähnen oder Dornen am Septalrand, wo eine ganze Anzahl Trabekel den Dorn bilden. Bisher wurde von den verschiedenen Autoren immer hervorgehoben, (lass bei den Trochosmiliaceen die Granulationen auf den Trabekeln parallel dem Oberrand der Septen verlaufen. Dieser Umstand bildete eines der Hauptmerkmale für die ganze Gruppe der Pusmilinae, die sich auch dadurch von der Gruppe der Astraeinae unterscheiden, dass bei letzteren die Granu- lationen senkrecht zum Oberrand der Septen angeordnet sind. Wenn man diesen Unterschied in dieser Weise ausdrückt, könnte es den Anschein haben, als ob zwischen beiden Arten ein wesentlicher Unterschied bestünde. Es sind indess die Granulationen bei den Eusmilinen ebenso gut senkrecht zum Oberrand der Septen gerichtet und andererseits sind die Granulationen bei (len Astraeiden, z. B. bei Heliastraea auch parallel zum Oberrand der Septen angeordnet. Das Wesentliche für beide Typen ist, dass während einer be- stimmten Zeit (Wachsthumsperiode) vom früheren Oberrand des Septums aus (das Septum um eine bestimmte Höhe weiterwächst. Ich habe früher einen solchen neugebildeten Theil eines Septums ein Wachsthumssegment genannt. Bei den bisher als Eusmilinen bezeichneten Korallen sind nun die Caleifi- cationscentren (und damit die Trabekeln) in der Medianebene des Septums sehr dicht und gleichmässig vertheilt und die Trabekelaxen fast parallel. Desshalb wächst das Septum am ganzen Oberrand gleichmässig in die Höhe. Bei der bisherigen Gruppe der Astraeinen andererseits sind die Caleifications- centren und damit die Trabekeln in der Medianebene stellenweise gedrängter und die Axen der Trabekeln von diesen Stellen divergent. Es wächst infolge dessen das Septum da, wo die Trabekeln dichter angeordnet sind, rascher als an den übrigen Stellen, wodurch die Zähne und Dornen hervorgerufen werden. Die Trabekeln stehen hier auch senkrecht zum Oberrand der Septen und weil sie divergiren, desshalb ist der Oberrand gezackt. Da die Granu- lationen nun Wachsthumsperioden entsprechen, so sind sie auch parallel zum gezackten Oberrand angeordnet. Bei den Zrochosmilinae findet es nun fast immer statt, dass bei den diekeren, d. h. den ältesten Septen auf der Seitenfläche mehrere Granulationen neben einander stehender Trabekel mit einander verwachsen. Das hängt bei den starken Septen mit einer nachträglichen Verdickung zusammen, wodurch dann die ursprüngliche Anordnung der Granulationen und der Trabekeln ver- schleihert wird. Dieselben sind dann nur mehr im Dünnschliff sichtbar. Pleurosmilia. 137 Gen. Pleurosmilia From. 1856. Pleurosmilia From. Bull. de la Soc. g6ol. de France. 2. ser. T. XIII, p. 853. 1859. E Eravvon. Haut-Jura. p. 52, 1858—6l. „ From. Introd. p. 105. 1365. 5 From. u. Ferry. Palaeont. franc. terr. jur. p. 58. 1876. Plesiosmilia Mivaschewirz. Natth. Kor. p. 189. 1876—80. Pleurosmilia, Plesiosmilia Zırver. Handb. Bd. I, p. 259. 1884. Pleurosmilia Duncan. Madreporaria p. 56. 1854. Plesiosmilia > 5 p- 55. 1880—89. Pleurosmilia Kogy. Pol. Jur. p. 56 und p. 535. pl. OXXIX. Fig. 9. 1830—89. Plesiosmilia „ 5) „ P. 34 und p. 535. Koralle einfach, eylindrisch oder eylindroconisch, Kelch rund oder ellip- tisch, Septen zahlreich, in Cyelen angeordnet. Oberrand der Septen glatt, Seitenflächen mit Granulationen versehen, die parallel der Oberfläche ver- laufen, Säulchen lamellär, mit einem Septum oder zwei gegenüberstehenden Septen verwachsen. Traversen stark, zahlreich. Pseudotheka vorhanden. Epithek dünn, hoch hinauf reichend. Die beiden bisher neben einander aufrecht erhaltenen Gattungen Pleuro- smilia From. und Plesiosmilia MivascH. sollen sich nach Mitascurwirz nur dadurch unterscheiden, dass Plesiosmilia ein lamelläres Säulchen hat, welches nicht die Verlängerung eines Septums ist und dass die Seitenflächen der Septa mit Granulationen versehen sind, während Fronmexteu bei Pleurosmilia keine Granulationen erwähnt und das Säulchen als die Verlängerung eines Septums beschreibt. Es ist nun richtig, dass sich bei Pleurosmilia das Säulchen in der Kelchgrube als die Verlängerung eimes der Primärsepten repräsentirt. In grösserer Tiefe legen sich indess an dieses Säulchen noch andere Septen, gewöhnlich das gegenüberstehende Septum, an und verschmelzen damit. Das Gleiche erkennt man an gut erhaltenen Exemplaren von Plesiosmilia, wenn man den Kelch in grösserer Tiefe anschleift. Aus diesem Grunde lassen sich wegen der Beschaffenheit des Säulchens die beiden Gattungen wohl nicht neben einander aufrecht erhalten, wie dies schon Kogy erwähnt. Auch auf das Vorhandensein oder Fehlen von Granulationen auf den Seitenflächen lässt sich nach meiner Ansicht ein Unterschied zwischen den beiden Gattungen nicht begründen, da bereits Kosy (Pol. Jur. Pl. 129. Fig. 9) ein Pleurosmilia- Septum abbildet, in dem die Granulationen parallel dem Oberrand verlaufen. Ausserdem konnte ich an den Nattheimer Originalen und an dem reichen Stramberger Material die reihenförmig angeordneten Granulationen nach- weisen. 138 Die Korallen der Stramberger Schichten. Pleurosmilia eylindrica From. — Taf. XIII, Fig. 6, 10, 11. 1856. Pleuwrosmilia cylindrica From. Bull. Soc. g60]. France. 2. ser. T, XIII. p. 855. 1858—61l. „ 5) » Introd. p. 105. 1862. : » Monogr. d. Polyp. Jur. sup. (Et. Portlandien). pp. 12nP]STRige: 1865. ar n „ Pal. Franc. Terr. Jur. p. 70. Pl. 9. Fig. 6. 1875— 76. Plesiosmilia twrbinata Becker und Mivaschzwirz. Nattheimer Korallen. p. 189. Taf. 49. Fig. 3, 3a. (non —= Pleurosmilia turbinata GoFr. sp. GoLpr. Petr. Germ. Vol. 1. p. 107. Taf. 37. Fig. 13). Koralle eylindrisch oder eylindroconisch, leicht gebogen und mit kleiner Anheftungsstelle. Kelchdurchmesser bei verschiedenen Exemplaren von 32 bis 42 mm schwankend. Columella kurz und dick. Septa 90—130 an Zahl; die der ersten drei Cyelen stärker als die übrigen, nicht ganz bis zur Colu- mella reichend. Die Septa der übrigen Cyclen entsprechend kürzer und feiner. Sämmtliche Septen sind am Kelchrand stark verdickt und nehmen sowohl nach Innen, gegen das Kelchcentrum, als auch nach Aussen an den Costen an Stärke rasch ab. Die Traversen sind blasig und zahlreich. Epi- thek dünn und runzelig. Allgemeine Bemerkungen: Bei Aufstellung dieser Art hatte Fro- MENDEL nur Material von wenig gutem Erhaltungszustand, so bildete er auch nur den Abdruck oder vielmehr den Ausguss eines Kelches ab. Seine Diag- nose beruht daher auch lediglich nur auf der Zahl und Anordnung der Septen. In dieser Hinsicht stimmen die mir vorliegenden Exemplare vollständig mit Fromenten’s Beschreibung überein. Diese Exemplare sind nun zum Theil vollständig erhalten, zum Theil sind es nur Abdrücke und zwar nicht nur Abdrücke des Kelches, sondern auch solche von tieferen inneren Parthien der Koralle (cf. Taf. XIII, Fig. 11). Dadurch war ich in den Stand gesetzt die Fromenter'sche Diagnose zu ergänzen. Ausserdem konnte ich noch be- merken, dass die Seitenflächen der Septa mit feinen Granulationen besetzt seien, die parallel mit dem Oberrand der Septen verlaufen. Sonst stimmt in diesem Punkt die Pleurosmilia cylindrica From. mit Plesiosmilia turbinata MirAscnH. überein. Auch Mızaschewirz beschreibt bei seiner Art, dass das lamelläre Säulchen zwischen den Enden zweier gegenüberstehenden Septen erster Ordnung liegt. Wenn man indess die Kelche etwas tiefer anschleift, erkennt man, dass das Säulchen nur die Verlängerung eines dieser Septen oder beider ist (sowie dass sich manchmal auch noch andere Primärsepten mit ihren verdickten Enden an das Säulchen anlegen oder mit ihm verwachsen). Aus diesen Gründen halte ich die Pleurosmilia eylindrica From. mit Plesiosmilia turbinata MinascnH. für identisch. Wenn nun auch MizAscHhEwitz Pleurosmilia. 139 die Art viel besser beschrieben und abgebildet hat als Fromexter, so muss doch aus Gründen der Priorität der Fromzxtev'sche Name bleiben. Abge- selten davon wäre auch nach Vereinigung des Genus Plesiosmilia mit Pleuro- smilia der Name turbinata schon für eine Gorpruss’sche Art vergeben. Zahl der untersuchten Exemplare: 18. Fundorte: Stramberg, Ignatziberg, Kotzobenz, Wischlitz; ausserdem: Mantoche (Haute-Säone), Nattheim. Pleurosmilia Marcou Erauuon. — Taf. XII, Fig. 12. 1858. Pleurosmilia Marcou Erauvon. Haut-Jura. p. 52. 1861. Fr 4 From. Introd. p. 106. 1862. " B Teurn. und Er. Leth. Bruntr. p. 359. pl. 50. Fig. 6. 1364, 5 5 Froum. Polyp. cor. eny. de Gray. p. 10. 1865. : 4 From. und Ferry. Pol. France. terr. jur. p. 65. pl. 7. Fig. 1. 1867. n 5 GreprIN. Essai g6ol. sur le Jura suisse. p. 81. 1870. n e n Deser. g£ol. du Jura bernois. p. 91. 1889. A „ Kopy. Polyp. Jur. p. 38. pl. IV. Fig. 5. Koralle eylindroconisch, etwas comprimirt, mit schmaler Basis fest- gewachsen. Kelch etwas elliptisch 27”—30 mm im Durchmesser. Kelchgrube tief, mit breitem gerundetem Kelchrand. Es sind vier vollständige Cyelen von Septen und Theile eines incompleten Cyclus vorhanden. 12 von diesen ragen stark hervor und verdicken sich etwas gegen Innen und vereinigen sich mit der Columella. Die damit alternirenden 12 Septen des dritten Cyelus sind ebenso stark, reichen jedoch nicht bis zur Columella. Die übrigen Septa sind feiner und kürzer. Die den Septen entsprechenden Costen alterniren an Stärke. Epithek fein, bis zum Kelchrand reichend. Allgemeine Bemerkungen: Diese weit verbreitete und gut begrenzte Art ist schon so häufig beschrieben worden, dass weitere Bemerkungen über- flüssig erscheinen. Zahl der untersuchten Exemplare: 3. Fundorte: Stramberg, Ignatziberg; ausserdem: Caquerelle, Wimmis, Valfın, Oyonnax. Pleurosmilia erassa Mirasch. — Taf. XIII, Fig. 9, 13, 15. 1875—76. Pleurosmilia erassa Mırasen. Natth. Kor. p. 183. pl. 50. Fig. 1. Koralle eylindroconisch, eine Höhe von ca. 100 mm erreichend. Kelch tief, elliptisch, Durchmesser S0—60 mm. Septen in fünf Cyclen, gut ent- wickelt, der sechste unvollständig. Drei davon sind gleich dick und erreichen 140 Die Korallen der Stramberger Schichten. das Säulchen, der vierte und fünfte sind entsprechend dünner und kürzer. Traversen fein, sehr zahlreich, blasig entwickelt. Epithek dick und runzelig, wo es abgerieben ist sieht man, dass die Costen unregelmässig in der Stärke wechseln. Allgemeine Bemerkungen: Der bedeutende Umfang des Kelches und die Stärke der Septen zeichnen Pl. erassa von verwandten Arten aus. Das eine, auf Fig. 13 abgebildete Exemplar zeigt eine kleine Knospe nahe der Basis. Im Anschluss hieran möchte ich noch ein mir vorliegendes Stück er- wähnen, das hinsichtlich der Grössenverhältnisse und der Zahl der Septen der Pl. erassa jedenfalls sehr nahe steht. Leider ist dasselbe nur als Frag- ment erhalten, und zwar geht die Bruchfläche schief durch die Koralle. Ich habe diese Bruchfläche auf Taf. XII, Fig. 15 abgebildet. Das Stück ist desshalb interessant, da es an zwei Stellen beginnende Theilung zeigt. Aehnliche Fälle wurden schon an anderen Korallen beobachtet, die sonst gewöhnlich nur als Einzelkelche bekannt sind, z. B. an Montlivaltia, Fungia, Rhipidogyra. Das mir vorliegende Stück macht nicht den Eindruck, als ob die Theilung so weit gegangen wäre, dass die Einzelkelche frei ge- worden wären, sondern nur als ob hier in einem Kelch mehrere Mund- öffnungen vorhanden gewesen wären. Zahl der untersuchten Exemplare: 5. Fundorte: Kotzobenz, Koniakau, Wischlitz; ausserdem: Nattheim. Pleurosmilia aff. infundibuliformis MirAscr. sp. — Taf. XIII, Fig. 8. 1376. Plesiosmilia infundibuliformis Becker und MirAschrzwirz. Nattheimer Kor. p. 72. pl. 48. Fig. 1. Die vier mir vorliegenden Exemplare sind als Steinkerne erhalten. Dieselben sind höchst wahrscheinlich zu Pl. infundibuliformis MinaschEwinz zu stellen. An den Steinkernen ist zu sehen, dass die Koralle von conischer Form war, mit elliptischem Kelch. Septa in fünf Cyelen angeordnet. Jene der ersten drei Cyclen dick, mit Pfählchen-artigen Verdickungen gegen das Centrum, die des vierten Cyclus weniger dick und die des fünften Cyelus verhältnissmässig dünn. Columella eine kurze (2 mm lange) dicke Lamelle bildend. Die mir vorliegenden Steinkerne zeigen eine etwas geringere Grösse als die Nattheimer Exemplare. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundort: Kotzobenz; ausserdem: Nattheim. Epismilia. 141 Gen. Epismilia Frou. 1859. Ellipsosmilia Brauvon. Ray. du Haut-Jura. p. 50. non Kllipsosmilia D’ORe. 1858—61. Epismilia From. Introd. p. 104. 1863. Psammosmilia From. Pal. Franc. Terr. Cret. p. 288. 1864. Ellipsosmilia Tuurn. et Er. Leth, Bruntr. p. 360, 1365. Epismuilia From. et Ferry. Pal. Frane. Terr. Jur. Zooph. p. 46. 1875— 76. ,„ Mivasen. Natth. Kor. p. 184. 1876—80. „ Zuerer. Handb. Bd. I. p. 259. 1880—89. ,„ Kosx. Pol. Foss. p. 25 und p. 534. pl. OXXIX, Fie. 8. 1384. n (als Subgenus von Zrochosmilia) Duncan. Madreporaria. p. 52. Einzelkoralle, cylindrisch oder conisch, Septen zahlreich, in Cyelen an- geordnet, ganzrandig, auf den Seitenflächen mit Reihen von Granulationen bedeckt, die parallel dem Oberrand verlaufen. Säulchen fehlt, Columellar- rand elliptisch, Epithek vorhanden, Traversen fein, zahlreich, gegen aussen zu steiler gestellt und eine Pseudotheka bildend. FRroMENTEL gab bei Beschreibung der Gattung an, dass die Septen der ersten Ordnungen ganzrandig, jene der späteren Ordnungen dagegen gezähnt seien. Dies konnten spätere Autoren nicht bestätigen, welche sagen, dass sämmtliche Septen ganzrandig seien. Ich kann auf Grund des mir vorliegen- den Stramberger Materiales kein Urtheil abgeben, da bei diesen Stücken der Kelch und der Oberrand der Septen nicht intact ist. Dagegen konnte ich den zum Oberrand parallelen Verlauf der Granulationen, von dem schon MitAscHEwITZz und Kopy spricht, sehr gut bestätigen. Epismilia obesa Kogy. — Taf. XII, Fig. 7, Ta. 1888. Epismilia obesa Kosx. Polyp. Jur. p. 445. Pl. 116. Fie. 5, 6, 7. Das mir vorliegende Exemplar von Bobrek ist als Steinkern erhalten, zeigt jedoch alle specifischen Merkmale wie Kopy’s E. obesa aus dem Corallien blane von Caquerelle. Die Koralle ist stumpf-conisch und von etwas elliptischem Querschnitt. 28 mm hoch und 30 zu 25 mm im Kelchdurchmesser. Columellarraum kurz elliptisch. Septa 152 an Zahl, 4 gleichmässig entwickelte Cyelen von Septen reichen bis zum Kelchcentrum, jene des fünften und sechsten Cyclus sind kürzer und feiner. Am Steinkern sieht man auf den Ausfüllungen der Zwischen- räume zwischen den Septen die Abdrücke der Granulationen der Septa, die parallel zum Septalrand verliefen. Die Traversen sind fein und zahlreich. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Bobrek; ausserdem: St.-Ursanne, Caquerelle. 142 Die Korallen der Stramberger Schichten. Epismilia reptilis MizAscn. 1875— 76. Epismilia reptilis Becker und Miraschewirz. Natth. Korallen. p. 187. T. 43. Fig. 9. Koralle eonisch-elliptisch, unten spitz zulaufend und etwas umgebogen. llöhe ca. 15 mm. Kelchdurchmesser 15 zu 10 mm. Septa 60 an Zahl, die der ersten 3 Cyclen etwas stärker und bis zum Kelchcentrum reichend. Ob- wohl die 3 mir vorliegenden Exemplare von Kotzobenz nur als Steinkerne erhalten sind, so ist doch deren Zugehörigkeit zu E. reptilis Mivascn. sicher. Die Eindrücke der mit dem Septalrand parallel verlaufenden Granulationen auf der Ausfüllungsmasse zwischen den Septen sind gross und deutlich. Zahl der untersuchten Exemplare: 3. Fundort: Kotzobenz; ausserdem: Nattheim. Epismilia euneata Mimascn. 1875 — 76. Epismilia euneata Becker und Mirascuhewirz. Natth. Korallen. p. 187. T. 43. Fig. 10. Koralle conisch-elliptisch, 25—30 mm hoch. Kelchdurchmesser 25 zu 20 mm. Septa in 5 Cyclen angeordnet, die der ersten 3 Cyelen nahezu von gleicher Stärke. Costen alle gleich stark und gezähnelt. Auch von dieser Art liegen mir nur zwei Steinkerne von Kotzobenz vor. Zahl der untersuchten Exemplare: 2, Fundort: Kotzobenz; ausserdem: Nattheim. Familie: Oculinidae Enw. u. H. Gen. Dendrohelia Kıracı. Knollige oder sich unregelmässig verästelnde Korallenstöcke. Kelche an den Spitzen kurzer Erhabenheiten auf einen Hauptast angeordnet, mit einander durch dichte Coaleseirung ihrer äussern Ränder in Verbindung ge- bracht. Die Costal-Fortsetzungen der Septen auf die Oberfläche werden stark granulirt, und rufen das Aussehen eines Coenenchyms hervor. Septen wenig zahlreich, von alternirender Grösse. Griffelförmiges Säulchen und Traversen vorhanden. Dendrohelia. 143 Dendrohelia eoalescens GDrF. sp. 1826—831. Madrepora coalescens Gouvr. Petref. Germ. T. I. p. 23. pl. 8. Fig. 6. 1826. _Dentipora coalescens Braınv. Diet. Sc. nat. T. 60. p. 348. 1326. Madrepora u 5 lei eine ar D3 358: 1840—47. „ sublevis Mıc#. Icon. p. 111. pl. 25. Fig. 5. 1848. Oculina coalescens Bronn. Index. paleont. T. I. p. 354. 1350. Lodbocoenia ,„ p’OrB. Prodr. II. p. 40. 1857. Stylina ? h Epw. u. H. Hist. Nat. des Corall. T. II. p. 246. 1855—61. Psammohelia gibbosa, aspera, dendroidea From. Introd. p. 177. 1858—61. Stylohelia 2 dendroidea From. Introd. p. 181. 1864. Dendrohelia coalescens Tuuru. u, Er. Leth, Bruntr, p. 358. pl. 50. Fig. 4. 1864. Psammohelia dendroidea From. Polyp. d. eny. de Gray. p. 19. pl. 14. Fig. 7. 1875--76. Stylina? coalescens Breker. Natth. Kor. p. 147. 1580—89. Dendrohelia „ Kosy. Polyp. Jur. p. 19. pl. I, Fig. 9—12. pl. I. Fig. 1—6; pp. 532, 565. pl. CXXIX. Fig. 1, Korallenstock ästig, mit dicht gedrängten Kelch-Erhabenheiten. Zu- weilen bemerkt man spirale Anordnung der Kelche auf dem Hauptast, meistens aber sind sie ziemlich regelmässig. 12 fast gleich entwickelte Septen er- reichen das Centrum und sind durch horizontale zahnartige Fortsätze mit dem Säulchen vereinigt. Es schieben sich eine Anzahl feinere Septen zwischen diesen 12, und sämmtliche setzen sich als stark granulirte Septo - Costal- Streifen fort. Man zählt 20—24 um jeden Kelch herum. Traversen sind in dem äusseren „septo-costalen“ Theil des Kelches gut entwickelt, im inneren viel weniger. Die nachträgliche Verdickung des Skelets ist sehr bedeutend. Allgemeine Bemerkungen: Diese sehr verbreitete jurassische Art ist gut geeignet, um die nahe Verwandtschaft zwischen den Styliniden und Oeculiniden zu demonstriren. Bei Besprechung der Styliniden (siehe unten p. 154) mache ich darauf aufmerksam, dass der eigentliche Kelch sowohl die Septen als die sogenannten „Septo-Costen“ oder „Costen* einschliesst. Dies ist auch für Dendrohelia und andere Oculiniden wahr. Die Tendenz zu nachträglicher Verdickung aller Skeletstrukturen bei den Oculiniden äussert sich in die Verengerung des inneren Kelchraums, und die Modifieirung der Septen speciell im äusseren (Costal-) Theil des Kelches. Sie werden dicker, dichter und oberflächlich stark granulirt bis sie, zusammen mit den verdickten Traversen, augenscheinlich ein Kelch-umgebendes Coenenchym bilden. Der ästige Habitus des Stockes und die Art der Vermehrung (gleichzeitig ent- stehende Ringe von Knospen oder rasch nach einander folgende Seitenknospen) trugen dazu bei, dass die Oculiniden-Gattungen bald ein eigenthümliches Ge- präge bekamen, doch zeigen gerade deren hauptsächliche jurassischen Ver- 144 Die Korallen der Stramberger Schichten. treter manche Anknüpfungspunkte mit den Styliniden, z. B. die eyclische An- ordnung der Septen nach der Zahl 6, 8, 10, 12, die Vereinigung der Septen durch horizontale Ausläufer mit einem griffelförmigen Säulchen, die häufig bodenartige Entwicklung der Traversen und ihre diehte Anordnung in der äusseren Kelchzone. Zahl der untersuchten Exemplare: 3. Fundorte: Ignatziberg, Stramberg; ausserdem St.-Ursanne, Caquerelle, Champlitte, Nattheim etc. Gen. Goniocora Epw. u. H. 1848. Dendrophyllia (pars) M’Coy. Ann. Mag. of Nat. Hist. T. II. p. 403. 1851. Goniocora Epw. u. H. Polyp- foss. des terr. pal. p. 96. 1857. n = Hist. Nat. des Corall. T. II. p. 604. 1857. n Pıcrer. Traite de Paleont. T. IV. p. 411. 1558. Eratvon. Haut-Jura. p. 119. 1858—61. „ FRoMENTEL. Introd. p. 148. 1379. a Zırrer. Handb. der Paleont. Bd. I. p. 256. 1884. Duncan. Madreporaria. p. 71. ; 1880—89. „ Kosy. Polyp. Jur. pp. 306, 554, 567. pl. OXXX. Fig. 12, 12a. Aestige Korallenstöcke, kurze Seitenäste zweigen sich von einem Haupt- Ast ab. Oberfläche der Aeste dureh die granulirten Costal-Fortsetzungen der Septen gestreift. Septen wenig zahlreich, in Cyelen von 6, S, 10, 12 angeordnet. Säulchen griftelförmig oder lamellär. Traversen gut entwickelt, in zwei Zonen. Aechte Mauer vorhanden. j Die Beziehungen dieser Gattung scheinen mir viel näher zu den Oeuliniden als den Astraeiden zu sein. Der Habitus des Stockes, der Septalbau und die Septalstruktur erinnern ausserordentlich an die typisch-jurassische Oculiniden- Gattung Enallohelia, nur sind bei der letzteren die sich verzweigenden Kelche in Reihen angeordnet, während dieselben bei Goniocora ohne bestimmte An- ordnung abzweigen. Kosy fasste Goniocora als ein Bindeglied zwischen Stylosmilia und Styliniden auf, und stellte Goniocora zu den Styliniden, Stylosmilia indess zu einer andern Gruppe, zu den Dendroheliden. Mit dieser Auffassung bin ich nicht einverstanden. Stylosmilia ist schon oben (p. 112) behandelt worden, und zu Gunsten meiner Ansicht über Goniocora möchte man die Abbildungen Kosy's für Goniocora (Polyp. Jur. pl. 90) mit den Ab- bildungen Breker’s für Enallohelia (Natth. Kor. Taf. 36) vergleichen. Daraus und aus dem erläuternden Text geht auffallende Uebereinstimmung in den wesentlich systematischen Merkmalen hervor. Goniocora. 145 Gonioeora Haimei From. 1858—61. Goniocora Haimei From. Introd. p. 149. 1864. 5 n H Polyp. Cor. des env. de Gray. p. 16. pl. VIII. Fig. 8, 9. Korallenstock klein, ästig; kurze dünne Aeste zweigen sich von einem cylindrischen Hauptast in Winkel von 70—90° ab. Durchmesser des Haupt- astes 4—5 mm, der dünnen Aeste 2—3 mm. Kelche wenig vertieft; die Septen sind 20 an Zahl, 10 längere bis an das griffelförmige Säulchen reichend und 10 kürzere. Sämmtliche Septen erscheimen als Costen auf der Oberfläche des Astes, ausserdem schieben sich feine Costen zwischen den- selben ein, die innerhalb des Kelches als kurze Septaldornen hineinragen. Traversen in zwei deutlichen Zonen, eine innere Zone von feinen flachen Traversen und eine äussere Zone, wo die Traversen recht grob und dicht und steil gegen die Mauer aufsteigen. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundort: Ignatziberg; ausserdem: Champlitte (Corallien). Goniocora dubia Kopy. 1880—89. Goniocora dubia Koepy. Polyp. Jur. p. 507. pl. XC. Fig. 1—4. Mehrere Bruchstücke liegen mir von Stramberg vor, die ich sowohl wegen des Baues der einzelnen Aeste, wie auch wegen der Septal-Anordnung mit der Kogy’schen Art identifieire. Verästelung findet mit grossem Winkel und in unregelmässigen Entfernungen statt. Durchmesser der Aeste 4,5 bis 5,5 mm. Kelche seicht. Septen 24, gut entwickelt, 12 längere, 12 etwas kürzere; noch 24 rudimentäre Septen schieben sich am Kelchrande ein, so dass die Zahl der Costen auf der Oberfläche eines Astes bis auf 48 kommt. Letztere sind fast gleichmässig stark entwickelt. Lamelläres Säulchen vor- handen. Die Traversen sind in der äusseren Kelchzone sehr stark, gegen innen zu dünn. Die verdickten äusseren Theile der Traversen verwachsen innig mit der Mauer, die infolgedessen scheinbar immer dicker, während der Kelchraum im Innern enger wird. Ich erwähne diese Beobachtung, da eine solche Verengerung des Visceralraumes durch nachträgliche Verdickung der Skelettheile geradezu als charakteristisch für die Oeculiniden angesehen wird. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, St.-Ursanne etc. Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 10 146 Die Korallen der Stramberger Schichten. Familie: Pocilloporidae VERRILL. Subfamilie: Stylophorinae Evw. u. H. em. ÖcInviE. Astrocoenia und Stephanoeoenia. Bei Besprechung der Familie der Styliniden (p. 154) wird hervor- gehoben werden, dass die Gattungen Astrocoenia und Stephanocoenia wegen der Bezahnung des Septalrandes von den Styliniden zu entfernen sind. Bei beiden Gattungen finden sich nämlich am Oberrand der Septen kleine, rund- liche, conische Erhöhungen, die Endigungen der Trabekeln. Diese Erhöhungen unterscheiden sich leicht von den scharfen Zähnen der Astraeiden, aber auch von den feinen Zähnelungen des scheinbar ganzrandigen Styliniden-Septums weichen sie ab. Die Seitenflächen der Astrocoenia- und Stephanocoenia-Septen sind ziemlich glatt oder mit unregelmässig zerstreuten Granulationen versehen. Gegen das Kelchcentrum zu sind diese Granulationen regelmässiger ange- ordnet, etwas stärker und verschmelzen häufig mit einander, so dass auf den Seitenflächen der Septen horizontal oder schief nach oben gerichtete Verdiekungen entstehen. Diese Verdickungen bilden dann pseudosynaptieuläre Verbindungen zwischen den benachbarten Septen der ersten Ordnungen oder legen sich gegen das Säulchen und rufen dadurch um das Säulchen herum ein löcheriges Gewebe hervor, oder diese Verdickungen werden frei und bilden manchmal wie bei Stephanocoenia einen regelmässigen Kranz von Pali. Die kurzen Septen zeigen gegen Innen zu nicht mehr die starken Verdickungen, sondern die Trabekeln laufen hier nur in rundliche feine Erhöhungen aus, ähnlich wie am Oberrand. Bei beiden Gattungen berühren sich zuweilen die Kelche, zuweilen sind letztere auch durch eine mehr oder minder breite Zone getrennt, in welcher sich die Costen in lauter einzelne Trabekelpfeiler auflösen, welche an der Stock- oberfläche als höckerige Granulationen hervortreten und eine Art Coenenchym bilden. Die Kelche sind nach Aussen durch die Verdickung der Septen und stärkere Traversenbildung von einer Pseudotheka umgrenzt, welche hinsichtlich ihrer Lage im Kelch der Pseudotheka bei den Styliniden entspricht. Ausser dieser Pseudotheka ist die Lage der ursprünglichen, ächten (äusseren) Mauer manchmal noch durch eine scharfe Trennungszone oder Furche an der Ober- fläche angedeutet. Die Bildung dieser Art von Coenenchym zwischen den meisten Kelchen erfolgte durch die Rückbildung der äusseren (ächten) Wand und dadurch, dass in der äusseren Kelchzone die Septocosten sich mehr und mehr in ihre einzelnen Trabekel auflösten, sowie dadurch, dass die Traversen hier feiner, dichter und mehr gewölbt wurden. Im Innern der Kelche, be- Astrocoenia und Stephanoecoenia. 147 sonders bei Astrocoenia kommt es vor, dass die Traversen ganz flache Böden bilden. Das mir vorliegende Stramberger Material war grossentheils sehr gut erhalten und liess die oben erwähnten Merkmale erkennen, ausserdem konnte ich dieselben auch an dem reichlichen Material der Münchener Sammlung, an Formen aus den verschiedenen Perioden (Trias-Tertiär) beobachten. Kor (l. eit. Pl. 130. Fig. 9, 10 und 11) hat Septal- und Kelchoberflächen von beiden Gattungen abgebildet, welche die Zähnelung und die Granulationen sehr gut zeigen. Auch die von Kosy (Taf. 130. Fig. 8) als Goniastraea favulus abgebildete Form, die er selbst nur mit einiger Reserve (cf. 1. ecit. p. 548) zu Goniastraea stellt, habe ich auf Grund meines Stramberger Materiales zur Gattung Stephanocoenia gestellt. Auf Taf. XVI, Fig. 8 und 10 habe ich zwei Querschliffe von Astrocoenia und Stephanocoenia abbilden lassen, welche zeigen, dass in der Mittelebene des Septums die Axen der Trabekeln als isolirte dunkle Punkte erscheinen, die den conischen Spitzen am Oberrand des Septums entsprechen würden. Nach den bisher besprochenen Merkmalen können die beiden Gattungen nun auch nicht länger mehr zu den Astraeiden und zwar zur Unterfamilie Astraeinae E. u. H. gestellt werden. Die Astraeiden unterscheiden sich von Astrocoenia und Stephanocoenia hinsichtlich ihrer Septalstruktur durch ab- weichende Art der Anordnung und Verbindung der Trabekeln, sowie durch die damit zusammenhängende Art der Bezahnung. Die beiden Gattungen weichen von den Astraeiden auch durch die geringe Zahl und die regelmässige An- ordnung der Septen wesentlich ab. Diese und manche andere Merkmale würden eher für eine Zugehörigkeit zu den Styliniden sprechen, von welchen sie sich indess durch die Septalstruktur und durch die eigenthümliche Coenenchymbildung unterscheiden. Meiner Ansicht nach schliessen sich die beiden Gattungen am besten an die Gattung Stylophora an. Auch bei Stylophora sind an manchen Stellen des Stockes die Kelche entweder eng gedrängt oder in grösseren Abständen und dann durch ein Coenenchym genau wie bei Astrocoenia und Stephano- coenia verbunden. Koch hat bekanntlich (Jenaische Zeitschr. f. Naturw. Bd. XI) die Gattung Stylophora genauer mikroskopisch untersucht. Aus diesen Unter- suchungen ergibt sich, dass der feinere Bau von Stylophora im Wesentlichen der gleiche ist wie bei Astrocoenia und Stephanocoenia. Auch hinsichtlich der Zahl und Anordnung der Septen ist der Habitus bei diesen Gattungen übereinstimmend. Ausser Astrocoenia und Stephanocoenia gehören nach dem Habitus und und dem Septalbau auch noch die Gattungen Stylocoenia E. u. H., Dicho- coenia E. u. H. und Madraeis E. u. H., welche letztere von manchen Autoren 10* 148 Die Korallen der Stramberger Schichten. als eine Oculinide angesehen wird, zu den Siylophorinae. Bemerkenswerth ist auch, dass die lebende Gattung Madraeis, die nie den Styliniden zuge- rechnet wurde, ebenso wie Astrocoenia und Stephanocoenia manchmal eine Anordnung der Septen in 6, 8, 10 und 12 Systeme zeigt. Die Vermehrung erfolgt bei beiden Gattungen sowohl durch marginale Knospung wie durch Theilung. Die marginale Knospung erfolgt in der coenenchymartigen Zone, also scheinbar ausserhalb der Kelche, in Wirklich- keit aber, da diese Zone der äusseren grobblasigen Zone der Amphiastraeiden und Styliniden entspricht, eigentlich intracalycinal. Auch Theilung (durch Septalknospung) konnte ich sehr häufig beobachten. Oefters theilen sich die Kelche genau im zwei Hälften durch eine Mittellinie, welche durch zwei gegenüberstehende Primärsepten und das (in der Theilungsebene) in die Länge gezogene Säulchen verläuft. Gen. Astrocoenia En». u. H. 1826. Astraea (p.p.) GotLpruss. Petref. Germ. T. I. p. 111. 1848. Astrocoenia Mıtne Epwarps und J. Haıme. Compt. rend. de l’Acad. des Se. T. 27. p. 469. 1349. Goniocoenia, Enallocoenia und Actinastraea w’OrBIGNY. Note sur des Pol. Foss. p. 7 u. 10. 1856. Astrocoenia Epw. u. H. Hist. nat. des Corall. T. II. p. 254. 1360. cn From. Introd. p. 232. 1360. a Eratı. Haut-Jura. p.171> 1860. Coenastraea „ n p- 10. 1862. Astrocoenia Tuurm. u. Erave. Lethaea Bruntrutana. p. 374. 1362. Coenastraea ,„ " ” 5 p. 402. 1862. Astrocoenia From. Monogr. des polyp. jur. sup. p. 36. 1871. F Reuss. Die foss. Kor. Oest.-Ungar. Miocän. p. 40. 1879. % Zırrer. Handb. der Paleont. Bd. I. p. 263. 1554. R Duncan. Madreporaria. p. 120. 1881—89. „ Kopr. Polyp. Jurass. pp. 290, 553, 570. pl. OXXX. Fig. 9, 10. 1590. Mn FrecH. Triaskorallen. Palaeontogr. Bd. 37. p. 33. Zusammengesetzte massive, rundliche oder unregelmässig verzweigte Stöcke. Kelche durch ihre Wände oder durch Coenenchym verbunden, das an der Oberfläche conische Hervorragungen aufweist. Septen wenig zahlreich, in deutliche Cyclen angeordnet. Die Trabekeln laufen am Oberrand der Septen in conische Erhöhungen, gleich denen im Coenenchym, aus. Säulchen griffelförmig, deutlich. Traversen nicht sehr reichlich, im centralen Theil manchmal bodenartig. Wand als Pseudothek vorhanden, durch reichliche Entwicklung der septalen Elemente und Verdiekung derselben gebildet. Epithek an der Unterseite der Stöcke vorhanden. Astrocoenia. 149 Astrocoenia Bernensis Kosy. — Taf. XVI, Fig. 7, 7a. 1864. Astrocoenia pentagonalis Tuurn. et Er. Leth. Bruntr. p. 374. Pl. 52. Fig. 11. 1880. » 2 5 v’Acusarpı. Cor. Giur. p. 12. 1855. 5 Bernensis Kosy. Polyp. Jur. p. 291. Pl. 86. Fig. 9, 10. 1857. 5 5 SoLomko. Jura- und Kreidekorallen der Krim. p. 93. Taf. III, Fig. 8. non = 4. pentagonalis GLDF., D’OrB., E. u. H., Fron., Quenst., BECKER u. A. Der Polypenstock bildet gewöhnlich halbkugelige oder fingerförmige Stöcke, zuweilen sind sie auch fladenförmig. Von der kleinen Anheftungs- stelle wächst der Stock in sich übereinander aufbauenden und immer über die anderen vorspringenden Lagen in die Höhe. Der Durchmesser der halb- kugeligen Exemplare wechselt von ca. 13—48 mm, jener der fingerförmigen von 20—25 mm. Die Kelche sind unregelmässig fünfeckig (von 1,5 mm Durchmesser) und von den benachbarten durch eine scharf emporsteigende Mauer geschieden. An gut erhaltenen Exemplaren sieht man, dass die über die Mauer emporsteigenden Septa zusammenfliessen. 9—12 Septen reichen fast bis an das Säulchen, eine unregelmässige Anzahl von kürzeren Septen finden sich nahe an der Wand. Im Ganzen zählt man 20—24 Septen. Ober- rand der Septen deutlich gezähnt. Das Säulchen wenig entwickelt, aber mit unregelmässig zahnartigen Septal-Fortsätzen verwachsen. Auf der Unterseite des Stockes sind Epithekalringe zu beobachten. Die Traversen sind schwach entwickelt. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art ähnelt so sehr der verbreiteten jurassischen Art A. pentagonalis GLDF. sp., dass man sie fast als eine Varietät derselben auffassen könnte. Da in der Münchener Sammlung ein reiches Material von Astrocoenia pentagonalis GOLDF. vorliegt, unter denen das Original- Exemplar sich befindet, war ich im Stande, genau zu untersuchen, ob die be- treffenden Formen zu Astrocoenia oder zu Stephanocoenia zu stellen seien. Ich stimme mit SoLomko überein, welche diese Art zu der Gattung Astrocoenia zählt. BECKER gibt einen Kelchdurchmesser von 1'/,—'/z mm an, was für die Identität der Nattheimer Art mit Astrocoenia Bernensis Kosy sprechen würde; ich habe jedoch gefunden, dass der Kelchdurchmesser ein grösserer ist und wie schon SoLomKko sagt, 2—2'/z mm beträgt. Jedenfalls stehen sich diese beiden Arten sehr nahe, nur pflegen die Cyclen der Nattheimer Art regelmässiger ausgebildet zu sein. D’Acuıarpı hat an der von ihm von Monte Pastello beschriebenen Art kein Pfählchen gefunden und rechnet die- selbe desshalb nicht mit Sicherheit zu Stephanocoenia pentagonalis GOLDF. Der Kelchdurchmesser stimmt mit Astrocoenia Bernensis überein. Zahl der untersuchten Exemplare: 26. Fundorte: Stramberg, Koniakau; ausserdem: Caquerelle, Blauen, Bressancourt, Locle, Monte Pastello, Sudagh (Krim). 150 Die Korallen der Stramberger Schichten. Astrocoenia crasso-ramosa Miıc#. sp. — Taf. XVI, Fig. 8, 8a. 1843. Astraea crasso-ramosa MıcH. Icon. p. 109. pl. 25. Fig. 2. 1850. Enallocoenia , p’OrB. Prodr. T. II. p. 92. 1851. Astrocoenia 5 Epw. u. H. Polyp. foss. des terr. pal. p. 64. 1857. » 5 r Hist. nat. des Corall. T. II. p. 261. 1858—61. „ 5 From. Introd. p. 254 1564, " n ” Polyp. cor. des env. de Gray. p. 25. 1889. 5 n Kosy. Polyp. Jur. p. 295. pl. 87. Fig. 2, 3. Korallenstock ästig, kugelig oder flach. Durchmesser eines Astes 30 bis 60 mm. Kelche polygonal, mit seichter Grube, in welcher das Säulchen meistens hervorragt. Kelchdurchmesser 3 mm. Ungefähr 10 Septen erreichen das Säulchen, 5—8 sind etwas kürzer, und in einigen Kelchen erscheinen an der Wand noch einige rudimentäre. Der Oberrand aller Septen ist gezahnt. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art kommt unter dem Stramberger Material auch als Ueberzug auf anderen Korallen vor, was bemerkenswerth ist, da sie bis jetzt nur als ästig wachsend beschrieben worden ist. Da der Frhaltungszustand gut war, habe ich einen Querschliff abgebildet, der die Septalstruktur zeigt. In der Mittellinie sind dunkle Punkte (Caleifications- Centren), von denen helle Kalkfasern strahlenförmig ausgehen. Die Struktur ähnelt derjenigen der von mir untersuchten Goniastraea, lässt sich aber durch gleichmässige Entfernungen zwischen den Caleificationscentren unterscheiden. Hauptsächlich wegen dieser feineren Struktur, sowie wegen des Coenenchyms, habe ich mich der Ansicht von Duxncaw und anderen Autoren nicht ange- schlossen, sondern glaube, dass die Gattung Astrocoenia weder zu den Astraeiden noch zu den Styliniden gehört. Zahl der untersuchten Exemplare: 5. Fundort: Stramberg; ausserdem: St.-Mihiel, Cötes-du-Doubs, Locle ete. Astrocoenia Delemontana Kosyr. — Taf. XVI, Fig. 9, 9a. Astrocoenia Delemontana Kogy. Polyp. Jur. p. 292. pl. LXXXVL. Fig. 4. Korallenstock ästig, die Aeste im Durchschnitt elliptisch; im Durch- messer 10—20 mm betragend. Der des untersuchten Exemplares beträgt 10><6 mm. Kelche polygonal mit hervorragenden Wänden. Ihr Durch- messer 1'/,—2 mm. Septen 22—24, nur 9 oder 10 davon reichen bis an das Säulchen, sie vereinigen sich nur selten mit demselben. Der Oberrand der Septen ist regelmässig fein gezackt. An der Wand sind die Septen im Verhältniss zu ihrer Länge sehr dick und bilden damit die Pseudotheka. Das Säulchen ragt in der Kelchgrube hervor. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich leicht von A. erasso-ramosa und von A. tenuisepta durch die geringere Grösse der Kelche und von der letzteren Art auch durch die geringere Zahl der Septen. Stephanocoenia. 151 Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg; ausserdem: Vorbourg, pres des Delemont. Gen. Stephanocoenia En». u. H. 1816. Astrea (pars) Lamarck. Hist. nat. des anim. sans vert. T. II. p. 266. 1548. Stephanocoenia Ep. u. H. Compt. rend. de l’Acad. des Sc. T. XXVI. p. 469. 1850. Goniaraea v’OrB. Prodr. T. II. p. 534. 1857. Stephanocoenia Ev. u. H. Corall. T II. p. 264. 1857. n Pıcrer. Traite de Paleont. T. IV. p. 393. 1857. Goniaraea 2 a e s Dr 483: 1360. Stephanocoenia From. Introd. p. 202. 1860. Allocoenia Erauı. Ray. du Haut-Jura. p. 477, 1860. Stephanastrea EN. „ , e Suppl. p. 10. 1864. Allocoenia Tuurm. u. Yr. Leth. Bruntr. p. 378. 1564. Stephanastraea , > ” p. 401. 1879. 5 Zırrer. Handb. der Paleont. Bd. I. p. 255. 1579. Stephanocoenia er S 292.263. 1834. n Duncan. Madreporaria. p. 121. 1880—89- & Kopy. Polyp. Jurass. pp. 300, 554 u. 561. 1550—89. Goniastraea (pars) Kosyr. Polyp. Jurass. pp. 213, 548, 570. pl. OXXX. Fig. 12. 1890. Stephanocoenia (+ Cyathocoenia Duncan) Freeu. Triaskorallen. Palaeontogr. Bd. 37. p. 36. Zusammengesetzte massive, rundliche oder unregelmässig verzweigte Stöcke. Kelche durch ihre Wände oder durch Coenenchym verbunden, das an der Oberfläche conische Hervorragungen trägt. Septen wenig zahlreich, in deutliche Cyclen geordnet. Die Trabekeln laufen am Oberrand der Septen in conische Erhöhungen, gleich denen im Coenenchym, aus. Am Innenrand der Septen bilden die Trabekel Pali, welche das griffelförmige Säulchen um- geben. Traversen gut entwickelt, blasig. Wand als Pseudothek vorhanden, durch reichliche Entwicklung der septalen Elemente und Verdickung derselben gebildet. Epithek an der Unterseite der Stöcke vorhanden. Stephanocoenia favulus Tauru. sp. — Taf. XVI, Fig. 10, 10a, 10b. 1850. Agaricia favulus Thurn. Coll. 1362. Isastraea „ Tuurm. u. Erave. Leth. Bruntr. p. 391. pl. 55. Fig. 10. 1889. Goniastraea „ Kopy. Polyp. Jur. p. 214. pl. 63. p. 548. pl. OXXX, Fig. 8. Korallenstock unregelmässig flache oder in die Höhe wachsende Massen bildend. Kelche polygonal, seicht, mit hervorragenden Wänden, Durchmesser 3 mm. Säulchen griffelförmig, wenig hervorragend. Septen 24—30, am Oberrand fein gezahnt, an den Seitenflächen granulirt. 10—12 Septen sind lang, vor ihnen stehen Pfählchen. Die kürzeren Septen vereinigen sich oft nach dem Innern zu mit den längeren. m [o} DD Die Korallen der Stramberger Schichten. Allgemeine Bemerkungen: Stfephanocoenia favulus hat grössere Kelche und zahlreichere Septen als die anderen jurassischen Arten. Kosy (Polyp. Jur. p. 214) hat sie zu der Gattung Goniastraea gestellt. Er gibt nun in einem Supplement derselben Arbeit eine ausführliche Beschreibung des Septalbaues in @. favulus, die meiner Ansicht nach dafür spricht, dass die Art zu der Gattung Stephanocoenia anstatt zu Goniastraea gestellt werden sollte. Jedenfalls stimmt seine Beschreibung nicht mit den Ergebnissen auf Grund meiner Untersuchungen einiger recenter Goniastraea-Arten. In Fig. 10b gebe ich einen Querschliff, der die gleiche Struktur der Septen und Pseudotheka zeigt, wie oben bei Astrocoenia crasso-ramosa be- schrieben. In beiden Gattungen kommt zwischen benachbarten (pseudothekalen) ünden mehr oder weniger blasiges Coenenchym vor; gewöhnlich ist sogar in Stephanocoenia favulus dieses blasige Gewebe in einer Furche gelegen, wäh- rend bei Goniastraea die Kelche scharfe erhabene Wände in innige Contact aufweisen. Ferner sind die Septen in Stephanocoenia favulus einfacher im Bau, weniger eranulirt und weniger gezackt, als in lebenden Goniastraea- Arten, auch legen sich bei @oniastraea die Septen nicht so regelmässig seit- lich an einander und verwachsen, wie dies hier in 5. favulus der Fall ist. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundort: Stramberg; ausserdem: Bressancourt, Porrentruy, Mont Courroux. Familie: Madreporidae Dana. Gen. Thamnaraea Yıraıvon. 1864. Thamnaraea Tuuru. u. Erarı. Lethaea Bruntrutana. p. 411. 1879. Microsolena p.p. Zırrer. Handb. der Palaeont. Bd. I. p. 245. 1882. Thanmaraea Prarz. Verwdtsch. Bez. Kor. Gattungen, Palaeontogr. Bd. XNXXI. p- 98. 1834. e Duncan. Madreporaria. p. 169. 1880—89. „ Kosy. Polyp. Jur. p. 411 u. 569. 1891. > Ferıx. Verst. aus Neoc. in Tehuacan. Palaeontogr. Bd. 57. p. 142. Zusammengesetzte Stöcke, welche fingerförmige Aeste oder kurze in die Höhe wachsende Knollen bilden. Kelche auf der Oberfläche unregelmässig vertheilt. Kelchgruben seicht. Septen wenig zahlreich, dicht, nach Aussen zu gehen sie nach und nach in ein lockeres coenenchymartiges Gewebe über. Synaptikel und Pseudosynaptikel sind vorhanden, unregelmässig angeordnet, niemals eine Wand bildend. Traversen spärlich. Die systematische Stellung dieser Gattung ist nicht ganz sicher. Erauvon stellte dieselbe in die Nähe von Trocharaea und Microsolena und ZiTTEL vereinigte sie mit Microsolena«. Demgegenüber machte Prarz darauf auf- Thamnaraea. 153 merksam, dass die Septen gegen Aussen zu in zackige, oft gebogene Linien übergehen, was bei Microsolen« nicht der Fall ist. Er hielt desshalb die Gattung Thamnaraea aufrecht. Kosy beobachtete, dass die Septen aus un- regelmässig angeordneten Trabekeln aufgebaut seien, wesshalb er die Gattung zu den Pseudoastraeinae irregulares Prarz (und damit in die Nähe von Haplaraea und Diplaraea) stellte. Fruıx legte das Hauptgewicht auf die Ent- wicklung eines Coenenchyms. Desswegen und wegen der gröberen Septen ent- fernte er die Gattung von den Pseudoastraeinae und stellte sie'zu den Poritidae. Die Septen sind aber in Thamnaraea anders wie in Porites gebaut. Sie bestehen aus engstehenden kleinen Trabekeln wie bei Zurbinaria oder Madrepora. Man kann bei Thamnaraea zwischen einem inneren Theil mit wenig zahlreichen, compacten Septen und keinen Synaptikeln unterscheiden und einem äusseren Theil, in welchem die Costen sehr zahlreich sind, sich unregelmässig biegen und in einzelne Trabekel auflösen, die mit den Syn- aptikeln und den wenigen Traversen ein lockeres Coenenchym bilden. Man hätte hier also ähnliche Verhältnisse wie bei Zurbinaria oder Madrepora z. B., wo sich ein Kelch mit compaeten Septen von einem äusseren lockeren Coenen- chym unterscheiden lässt. Dagegen sind bei Porites die Septen innerhalb des Kelches ganz ähnlich wie die Costen gebaut und durch Synaptikel mit einander verbunden. Thamnaraea arborescens Erarzon. — Taf. XI, Fig. 6. 1864. Thamnaraca arborescens Tuurn. u. Er. Leth, Bruntr. p. 412. pl. 58. Fig. 5. 1880—89. en » Kosy. Polyp. Jur. p. 411. pl. CX. Fig. 2, 3, 4, 5, 6. Von dieser Art liegen nur zwei cylindrische Bruchstücke mit einem Durchmesser von 6—8 mm vor, welche oben und unten abgebrochen sind. Die Kelche sind gut ausgeprägt, ziemlich weit entfernt, im Quincunx und am Aste diametral gegenüberstehend.. An dem auf Taf. XI, Fig. 6 (Stramberg) abgebildeten Bruchstück z. B. befinden sich 4 Kelche, 2 oben, 2 unten. Septen ca. 30—36, gleich dick, einige aber kürzer als die anderen, ungefähr die Hälfte erreicht das Centrum. Die Septen biegen zum Theil recht- winklig um und laufen in Streifen parallel mit der Längsrichtung des Astes. Allgemeine Bemerkungen: Wenn auch die Beschreibung Erauuox’s nicht sehr vollständig ist, so kann man doch nach den Abbildungen kaum zweifeln, dass die Stramberger Form mit der Erauzon’s identisch ist. Diese Art zeichnet sich durch den geringen Durchmesser der Aeste, sowie durch den grossen Abstand der Kelche und die regelmässige Stellung derselben aus. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundort: Stramberg; ausserdem: Ignatziberg, Caquerelle, Soyhieres, Blauen. 154 Die Korallen der Stramberger Schichten. Thamnaraea pulchella Ocınvır. — Taf. X, Fig. 14. Korallenstock kleine dicke Aeste bildend, auf schmalem Stiel wachsend, Durchmesser des Astes 8—10 mm. Kelche regelmässig auf dem Ast ange- ordnet, mit seichter Grube. Durchmesser des Kelches I—1', mm. 8—10 Septen reichen bis zum Säulchen. Am Kelchrand schiebt sich noch eine geringe Zahl von Septacosten ein. Der Verlauf der Costen ist sehr unregel- mässig. Ein Zusammenfliessen derselben ist selten zu beobachten. Allgemeine Bemerkungen: Die geringe Grösse der Kelche, die geringe Zahl der Septen und das grosse hervortretende Säulchen sind die charakteristischen Merkmale dieser Art. Thamnastraea pusilla Kosy sieht auf den ersten Blick der 7%. pulchella sehr ähnlich. Kosy erwähnt aber das Vorhandensein einer Epithek und deutliches Zusammenfliessen der Septen. Allerdings scheinen auf meiner Abbildung (Fig. 14a) die Septen ebenfalls zusammenzufliessen, was aber der Fehler des Zeichners ist. Noch zu erwähnen sind einige Abbildungen, die auch eine äusserliche Aehnlichkeit haben. Sie finden sich als Astraea gracilis GoLpr. (QuEnsT. Sternk. Taf. 175. Fig. 25) und Thamnastraea concinna GoLDF. sp. (BÖLSCHE, Zeitschr. d. d. geol. Ges. 1866 p. 452) in der Literatur. Miraschewirz hat die Exemplare von Börschz untersucht und war der Meinung, dass sie zu A. gracilis GoLDF. zu rechnen sei und dass beide Arten wohl aufrecht zu erhalten wären und wahrscheinlich zu Mierosolena gehören. Ich habe das Original-Exemplar von A. graeilis GoLpr. untersucht und stimme in Bezug auf seine Zugehörigkeit zu A. gracilis mit MiwAscHhzwirz überein. Von Th. pulchella unterscheiden sich diese Arten durch die feinere Struktur der Septen und Costen., Zahl der untersuchten Exemplare: 6. Fundorte: Stramberg, Koniakau, Ignatziberg. Familie: Stylinidae KTunzinGer. Zusammengesetzte, massiv astroidische Stöcke, im letzteren Fall Kelche meist durch Septocosten, selten durch ächte Wand verbunden. Aechte Wand nur selten, Pseudotheka immer (zwischen Septen und Septocosten) vorhanden. Die Septen sind radiär angeordnet, an Grösse und Dicke immer alternirend, wenig zahlreich; nie mehr als 3 vollständige Cyelen im Kelch (innerhalb der Pseudotheka) vorhanden. Der erste Cyclus umfasst an Zahl 6, 12, 4, 8, 5 oder 10 Septen. Oberrand der Septen glatt oder fein gezähnelt; Seitenflächen Stylinidae. 155 mit feinen Granulationen versehen. Die 'Traversen sind flach (Tabulae) oder mehr blasig entwickelt. Die Vermehrung erfolgt durch marginale Knospung, seltener durch Septalknospung (Theilung). Die Gattungen, die ich hieher rechne sind: Stylina, Heliocoenia, Diplo- coenia, Cyathophora, Cryptocoenia, Convexastraea, Colummastraea, Placocoenia, Phyllocoenia, Holocoenia, Anisocoenia, Siylosmilia, Holocystis, Acanthocoenia, Pentacoenia, Aplocoenia, dann die palaeozoische Gattung Decaphyllum. Die Gruppe der Stylinaceen wurde bekanntlich zuerst von Mıunz Epv- wArps und HaAımz als eine Untergruppe der mit ganzrandigen Septen ver- sehenen Eusmilinae aufgestellt. Die Stylinaceen würden sich danach von den übrigen zusammengesetzten Eusmilinen durch die Art der Vermehrung, nämlich Knospung (anstatt Theilung) unterscheiden. Seit Mine EpwArvs und Haımz wurden an dieser Gruppe verschiedene Veränderungen vorgenommen. FromEnTeL entfernte daraus die Gattungen Phyllocoenia, Heterocoenia und Elasmocoenia', da die Intercalyeinalräume nicht mittelst Septocosten, sondern durch Coenenchym verbunden sind und stellte sie desswegen zu den Stylophoriden. (From. Ter. Cret. p. 497). Nebenbei sei gleich hier bemerkt, dass auch die Gattungen Stylocoenia E. u. H. und Psammocoenia Kogy zu den Stylophoriden gehören. Duncan legte dem Merkmale, ob die Septen ganzrandig oder gezähnt seien, nicht die grosse systematische Bedeutung bei, wie Mıuwz EpDwArDs und Hamm und löste desshalb die Gruppe der Eusmilinen auf. Ebensowenig hielt er die Stylinaceen im Sinne von MıuLnz EpwArps und Hamm mehr auf- recht, sondern vereinigte sie mit den Astraeaceen E. u. H. (als Subfamilie Astraeidae agglomeratae gemmantes). Das Ganze theilte er dann wieder in verschiedene Alliancen ab, deren jede sowohl Triben mit Genera mit 'ge- zahnten Septen, als auch solche mit ganzrandigen Septen enthielt. Es ist nicht nöthig auf die Veränderungen, die Duncan hier vorgenommen hat, näher einzugehen, da dieselben meiner Ansicht nach keinen Fortschritt be- zeichnen, allein ich möchte nur das eine hervorheben, dass die Gattungen Astrocoenia und Stephanocoenia von ihm als gezahnt beschrieben werden. Kogy, Frec# und Andere haben sich dieser Ansicht angeschlossen, dieselben aber bei den Astraeiden E. u. H. belassen. Wie ich in den Trans. Roy. Soc. London 1896 näher begründe, glaube ich, dass Astrocoenia und Stephanocoenia wegen ihrer feineren Struktur und t Mırne Epwarps u. Haıme sagen, dass das Coenenchym von Elasmocoenia blasige und blättrige Struktur besitze. Nach dieser Beschreibung wäre dieses Coenenchym ähnlich dem von Galaxea. Leider gibt es nur eine einzige Abbildung von Elasmocoenia (E. explanata Micn. Icon. Pl. 51, Fig. 3), dieselbe zeigt indess auch Spuren von Üostalstreifen auf der Oberfläche des Stockes. 156 Die Korallen der Stramberger Schichten. wegen der Art der Verbindung benachbarter Kelche zu den Stylophoriden zu stellen sind. Diese beiden Gattungen wurden bereits oben p. 146 aus- führlicher behandelt. Wie schon oben (p. 113) auseinandergesetzt wurde, halte ich die Gattung Schizosmilia für identisch mit der bis jetzt zu den Stylinaceen gezählten Gattung Placophyllia, wesshalb ich beide unter dem älteren Namen Placo- phyllia vereinigte und zu den Amphiastraeiden stelle. Die Gattung Dendro- smilia E. u. H., welche ‘bis jetzt nur durch eine einzige im Eocaen vor- kommende Art vertreten ist, gehört meiner Ansicht nach nicht zu den Styli- niden, sondern zu den Oculiniden. Die Gattung Galaxea ist in den Trans. Roy. Soc. London 1896 von mir ausführlich behandelt und repräsentirt eine selbständige Gruppe, wenn sie auch durch Uebergänge mit den Styliniden verknüpft ist. Ein Vergleich der devonischen Gattung Decaphyllum, welche FrecH aufgestellt hat, mit der jurassischen Gattung Heliocoenia Er. zeigt, dass Decaphyllum hinsichtlich der Anordnung der Septen vollständig mit Helio- coenia übereinstimmt. Die Gattung Heliocoenia wurde von FErauzon erst nach der Errichtung der Gruppe der Stylinaceen durch MıLse EpwArps und Haıne aufgestellt und zu den Stylinaceen gerechnet. Hinsichtlich des Septal- baues sagt Eıraunon von Heliocoenia dass 6 grosse und 4 nur wenig kürzere Septen vorhanden seien. Von den grossen Septen vereinigen sich zwei gegenüberstehende mit dem Säulchen. Zwischen diese 10 grössere Septen schiebt sich, damit alternirend, ein zweiter Cyclus kleiner, rudimentärer ein. Nebenbei bemerkt Erauuon noch, dass einige Formen, die bisher als Mad- repora beschrieben wurden, hieher zu stellen seien, da diese Formen (abge- sehen von den beiden langen gegenüberstehenden Septen) nicht das für Mad- repora charakteristische poröse Gewebe besitzen. Frect bildet auf p. 71 (Zeitschr. D. G. Ges. 1885) Fig. d. einen vollkommen entwickelten Kelch von Decaphyllum Koeneni ab, dessen Septalbau, wenn man von den Buchstaben G und H! absieht, die Gegen- und Hauptseptum bezeichnen sollen, vollständig auch nach Erauvon’s Beschreibung mit dem von Heliocoenia übereinstimmen würde. Das Gleiche gilt für den (loc. eit. Taf. 8, Fig. 6a) abgebildeten Kelch. Ferner bemerkt Frech, dass er bei dieser Gattung die fiederstellige Anordnung der Septen nicht beobachten konnte. Ausserdem sagt er, dass die stärkere Entwicklung zweier Septa ein eigenthümliches Analogon zu der tertiären und lebenden Madrepora bilde. Frecw#'s Abbildung (Taf. 8, Fig. 6) zeigt an der Oberfläche des Stockes zwischen den Kelchen beträchtliche Zwischenräume, die gar keine weiteren Details erkennen lassen. Doch sagt 1 Auch Orrsann erwähnt (Zool. Jahrb. Bd. IV. Abth. für System., Geogr. und Biologie p. 568), dass der Septalbau radiär sei und dass der verwickelte Versuch von Frech, den Bau auf die Vierzahl zurückzuführen, überflüssig sei. Stylinidae. 157 er (p. 72), dass coenenchymatisches Blasengewebe vorhanden zu sein scheine, dessen Beobachtung jedoch durch den schlechten Erhaltungszustand erschwert werde und ferner, dass ein Dünnschliff erkennen lasse, dass die Septen noch wesentlich weiter in das Coenenchym fortsetzen. Auch Erauuon bemerkt, dass die Septen sich nicht weit über den Kelchrand fortsetzen und dass die Intracalycinalräume mit feinen Granulationen bedeckt seien. FrecH stellte seine Gattung Decaphyllum in die Nähe von Phällips- astraean und Pentaphyllum. Heliocoenia wurde, wie schon erwähnt, von Erauuon zu den Stylinaceen gestellt und dieser Ansicht schlossen sich dann die übrigen Autoren an. Duncan betrachtet Heliocoenia sogar als ein Sub- genus von Sfylina. Aus diesem Grunde halte ich mich für berechtigt, auch das mit Heliocoenia in so wesentlichen Punkten übereinstimmende Genus Decaphyllum zu den Styliniden zu stellen. Was nun die von Frech behauptete Aehnlichkeit zwischen Pentaphylium und Decaphyllum betrifft, so ist diese nur herauszufinden mittelst der von FrecHn angenommenen Rückbildung des Hauptseptums und Gegenseptums in Decaphyllum. Dr Konmnck beschreibt bei Pentaphyllum zwei Paare von Primärsepten und ausserdem noch das Haupt- und das Gegenseptum. Nach pr Konmnck ist aber das Hauptseptum wenig entwickelt, wesshalb er die Gattung Penta- phyllum heisst. Zugleich weist er auf die Analogie hin, die wegen dieser Rückbildung des Hauptseptum zwischen Pentaphyllum, Anisophyllum und Baryphyllum besteht. Frec# wiederholt diesen Vergleich und dehnt ihn zugleich auf seine Gattung Decaphyllum aus. Wenn er Decaphyllum in die Nähe von Pentaphyllum stellt, so kann ich ihm hierin nicht zustimmen, da Pentaphyllum ebenso wie Anisophyllum und Baryphyllum eine Einzelkoralle ist und bilaterale Symmetrie, sowie ausgesprochen fiederstellige Anordnung der Septen zeigt und desshalb zweifellos zu den Zaphrentiden gehört. So sehen wir denn, dass die Styliniden bereits in der palaeozoischen Zeit be- ginnen, ihre Hauptblüthe indess erst in der Jurazeit erlangen und im Tertiär erlöschen. Mıtnz Epwarps hebt bereits hervor, dass in seiner Gruppe der Styli- naceen auch Genera vorkommen, bei welchen die Septa anders als nach der 6-Zahl angeordnet sind. Er behandelt dieselben indess als exceptionelle Fälle und trägt kein Bedenken dieselben mit 6-zähligen Stylinaceen zu vereinigen und mit ihnen zu den Hexakorallen zu stellen. In einigen Fällen allerdings verfährt er anders. So errichtete er für eine ursprünglich als Oyathophora beschriebene Art ein neues Genus Holocystis, da bei dieser Form die Septen nach der 4-Zahl angeordnet waren und stellt dieses Genus eben desshalb zu der Familie der Stauridae unter die Rugosen. Wie ich bereits öfter aus- einandergesetzt habe, halte ich eine Eintheilung der Korallen in Tetrakorallen 158 Die Korallen der Stramberger Schichten. und Hexakorallen nicht für richtig. Ich finde nun, dass gerade die Styliniden hinsichtlich der verschiedenen Zahl der Primärsepten für unser Verständniss der Septalanordnung bei den sog. „Hexa“-korallen und für die Beziehungen der Hexakorallen zu den „Tetra“-korallen von Bedeutung sind. Bei den Gattungen Heliocoenia und Decaphyllum sind die Septen „decamer“ ange- ordnet und gleichzeitig auch ausgesprochen bilateral. Andererseits haben manche Arten von Stylinen 10 Primärsepten, die aber keine bilaterale An- ordnung zeigen, sondern ganz radiär sind. Die palaeozoische Gattung Deca- phyllum wurde ohne weiteres zu den Rugosen (Tetrakorallen) gestellt, die Decastylinen dagegen zu den Hexakorallen. Die cretaceische Gattung Holoeystis mit 4 deutlich ausgesprochenen Primärsepten wurde zu den Stauriden und damit zu den Rugosen gestellt, während die 8-zähligen Stylinen, die sonst in allen wesentlichen Merkmalen mit Holocystis übereinstimmen, bei den Hexakorallen belassen wurden. Die ceretaceische Gattung Heterocoenia, mit 3 Primärsepten, wurde zwar als „Ausnahmsfall“ betrachtet, aber doch zu den Hexakorallen gerechnet, obwohl bei derselben Gattung, wenn sie in palaeozoischen Ablagerungen ge- funden worden wäre, mit Sicherheit diese 3 Septen als Haupt- und Seiten- septen erklärt worden wären. Die Gattungen Acanthocoenia und Pentacoenia aus der unteren Kreide besitzen nur 5 Primärsepten, eine Erscheinung, die D’OrBIGNY, der die Gat- tungen aufstellte, durch Verkümmerung des sechsten Septums erklärte. Bei der earbonischen Gattung Pentaphyllum hingegen wurden von den 5 längeren Septen 3 als Gegenseptum und die Seitensepten erklärt, während die 2 übrigen als Septen betrachtet wurden, die auf beiden Seiten des kleinen Hauptseptums stehen. Endlich kommt es unter den sonst als hexamer be- schriebenen Stylinen fast ebenso oft vor, dass 12 Septen gleichmässig ent- wickelt sind, wie dies mit 6 Septen der Fall ist. Wenn nun bei einer Gruppe, wie bei den Stylinen, deren Gattungen hinsichtlich der Art ihres Wachsthums, ihrer Kelehverbindungen, ihrer Ver- mehrung so sehr übereinstimmen und constant bleiben, in Bezug auf die Zahl der Primärsepten solche Differenzen bestehen, so ist das sicherlich nicht als zufällige oder als abnorme Erscheinung aufzufassen. Das Verständniss dieser auffallenden Erscheinung bei einer Korallengruppe, die hauptsächlich dem mesozoischen Zeitalter angehört, wird erleichtert, wenn wir einerseits die Entwicklung und Einschiebung der Septen bei alten palaeozoischen Korallentypen und andererseits die Ergebnisse von entwicklungsgeschichtlichen Studien hinsichtlich der Entstehung der Mesenterien und Septen bei recenten Korallen berücksichtigen. Wie durch die Untersuchungen Kuntn’s nachgewiesen wurde, schieben sich bei den meisten palaeozoischen Korallen die Septen paarweise ein und Stylinidae. 159 zwar fiederstellig in einer bestimmten Anordnung zu zwei ursprünglich ge- bildeten Richtungspaaren. Bei Untersuchung verschieden alter Embryonen fand man bei verschiedenen Gruppen, dass auch die Mesenterien, innerhalb welcher sich die ersten Septen entwickeln, sich paarweise einschieben und zwar in einer bestimmten Anordnung zu zwei Paaren von Richtungsmesenterien, in ganz analoger Weise, wie dies bezüglich der Septen und der Richtungs- Septen bei palaeozoischen Korallen der Fall war. Bei der verhältnissmässig geringen Zahl der Korallen dagegen, bei der die Embryonen in dieser Rich- tung untersucht wurden, schieben sich die Septen fast gleichzeitig und in grösserer Zahl ein, es sind nämlich 12'. Wegen des Unterschiedes, der demnach hinsichtlich der Zahl und Anordnung der zuerst gebildeten Septen zwischen den palaeozoischen und den jungen Korallen bestehen würde, hat HäÄcken nach dem Vorgange von MıLse EpwArps und HAımE und Kuxte die Korallen in zwei grosse Gruppen geschieden, nämlich in die (palaeozoischen) Tetrakorallen und die (jüngeren) Hexakorallen. Bei den ersteren sollen sich die Septa paarweise (vom Haupt- und von den Seitensepten aus), bei den letzteren dagegen in Cyclen einschieben. Diesen scheinbaren Gegensatz ver- mitteln nun die im mesozoischen Zeitalter reichlich vertretenen Familien der Amphiastraeiden und Styliniden. Wir haben bereits bei Betrachtung der Gattungen der Amphiastraeiden gesehen, dass sich die ersten Septen paarig und in derselben Stellung einschieben, wie bei den meisten palaeozoischen Ko- rallen, sie sind aber nicht fiederstellig angeordnet. Die Zahl der zuerst ge- bildeten Septen (Primär-Septen) ist bei den Amphiastraeiden sehr variabel (4, 8, 10, 12 sind die gewöhnlichen Zahlen), sie sind bilateral, nie vollständig radiär angeordnet. Von Cyclen im eigentlichen Sinne des Wortes kann man hier nicht sprechen, es wechseln hier eben nur längere und kürzere Septen ab. Bei den Stylinen dagegen sind die Primärsepten radiär angeordnet und nur in geringer Zahl vorhanden (4, 6, 8, 10, 12). Wenn nun auch diese Zahlen bei einzelnen Arten constant bleiben, so kann man doch an denselben auch kleinere Kelche beobachten, die weniger Primärsepten haben. Ich konnte paarige Einschiebung der Septen (2, 4, 6, 8, 10) in jungen Kelchen bei Stylina tubulifera, Heliocoenia dendroidea und Anderen beobachten. Ge- rade das Stadium mit vier Septen, in Kreuzform angeordnet, kommt sehr häufig vor. Auch p’AcHıarpı erwähnt, dass er oft hinsichtlich der Bestimmung von Stylinen im Zweifel war, da er an ein und demselben Stück Kelche mit 6, 8 oder 10 Primärsepten fand. (Cor. Giur. p. 71). Daraus schliesse ich, dass die Septen bei den Stylinen auch paarweise eintreten, wenn sie auch, da sie t Mırne EpwArvs nahm an, es würden sich zunächst 6 und darauf wieder 6 Septa einschieben. 160 Die Korallen der Stramberger Schichten. radiär gebaut sind, eyclische Anordnung zeigen. Dass bei den Styliniden die paarige Einschiebung der Septen noch nachzuweisen "ist, hat seinen Grund jedenfalls darin, dass bei dieser Gruppe die Septalzahl verhältnissmässig ge- ring bleibt, während bei Gruppen mit sehr zahlreichen Septen, wie bei den Cyathophylliden oder Astraeiden die Septen sich sehr rasch einschieben, wo- durch dann die paarige Anordnung zurücktritt. So haben wir denn folgende Stadien in der Anordnung der Septa: bei den Zaphrentiden, Septa sich paarweise einschiebend, bilateral und fiederstellig. » „» Amphiastraeiden, Septa sich paarweise einschiebend, bilateral, aber nicht fiederstellig. » » Stylinidae, Septa sich paarweise einschiebend, radiär, „Cyelen“ zu unterscheiden. » » Jurbinoliden, Fungiden, Astraeiden, paarige Anordnung der Septa nicht mehr nachzuweisen, radiär, viele „Cyelen“ nach- zuweisen. Nur nebenbei sei bemerkt, dass auch noch bei anderen Gattungen als bei den Styliniden Spuren von paariger Einschiebung der Septen zu be- obachten sind. Dies ist der Fall bei Astrocoenia und Stephanocoenia, Gat- tungen, die desswegen früher zu den Styliniden gestellt wurden, jetzt aber als Astraeiden betrachtet werden; ferner öfters bei den Oculiniden, namentlich bei den jurassischen Gattungen Enallohelia und Tiaradendron, sowie bei der noch lebenden Madracis. Auch die Gattung Madrepora weist eine sehr ver- verschiedene Zahl der Septen (2, 6, S, 10, 12) auf, was jedenfalls auch für eine frühere paarweise Einschiebung der Septa spricht. Was mir nun für die Phylogenie der Korallen wichtig erscheint, ist nicht die Anordnung der Septen nach der 4- oder 6-Zahl, sondern das ein- fache Grundgesetz, dass die Septa ursprünglich paarweise eintreten und dass die weitere Einschiebung von Septen bei irgend einer beliebigen Zahl (der Paare) aufhören und für eine bestimmte Art constant bleiben kann, so dass man in den verschiedensten Korallen-Gruppen und allen geologischen Perioden die Zahlen 2, 4, 6, 8, 10, 12, 14 etc. im Septalbau vertreten findet. Das war für mich einer der Gründe, warum ich in den Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896 die Eintheilung der Korallen in Tetra- und Hexakorallen auf- gegeben habe. Nachdem wir nun den Septalbau der Styliniden und auf Grund des- selben die Beziehungen zu anderen Familien erörtert haben, seien kurz noch die Merkmale besprochen, die für die Styliniden besonders charakteristisch sind und die sie von den anderen gleichzeitigen und nächstverwandten Familien unterscheiden, Stylinidae. 161 Bekanntlich kann man im Kelch der Styliniden 2 Zonen unterscheiden, einen Innenraum und einen Aussenraum, von denen gewöhnlich nur der innere von den Autoren als Kelch bezeichnet wird. Die innere Zone ist von der äusseren durch seitliche Verdickung der Septen (Pseudotheka) begrenzt. Die Verlängerungen der Septen in den Aussenraum werden als Septocosten be- zeichnet. Dieselben werden manchmal aussen durch eine echte Kelchwand begrenzt (Diplocoenia), bald sind sie mit den Septocosten der benachbarten Kelche confluent (Stylina), bald schieben sie sich nur zwischen die Costen der Nachbarkelche ein, ohne damit zu verschmelzen oder lassen kleine mit Traversen erfüllte Zwischenräume zwischen den Kelchen (Convexastraea), bald werden die Costen ganz kurz und die Zwischenräume sind durch eine Art Coenenchym ausgefüllt (Decaphyllum, Heliocoenia). Derartige Uebergänge leiten dann über zu Formen wie HPlasmocoenia und Galazxea, in welchen die Zwischenräume zwischen den Kelchen nur mit blasigem Coenenchym aus- gefüllt sind. Ebenso wie bei den Styliniden kann man auch bei den Amphiastraeiden zwei Zonen im Kelch unterscheiden. Es ist das die innere Zone mit flachen, dicht gestellten Traversen und die äussere Zone mit grossem, blasigem Gewebe erfüllt. Diese beiden Zonen sind nicht durch eine Pseudotheca getrennt, sondern werden nur durch die steiler und senkrecht übereinander gestellten blasigen äusseren Traversen begrenzt. Es giebt nun auch bei den Amphiastraeiden ganz ähnliche Uebergänge wie bei den Styliniden. Bei manchen reichen die verlängerten Septen durch die äussere grossblasige Zone bis zur Wand (Thecidosmilia) und ziehen sich nur während der Entwickelung einer neuen Taschenknospe davon zurück. Bei anderen reichen die Septen nie ganz bis zur Wand, sondern lassen nur blasiges Gewebe zwischen beiden frei (Phyllastraea und Pachygyra). Da nun bei Phyllastraea und Pachygyra, ebenso wie bei den meisten Styliniden, die echte (äussere) Wand sich rück- bildet, heisst es, dass die Kelche durch blasiges Coenenchym verbunden seien. Nach dem Sprachgebrauch umfasst bei den Amphiastraeiden der Kelch sowohl das äussere, grobblasige Gewebe, als auch die innere Zone mit den engeren und flacheren Traversen. Bei den Styliniden hingegen bezeichnet man als Kelch nur die innerhalb der Pseudothek gelegene Zone. Es würde also dem Amphiastraeiden-Kelch bei den Styliniden sowohl der eigentliche (Styliniden-) Kelch, als auch die äussere, meist mit Costen durchsetzte Zone entsprechen. Sobald man die Dinge so betrachtet, werden manche anderen Beziehungen klar. So würde die endothekale (Taschen-) Knospung bei den Amphiastraeiden der sogenannten „marginalen extracalyeinalen“ Knospung der Styliniden entsprechen. Die Scheidewand, welche bei den Amphiastraeiden die neugebildete Knospe abtrennt und mit der Wand eine Tasche bildet, entspricht der neugebildeten Wand eiuer Styliniden-Knospe, die sich von der Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 11 162 Die Korallen der Stramberger Schichten, Innenzone abzweigt und dann in der äusseren Zone nach oben wächst. Da nun die früheren Autoren nur die innere Zone der Styliniden als Kelch be- trachtet haben, mussten sie consequenter Weise diese Knospe als extracaly- cinal bezeichnen. Alles was ich bisher über die Analogie der Kelche zwischen den Amphiastraeiden und den Styliniden auseinandergesetzt habe, gilt auch für die Amphiastraeiden und massive, coloniebildende Astraeiden (Heli- astraea, Favia, Phyllocoenia ete.), da diese letzteren in Bezug auf Kelchzonen, getrennt durch Pseudotheka, mit den Styliniden übereinstimmen. Gerade diese Uebereinstimmung zwischen beiden weisst darauf hin, dass die Styliniden und diese Astraeiden von nahe verwandten palaeozoischen Vorfahren ab- stammen. Die Unterschiede nun, welche zwischen den Styliniden und derartigen Astraeiden bestehen, beruhen hauptsächlich auf der feineren Structur der Septen. Betrachten wir z. B. die Septen von Siylina und andererseits die Septen von Heliastraea, der typischen Gattung der Astraeiden, so sehen wir zunächst, dass bei Helkastraea die Septen über die Pseudotheka sehr hervor- ragen, während bei Stylina die Septen fast im der gleichen Höhe wie die Mauer aufhören. Ferner ist der Septalrand von Heliastraea mit sehr deutlich ausgeprägten Zähnen versehen und auf den Seitenflächen bemerkt man Granu- lationen, «die senkrecht zum Oberrand der Septen verlaufen und am Rande in einem Zahn endigen. Der Septalrand von Stylina ist nach der Angabe der früheren Autoren ganzrandig und auf den Seitenflächen finden sich Granu- lationen, die parallel zum Oberrand des Septums verlaufen. An gut erhaltenen Exemplaren fand ich allerdings, dass der Septalrand sehr feine Zähnelung zeigt, wie ich sie für die Gattung Galawea beschrieben und abgebildet habe. Die Uebereinstimmung zwischen beiden wurde weiter bestätigt durch die Unter- suchung von Dünnschliffen verschiedener Stylmiden-Gattungen. Das Stylina- Septum besteht aus lauter feinen und gleichmässig angeordneten Trabekeln, die von der Pseudotheka schief nach oben und in gerader Linie zum Septal- rand verlaufen, wo dann jeder Trabekel in eines der femen Zähnchen aus- läuft. Die Granulationen auf den Trabekem sind klein und nicht stark hervortretend. Entsprechend den gröberen Zähnen am Septalrand und den stärkeren Granulationen auf den Seitenflächen von Heliastraea ist hier die feinere Struetur der Septen viel eomplieirter. Die Trabekeln sind stärker als bei (len Styliniden und haben in jedem Wachsthumssegment mehrere Caleifications- centren, während die Styliniden nur ein solches haben. Bei den Styliniden sind ferner die Traversen sehr flach und bodenautig, während sie bei den Astraeiden blasiger und gegen den Kelchrand höher an- steigend sind. Die bei palaeozoischen Korallen und bei Amphiastraeiden so häufige Diplocoenia. 163 Vermehrungsart der Septalknospung konnte ich sowohl bei den Styliniden wie den Astraeiden nachweisen, wenn auch dies bis jetzt meines Wissens noch nicht erwähnt wurde. Hier erstreckt sich die Septalknospung gewöhn- lich nur über einen kleinen Theil des Kelches in der Nähe des Kelchrandes. Ich fasse die Septalknospung überhaupt nur als einen bestimmten Fall der Theilung auf. Ich konnte diese Vermehrungsart bei der recenten Gattung Goniastraea sehr oft beobachten. Es sei noch zu erwähnen, dass die fast ausgestorbene Gruppe der Styli- niden grosse Aehnlichkeit mit den noch lebenden Gruppen der Stylophorinae und Poeilloporinae hat. Sie stimmen sowohl im Bau, wie in der Anordnung der Septen, sowie wegen des Vorkommens bodenartiger Traversen überein. Bei den Stylophorinae und den Poeilloporinae findet man indess zwischen den Kelchen keine Verlängerungen der Septen, sondern nur Coenenchym. Gen. Diplocoenia Fromenter. (non Diplocoenia Duncan) 1857. Diplocoenia From. Pol. Foss. de l’&t. Neoc. p. 38. 13858—61. Diplocoenia From. Introd. p. 183. 1855-61. Stylina (pars) From. Introd. p. 188. 1859. Actinocoenia Krauz. Haut-Jura. p. 71. 1359. Stylina (pars) , " p- 65, 1875— 76, Stylina (pars) Becker. Natth. Kor. p. 147. 1876—80. Diplocoenia Zırrer. Handb. p. 262. 1880. Diplocoenia v’Acn. Cor. Giur. p. 9. 1850—89. Diplocoenia Kopy. Polyp. Jurass. p. 68, 542, 567. Zusammengesetzte massive, knollige oder ästige Stöcke bildend. Septen regelmässig in Cyclen nach der 6-, 8- oder 10-Zahl angeordnet. Septo- Costen bis zu einer äusseren echten Wand reichend. Säulchen stark, griffel- förmig, mit den Primärsepten verwachsend. Traversen zahlreich, blasig. Das Vorkommen einer (äusseren) echten Wand neben einer (inneren) Pseudotheka ist das Hauptmerkmal, welches diese Gattung von Stylina unter- scheidet. Diese äussere echte Wand bei Diplocoenia ist deshalb interessant, weil sie beweist, dass bei den Styliniden eigentlich der Kelch vom Kelch- centrum bis halbwegs zu den benachbarten Kelcheentren reicht und dass man somit bei Styliniden gar nicht von Costen reden sollte. Dadurch ergiebt sich auch, dass die Pseudotheka nur die Grenze zweier verschiedener Traversen- zonen ist. Diese beiden Zonen haben ja bekanntlich auch in der Familie der Cyathophylliden grosse Bedeutung und auch hier findet man wie an der Grenze zwischen der äusseren und der inneren Blasenzone häufig eine Pseudo- thek gebildet wird, dann tritt meist auch die ursprüngliche echte (äussere) Wand etwas zurück. alılss 164 Die Korallen der Stramberger Schichten. Diplocoenia elathrata Erazı. sp. — Taf. XVII, Fig. 5, 5a. 1859. Actinocoenia clathrata Er. Haut-Jura p, 73. 1864. Diplocoenia 3 From, Introd. p. 184. 1864. „ 5 3 Cor. env. de Gray p. 20. Korallenstock massiv, knollig oder mit breit convex gerundeter Ober- fläche. Durchmesser des Stocks ca. 45 mm. Kelche dichtstehend, unregel- mässig von einander entfernt. Durchmesser 1',—2', mm. Kelchgrube wenig vertieft. Drei vollkommen entwickelte Cyclen von Septen sind vor- handen. Die 6 Septen des ersten Cyclus erreichen mit ihren keulenförmigen Fortsätzen das Säulchen, die des zweiten und dritten Cyclus sind entsprechend dünner und kürzer. Die Costalverlängerungen der drei Cyclen sind gleich- mässig fein entwickelt. Die innere Wand ist rundlich und hervorragend, die äussere Wand ganz fein und in einer Furche gelegen. Traversen sehr fein und häufig. Allgemeine Bemerkungen: Die Diplocoenia clathrata ist sowohl durch die gleichmässige und feine Entwicklung der Septocosten, als auch durch die gedrängte Stellung der Kelche von den übrigen Diplocoenia-Arten zu unterscheiden. Die meiste Aehnlichkeit mit Diplocoenia_ clathrata hat eine von Kogy beschriebene Art D. Matheyi, die aber nur 12 Septen hat und deren Kelche weiter auseinanderstehen. Die mir vorliegenden Stücke waren gut erhalten und liessen den oberen Septalrand als sehr fein gezackt er- kennen, dagegen waren die Trabekeln auf der Septaloberfläche kaum zu ver- folgen. Der Epithek war in glatt abgeriebenem Zustand, überzog jedoch die ganze Unterseite des Stocks. Zahl der untersuchten Exemplare: 3. Fundorte: Koniakau, Stramberg; ausserdem Valfin. Diplocoenia spissa BECKER sp. — Taf. XVII, Fig. 6. Stylina spissa Becker. Natth. Kor. p. 147, Taf. 37, Fig. 4. Diplocoenia profunda v’Acu. Cor. Giur. p. 9, Taf. 17, Fig. 3. Korallenstock flach, mit gerundeter Oberfläche, Kelche rundlich, Durch- messer 1,5 mm. Entfernung zwischen den Kelchcentren 2,5—3,5 mm. Das Säulchen ist gross, hervorragend und griffelförmig. Die Septen sind in 2 Cyclen von 10 angeordnet. Der erste Cyclus erreicht das Säulchen, der zweite ist sehr kurz. Ueber den inneren Rand legen sich neue Costalradien herüber, die mit den Septocosten alterniren. Im Ganzen reichen dann 40 gleichdicke Costen von innen bis zum Aussenrand des Kelchs. Die Aussen- wand ist ausgesprochen polygonal. Diplocoenia Invaldensis. 165 Allgemeine Bemerkungen: p’Acaıarpr hat schon eine grosse Aehn- lichkeit der Nattheimer Art mit seiner Diplocoenia profunda gefunden, zweifelte aber, ob er diese Art zu der Gattung Diplocoenia rechnen dürfte. An dem in der Münchener Sammlung aufbewahrten Original-Exemplar der Nattheimer Art konnte ich ihre Zugehörigkeit zur Gattung Diplocoenia feststellen und p’AcnHıarpr's Zweifel beseitigen. Schon die Abbildung von BEckER lässt eine äussere Wand deutlich erkennen. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundorte: Stramberg, ausserdem Nattheim, Monte Pastello. Diplocoenia Inwaldensis Ocızvıe. — Taf. XVIII, Fig. 7, 8, 8a. Korallenstöcke kleine knollige Massen mit gerundeter Oberfläche. Kelch- gruben seicht. Kelche regelmässig von einander entfernt. Kelchdurchmesser 1—1,3 mm. Die Entfernung von Centrum zu Centrum beträgt 2 mm. Hexa- merale Anordnung der Septen in 3 Cyclen. Die Septen des ersten Cyclus erreichen das Säulchen. Die des zweiten Cyclus sind um ein Drittel kürzer und etwas dünner. Alle zwölf haben verdickte innere Fortsätze. Viel feiner und ganz kurz sind die Septen des dritten Cyclus. Die Verlängerungen an Septen als Costalradien alterniren auch bedeutend in ihrer Dicke. Die äussere Wand ist fast regelmässig hexagonal. Das Säulchen ist griffelförmig, oft etwas breitgedrückt. Die Traversen ganz regelmässig geordnet. Allgemeine Bemerkungen: Der niedrige Habitus und die geringe Grösse des Korallenstocks sind für diese neue Art bezeichnend. Diplocoenia caespitosa Er. sp. unterscheidet sich von D. Inwaldensis durch einen ästigen Stock und durch kleinere, mehr von einander entfernte Kelche. Der Habitus und die Grösse des Stocks von D. stellata Krauvon sp. ist der oben be- schriebenen Art ähnlich, hat aber nur 12 Costalradien. Zahl der untersuchten Exemplare: 9. Fundort: Inwald bei Krakau. Diplocoenia multiseptata Ocınvır. — Taf. XVII, Fig. 9, 9a. Korallenstock kugelige Massen bildend. Durchmesser 60 ><45. Kelch- durchmesser 3—8,5 mm. Entfernung der Kelchcentren von einander 5—6 mm. Die Kelchwände sind etwas hervorstehend, die Grube seicht. Die Zahl der Septen ist 24, in 3 Cyclen von verschiedener Grösse und Dicke angeordnet. In den grössten Kelchen finden sich einige ganz rudimentäre Septen eines vierten Cyclus. Die Zahl der Costen beträgt 72, dieselben sind fein und gleichmässig entwickelt. Das Säulchen ist stark griftelförmig. Die Traversen 166 Die Korallen der Stramberger Schichten. liegen im costalen Theil dichter übereinander wie im Innern des Kelchs. Die äussere Wand ist unregelmässig polygonal. Allgemeine Bemerkungen: Die grosse Zahl der feinen Septocosten unterscheidet D. multiseptata von allen bis jetzt beschriebenen Arten. Am nächsten stehen: Stylina tenax Er. und Stylina semitumularis Er. aus dem „Astartien“. Beide haben aber eine geringere Zahl der Septalcosten. Das eine von mir untersuchte Exemplar ist wohlerhalten und zeigt feine regel- mässige Zähne am Oberrand der Septen und Costen. Intercalycinale Knos- pung findet häufig statt. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg. Gen. Heliocoenia Er. 1843. Madrepora (pars) Mıc#. Icon. Zooph, pl. 25, Fig. 5. 1849. Lobocoenia (pars) D’Orz. Note polyp. foss. p. 7. 1857. Stylina (pars) Epw. u. H. Hist. natur. des Corall. 1859. Heliocoenia Erarı. Haut-Jura p. 74. 1858—61. Stylina? From. Introd. p. 193. 1858—61. Stylohelia „ pls0! 1876—80. Stylina Zırret. Handb. p. 262. 1880—89. Heliocoenia Kogy. Polyp. jurass. pp. 63, 539, 267, pl. OXXIX, Fig. 4. Zusammengesetzte, massive, knollige oder ästige Stöcke bildend. Zwei gegenüberliegende Septen sind grösser und vereinigen sich mit der Columella, so dass der Kelch hiedurch in zwei gleiche Häften getheilt wird (Haupt- und Gegen-Septum). Ausserdem noch auf jeder Seite des Haupt- wie Gegen- Septums ein paar längerer bis fast zum Kelchcentrum reichender Septen. Darauf schiebt sich noch zwischen diesen letzteren Septen und den Haupt- resp. dem Gegenseptum ein paar kürzerer Septen ein, so dass nunmehr 10 stärkere Septen, die als Septen 1. Ordnung beschrieben werden, vorhanden sind. Anordnung der Septen indess bilateral und nicht radial. Pseudotheka und äussere echte Wand vorhanden. Traversen zahlreich, blasig. Heliocoenia unterscheidet sich von Diplocoenia hauptsächlich durch die Vereinigung zweier gegenüberstehenden Septen mit dem Säulchen und die zugleich bedingte Bilateralität des Kelches. Allerdings verwischt sich manch- mal in älteren Kelchen von Heliocoenia diese Bilateralität, indem die ur- sprünglich ungleich grossen 10 Interseptal-Segmente im Kelch später gleich gross werden, und die Septen dann radiären Bau annehmen, wie es bei de- cameren Stylinen und Diplocoenien der Fall ist. (Vergleich mit Decaphyllum Frec# siehe oben pp. 156 —157.) Heliocoenia Humberti. 167 Heliocoenia Humberti Er. — Taf. XVII, Fig. 3, 3a. 1859. Heliocoenia Humberti Er. Haut-Jura p. 75. 1858—61. Siylina? Humberti From. Introd. p. 193. 1830—89, Heliocoenia Humberti Kovx. Poly. jur. p. 675, C. XXVII, Fig. 3, 3a, 4. Korallenstock, längliche oder kugelige Masse. Die untersuchten Exem- plare erreichten die Höhe von 50—60 mm. Durchmesser bis zu 100 mm. Kelche dichtgedrängt mit hervorragenden Wänden, nicht elliptisch. Durch- messer 1 mm. Abstand der Kelchcentren 1—2 mm. Die Septen sind in 2 vollständigen Cyclen zu 10 vorhanden, zwei gegenüberstehende von dem Primärcyclus mit den hervorragenden Säulchen verwachsen. Die für Helio- eoenia charakteristische Stellung der Septen ist bei dieser Art sehr deutlich. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundort: Stramberg, ausserdem: Valfın und Oyonnax. Heliocoenia dendroidea Er. — Taf. XVII, Fig. 10, 10a. 1859. Heliocoenia dendroidea Erarz. Haut-Jura p. 76. 1858—61. Stylina? dendroidea From. Introd. p. 195. Korallenstock ästig, mit knolliger Oberfläche, Durchmesser eines Astes 1,5 cent. Kelche kreisförmig mit wenig erhabenen Wänden in unregelmässigen Abständen. Kelchdurchmesser 1 mm. Abstand der Kelchcentren 1,5—2 mm. Zwanzig Septen in 2 Cyclen zu 10 sind vorhanden. Die des ersten Cyclus in der Weise angeordnet, wie schon oben für die Gattung angegeben wurde. Zwei davon fast immer mit den Säulchen fest verwachsen. Kelchknospen finden sich häufig unter den grösseren Kelchen zerstreut. Allgemeine Bemerkungen: nv’Acn. zählt Stylina digitiformis unter den hexameren Stylinen auf, bemerkt aber dabei, dass er öfter an ein und demselben Exemplar Kelche mit 6, 8 oder 10 Septen gefunden hat. Da nun in der Grösse des Kelchs und dem Habitus des Stocks seine Art ganz der von Eratvon beschriebenen gleicht, ist es nicht ausgeschlossen, dass er Heliocoenia dendroide« vor sich gehabt hat. Umsomehr bin ich zu dieser Ueberzeugung gekommen durch die Beobachtung, dass in meinen Exemplaren die Septen der jungen Kelche paarig erscheinen. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundorte: Stramberg, Koniakau, ausserdem: Valfin. 168 Die Korallen der Stramberger Schichten. Genus $tylina Lamaxcr. 1812. KHasciceularia Lam. Extrait du Cours. 1816. Stylina Lam. Hist. du anim. sans Vert. Taf. II, p. 220. 1826. Astrea (pars) Gpr. Petref. Germ. Taf. I, p. 73. 1830. Gemmastrea und Branchastrea Braınv. Diet. des sc. nat. p. 353, 346. 1843. Astrea (pars) MıcH. Icon. Zooph. p. 118. 1849. Stylina Epw. u. H. Ann. des Sc. nat. Ser. 3° Taf. X p. 237. 1849. Lobocoenia, Conocoenia, Adelocoenia, Tremocoenia, Cryptocoenia (pars), Dendrocoenia, Aplosastrea (pars) D’Orz. Note sur des pol. foss. pp. 6, 7, 9. 1850. Octocoenia, Decacoenia, Pseudocoenia v’Ors. Prodr. Taf. II, p. 38. 1857. Stylina Epw. u. H. Hist. nat. des Corall. Taf. II. p. 282. 1859. „ Kmarı. Haut-Jura p. 62. 1858—61l. „ From. Introd. p. 185. 1862. » From. Monogr. des Polyp. jur. sup. p. 26. 1875—76. „ (pars) Becker. Natth. Kor. p. 141. 1876—80. „ (pars) Zırwer. Handb. Bd. I. p. 262. 1884, » Duncan. Madreporaria p. 109. 1880—89. „ Kosy. Polyp. Jur. pp. 73, 542, 567. Zusammengesetzte massive, knollige oder ästige Stöcke. Kelche durch Costen und Traversen verbunden. Septen regelmässig in Cyclen nach der 6, 5 oder 10-Zahl angeordnet. Primärsepten mit dem griffelförmigen Säulchen stellenweise verwachsen. Traversen zahlreich, blasig. Auf die Bedeutung der Pseudothek, welche die Kelche in 2 Zonen scheidet, sowie auf das Fehlen der echten äussern Wand wurde bereits oben bei Besprechung der Familie der Styliniden, sowie der Gattung Diplocoenia hingewiesen. Stylina granulosa From. — Taf. XVII, Fig. 2, 2a. 1862. Stylina granulosa FromenteL. Monogr. des Polyp. Jur. sup. Etage Portl. p. 32. Korallenstock nahezu kugelige Massen von 4—5 cm Durchmesser bildend. Kelchwände etwas über die Stockoberfläche hervorragend. Kelche dicht ge- drängt, der Durchmesser von 1—1,8 mm varürend. Abstand der Kelch- centren 353mm. Zwei Cyclen von Septa von hexamerer Anordnung und nahe- zu gleich gross, die des ersten Cyclus erreichen die Columella, jene des zweiten Cyclus etwas kürzer, Septa fein. Columella dick und cylindrisch. Rippen 24 an Zahl, dünn, mit leichter Krümmung in der Nachbarkelche verlaufend. Allgemeine Bemerkungen: Die kugelige Form des Stockes, sowie die geringe Grösse der Kelche unterscheiden diese Form sofort von fast Stylina arborea. 169 sämmtlichen übrigen Hexastylinen mit 2 Cyclen von Septen. Am nächsten steht: Stylina (Astraea) bacciformis MicHELın (Icon. p. 225, pl. 54). Mit Miıcazuim’s Art verglichen, besitzen die Stramberger Exemplare eine viel beträchtlichere Grösse des Stockes; die Kelche haben im allgemeinen grösseren Durchmesser und zeigen nicht den gekerbten Rand der für Stylina bacciformis MICHELIN sp. charakteristisch ist. Obwohl Stylina granulosa von Fronmenten nicht abgebildet wurde, so dürfte sie, nach seiner Beschreibung zu schliessen, mit den mir vorliegenden Stramberger Formen identisch sein. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundorte: Stramberg, ausserdem im Portlandien von Gray-la-Ville. Stylina arborea v’Acnıarpı. — Taf. XVII, Fig. 1, 1a. 1850. D’Achtarpı, Corall, Giurass. dell’ Italia settentrionale p. 58, Tab. 19, F. 8. Stock ästig, die Aeste dick, nahestehend, zuweilen frei, zuweilen ver- einigt, rund oder wenig elliptisch, an Durchmesser von 16—20 mm. Die Kelche ragen nur wenig über die Stockoberfläche hervor. Kelche kreisrund, von 1 mm bis 1,5 mm im Durchmesser. Abstand der Kelchcentren 2 mm. Zwei vollständige Cyclen von Septen von hexamerer Anordnung. Die des ersten Cyclus reichen bis zur Columella, jene des zweiten Cyclus nur halb so weit. Rippen, 24 an Zahl, fein, von gleicher Stärke, mit leichter Krüm- mung von Kelch zu Kelch verlaufend. Allgemeine Bemerkungen: Die Stramberger Form stimmt in allen wesentlichen Punkten mit St. arborea, welche p’AcHıAarpı (loc. op. cit.) be- schrieben und abgebildet hat, überein. Das gelegentliche Vorkommen eines unvollständigen dritten Cyclus von Septen, welches p’AcHıarvı erwähnt, konnte bei der Stramberger Form nicht beobachtet werden. Die Aehnlichkeit zwischen St. arborea v’Acn. und Comvewastrea dendroideaw FRoMm. (FROMENTEL: Introd. p. 195) und Environs de Gray, p. 22, Pl. 14, Fig. 4, 4a) ist sehr auffallend, obwohl nach FROMENTEL das Nichtvorhandensein eines Säulchens die Zu- gehörigkeit der französichen Art zu der Gattung Comvexastraea bestimmt. Da ich das Fromzxrev’sche Original nicht vor mir habe, muss ich mich seiner Ansicht anschliessen. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Vorkommen: Stramberg, Ignatziberg, ausserdem: Monte Cavallo. Stylina Kotzobensis Ocınvır. — Taf. XVII, Fig. 4, 4a, 4b. Stylina mierocoma (2) v’Aca. Cor. Giur. p. 71, non S. microcoma D’ORB. Das mir vorliegende Bruchstück ist zu klein um die Form des Stockes erkennen zu lassen. Alles, was man beobachten kann, ist die radiale An- ordnung der Coralliten in einem massiven Stock. 170 Die Korallen der Stramberger Schichten. Die anderen Verhältnisse lassen sich dagegen genau studiren. Kelche dicht gedrängt. In den Intercalycinal-Räumen leicht granulirte, gekrümmte Septo-Costen, 24 an Zahl und alle von gleicher Stärke. Kelchdurchmesser 1 mm. Abstand der Kelchcentren 1,5 mm. Es sind 2 Cyclen von Septen von hexamerer Anordnung vorhanden. Die des ersten Cyclus reichen bis zur griffelförmigen Columella. Allgemeine -Bemerkungen: p’Achrarvı (Corall. Giur. p. 11) hat 2 Fxemplare als St. microcoma »’OreB. beschrieben, doch setzte er ein Fragezeichen hinzu und gab leider keine Abbildung. Nach seiner Beschrei- bung stimmen indess alle Merkmale mit denen von Stylina Kotzobensis überein. Die von p’Orgıcny (Prodr. Vol. II, p. 34) und nach ihm von FROMENTEL und EpwArvs & Hame als St. microcoma beschriebene Form ist nirgends abgebildet und auch nicht mit der nöthigen Genauigkeit beschrieben um einen sicheren Vergleich mit der Kotzobenz-Form zu erlauben. DP’ORBIGNY er- wähnt nur einen Cyclus von Septen, während nach Angabe der anderen Autoren manchmal zwei Cyclen vorhanden sind. Ferner giebt D’ORBIGNY den Kelchdurchmesser kleiner als I mm an, sagt aber zugleich, dass St. Nantuensis D’Or»., welche Art er unmittelbar vorher (Prodr. Vol. I. p. 34) beschrieb, Kelche von 1 mm Durchmesser besitze, in allen übrigen Merk- malen aber mit Sf. microcoma übereinstimme. Da somit selbst die Identität der von p’Anusarpı beschriebenen Form mit dem p’OrgıcnY'’schen Original nicht ganz sicher ist, ist es zweckmässig, der Kotzobenz-Form einen neuen Namen zu geben. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Kotzobenz. Stylina foliosa Ocınvır. — Taf. XVI, Eig. 15, 15a, 15b. Korallenstock flache schalenartige Masse bildend, mit breit gerippter Fpithek auf der Unterseite. Kelche kreisrund, sehr klein, im Durchmesser 5—7 mm. Entfernung der Kelchcentren 1,2—1,5 mm. Septen in zwei gut entwickelten Cyclen von 6. Der erste Cyclus das Säulchen erreichend, der zweite halb so gross. 12 gleichmässig und sehr fein entwickelte Costen sind vorhanden. In der seichten Kelchgrube ragt das Säulchen deutlich hervor. Allgemeine Bemerkungen: $. foliosa ist von den bis jetzt be- schriebenen mit 12 Septen versehenen Siylina-Arten leicht zu unterscheiden durch die auffallend geringe Grösse der Kelche, die Form des Stockes und die starke, gerippte Epithek. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg. Stylina sulcata. 171 Stylina suleata From. — Taf. XV, Fig. 5, 5a. 1858—61. Stylina sulcata From. Introd. p. 186. 1864. 5 4 7 Polyp. cor. des env. de Gray p. 20, T. 12. F. 2. Korallenstock grosse runde, leicht elliptische Masse mit flacher Ober- fläche. Durchmesser 95 x 75 mm. Höhe SO mm. Kelche mit tiefer Grube und hervorragenden Wänden, Durchmesser 6 mm. Entfernung der Kelch- centren 7—8 mm. Unter den grösseren Kelchen finden sich viele kleinere, deren Durchmesser nur 3—4 mm beträgt. Die Septen sind in 3 voll- ständigen Cyclen vorhanden. Die 12 Septen der zwei ersten Cyclen sind gleichmässig entwickelt und erreichen fast das Säulchen. Die des dritten Cyelus sind wenig kürzer. Alle verlängern sich als gleichdicke Costen. Das Säulchen ist stark comprimirt. Die Traversen sind reichlich und regel- mässig vorhanden. Allgemeine Bemerkungen: Aehnlich dieser Art in Habitus und Kelch- grösse ist Sfyl. ablensis Er., hat aber das doppelte der Costen und weiter auseinanderstehende Kelche. Styl. Charcennensis From. hat ebenfalls gleich- grosse Kelche, unterscheidet sich aber durch einen anderen Bau der Septen. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg, ausserdem: Charcenne. Stylina tuberosa Ocımvıe. — Taf. XVII, Fig. 6, 6a. Korallenstock halbkugelige Masse mit knolligen Oberflächen. Kelche dichtgedrängt, Durchmesser 1—1,5 mm. Abstand der Kelcheentren 2 mm. Die Kelchgruben sind ziemlich tief, die Wände scharf hervortretend. Septen in drei ungleich entwickelten Cyclen von sechs. Die des ersten Cyclus reichen bis zum Centrum und vereinigen sich vermittelst verdickten Fortsätze mit dem Säulchen. Costen, 24 an der Zahl, gleichmässig entwickelt. Traversen fein. Allgemeine Bemerkungen: Stfyl. tuberosa ist hauptsächlich durch ihre kleinen,. dichtgedrängten Kelche charakterisirt. Styl. echinulata Lam. hat grössere Kelche und einen höheren Stock. Aehnliche Kelche besitzt eine in St. Mihiel und in Nattheim vorkommende Art S£yl. Deluei DErr. sp., unter- scheidet sich aber durch eine grössere Zahl von Costen und Spuren einer äusseren Wand, die an die Gattung Diplocoenia erinnert. Zahl der untersuchten Exemplare: 3. Fundorte: Stramberg, Koniakau. 172 Die Korallen der Stramberger Schichten. Stylina anthemoides Menx&en. sp. — Taf. XVII, Fig. 4, Aa. Stylina anthemoides v’Acn. Cor. Giur. p. 40, Taf. XVII, Fig. 8. 5 irradians 5 n »„ pP. 56, Taf. XIX, Fig. 6. Stock massiv mit unregelmässiger, knolliger Oberfläche. Kelche dicht- gedrängt, kreisförmig, im Durchmesser 1 mm; von Kelchcentrum zu Kelch- centrum 1,5—1,75 mm. Die Wand ragt 5 mm über die Oberfläche hervor. Septen in 3 vollständigen Cyclen angeordnet. Der erste Cyclus von 6 Septen reicht fast an das Säulchen, der zweite ist um ein Drittel kürzer, der dritte nicht vollständig entwickelt und die Septen sind ganz rudimentär. Die inneren Enden der Septen des ersten und zweiten Cyclus haben verdickte Fortsätze, die vom ersten Cyclus verwachsen oft mit dem Säulchen. Die Traversen sind sehr flach und regelmässig angeordnet, zwischen den Kelchen wie Böden entwickelt. Allgemeine Bemerkungen: p’AcHIArDı hat auf die Uebereinstimmung im Septal- und Costal-Bau, in der Kelchgrösse und dem allgemeinen Habitus bei Styl. anthemoides und Styl. irradians aufmerksam gemacht. Allein aus dem Grund, dass die Kelche etwas anders in den beiden Arten angeordnet waren, hielt er dieselben getrennt, zweifelte aber dabei, ob es nicht besser sei, die neue Art nur als Varietät der anderen zu betrachten. Diese letztere Ansicht scheint mir die allein gerechtfertigte. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundorte: Stramberg, ausserdem San Martino bei Mentone. Stylina Waldeekensis Er. — Taf. XVII, Fig. 3. 1864. Stylina Waldeckensis Tuurm & Kraus. Leth. Bruntr. p. 372, pl. 111, Fig. 7. 1889. COryptocoenia Waldeckensis Kosy. Polyp. Jurass. p. 466, pl. 125, Fig. 5. Korallenstock massiv, mit gerundeter Oberfläche, Kelche seicht mit wenig erhabenen Wänden, kreisförmig, nahe aneinanderstehend, Kelchdurch- messer 3 mm. Abstand der Kelchcentren 4—5 mm. Septaleyclen etwas un- regelmässig, in der Regel 6 Primärsepten, zuweilen 7 oft 8. Ein zweiter, ebenfalls gut entwickelter Cyclus ist kaum halb so lang wie der erste. Ein dritter Cycelus von sehr kurzen Septen ist nur unvollständig vorhanden. Die Zahl der Septenäste ist sehr verschieden, gewöhnlich entsprechen 12—16 den stärker entwickelten Septen. Die Traversen sind zahlreich, regelmässig an- geordnet und haben das Aussehen von Ringen in der Kelchgrube. Allgemeine Bemerkungen: Kopy hat diese Art zu der Gattung Oryptocoenia gestellt, weil er kein Säulchen in seinem Exemplare fand, be- merkt aber zugleich, dass sein Material schlecht erhalten war. Erauvon gab Stylina parvipora. 173 ein tief in der Kelchgrube gelegenes Säulchen an, was auch für mein Exem- plar zutrifft. Besonders die gleiche Knospung bot mir günstige Gelegenheit, die Septen- einschiebung zu beobachten. Die Septen schalten sich paarig ein, zuerst wird der Kelch etwas elliptisch und in seine Längsaxe schiebt sich das erste Paar ein. Das zweite erscheint mit dem ersten eine schräge Kreisform bildend, und zwar näher am einen Ende des länglichen Kelchs wie am anderen. Diese 4 entwickeln sich stärker ehe das dritte Paar am andern Ende des Kelchs hinzutritt. Zugleich nimmt auch der Kelch eine andere Gestalt an. Die Entwicklung des zweiten Cyelus folgt zunächst. Während dessen ver- grössert sich der Kelch erheblich und wird ganz rund. In manchen Kelchen erscheint während der Entwicklung des zweiten Cyclus ein viertes Paar, das die Länge der ersten 3 Paare erreicht und die Zahl der Primärsepten bis auf S bringt. So hat man also bis zu der vollen Entwicklung des dritten Septenpaares einen länglichen Kelch mit bilateral symmetrisch angeordneten Septen vor sich, darnach aber einen runden Kelch mit radiär angeordneten Septen. Dies stimmt genau mit Beobachtungen über die Mesenterien-Entwicklung bei manchen lebenden Korallen (vergleiche auch oben p. 159). Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundorte: Stramberg, ausserdem Waldeck, Croix-Dessus. Stylina parvipora OcıLvıE. — Taf. XVII, Fig. 7, 7a. Korallenstock halbkugelig, mit knolliger Oberfläche. Durchmesser eirca 50 mm. Die Kelche dicht und regelmässig angeordnet. Ihre Form kreis- förmig bis polygonal, die Wände hervorragend. Der Kelchdurchmesser be- trägt 0,5—1 mm. Der Abstand der Kelchcentren 1,3 mm. Die Septen sind in 3 Cyclen zu 6 angeordnet, der erste erreicht das Säulchen, der zweite wenig kürzer, der dritte rudimentär. 24 sehr feine Septocosten sind vorhanden. Allgemeine Bemerkungen: Die geringe Grösse der Kelche, das Vor- handensein dreier Cyclen von Septen unterscheidet diese Art von der bis jetzt beschriebenen Styl. Taramelli p’Acm. von Monte Pastello, (Cor. Giur. p- 11, Taf. 18, Fig. 7), die eine gewisse Aehnlichkeit hat, übertrifft aber Siyl. parvipora in der Grösse der Kelehe und der Anzahl der Septocosten. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Koniakau. Stylina milleporacea Ocınvır. — Taf. XVII, Fig. 8. Korallenstock flach, blattartig. Die Kelche sehr klein, regelmässig an- geordnet, kreisförmig und seicht. Kelehdurchmesser 0,5—0,75 mm. Abstand 174 Die Korallen der Stramberger Schichten. der Keleheentren 1 mm. Die Septen sind in 2 vollkommen entwickelten Cyclen von 8 angeordnet. Der erste reicht bis zum Säulchen, der zweite ist halb so lang. Alle sind als schwache, gleichmässige Septocosten verlängert. Traversen flach, regelmässig. Allgemeine Bemerkungen: Unter den octameren Stylinen hat diese Art weitaus die geringste Kelchgrösse, Am nächsten kommt eine von p’Acn. beschriebene Art S£yl. pleionantha, doch haben deren Kelche 1—1!/), mm Durchmesser und der Stock einen ästigen Habitus. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundort: Koniakau. Stylina tubulifera Priwiprs. sp. — Taf. XVIH, Fig. 9. 1829. Astraea tubulifera Pnız. Ilustr. of the Geol. of York p. 126, pl. 3, Fig. 6, 1843. Stylina tubulosa MicH. Icon. Zooph. p. 97, pl. 21, Fig. 6. (non Astraea tubulosa GoLDF.) 1548, Dentipora glomerata M’Coy. Ann. of nat. Hist. 2. ser., Taf. II, p. 399. 1849. Stylina tubulosa Epw. & H. Ann. des sc. nat. 8e ser, T. p. 289. 1850. Decacoenia Michelini v’Ore. Prodr. Taf. I, p, 33. 1851. Stylina tubulifera Brit. foss. Cor. p. 76, pl. 14, Fig. 3. 1852. Astraea decemradiata Quesst. Handb. der Petref. p. 648, pl. 57, Fig. 30. 1857. Stylina tubulifera Evw. & H. Hist. nat. des Corall. Taf. II, p. 244. 1839. 2 H Kravı. Haut-Jura, p. 69. 1862. 5 S Tuurm & Er. Bruntr. p. 371, pl. 52, Fig. 5. 1880—89. „ ” Kopy. Polyp. Jurass. p. 84, pl. XVII, Fig. 1, 2, 2a. Korallenstock unregelmässige flache Massen bildend. Kelchwände er- haben, kreisförmig, Durchmesser 2'/,—3 mm. 10 längere und 10 kürzere Septen vorhanden. Septocosten in doppelter Zahl, in der Grösse etwas alter- nirend. Säulchen hervorragend. Von den Septen nicht berührt. Allgemeine Bemerkungen: Von dieser Art liegt mir nur ein einziges aber sehr gut erhaltenes Exemplar vor. Es liess sich daran erkennen, dass die Septen und Septocosten auf der Oberfläche sehr fein gezähnt und granulirt sind. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundorte: Ienatziberg, ausserdem Valfın, Oyonnax, Caquerelle, Soy- hieres, Blauen etc. Stylina brevieosta Ocınvır. — Taf. XVII, Fig. 1, 2, 2a. Korallenstock runde bis längliche Massen. Grösse eines Stockes 12><10 em. Die Kelche sind rund bis elliptisch in der Form, wenig erhaben, in unregel- mässigen Abständen. Kelehdurchmesser 2,5—3 mm. Entfernung der Kelch- centren 3Y/g mm. Septen in 2 Cyelen zu 10 angeordnet. Die der ersten h Cyathophora. 175 stark und mit ihreu keulenförmig verdickten Enden das Säulchen fast er- reichend. Die des zweiten Cyclus sind ganz kurz und dünn. 40 gleichmässig entwickelte Septocosten sind vorhanden. Das griffelförmige Säulchen ragt in der Kelchgrube hervor. Traversen sind flach und liegen dicht übereinander. Allgemeine Bemerkungen: Von den nächststehenden decameren Stylinen, Styl. tubulifera, Styl. lobata, Styl. Ploti unterscheidet sich Stylina brevicosta durch ihre wenig erhabenen Kelche, den geringen Abstand derselben von einander und dem rundlichen Habitus des Stocks. Kopy beschreibt eine Styl. fenestranis aus dem Bathonien, die dieser Art jedenfalls sehr nahe steht. Die Kelche sind etwas kleiner und stehen auch etwas weiter auseinander. Zahl der untersuchten Exemplare: 6. Fundorte: Stramberg, Stanislowitz, Kotzobenz. Gen. Gyathophora Micrkzurm. 1326. Astraea (pars) Derr. Diet. sc. nat. p. 42. 1843. Cyathophora Mıc#. Icon. p. 104. 1349, Stylina (pars) Cyathophora (pars) Epw. und H. Ann. des Se. nat. ser, 3e- Tat 97290! 1850. Cyathophora »’Ore. Prodr. II, p. 270. 1856. Cryptocoenia (pars) D’Ore. Cours elem. de Pal. Taf. IT, p. 164. 1857. Stylina (pars), Cyathophora (pars) Epw.u.H. Hist. nat. d. Corall. Taf. II, p. 270. 1857. Cyathophora From. Polyp. foss. de let. neoc. p. 40. 1859. n Kratr. Haut-Jura. p. 79, 1858—61. Cryptocoenia From. Introd. p. 197. 1875—76. Cyathophora BECKER u. Mirascn. Natth. Kor. p. 148. 1376—80. n Zırrer. Handb. p. 262. 1884. % Duncan. Madreporaria. p. 112. 1880 — 89. : Kopgy. Polyp. Jurass. pp. 96, 541, 567. Korallenstock massiv, oben flach oder gerundet, Kelche durch Costen und Traversen verbunden. Septen wenig zahlreich, kurz, meist als Leisten entwickelt. Säulchen fehlt. Traversen stark, flach, bodenartig. Durch die scharf ausgeprägte bodenartige Beschaffenheit der Traversen und durch die kurzen Septen gewinnt Oyathophora einen ausgeprägt palaeo- zoischen Habitus. p’AchHsarpı stellte diese Gattung in die Gruppe der Ta- bulaten (ebenso wie Oryptocoenia). Man hat früher oft einen zu künstlichen Unterschied zwischen Tabulae und Traversen gemacht und auch auf das Vor- kommen des einen oder des anderen dieser Endothekalgebilde zu grossen Werth gelegt. Ob die Traversen sehr flach und bodenartig oder ob sie blasig sind, hängt damit zusammen, dass die Septen im ersten Fall sehr kurz sind, während sie im zweiten Fall weiter ins Centrum reichen, m der Regel bis zu einem Säulchen. Die übrigen Merkmale bei Cyathophora lassen übrigens 176 Die Korallen der Stramberger Schichten. keinen Zweifel darüber, dass sie wirklich zu den Styliniden gehört, wenn auch ein gewisser palaeozoischer Habitus sehr gut mit der durch andere That- sachen begründeten Annahme übereinstimmt, dass die Styliniden direkt von palaeozoischen Formen abstammen. Cyathophora Claudiensis Er. — Taf. XVI, Fig. 11 und 12. 1839. Cyathophora Claudiensis Er. Pal. sur les terrains jurassiques du Haut-Jura. p19: 1864. Cryptocoenia Claudiensis From. Polyp. Cor. des Envir. de Gray. 1864. Cyathophora Bourgueti (non Drrr.) Turn. Er. Lethaea Bruntr. p. 378. Pl. 52, Fig. 8. 1867. Astrea cavernosa (pars) Qurxst. Handb. der Petref. 2. Aufl. p. 778. 1876. Cyathophora magnistellata Becker. Korallen der Natth. Schichten. p. 150. Taf. XXXVII, Fig. 6. 1889, 5 Thurmanni Kosy. Polyp. Jur. de la Suisse. p. 47. pl. XXVI, Fig. 304. Korallenstock unregelmässig knollige Massen bildend. Kelche rund oder elliptisch. Durchmesser 5—7 mm. Von Kelcheentrum zu Kelcheentrum 8 mm. Septen in drei vollkommenen Cyclen, wovon der erste etwas in den Kelch hineinragt, während der zweite sehr kurz und der dritte rudimentär ist. Costen erhaben, gleich dick, 48 an der Zahl. Trennungslinie zwischen den Costen benachbarter Kelche immer bemerkbar. Böden horizontal, sehr dicht über- einander, auf 5 mm treffen 10—11. Allgemeine Bemerkungen: Kopy benannte diese Art als €. Thur- manni, während er in seiner Synonymie den früher von ErAtton gegebenen Namen (©. Olaudiensis anführt. Da die mir vorliegenden Exemplare sowohl mit den von Erarnon als von Kosy beschriebenen übereinstimmen, zog ich es vor den älteren Namen beizubehalten. Becker beschrieb eine Art ©. mag- nistellata, welche dieselbe Zahl an Septen und Costen wie ©. Olaudiensis be- sitzt und auch die nämlichen Kelchmerkmale aufweist. Infolge meiner eigenen Untersuchung der Nattheimer Exemplare habe ich dieselben mit ©. Olaudiensis identificirt. Zahl der untersuchten Exemplare: 10. ’ Fundorte: Kotzobenz, Wischlitz, Ignatziberg, Valfın, Caquerelle, Ste. Ursanne, Blauen, Nattheim, Sirchingen. Gyathophora Bourgueti Derr. sp. 1826. Astrea Bourgueti Derr. Diet. des Sc. nat. Taf. XLII, p. 380. 1826— 33. Astrea alveolata Goupr, Petref. Germ. Taf. I, p. 65. Taf. 22, Fig. 3b. 1843. Cyathophora Richardi Mic. Icon. zooph. p. 104. Taf. 26, Fig. 1. Cyathophora. 177 1849. Stylina Bourgueti (pars) MıLye EpwaArps und J. Hamme. Ann. des Sc. nat. 3e ser. Taf. X, p. 290. 1850. Stylina D’Ors. Prodr. de Paleont. Taf. II, p. 34, Etage 14 No. 548. 1850. Cryptocoenia alveolata D’ORB. (pars). Prodr. I, p. 385, Et. 13, No. 617. 1850. Cyathophora Richardi v’Ors. Prodr. Taf. II, p. 40, Et. 14, No. 620. 1851. er Bourgueti MıLye EpwArps und J. Haıme. Pol. foss. des terr. palaeoz. p. 62. 1852. Astraea cavernosa (pars) Quenst. Handb. d. Petref. 1. Aufl. p. 647. (2. Aufl. p. 778. 1867). 1857. Cyathophora Bourgueti Mıuye EpwArps und J. Hame. Hist. nat. des Corall. Taf. II, p. 271. 1858. Astraea cavernosa densicella Quexst. Jura. p. 702. Taf. 85, Fig. 5. 1858—61. Cyathophora Richardi From. Introd. & l’etude des Polyp. foss. p. 279. nm 1364. 5 s n Polyp. Cor. des env. de Gray. p. 27. 1376. 5 Bourgueti Becker. Natth. Kor. p. 149. Taf. 37, Fig. 5. 1880. Astraea alveolata Quexst. Petrefaktenkunde. p. 770, pl. 173, Fig. 13—16. 1889. Cyathophora Bourgueti Kopy. Polyp. Jur. p. 99, pl. 26, Fig. 1—3. Korallenstock kugelig oder flach mit gerundeter Oberfläche, Kelche dicht gedrängt, ungleich in der Grösse, Durchmesser 4—6 mm. Septen sehr kurz, nur sechs sind wohl entwickelt. Am Rande des Kelches zählt man 24 dicke Costen. Die Böden sind stark, dicht übereinander gestellt, horizontal oder etwas convex; auf 5 mm treffen 6 Böden. Allgemeine Bemerkungen: €. Bourgueti ist eine der verbreitetsten oberjurassischen Arten, und kommt auch in Stramberg reichlich vor. Dünn- schliffe zeigten leider wenig von der feineren Struktur; gewöhnlich konnte man in den Schliffen eine deutliche Trennungslinie zwischen benachbarten Kelehen erkennen, Zahl der untersuchten Exemplare: 12. Fundorte: Kotzobenz, Stramberg, Koniakau; ausserdem Hofbergle, Fringeli, Locle, Nattheim, Heidenheim, Beiningen, Blaubeuren, Saint Mihiel, ÖOyonnax, Champlitte. Cyathophora tithoniea Ocızvıe. — Taf. XVI, Fig. 13. Korallenstock unregelmässige Massen mit gerundeter Oberfläche. Durch- messer des Korallenstocks 100 mm. Höhe ca. 100 mm. Kelche wenig er- haben mit unregelmässig polygonalen Umrissen. Kelchdurchmesser 2'/, bis 3 mm. Entfernung von einem Kelchcentrum zum nächsten 4 mm. Von den vorhandenen zwei Cyclen von Septen sind die ersten Cyclus sehr gut ent- wickelt. Länge ?/, des Radius, die des zweiten Cyclus bedeutend kürzer. Alle sind als wenig entwickelte Costen verlängert. Regelmässige horizontale Böden (7 auf 5 mm) durchqueren den inneren Raum der Kelche, während sie dicht am Rande und ausserhalb der Kelche mehr blasig und gebogen werden. Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 12 178 Die Korallen der Stramberger Schichten. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich von allen früher beschriebenen durch geringe Kelche und ihre regelmässige getrennte Stellung. (©. faveolata Kopy hat kleine Kelche, die aber weit von einander stehen; auch der Septal- und Costalbau ist verschieden. Dünnschliffe von C. tithonica zeigten die charakteristische Mikrostruktur der Septen mit fast eontinuirlich fortlaufender dunkler Linie in der Mittelebene. Auch liessen sich eine grosse Anzahl von Septaldornen auf der Wand beobachten. Die Vermehrung der Kelche findet nicht nur durch marginale Knospung, sondern auch durch Theilung (Septalknospung) statt. j Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundorte: Stramberg, Koniakau. Gyathophora globosa Ocınvır. — Taf. XVI, Fig. 14 und 14a. Korallenstock halbkugelig oder stumpfästig gestaltet. Duchmesser 35 bis 45 mm, Höhe 25—35 mm, Kelche rund oder schwach polygonal, an der Oberfläche wenig vorstehend. Kelchdurchmesser 3'/,—4 mm. Von Kelchcentren zu Kelchcentren 4—4!/, mm. Septen sehr schwach entwickelt, 12—16 an der Zahl, ausserdem sind zahlreiche Septaldornen auf der Kelchwand vor- handen. Costen nicht zu beobachten. Die Böden im Innern des Kelches sind horizontal, am Rand und ausserhalb blasig. Allgemeine Bemerkungen: Die gedrängte Stellung der Kelche, die fast rudimentäre Entwicklung der Septen, der Mangel an Costen und das reichliche Vorkommen von Blasen zwischen den Kelchen sind gute Merkmale, um diese Art von anderen zu unterscheiden. Des Habitus des Stockes wegen kommen unter jurassischen Arten nur ©. Pironae p’Acn. und C. Gressiyi in Betracht, beide haben aber grössere Kelche und besser entwickelte Septen. Eine Neocom-Art ©. Icaumensis erinnert sehr an diese Art, hat aber 6 gut entwickelte Septen. Vermehrung in ©. globosa findet oft durch intracalyeinale Knospung am Kelchrand statt und zwar entwickeln sich die Knospen in steil gestellten Blasen. Wir finden schon unter den Styliniden mehrere Fälle, wo ein zelliges Gewebe die Zwischenräume der Kelche ausfüllen und zugleich die Costen schwach oder sehr kurz entwickelt sind. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundorte: Kotzobenz, Koniakau. Genus Gonvexastraea n»’Orn. 1826. Astraea (pars) GoLpr. Petref. Germ. Taf. I, p. 71. 1849. Convexastraea D’OrB. Note sur des pol. foss. p. 9. 1857. "N Eow. u. H. Hist. nat. des Corall. Taf. IT, p. 277. Convexastraea. i al wie} 1858—61. Comvexastraea From. Introd. p. 194. 1859. Convexastraea Erauv. Haut-Jura. p. 80. 1862. n Frov. Monogr. polyp. jur. sup. p. 33. 1862. Stylina (paxs) Trurm. u. Erate. Leth. Bruntr. p. 366. 1875—76. Convexastraea BECKER. Natth. Kor. p. 150. 1876—80. 5 Zirter. Handb. Bd. I. p. 263. 1880. Astraea Quenst. Petrefaktenkunde. Bd. VI. p. 737, 1854. Convewastraea Duncan. Madreporaria. p. 112. 1880—89. cn Kosy. Polyp. jurass. pp. 101, 540, 567. Zusammengesetzte Stöcke, massiv, knollig, selten ästig. In den Inter- calyeinalräumen Costen, die nicht unmittelbar in die der Nachbarkelche fort- setzen, sondern sich häufig nur dazwischen schieben oder die schon früher endigen und nur mit Traversen verbunden sind. Säulchen fehlt. Traversen bodenartig entwickelt. Convexastraea sexradiata GoLpr. sp. — Taf. XVII, Fig. 11. 1826. Astraea sexradiata GouLpr. Petref. Germ. p. 71, pl. 24, Fig. 5. 1850. Stylina sexradiata vV’Ors. Prodr. Taf. I, p. 33. 1551. Convexastraea sexradiata Enw. et H. Pol. foss. des terr. pal. 1858. Astraea sexradiata Quenst. Der Jura. p. 701, pl. 85, Fig. 3. 1861. Convexastraea sexradiata From. Introd. p. 195. 1864. r 5 A Polyp. Corall. des env. de Gray. p. 22. 1876. # e Becker. Natth. Korall. p.150. Taf. XXVII, Fig. 7. 1880— 39. 5 n Kosy. Polyp. jurass. p. 103, pl. 25, Fig. 1—3. Korallenstock unregelmässige flache Massen bildend. Kelchdurchmesser 1‘, mm; der Abstand der Kelchcentren beträgt 2—3 mm. Die Zahl der Septen ist 12 und zwar 6 längere, fast bis an das Kelcheentrum reichend und 6 ganz kurze rudimentäre. Alle ragen über die Wände als 12 gleich- mässige geradlinige Costen hervor. Bodenähnliche Traversen nehmen den Kelchraum fast ein. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundorte: Stramberg; ausserdem Nattheim, Giengen, Champlitte, Char- cenne, Fringeli, Bourrignon, Combe Chavatte, Delemont. Convexastraea minima Fr. sp. — Taf. XVII, Fig. 12, 12a. 1862. Cyathophora minima Trurm. et Er. Leth. Bruntrut, p. 373, pl. 52. Fig. 9. 1880—89. Convexastraea minima Kopy. Polyp. Jurass. p. 107, pl. XXV, Fig. 4 u. 5. Korallenstock stumpfästig oder unregelmässig und knollig. Kelche sehr regelmässig angeordnet. Durchmesser 1—1,3 mm. Von Kelchcentrum zu Kelcheentrum 2'/, mm. 6 Septen sind gut entwickelt, reichen jedoch mur 12* 180 Die Korallen der Stramberger Schichten. bis zur Hälfte des Radius. Mit diesen alterniren 6 rudimentäre Septen. Sämmtliche bilden dicke Costen, welche mit jenen der benachbarten Kelche nicht zusammenfliessen. Böden sind gut entwickelt. Allgemeine Bemerkungen: Dünnschliffe von mir vorliegenden Exem- plaren zeigten ab und zu die feinere Struktur der Septen. Eine etwas unter- brochene dunkle Linie verläuft in der Mittelebene, und die Kalkfasern starren in feinen Bündelchen gegen die Seitenflächen zu. Die innere Wand ist hier kaum bemerkbar; vielmehr ist eine regelmässige Unterbrechung zwischen den Septocosten von benachbarten Kelchen zu sehen, wenn auch keine Wand ge- bildet ist. Zahl der untersuchten Exemplare: 3. Fundorte: Koniakau; ausserdem Vieille Route, Locle. Env. de Bäle, Essert-Tainie. Genus Cryptocoenia »’Orr. 1843. Astrea (pars) MıcH. Icon. p. 118. 1849. _Adelocoenia (pars) v’Ors. Prodr. Taf. II, p. 52. 1851. Stylina (pars) Eow. & H. Pol. foss. des terr. pal. p. 59. 1852. Astraea (pars) Quenst. Jura. p. 732. | 1856. Cryptocoenia (pars) v’Ors. Cours 6l&m. de pal. Taf. II, p. 164. 1857. Stylina (pars) Eow. & H. Hist. nat. des Corall. Taf. II, p. 243. 1859. ” „ Enarı.. Haut-Jura. p. 62. 1858—61. „ „ From. Introd. p. 185. 1858—61. Cryptocoenia From. Introd. p. 197. 1375—76. Stylina (pars) Becker. Natth. Cor. p. 145. 1876—80. Cryptocoenia Zırr. Handb. Taf. I, p. 262. 1880—89. n Kosy. Polyp. jurass. pp. 96, 540, 563, pl. CXXIX, F.5, 6. Zusammengesetzte massive, knollige oder ästige Stöcke bildend, Kelche durch Costen und Traversen verbunden. Septen regelmässig in Cyelen nach der 6- oder 8-Zahl angeordnet. Säulchen fehlt. Traversen stark, flach, bodenartig entwickelt. Oryptocoenia unterscheidet sich von Stylina eigentlich nur durch den Mangel eines Säulchens. Damit hängt auch die Thatsache zusammen, dass die Septen, welche an der Peripherie ziemlich dick sind, sich gegen innen rasch zuschärfen. Auf Pl. 129, Fig. 5 und 9 hat Kopy 2 Kelchdurehschnitte (schematisch) dargestellt. Cryptocoenia compressa Kopy. Crytocoenia compressa Kosy. Polyp. Jurass. p. 87, Pl. XXXI, Fig. 1 und 2. Korallenstock in kurzen Aesten, etwas comprimirt. Durchmesser des Astes 20 >< 35 mm. Kelche schwach hervorragend, nahe aneinanderstehend Cryptocoenia. 181 Durchmesser 1—1'/ mm, Entfernung von Kelcheentrum zu Kelcheentrum 2—3'/ mm, Septen in zwei Cyclen von 6 angeordnet, der zweite ungefähr halb so lang wie der erste. Alle zwölf verjüngen sich gegen innen. Die Costen, 24 an der Zahl, gleichmässig aber schwach entwickelt. Bald fliessen die Costen von den benachbarten Kelchen zusammen, bald bilden sie mit- einander einen Winkel. Allgemeine Bemerkungen: Die von Kopy beschriebenen Exemplare dieser Art stammen von Wimmis; da einige Exemplare vom gleichen Fund- orte sich in der Münchener Sammlung befinden, bot sich mir günstige Ge- legenheit zu genauerer Untersuchung. Es ergab sich, dass die Costen, welche Kopy als wenig hervortretend angegeben hat, bei gut erhaltenen Stücken ganz deutlich und an ihrem Oberrand wie die Septen fein gezähnelt waren. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundorte: Stramberg, ausserdem Boltingen, Wimmis. Cryptocoenia Thiessingi Kosyr. — Taf. XVIH, Fig. 10, 10a. Crytocoenia Thiessingi Kosy. Polyp. Jurass. p. 86, Pl. XXIX, Fig. 2 und 2a. Korallenstock kleine knollige Massen bildend. Kelche gleichförmig oder elliptisch. Durchmesser 1°, mm, Entfernung von Kelchcentrum zu Kelch- centrum 2—2'/; mm. Kelchgrube ziemlich tief. Sechs längere Septen reichen fast bis an das Centrum; mit diesen alterniren 6 kürzere. Ihre Costal-Verlängerungen lehnen sich geradlinig aneinander an, oder stossen mit einem spitzen Winkel aneinander. 12 neue ganz kurze Costen schieben sich zwischen den Costalverlängerungen ein. Die Traversen sind als flache Böden entwickelt, die in kurzen Entfernungen übereinander stehen. Allgemeine Bemerkungen: In seiner Beschreibung dieser Art gibt Kosy an, dass die Costen zusammenfliessend sind. Obwohl dies in den mir vorliegenden Stücken nur selten der Fall ist, habe ich dieselben doch zur Kopgr’schen Art gestellt, da alle übrigen Merkmale genau übereinstimmen. In Dünnschlitfen, sowohl nach Längs- als Querrichtung, ist die starke Ent- wieklung einer inneren Wand zu bemerken. Bei gutem Erhaltungszustand konnte man auch die feinere Mikrostruktur der Septen und Costen wahr- nehmen. In der Mittelebene verläuft eine dunkle Linie aus gedrängten Centren der Caleification bestehend, von welcher die Kalkfasern fast parallel mit- einander nach beiden Flächen der Septen ausstrahlen. Zahl der untersuchten Exemplare: 5. Fundorte: Stramberg, Wischlitz, ausserdem Caquerelle. 182 Die Korallen der Stramberger Schichten. Familie Astraeidae E. u. H., emend. OciLvie. — Astraeinae E. u. H. (die Gruppe der Eusmilinae E. u. H. wurde aufgelöst). Einfache Korallen oder zusammengesetzte buschige, ästige oder massiv astraeoidische Stöcke, Kelche durch die Septen (Septocosten) oder eine Pseudo- thek, selten durch eine echte Wand verbunden. Septen dicht, sehr zahlreich, radiär angeordnet, am Oberrand deutlich gezackt, Seitenfläche der Septen mit Granulationen versehen, die auf den senkrecht zum Öberrand gerichteten Trabekeln angeordnet sind. Traversen blasig, gut entwickelt. Die Vermeh- rung erfolgt durch marginale Knospung und durch Septalknospung (Theilung). Von den Astraeinae E. u. H. wurden ausgeschlossen: Thamnastraea, Leptophyllia und verwandte Gattungen !, ferner Amphiastraea?, Circophyllia®, Epistreptophyllum*, Stylophyllum und Stylophyllopsis°’ und endlich Astro- coenia und Stephamocoenia ®. Die Zahl und Anordnung der Septen, sowie deren feinerer Bau und die mikroskopische Structur derselben, liefern die wichtigsten Merkmale zur Unterscheidung der Astraeiden von anderen Korallengruppen. Die cyelische Anordnung der Septen, welche Mıtne EpwaArps u. HaAımE sehr betonte, war besonders hauptsächlich bei den Eusmilinen gut entwickelt, die indess nun- mehr aus den Astraeiden entfernt wurden. Bei den Astraeiden in der Um- grenzung, wie ich sie fasse, lässt sich diese eyelische Anordnung nicht mehr so sicher erkennen und feststellen, da dieselbe durch die grosse Zahl der sich rasch entwickelnden Septen zurücktritt. Bei einer Anzahl Montlivaltien t Siehe unter Pseudoastraeinae Prarz, Ueber die verwandtschaftlichen Beziehungen einiger Korallengattungen, Palaeontographica Bd. XXX, p. 108 und p. 122. ? Siehe unter Amphiastraeidae OGıuvıEz, Mieroscopice and systematie Study of Madre- porarian Types of Corals (Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896) auch oben p. 95; ferner sub. Cyathophyllidae Tribus Axophylliae Kosy, Pol. Jur. p. 419, 421, 432, 572. > Siehe Ocınvır, Trans. Roy. Soc. London 1896, vergleiche auch die Abbildung von Reıs, Korallen der Reiter Schichten, Geogn. Jahreshefte II. Jahrg,, Taf. III, Fig. 16. * MitAaschewirz, Nattheimer Kor. p. 210, stellte diese Gattung auf und rechnete sie zu den Fungiden; Zırrer, Handbuch I, p. 249, versetzte sie als Subfamilie zu den Astraeiden. Ich habe, Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896, meine Gründe angegeben, warum ich die Gattung zu den Eupsammiden stelle. Vgl. auch unten sub. Eupsammidae. 5 Stylophyllum wurde von Revss, „Kreideschichten der Ostalpen“ zu den Tabulaten gestellt, später von FrecH nebst dem neuen Genus Stylophyllopsis zu den Astraeiden und zwar in eine Subfamilie Stylophyllinae, die nach Frech auf die Trias und Lias beschränkt war, In Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896 habe ich die Verwandtschaft dieser Gat- tungen mit Episteptophyllum, Haplaraea, Desmosmilia hervorgehoben und dieselben dem- gemäss zu den Eupsammiden gestellt. 6 Ich stelle dieselben zu der Stylophorinae, vergl. Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896 und oben p. 146. Astraeidae. 183 und Thecosmilien mit sehr vielen Septen, wie sie namentlich im Jura vor- kommen, ist eine Anzahl von Septen, die den ersten 5 Cyelen entsprechen würde, fast gleich lang und gleich weit zum Kelchcentrum reichend, eine weitere Zahl von Septen, die dem 4. und 5. Cyclus entsprechen würde, ist relativ kürzer, aber unter sich ebenfalls nahezu gleich. Bei den weiteren Septen ist eine cyclische Anordnung überhaupt nicht mehr zu beobachten. Es versteht sich von selbst, dass bei Isastraeen, namentlich bei solchen, die sich rasch theilen, eine eyclische Anordnung erst recht nicht zu beobachten ist. Gerade durch die Anordnung der Septen unterscheiden sich die Astraeiden, eut von den Styliniden und den Amphiastraeiden. Ueber die feinere, mikroskopische Structur von den Septen verschiedener lebender Astraeiden-Typen habe ich in Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896 ausführliche Mittheilungen gegeben. Das Septum von Heliastraea, einer der typischsten Astraeiden, kann hier kurz beschrieben werden. Das Septum besteht aus zweierlei Arten von Trabekeln, nämlich aus einfachen, sowie aus zusammengesetzten Trabekeln.. Bei den einfachen Trabekeln liegen die Caleificationscentren in der Trabekelaxe und von hier strahlen die Fascikelbündel von Fasern nach aussen und oben. Die Septen von Galaxea, Styliniden und den Amphiastraeiden bestehen lediglich aus solchen einfachen Trabekeln. Die zusammengesetzten Trabekel dagegen kann man sich hervorgegangen denken aus mehreren innig verschmolzenen und ihrer Länge nach verwachsenen einfachen Trabekeln. Sie haben deshalb mehrere Calcificationscentren, die um die ideale Axe des zusammengesetzten Trabekels allerdings in unmittelbarer Nähe gruppirt sind. Da wo nun die Fascikelbündel die Seitenflächen der Septen treffen, entstehen auch bei den einfachen Trabekeln Granulationen. Auf den zu- sammengesetzten Trabekeln sind diese Granulationen manchmal sehr gross und stark hervorragend, dadurch, dass mehrere Fascikel zu einer Granulation verschmelzen. Die zusammengesetzten Trabekel bei Heliastraea laufen in die Spitzen der Zacken am Septaloberrand aus. Zwischen zwei zusammengesetzten Tra- bekeln sind (in der Medianebene des Septums) je 3—4 einfache Trabekeln eingeschaltet. Die in die Höhe steigenden Reihen von Granulationen ent- sprechen dem Verlauf der zusammengesetzten Trabekeln. Es ist nun charakteristisch, dass bei lebenden Astraeiden das Septum stets zusammengesetzte Trabekel enthält. Heliastraea bildet eine Art Zwischen- glied zwischen solchen Formen, die fast gänzlich aus zusammengesetzten Trabekeln bestehen und solchen, bei welchen die zusammengesetzten Trabekel weit auseinandergerückt sind, während eine grosse Zahl von einfachen Tra- bekeln dazwischen eingeschoben ist. 184 Die Korallen der Stramberger Schichten. Man kann selten so genaue Beobachtungen auf Grund fossilen Materials machen, wie auf Grund lebender. Der Erhaltungszustand des mir vorliegenden Stramberger (Astraeiden-) Materiales liess nur die Sculptur der Septaloberflächen studiren, gab aber über die feinere mikroskopische Structur der Trabekeln keinen Aufschluss. Einige Montlivaltia-Schlifte, die ich von besser erhaltenem mesozoischem Material machte, zeigten alle die Trabekel in einem Septum aus radiär angeordneten, nach oben und aussen gerichteten Fasern bestehend. Dieser Bau gleicht demjenigen, den ich für die grössere, zusammengesetzte Trabekel in recenten Astraeiden-Septen nachgewiesen habe. Daraus würde ich schliessen, dass solche Montlivaltien-Septen nur aus zusammengesetzten Trabekeln be- stehen. Andere Schliffe, besonders von Trias-Montlivaltien, zeigten Septen aus einfachen Trabekeln bestehend, d. h. aus Trabekeln, deren Trabekel- Glieder nur aus zwei Faser-Bündeln (Faseikeln) gebaut sind. Indem die zwei Fascikel von einem in der Trabekelaxe gelegenen Calcificationscentrum nach den entgegengesetzten Seitenflächen ausstrahlen, bekommt infolgedessen ein solches Septum einen symmetrischen Bau auf beiden Seiten einer Mittellinie, den Trabekel-Axen entsprechend. Dieser Septalbau ist mir unter recentem Astraeiden-Material nicht bekannt. Am nächsten kommen die Septen in Formen wie Mussa, wo der Septalrand mit sehr ungleich grossen und wenigen Zacken versehen ist, wobei jede Zacke wieder fein gezähnelt ist. Diese Zähnelung auf der Zacke entspricht einer Anzahl einfacher Trabekeln, die von der Mitte der Zacke fächerförmig divergiren. Währenddessen sind ein oder mehrere Trabekel in der Mitte (d. h. der Spitze entsprechend) der Zacke „zusammen- sesetzt“, wie oben für Heliastraea beschrieben. Man weiss nun, dass die Kreide-Montlivaltien an dem Septalrand meistens grössere, längere Zacken haben, wie die Jura- und Trias-Montlivaltien, und möglicherweise haben wir das ungleich gezackte Mussa-Septum als eine spätere Modification der regel- mässig fein gezackten Septen der älteren Montlivaltien und Thecosmilien zu betrachten. Bei Astraeiden kann man beobachten, dass die Granulationen auf curvenförmigen Linien, welche dem Septalrand parallel verlaufen, neben- einander stehen. Der Abstand zweier Granulationen übereinander entspricht auch dem Abstand zweier Curven und man sieht zugleich auch, dass die Traversen ebenfalls ungefähr in demselben Abstand übereinander stehen. Ich habe nun früher auseinandergesetzt, dass der Abstand zweier Curven einer Wachsthumsperiode entspricht und habe deshalb den Theil des Septums zwischen zwei solchen Curven als Wachsthums-Segment, die Curven selbst aber als Wachsthumslinie bezeichnet. Ueber das Vorkommen eine Pseudotheka bei Astraeiden brauche ich wenig zu bemerken, da dieselbe vollkommen homolog der „inneren Wand“ Isastraea. 185 in den oben behandelten Styliniden ist. Die Lage der Pseudotheka fällt ge- wöhnlich mit einer Linie m dem Septum zusammen, die ein Divergiren der Trabekel nach beiden Richtungen bezeichnet. Früher wurde von den Autoren nur derjenige Theil des Septums, in welchem die Trabekel nach innen und oben steigen als das eigentliche Septum, der andere Theil mit nach aussen und oben gerichteten Trabekeln als Costa betrachtet. Demgemäss war auch nur der Theil des Kelches innerhalb der Pseudotheka als Kelch angesehen. Die Beziehungen zwischen Astraeiden und Cyathophylliden gingen damit ver- loren. (Vergl. auch unten p. 156, echte Wand in Isastraea, echte Wand und Pseudotheka in Phyllocoeni«,) Unter dem mir vorliegenden Stramberger Material sind von Astraeiden nur 4 Gattungen, nämlich Isastraea, Thecosmilia, Rhabdophyllia, Montlivaltia vertreten. Bei allen diesen steigen die Trabekel nach der Innenseite der Septen in langen Bögen nahe der Kelchwand, dagegen sind sie mehr vertikal, und ganz aussen biegen einige sehr kurze Trabekel in den sogenannten „Costal“- Zacken um. Die Pseudothek ist bei diesen Gattungen verhältnissmässig schwach und nur dicht an der Kelchwand entwickelt. Zugleich sind auch die Traversen anders gestellt, dichter und stärker wie im Innern des Kelches. Die Art der Vermehrung ist unten, bei Bemerkungen über die Gattung Isastraea behandelt. Gen. Isastraea E. u. H. 1826. Astraea (p.p.) und Agaricia (p.p.) Gotpruss. Petref. Germ. Taf. I, p. 69. 1848. Prionastraea (p. p.) MiLne EpwaArps u. Haıme. Compt. rend. de l’Acad. des Sc. Taf. XXVII, p. 495. 1849. Prionastraea, Maeandrophyllia et Dendastraea vD’ÜrBIGNy. Note sur des Pol. Foss. p. 9. 1550. Prionastraea (p.p.) Mırye Epwarps und Haıme. Ann. des Sc. nat. 3. ser. Taf. XII, p. 127. 1851. Isastraea Mıune Epwarps u. J. Haıme. Pol. foss. des Terr. palaeoz. p. 102. 1857. n S = F Hist. Nat. Cor. Taf. II, p. 526. 1357. r Pıcter. Trait& de Paleont. Taf. IV, p. 413. 1858. n Erarrox. Ray. du Haut-Jura. p. 104. 1860. „ FRomEnTEL. Introduction. p. 226. 1562. 5 FRoMmENTEL. Monogr. Polyp. Jur. sup. p. 38. 1884. # Duncan. Madreporaria. p. 123. 1830—89. „ Kopr. Polyp. Jur. p. 269. 1896. R —+- Latimaeandra v’OR2. p.p. FrecH. Triaskorallen. p. 19. Zusammengesetzte, massive, rundliche oder unregelmässig knollige Stöcke, Kelche sich innig berührend und dann polygonal oder ab und zu kurze Kelch- reihen bildend. Kelchgrube tief, Septen fein, zahlreich, am Oberrand deut- lich regelmässig gezackt. Ein falsches, papillöses Säulchen vorhanden. Tra- 186 Die Korallen der Stramberger Schichten. versen gut entwickelt, regelmässig angeordnet. Echte, dünne Wand vor- handen. Unterseite der Stöcke mit Epithek versehen. Vermehrung erfolgt sowohl durch intracalycinale Knospung als auch durch Theilung (Septal- knospung). Isastraew nimmt durch den Besitz einer echten Wand eine etwas ab- sonderliche Stellung ein und verhält sich ähnlich zu den Astraeiden, wie Diplocoenia zu den Styliniden. In analoger Weise, wie Diplocoenia auf eine Verwandtschaft der Styliniden zu den Cyathophylliden hinweisst, zeigt auch Isastraea mancherlei Anklänge zu den Cyathophylliden und verbindet dadurch bis zu einem ge- wissen Grade zusammengesetzte Astraeiden mit zusammengesetzten Cyatho- phylliden. Ebenso wie Isastraea besitzen auch einige triasische Phyllocoenia- Arten eine echte Wand. Ausserdem ist bei Phyllocoenia noch an der Grenze der beiden Traversenzonen eine (innere) Pseudotheka vorhanden. FRECcH sagt nun von triasischen Phyllocoenien: „Die Individuen sind stets deutlich geschieden; eime trennende äussere Mauer ist jedoch selten noch vorhanden, meist nur angedeutet; ein eigentliches Zusammenfliessen der Septa benach- barter Kelche tritt nicht ein.“ Mit dieser Rückbildung der äusseren Wand geht ein stärkeres Hervor- treten der inneren Pseudotheka Hand in Hand; wir haben also auch hier genau dieselbe Erscheinung, wie wir sie bereits oben (p. 163) bei der Gattung Diplocoenia kennen gelernt haben. Bei den jüngeren Phyllocoenia-Arten ist sodann von einer echten (äusseren) Wand nichts mehr zu sehen, vielmehr heisst es allgemein, dass die Kelche durch die Costen und Coenenchym ver- bunden seien. Die triasischen Arten von Isastraea und Phyllocoenia sind die ältesten Vertreter der Astraeiden mit massiven Stöcken. Es ist nun bedeutungsvoll, dass diese Gattungen, welche noch eine echte äussere Wand besitzen, gerade in der Triasperiode so reichlich vertreten sind, während bei den zahlreichen massiven, Jüngeren Astraeiden eine echte Wand meines Wissens nicht mehr selten vorhanden ist. Andererseits ist es bereits bekannt, dass auch bei den palaeozoischen Cyathophylliden-Gattungen Acervularia und Phillipsastraea die Tendenz bestand, die äussere echte Theka rückzubilden und dafür eine innere Pseudotheka zu bauen. Das ist eine neue Stütze für die Ansicht, welche ich schon früher auf Grund manch anderer Ergebnisse ausgesprochen habe, näm- lich dass zwischen den palaeozoischen Cyathophylliden und den jüngeren Astraeiden durchaus nicht die Kluft besteht, wie man bisher annahm, sondern dass mancherlei Gründe darauf hinweisen, dass die Astraeiden direct aus den Cyathophylliden hervorgegangen sind. Hinsichtlich der Zurechnung gewisser bis jetzt als Latimaeandra be- schriebener Formen zur Gattung Isastraea stimme ich mit FrecH überein. Isastraea. 187 Man kann nämlich an typischen Isastraeen beobachten, dass zwischen den polygonalen Kelchen auch solche vorkommen, wo einige Kelche zu kurzen Reihen zusammentliessen. Diese Verschiedenheit der Kelcehform führt FrecH auf Wachsthumsverschiedenheiten zurück. Wenn man auf die Sache näher eingeht, findet man, dass diese Verschiedenheit auf verschiedene Arten der Vermehrung zurückzuführen ist, indem die polygonalen Kelche hauptsächlich durch intracalycinale Knospung entstanden, wobei sich die neue Scheidewand sehr rasch bildete, während die Kelchreihen auf Theilung zurückzuführen sind, d. h. auf intracalyemale Knospung, bei welcher sich die Scheidewände im Wachsthum sehr verzögerten oder überhaupt nicht zu Stande kamen. Es wurde bereits oben bei Besprechung der Gattung Amphiastrae« darauf hingewiesen, dass die beiden Vermehrungsarten nur Modificationen der bei den Cyathophylliden und Amphiastraeiden so häufigen Taschenknospng und der Septalknospung sind. Die Taschenknospung wird häufig als Tabular- oder Endothekarknospung bezeichnet. Es seien zunächst folgende 3 Haupt- Typen der intracalycinalen Knospung hervorgehoben: 1. In der äusseren Traversenzone der Amphiastraeiden und Cyatho- phylliden z. B. bildet sich eine Knospe dadurch, dass eine neue Scheidewand in die Höhe wächst. In der von dieser Scheidewand und der ursprünglichen Mauer umgrenzten Tasche entwickelt sich dann nachträglich der Septalapparat. 2. Es bildet sich ebenfalls in der äusseren Zone des Kelches bei Isastraea z. B. unter theilweiser Zuhilfenahme der (echten) Mauer, sowie einer neuen Scheidewand eine Knospe, in der sich der Septalapparat gleich- zeitig mit der Bildung der äusseren Umgrenzung entwickelt und zugleich damit in die Höhe wächst. Zuweilen trennt die neu gebildete Scheidewand die Knospe nicht vollständig vom Mutterkelch ab, sondern reicht nur eine Strecke zwischen beide hinein und der übrige Theil wird dann durch eine Pseudothek abgeschieden. oO 3. Einen dritten Typus würden die Latimaeandra-artigen Formen von Isastraea darstellen. Hier entstehen die neuen Knospen ebenfalls am Kelch- rand, doch bleibt hier bei der Knospenbildung die Scheidewand sehr zurück, während sich der Septalapparat sofort vollkommen entwickelt. Bis jetzt wurden nur solche Fälle angeführt, die allgemein als intra- calyeinale Knospung anerkannt werden. Man muss sich nun erinnern, dass bei den meisten Astraeiden, wie be- reits oben erwähnt, die eigentliche echte (äussere) Mauer rückgebildet ist und dass dafür an der Grenze zwischen der äusseren und der inneren Zone der Traversen eine Pseudothek vorhanden ist. Daraus geht dann hervor, dass die Knospung hier eigentlich nicht extracalycinal, sondern intracalyeinul ist und dass sich die Knospen auch hier 188 Die Korallen der Stramberger Schichten, in derselben, nämlich in der äusseren Traversenzone entwickelt, wie wir dies schon bei den Cyathophylliden und Amphiastraeiden gesehen haben. Bei den rugosen Korallen kann man nun manchmal beobachten, wie sich aus einer grösseren Koralle gleichzeitig zwei oder mehrere Knospen entwickeln, die gleichgross werden, so dass man eigentlich nicht mehr Mutterkelch und Knospen unterscheiden kann. Manche Autoren sind der Ansicht, dass hier der Mutterkelch nach der Knospenbildung abgestorben ist. Diese Art der Knospung ist nun keineswegs nur auf die Rugosen beschränkt. Manche der Jurassischen Thecosmilien und Isastraeen z. B. zeigen derartige Knospenbildung. Vgl. z. B. Th. trichotoma Gpr. bei Breker und Mitaschewirz in den Natt- heimer Korallen, Taf. XXXVIII, Fig. 1, ferner konnte ich solche Fälle bei den Stramberger Thecosmilien und Isastraeen beobachten. Auch Frech gibt aus der Trias derartige Beispiele für die Gattung Stylophyllum und Stylo- phyllopsis an, Die Septalknospung bei Isastraea erfolgt durch Vereinigung zweier gegenüberliegender Septen, die sich verstärken und die Funktion der Mauer übernehmen. Das ist der fast allgemein unter den Korallen verbreitete und als Theilung bezeichnete Vorgang. Ueber die Seulptur und den feineren Bau des Isastraea-Septums geben Kosy, wie FrecH einige Mittheilungen. Kosy (Pol. Jur. p. 553, Taf. OXXIX, Fig. 15) bildet ein Isastraea-Septum ab, das die Zacken am Septalrand, dann die senkrecht zu letzterem gerichteten Trabekel und die Reihen der Granulationen auf denselben zeigt. Frech (Trias-Korallen, Taf. V, Fig. 4c) zeigt, wie von der Mittellinie des Septums nach beiden Seiten die Fasern ausstrahlen. Ich kann hier nur beifügen, dass die feinere Structur des Isastraea- Septums im Wesentlichen mit derjenigen übereinstimmt, die ich früher (Philos. Trans. R. S. 1896) für Goniastraea beschrieben habe. Aehnlich wie Goniastraea sind auch bei Isastraea die Trabekel weniger fest mit einander verwachsen, bei /sastraea indess ragen diese Trabekel nicht als lange auf- steigende Zacken (Pfählchen) empor, sondern sind kurz und geben ab und zu zur Bildung eines rudimentären, schwammigen Säulchen Veranlassung. Früher waren wegen der Knospungsart die Genera Isastraea und Goni- astraea im System ziemlich weit von einander getrennt. So stand Goniastrae« nach Miwne Epwarps u. Haımz bei den Faviacea, da es sich durch Selbst- theilung vermehren sollte, während Isastraea bei den Astraeaceen stand, da es sich durch Knospung fortpflanzen sollte. Die grosse Uebereinstimmung in der feineren Septal-Struetur, sowie in der Anordnung und den gegen- seitigen Verhältnissen benachbarter Kelche veranlassten mich schon früher Isastraea in die Nähe von Goniastraea zu stellen. Auch die Beziehungen zwischen Wand und Septen sind m Gomiastraea dieselben. Isastraea. 189 Isastraea undans Fr. sp. — Taf. XV, Fig. 8, 10, 14, 14a, 15. 1858. Microphyllia undans Er. Ray. du Haut-Jura. p. 108. 1858—60. Latimaeandra undans From. Introd. p. 161. 1889, 5 5 Kosy. Polyp. Jur. p. 246, pl. 70, Fig. 3. Korallenstock rundliche Massen bildend, die grösseren Stöcke bis zu 10><7,5 em im Durchmesser. Meist werden 2—3 Kelche confluent und bilden kurze Reihen von 6 mm Breite. Die Kelchcentren sind gut markirt durch ein falsches Säulchen, das aus den gewundenen inneren Enden der Septa gebildet wird. Septen fein, granulirt. Am Kelchrand treffen auf eine Breite von 5 mm 22—24 Septen von alternirender Stärke. Traversen fein und sehr zahlreich. Epithek wohlentwickelt, feine concentrische Ringe bildend. Allgemeine Bemerkungen: Nach Eratnox unterscheidet sich Isastraea undans von I. rastelliniformis Er. sp. lediglich durch das Vorhandensein eines falschen Säulchen’s und etwas zahlveichere Septen. Beide Arten haben jeden- falls nur sehr geringfügige Unterschiede und stehen der Nattheimer Zatimae- andra brevivallis BECKER sehr nahe. Zahl der untersuchten Exemplare: 11. Fundorte: Stramberg, Wischlitz, Chlebowitz; ausserdem Valfın (Ptero- eerien coralligene). Isastraea variabilis Er. sp. — Taf. XV, Fig. 9, 16. 1858. Microphyllia variabilis Er. Ray. du Haut-Jura. p. 110. 1858—60. Latimaeandra variabilis From. Introd. p. 161. 1859. 5 : Kosr. Polyp. Jur. p. 234, pl. 69, Fig. 4, 5. Korallenstock rundlich-knollig, von unregelmässigem Umriss, mit breiter Basis festgewachsen. Kelche meist vollständig umgrenzt, zuweilen fliessen 2 oder 3 zusammen. Kelchdurchmesser 4,5—6 mm. Septen 50—70, alle nahezu von gleicher Stärke; am Kelchrand treffen auf eine Breite von 5 mm 20—22 Septen. Traversen häufig. Das falsche, durch die Septalenden ge- bildete Säulchen nur schwach entwickelt. Allgemeine Bemerkungen: Eine Epithek liess sich an den mir vor- liegenden Exemplaren nicht beobachten. Der Umriss der Kelche von I. varia- bilis ist sehr unregelmässig und veränderlich, was durch die sehr häufige intracalyeinale Knospenbildung bedingt ist. In Taf. XV, Fig. 9 sind einige derartige Kelche dargestellt. Dem ganzen Habitus nach ähnelt diese Art, wie schon Kogy hervorhebt, der I. Thurmanni Er. sp. und Isastraea curtata Er. sp., unterscheidet sich aber durch die Kelchgrösse und Zahl der Septen. Latimaeandra aulonica Mns. (Cor. Giur. pD’AcnH. p. 19, Taf. 17, Fig. 10) hat 190 Die Korallen der Stramberger Schichten. ebenfalls mit dieser Art viel Aehnlichkeit, nur sind bei der Art von Monte Pastello meist mehrere Kelche confluent. Zahl der untersuchten Exemplare: 5. Fundorte: Stramberg, Koniakau; ausserdem Valfın, Oyonnax (Pteroe. corall.), Ste. Croix, Sous-Waldeck, Porrentruy (Hypovirgulien). Isastraea Thurmanni Er. — Taf. XV, Fig. 11, 11a. 1864. Microphyllia Thurmanni Er. Leth. Bruntr. p. 397, pl. 56, Fig. 9. 1889. Latimaeandra 5 Kory. Polyp. Jur. p. 235, pl. 68, Fig. 2. Korallenstock rundliche, knollige Massen bildend, mit schmaler Basis aufgewachsen. _ Kelche meist vollständig umgrenzt, unregelmässig polygonal, oft lenticulär, von 4—5 mm kleinstem Durchmesser. Manchmal bilden zwei Kelche kurze zusammenfliessende Reihen von 3—4 mm Breite. Die Septen verdicken sich häufig an ihrem inneren Ende und einzelne sind unregelmässig verlängert, wodurch das Kelchcentrum sich nicht sehr scharf bestimmen lässt. Es lassen sich 3 vollständige Cyclen von Septen unterscheiden. Charakteristisch ist der gekrümmte Verlauf der Septen. Mauer scharf, hervorragend. An der gestielten Unterseite sind gleich starke, fein gezähnelte und zuweilen dichotomirende Costen entwickelt, von welchen 14 auf die Breite von 5 mm treffen. Allgemeine Bemerkungen: Der unregelmässige Verlauf der Septen und die oft vorkommende lenticuläre Form der Kelche unterscheiden diese Art leicht von den nächstehenden. J/. undans und I. rastelliniformis haben zwar auch gekrümmte Septen, doch sind diese dicker, und bei diesen beiden ist es viel häufiger, dass mehrere Kelche zusammenfliessen. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundorte: Stramberg; ausserdem Vieille-Route, Bressaucourt, Belle- vue etc. (Astartien). Isastraea Goldfussi Kogyr sp. — Taf. XV, Fig. 6, 7. 1889. Latimaeandra Goldfussi Kopy. Polyp. Jur. p. 240, pl. 70, Fig. 5. Auf einer breiten Ansatzstelle erhebt sich der meist konische Korallen- stock, dessen Oberseite flach ist. Der Durchmesser der mir vorliegenden Stücke variirt von 50—110 mm. Die Höhe von 75—35 mm. Die Kelche sind rundlich oder ziemlich regelmässig polygonal. Die Kelchgrube fällt mit gleichmässiger Neigung vom Kelchrand zum ziemlich tiefen Kelchceentrum ab. Durchmesser der Kelche 8—10 mm. Nur sehr selten fliessen Kelche und dann nicht mehr als 2 zusammen. Septen von gleicher Stärke, 70—90 an Isastraea. 191 Zahl, von welchen sich 13—20 im Centrum vereinigen. Traversen zahlreich. Epithek stark entwickelt. Allgemeine Bemerkungen: Die mir von Stramberg vorliegenden Exemplare sind im Allgemeinen sehr gut erhalten. Ein kleines Exemplar, dessen Unterseite ich auf Taf. XV, Fig. 7 abgebildet habe, fasse ich als Jugendform auf. Die Ueberreste eines cylindrischen Stieles sind noch vor- handen, die Unterseite ist zwar ziemlich flach, doch stimmt die Form der namentlich am Rand sehr wohl erhaltenen Kelche, sowie die Zahl der Septen sowie der übrigen Merkmale vollkommen mit 2. Goldfussi überein. Am nächsten steht die weitverbreitete und bereits von GouLpruss be- schriebene Isastraea (Astraea) explanata wegen der regelmässig polygonalen Form und bedeutenden Grösse der Kelche, sowie wegen der gleichen Neigung und Tiefe der Kelchgrube. Doch sind die Septen bei der Art Kopy's feiner und zahlreicher, auch ist die Form des Stockes bei Isastraea explanata GDF. sp. breiter und flacher, Ausserdem käme noch Latimaeandra Tara- mellii D’AcHgggn Mte. Pastello in Betracht, doch hat diese weniger Septen. Zahl der untersuchten Exemplare: 5. Fundorte: Stramberg, Koniakau; ausserdem Oyonnax. Isastraea eylindriea Ocınvır. — Taf. XV, Fig. 12, 12a, 13, 13a. Koralle eylindrische Aeste von 30—35 mm im Durchmesser bildend. Kelche polygonal, zuweilen mit dem nächsten zusammenfliessend. Kelch- ränder scharf, meist einige Millimeter über die Oberfläche des Astes nach oben und aussen hervorragend. Durchmesser der Kelche 4—5 mm. Septen zahlreich, nahezu alle von gleicher Stärke. 3 Cyelen von Septen sind wohl entwickelt. 14—1S Septa reichen bis zum Centrum und bilden ein ziemlich grosses falsches Säulchen. Nahe am Rand schiebt sich eine Anzahl kürzerer Septen in unregelmässiger Anordnung ein, die häufig gegen die längeren Septen zu umbiegen und zuweilen mit ihnen anastomisiren. Traversen dick, nahe der Peripherie am häufigsten. Eine Epithek liess sich nicht beobachten. Allgemeine Bemerkungen: Es wurden bereits früher von anderen Autoren gewisse ästige Formen‘, die mit der I. eylindrica gewisse Aehnlich- keit haben, unter verschiedenen: Namen wie Latimaeandra, Microphyllia ete. beschrieben. Diese sämmtlichen Formen sind durch mehr oder minder lange Reihen zusammenfliessender Kelche ausgezeichnet. Im Gegensatz hiezu über- wiegen bei unserer Art die scharfumrandeten und wohlumgrenzten Kelche, während zusammenfliessende Kelche zu den Seltenheiten gehören. Die mir ! Solche wären Maeandrina Lotharinga Micn., Mierophyllia dumosa Yv., Latimae- andra Etalloni From., Latimaeandra Culiaensis GREG. 1923 Die Korallen der Stramberger Schichten. vorliegenden Exemplare zeigen bei ästiger Stockform hinsichtlich ihrer Kelche echten Isastraeen-Typus, auch wenn man an der bisherigen Fassung des Gattungsbegriffes von Isastraea (im Unterschied zu Latimaeandra) festhält. Zahl der untersuchten Exemplare: 53. Fundort: Stramberg. Isastraea Gourdani From. — Taf. XV, Fig. 17, 17a. 1856. Isastraea Gourdani From. Bull. de la Soc. g6ol. 2. ser. Taf. XIII, p. 861. 1362. „ 5 From. Monogr. des Polyp. jur. sup. p. 41, pl. V, Fig. 3. Korallenstock rundliche, halbkugelige Massen bildend, die an der Unter- seite mit conischem Stiel versehen sind. Durchmesser etwa 70 mm, Höhe 40 mm. Kelche polygonal, aber nicht sehr regelmässig. Kelchgrube deutlich ausgesprochen und tief, Kelchränder scharf. Kelche ca. 4 mm im Durch- messer. 3 complete Cyelen nahezu gleichstarker Septen sind entwickelt, von welchen 14—16 bis zum Kelchcentrum reichen und hier ein ziemlich grosses falsches Säulchen bilden. Ausserdem kommen in den grösseren Kelchen noch feinere Septen eines incompleten vierten Cyclus vor. Selbsttheilung lässt sich häufig beobachten, doch grenzen sich die neu gebildeten Kelche meist bald wieder vollständig ab und zusammenfliessende Kelche sind selten. Traversen häufig und fein, regelmässig angeordnet. Epithek gut entwickelt. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich durch die geringere Grösse der Kelche und die geringere Zahl der Septen leicht von I. undans und I. variabilis, mit welchen sie sonst viel Aehnlichkeit hat. Eine von Kosy (Polyp. Jur. p. 215, Pl. 79, Fig. 5) aus dem Terrain & chailles silicieux als Goniastraea Delemontana beschriebene Art hat auffallende Aehn- lichkeit in allen wichtigen Punkten mit I. Gourdani From. Nur hat @. Delemontana nach Kosy „palis indistinets“. Ich halte es aber für sehr schwierig, wenn nicht die Pali sehr bestimmt zu unterscheiden sind, dieselben von einem falschen Säulchen scharf zu unterscheiden. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundorte: Stramberg; ausserdem Mantoche, Haute Soöne (Portlandien). Isastraea minima Kopy sp. 1885. Latimaeandra minima Kos. Polyp. Jur. p. 242, pl. 63, Fig. 4. Von dieser Art liegt mir nur ein einziges Bruchstück mit flacher Ober- seite vor. Aus dem Fragment geht hervor, dass der Umriss nahezu kreis- förmig war. Der Durchmesser beträgt 55 mm, die Höhe 50 mm. Nur sehr Montilvaltia. 193 selten fliessen 2—3 Kelche zu kurzen Reihen zusammen. Der Durchmesser der Kelche beträgt 3—4 mm. Kelchumriss sehr unregelmässig. Septen zahl- reich, 48 an Zahl, von alternirender Länge und Stärke. Ungefähr 10 davon erreichen das Centrum und bilden ein kleines falsches Säulchen. Epithek vorhanden. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundorte: Stramberg; ausserdem Soyhieres (Corallien blanc). Gen. Montlivaltia Lanovrovx. 1821. Montlivaltia Lamouroux. Exp. meth. des genres de Polypiers p. 78. 1826. Anthophyllum (pars) GoLv. Petref. Germaniae, Taf. I, p. 45. 18350. Montlivaltia et Anthophyllum Bramv. Dict. des sc. nat., p. 302. 1534. „ > 5 en Mass. d’Actinologie p. 336. 1836. Montlivaltia MıLne EopwArps in Lamark. Hist, nat. des anim. sans vert., Taf. II, p. 369. 1848. Caryophyllia, Turbinolia et Cyclolites (pars) Mıc#. Icon. Zooph., p. 7, 85 et 369. 1848. Montlivaltia et Thecophyllia Evw. et H. Comptes rendus de l’Acd. des sc., Taf. XXVII, p. 467 et 491. 1848. Montlivaltia et Thecophylliia Eow. et H. Ann. sc. nat., Taf. X et XI, p- 250 et 251. 1348. Montlivaultia Eovw. et H. Brit. foss. cor., p. 32. 1349. Lasmophyllia (pars), Ellipsosmilia (pars), Perismilia (pars), Polyphyllia, Conophyllia, D’OrB. Notes sur les Polyp. foss., p. 5, 6 et 8. 1851. Montlivaultia et Thecophyllia D’Ors. Cours el&m. de pal6ont. strat., Taf. II, p. 161 et 167, 1853. Montlivaltia Cuapuss et Drwarqgue. Mem. cour. par l’Acad. de Belg., Taf. XXV, p. 263. 1853—57. Montlivaltia Pıcrer. Traite de Pal6ont., Taf. V, p. 398. 1857. Montlivaultia Epw. et H. Hist. nat. des Corall., Taf. II, p. 296. 1858. ” Eratr, Ray. du Haut-Jura, p. 83. 1855—61. „ From. Introd. & l’&tude des Polyp. foss., p 108. 1865. Fr From. et Ferry. Paleont. franc., terr. jurass., Zooph. p. 108. 1376. „ MitAascazwizz. DieKorallen der Nattheimer Schichten, Palaeonto- graphica p. 194. 1880—89. Montlivaltia Kosy. Pol. Jur. p. 109 u. 548. 1890. = FrecH. Triaskorallen, Palaeontographica Bd. 37, p. 39. Koralle eylindrisch oder conisch. Kelchgrube breit, seicht. Septen sehr zahlreich, stark und regelmässig gezackt, mit deutlichen Reihen von auf den Trabekeln stehenden Granulationen. Säulchen fehlt. Traversen blasig, regelmässig. Pseudotheka kaum angedeutet. Epithek gut entwickelt, bis hoch hinauf zum Kelchrand reichend. Vermehrung durch Knospen (intra- calyeinale und Seitenknospen), die sich bald loslösen. Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 13 194 Die Korallen der Stramberger Schichten. Es kommen ab und zu Formen vor (cf. M. alata), die Neigung zu Selbsttheilung nnd dadurch Uebergänge zu T’hecosmilia zeigen. Auf die nahen Beziehungen dieser beiden Gattungen hat bereits Freca (Triaskorallen p. 9) hingewiesen. Ueber die feinere Structur der Septen, nämlich über den Ver- lauf der Körner auf den Trabekeln, sowie über die Art des Primärstreifen macht Frec# (Triaskorallen p. 40, Taf. 13, Fig. 1 u. 4, Taf. 10, Fig. 3) einige Bemerkungen. Schon früher hatte Kogy ein vergrössertes Montlivaltia- Septum abgebildet und auf die Anordnung der Zacken, sowie der Septal- streifen („stries eloisonnaires“) hingewiesen (Pol. Jur. p. 544, Pl. 129, F. 12). Jüngst veröffentlichte nun W. Vorz eine Einleitung zu seiner demnächst er- scheinenden „Korallenfauna von St. Cassian“ (Inaugural Diss., Stuttgart 1895, p. 7 ff). Er giebt hier die Resultate seiner Untersuchungen über den mikroskopischen Bau von triasischen Thecosmilien, Montlivaltien, dann von Omphalophyllia und Myriophyllia. Die Septen dieser Gattungen sind nach ihm auf dreierlei Art gebaut und zwar sind alle 3 Typen des Septalbaues bei triasischen Montlivaltien vertreten. Beim ersten Typus zeigen die Septen im Querschliff in der Mittelebene einen „hellen Streifen“, den „Ur- streif oder das Urseptum“. Die Septen des zweiten Typus zeigen im Quer- schliff einzelne helle Punkte, die dem Urseptum homolog sind und welche sich im Längsschnitt als die Axen von nebeneinanderstehenden Balken erweisen. Diese hellen Axen der Balken heisst er Primärdorn. Um den Primärdorn herum sind nach ihm aus Fasern bestehende Stereoplasma-Lamellen schrauben- artig gewunden, die zusammen mit dem Primärdern den Balken oder Trabekel bilden. Vom Urseptum hingegen sind diese Stereoplasma-Lamellen schief nach aussen und oben gerichtet. Unter den aus Trabekeln aufgebauten Septen beschreibt er dann wieder zweierlei verschiedene Anordnungen oder Tra- bekeln. Das einemal sind die Trabekeln so angeordnet, dass die Primär- dornen genau in der Medianebene des Septums stehen, das andere Mal (dritter Typus) so, dass die Primärdornen abwechslungsweise rechts und links von der Medianebene stehen, wodurch im Querschnitt eine ziekzack- förmige Anordnung hervorgerufen wird. Nach Vorz haben nun die meisten triasischen Montlivaltien einen Urstreif, es sollen indess auch solche vor- kommen, die sowohl in der Medianebene angeordnete Primärdornen haben, als auch solche, bei welchen diese Primärdornen im Zickzack stehen. Wenn ich nun auch nicht sehr viele Triaskorallen untersucht habe, so kann ich mich trotzdem nicht mit- den Ansichten von Vorz einverstanden er- klären. Zunächst sei erwähnt, dass Vorz den Ausdruck Primärdorn m ganz anderem Sinn gebraucht als dies früher Freor ! that, der darunter den ganzen Trabekel (von Prarz) verstand. Der Primärdorn von Vorz würde nur der ! Triaskorallen p. 9, Taf. 2, Fig. 4. Montlivaltia obconica. 105 (idealen) Axe des Prarz’schen Trabekel entsprechen. Dass diese Axe wirklich nur eine ideale ist, hervorgebracht durch unverkalkte (und später zersetzte) Zellreste innerhalb der Stellen sehr energischer Verkalkung, darauf habe ich bereits hingewiesen. Es ist ferner ersichtlich, dass das Vorz’sche Urseptum der dunklen Linie der früheren Autoren entspricht, welche ebenfalls nach meinen Untersuchungen durch die Zersetzung übrig gebliebener Zellreste entstanden ist. Was nun die von Vorz angegebenen schraubenförmigen Stereoplasma- Lamellen betrifft, so konnte ich solche bei den zahlreichen von mir unter- suchten Korallen niemals finden. Ich konnte nur beobachten, dass von den Axen der Trabekel nach den Seiten und nach oben gerichtete Faserbündel ausstrahlen. Die einzelnen Fasern divergiren wieder von einem in der (idealen) Trabekelaxe gelegenen Punkt, während sie nach Vorz alle parallel in seiner Stereoplasma-Lamelle liegen müssten. Von solchen Lamellen, wie Vorz meint, ist absolut nichts wahrzunehmen. Ich glaube nachgewiesen zu haben, dass die einzelnen Fasern, die Vorz für contiuirlich annimmt, in Wirklichkeit so oft unterbrochen sind, als es Wachsthums-Lamellen in der Dicke des Septums gibt. Die von mir erwähnten Wachsthums-Lamellen haben gar nichts mit den Vorz’schen Stereoplasma-Lamellen zu thun, die Wachsthums-Lamellen ver- laufen auch ganz anders als (die angeblichen Stereoplasma-Lamellen und schneiden dieselben fortwährend. Die mir von Stramberg vorliegenden Montlivaltien zeigen alle die gleiche Anordnung der Trabekel und Granulationen auf den Septen, wie sie von Kopy (l. ce.) bereits abgebildet wurde. Das würde nur mit einem der drei von Vorz für Montlivaltia angegebenen Septaltypen (ef. Vorz l. c. p. 10, Fig. 5a) übereinstimmen. Wie ich an anderem Orte (Trans. Roy. Soc., London 1896) erwähnt habe, entsprechen die Granulationen auf den Trabekeln den einzelnen von der Trabekelaxe ausstrahlenden Faserbündeln. Montlivaltia obeonica Msrr. sp. — Taf. XII, Fig. 4. 1829. Anthophyllum obconicum Mnsr.; Gotpruss Petref. Germ. Taf. I, p. 107, Taf. 37, Fig. 14. 1851. Montlivaltia dispar (pars) Ev. u. H. Pol. foss. des terr. pal. p. 73. 1858. Anthophyllum obconicum Quexst. Der Jura, p. 708, Taf. 86, Fig. 8. 1861. Montlivaltia Gyensis FROMENTEL. Introd. p. 115. 1864. = 5 5 Pol. cor. env. de Gray p. 11, Taf. 3, Fig. 1. 1867. ” n FROMENTEL et Ferry. Pal. Franc. Terr. Jur., p. 186, Taf. 47, Fig. 4, 4a. 1376. Montltivaltia obeonica MivascH. Nattheimer Korallen, p. 196, Taf. 44, Fig. 1. 1881. Anthophyllum obconicum Quexst. Petrefactenkunde Deutschlands, p. 638, Taf. 167, Fig. 3, 4. { 1383. Montlivaltia obconica Kosy. Pol. Jur. p. 117, Pl. 43, Fig. 3, 4. 13* 196 Die Korallen der Stramberger Schichten. Koralle kurz, dick, eylindrisch, Kelch rund, etwa 60 mm im Durch- messer. Columellarraum sehr eng, ungefähr 12 mm lang. Septa sehr dicht gedrängt, an Stärke nur sehr wenig alternirend. Sie sind sehr zahlreich, über 200. Die der ersten 3 Cyclen reichen bis zum Columellarraum, jene des vierten Cyclus nahezu so weit, während die des fünften und sechsten ent- sprechend kürzer sind. Ausser diesen schieben sich noch einige wenige fene Septen am Kelchrand ein. Die Granulationen auf den Septen sind gross, in Reihen von aussen nach innen und oben gerichtet. Traversen fein, regelmässig. Epithek gut entwickelt, fast bis zum Kelchrand rei- chend, concentrisch gestreift. Wo die Epithek abgerieben ist, sind die eostalen Enden der Septen zu sehen. Dieselben sind am Rande gezähnelt und alterniren etwas an Stärke auf die Breite von 10 mm treffen 14—15. Traversen reichlich entwickelt, regelmässig angeordnet und bis zum Centrum reichend. Zahl der untersuchten Exemplare: 3. Fundorte: Wischlitz, ausserdem Nattheim, Gy (Haute-Saöne), Bettain- court (Haute-Marne), Birse. Montlivaltia erassisepta Frou. 1861. Montlivaltia crassisepta From. Introd. p. 119. 1867. cn truncata (pars) From. Pal6ont. franc. terr. jurass. p.181, T. 46. 1869. ni crassisepta From. Taf. 57, Fig. 2, 2a, b. 1875—76. ,„ “ MirtAscH. Natth. Kor. p. 199, Taf. 46. Koralle cylindro-conisch, comprimirt. Kelchdurchmesser 52:38 mm. Kelchgrube seicht. Septen zahlreich, 100—110. Es sind 5 vollständige Cyelen und ausserdem eine Anzahl sehr feiner Septen, die einem incompleten sechsten Öyclus angehören, vorhanden. Die Septen der ersten 2 Cyelen sind dicker und reichen bis zum kurzen und engen Columellarraum, wo ihre verdickten Enden zuweilen miteinander verwachsen. Die Septen der übrigen Cyclen an Dicke abnehmend; ebenso sind die Costalenden von ungleicher Dieke und mit concentrisch gestreifter Epithek überzogen. Epithek bis etwa 6—7 mm unter den Oberrand der Septen reichend. Allgemeine Bemerkungen: MivAscHEwITz hat bereits auf die grosse Variabilität der äusseren Form dieser Koralle sowie auf die Uebergänge dieser Art zu M. truncata hingewiesen. Eines der mir vorliegenden Exem- plare war besonders günstig erhalten und zeigte, dass die Trabekel im peri- pheren Theil des Septums geradlinig und fast senkrecht nach oben verlaufen, während sie nach innen sich mehr und mehr schräg stellen. Montlivaltia Renevieri. 197 Zahl der untersuchten Exemplare: 3. Fundorte: Iskritschin, Wischlitz; ausserdem Nattheim, Beiningen, Öberschelklingen, Champlitte, Montbeliard ete. Montlivaltia nidiformis MitAscHkwirz. 1876. Montlivaltia nidiformis Mivascn. Natth. Kor. p. 205, Taf. 47, Fig. 1. Koralle gross, cylindrisch, mit breiter Basis festgewachsen. Kelch seicht, elliptisch. Kelchdurchmesser 54 : 48 mm. Columellarraum schmal und lang. Septa fein, sehr zahlreich (etwa 200 an Zahl) und gleichmässig entwickelt. Ungefähr 24 reichen bis zum Columellarraum und haben da verdickte Enden. Bei den übrigen Septen ist eine regelmässige Anordnung in Cyelen nicht wahrzunehmen, sondern die Septen endigen im Allgemeinen in verschiedenen Entfernungen vom Kelchrand, doch so, dass im Allgemeinen gleich grosse Flächen auch dieselbe Zahl der Septen haben, gleichgiltig ob diese Flächen näher am Rand oder weiter innen liegen. Auf diese Weise sind Septen und Interseptalräume vollständig gleichmässig über den ganzen Kelch vertheilt. Öberrand der Septen scharf gezähnelt. Granulationen auf den Seitenflächen der Septa gross und sehr deutlich, dem Verlauf der Trabekeln folgend. Pseudosynaptikeln sind öfter zu beobachten, besonders da, wo ein kürzeres Septum mit seinem inneren Ende etwas gegen die Seitenfläche eines längeren Septums umbiegt. Traversen häufig und regelmässig. Septo-Costalenden gegen aussen scharf zulaufend und mit feiner Epithek überzogen, Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundorte: Konikau; ausserdem Nattheim. Montlivaltia Renevieri Kosy. — Taf. XIH, Fig. 2, 2a. 1883. Montlivaltia Renevieri Kosy. Pol. Jur. p. 144, P]. 32, Fig. 6. Koralle gerade, cylindrisch bis schwach conisch 70—90 mm hoch, im Querschnitt rund bis elliptisch, 30:23 mm im Durchmesser, ein grösseres Exemplar 35:25 im Durchmesser. Septa, 100—120 an Zahl, an Stärke alternirend, jene des sechsten Cyclus viel feiner als die übrigen und nicht vollzählig vorhanden. Septen gezähnelt, gegen das Centrum zu leicht ge- krümmt. Kelchgrube verlängert. Mauer dick, mit dünnem, rugosem Epithek bedeckt, das in Abständen von 4—6 mm stärkere Anschwellungen zeigt. Costen verhältnissmässig stark und alle von gleicher Dicke, fein gezähnelt. Auf eine Breite von 10 mm treffen 18—18 Costen. Allgemeine Bemerkungen: Von den 4 mir voliegenden Exemplaren sind 2 von Stramberg sehr gut erhalten, während bei denen von Kotzobenz 198 Die Korallen der Stramberger Schichten. und Willamowitz das Epithek abgerieben ist. Kosy konnte nur ein einziges löxemplar untersuchen, bei welchem nach seiner Angabe der Kelch nicht sehr wohl erhalten war. Er giebt nur 96 Septen an, was sich aber damit erklärt, dass die weiteren oben erwähnten feineren Septa des incompleten 6. Cyelus nur in gut erhaltenen Exemplaren zu beobachten sind. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Vorkommen: Stramberg, Kotzobenz, Willamowitz; ausserdem Ste. Croix (Vaud). Montlivaltia Cavalli v’Acn. — Taf. XII, Fig. 3, 3a. 1880. Montlivaltia Cavalli v’Acn. Cor. Giur. p. 6, Taf. 17, Fig. 1. Koralle sehr klein, conisch, sich rasch von der Anwachsstelle aus er- weiternd. Höhe etwa 15 mm. Kelch im Querschnitt sehr wenig elliptisch, fast rund. Durchmesser 15:13 mm. Epithek mit concentrischen Ringen bis etwa 2 mm unter den Kelchrand reichend. Kelchgrube tief (2; mm) mit schmalem, abgerundetem Kelchrand. Es sind 5 Cyclen von Septa vorhanden. Jene der vier ersten sind gleichmässig entwickelt und bis zum Columellar- raum reichend, jene des fünften Cyclus dünner und nur ?/s des Abstandes von der Mauer zum Centrum einnehmend. Einige wenige rudimentäre, zum sechsten Cyclus gehörigen Septa schieben sich am Kelchrand ein. Septal- yand gezähnelt, Seitenflächen der Septa mit Granulationen versehen. Costen an Stärke alternirend, an Zahl den Septen entsprechend. Allgemeine Bemerkungen: Die geringe Grösse der Koralle, dann die Tiefe der Kelchgrube und der fast kreisrunde Querschnitt des Kelches, sowie die starke und gleichmässige Entwicklung der 4 ersten Cyclen der Septa, sind die Hauptmerkmale dieser Art. M. rosula Eıcuw. (Leth. Ross. 1865—68. Vol. 2. p. 126, Pl. XI, Fig. 4 — siehe auch Soronko „Die Jura- und Kreide-Korallen der Krim“ 1887, p. 52, Taf. VII, Fig. 1) hat mannigfache Anklänge an diese Art. Nur sind bei M. rosula die ersten 3 Cyelen und die Hälfte des vierten Cyclus der Septen stärker hervorragend als die übrigen, ferner scheint das Epithek zu fehlen und die Costen weniger zahlreich zu sein. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundorte: Ignatziberg; ausserdem Mte. Cavallo. Montlivaltia alata Ocınvızr — Taf. XIII, Fig. 5, 5a. Koralle mehr oder minder ceylindrisch, leicht comprimirt. Beim Weiter- wachsen noch oben breitet sich die Koralle in der Richtung der längeren Montlivaltia alata. 199 Axe seitlich mehr und mehr aus, wodurch lappige seitliche Ausbreitungen entstehen. Durchmesser der Kelchröhre vor Bildung der lappigen Ausbrei- tungen 18—20 mm, Durchmesser an der oberen Seite (wo der Lappen bereits ausgebildet ist) ca. 30 mm und durch Kelch nebst Lappen ca. 45 mm. Da wo der Lappen vom eigentlichen Kelch abzweigt, sind im Querschnitt Ein- schnürungen vorhanden. Septa an Dicke etwas alternirend. 24 reichen bis zum Kelchcentrum, jene des vierten Oyclus nahezu ebenso lang, die des fünften Cyelus nur halb so lang. Ausserdem noch eine unbestimmte Anzahl eines incompleten sechsten Cyelus vorhanden. Traversen fein, zahlreich, regelmässig angeordnet. Costen alle gleich stark, auf die Breite von 10 mm trefien 16--17. Epithek vorhanden, bis hoch hinauf reichend. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art hat vermöge ihrer seitlichen lappigen Ausbreitungen einen von den meisten Montlivaltien etwas abweichen- den Habitus. Am meisten Aehnlichkeit hätten damit gewisse der von Kosy als Thecosmilia Cartieri beschriebenen Formen (cf. Taf. 43, Fig. 3). Ein derartiges Exemplar würde einige Centimeter unter dem Kelchrand genau denselben Querschnitt geben, wie das mir von Ignatziberg vorliegende Exem- plar, dessen oberer Kelchtheil nicht erhalten ist. Da Kopy ziemlich viel Material hatte, das verschiedene Uebergänge zu Thecosmilia-äÄhnlichen Formen aufwies, so stellte er dieselben zur Gattung Thecosmilia. Jedenfalls sind die Gattungen Thecosmilia und Montlivaltia aufs engste verwandt. Mein Exem- plar hat aber eine grössere Anzahl Septen als Thecosmilia Cartieri Kosy und da ich nur das eine Stück habe, ziehe ich es vor, es vorläufig als M. alata zu beschreiben. Bis jetzt wurden allerdings unter Montlivaltia hauptsächlich Einzel- formen begriffen, während die zusammengesetzten Stöcke als Thecosmilien beschrieben wurden. Es sind indess bis jetzt bereits mehrere Formen be- kannt, deren Einreihung zu einem der beiden Genera Schwierigkeiten macht. Als solche wären zu nennen M. turbinata MivascH. (Natth. Kor. p. 208, Taf. 49, Fig. 2, 2a), Oppelismilia gemmans Duncan (Brit. Foss. Cor. Suppl. Par. IV, No. 1, p. 39), die Duncan als eine Montlivaltia mit einer intracaly- einalen Knospe beschreibt und deswegen zu einer neuen Gattung Oppelismilia rechnet, ferner wären zu erwähnen 2 der Kopy'’schen Exemplare von M. dilatata Mich. sp., die eine Neigung sich zu theilen zeigen (Kogy, Polyp. Jur. pl. 43, Fig. 2, pl. 40, Fig. 8). Ich halte es lediglich aus Zweckmässig- gründen für angezeigt, beide Gattungen, nämlich Montlivaltia und Thecos- milia, vorläufig aufrecht zu halten. Und da das oben beschriebene Stück doch mehr den Habitus einer Einzelkoralle aufweist, weil der Lappen erst ziemlich spät sich ausbreitet, ohne ganz frei zu werden, stelle ich die Art lieber zu Montlivaltia als zu Thecosmilia. Nebenbei bemerkt ist meiner 200 Die Korallen der Stramberger Schichten, Ansicht nach die Gattung Oppelismilia Duncan’s mit Montlivaltia zu ver- einigen. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundorte: Ignatziberg. Gen. Thecosmilia E. u. H. emend. Frecn. 1826. Lithodendron p. p. Gotpruss. Petref, Germ., Taf, I, p. 45. 1828. Caryophylha p. p. Fremise. Brit. anim. p. 509. 1830. Lobophyllia p. p. Bramnvirre. Dict. des Sc. nat. Taf. LX, p. 321. 1848. Thecosmilia Mine EopwArvs u. Haıme. Compt. rend. de 1. Acad. des Se., Taf. XXVI, p. 468. 1849. Lasmosmilia et Amblophyllia v’Orz. Note sur des Pol. foss. p. 6 u. 8. 1857. Thecosmilia EvwArps u. Haıme. Hist. Nat. Cor. p. 354. 1858. „ Eratron. Haut-Jura, p. 89. 1859—61. ,„ Fros. Introduction, p. 141. 1876—80. „ Zırrev Handb. Bd. I, p. 76. 1884. 5 (+ Cladophyllia) Duncan, Madreporaria p. 71. 1889. n Kogy. Pol. Jur. p. 159. 1890. ; (+ Calamophyllia + Cladophyllia p. p.) Frech, Triaskorallen, p- 4—7. Zusammengesetzte Stöcke, meist ästig und hoch wachsend, oder buschig, nur selten werden die einzelnen Kelche nicht frei, sondern bilden confluente Kelche. Kelchgrube breit, seicht, Septen stark und regelmässig gezackt mit deutlichen Reihen von auf den Trabekeln stehenden Granulationen. Säulchen fehlt. Traversen blasig, regelmässig. Pseudothek häufig durch die verschie- (denen Traversenzonen gut ausgedrückt. Epithek vorhanden. Vermehrung durch intracalycinale (marginale) Knospung oder durch Selbsttheilung. Hinsichtlich der feineren Structur der Septen gleicht Z’hecosmilia ganz dem Genus Montlivaltia. Auf Taf. 129, Fig. 14 hat Kogy ein T’hecosmilia- Septum abgebildet. Auch bei Frec# (Triaskorallen) findet man Seitenflächen oder Längsschnitte von Septen abgebildet, die den Verlauf der Trabekeln zeigen. Hinsichtlich des feineren Septalbaues verhält sich nach Vorz Theco- smilia genau wie Montlivaltia. Es wurde bereits oben (bei Montlivaltia) auf die Ergebnisse von VoLz eingegangen. Ueber die Art des Wachsthums bei verschiedenen Arten hat bereits Frech (Triaskorallen) p. 4—7 zutreffende Bemerkungen gemacht. Er sah sich auch veranlasst die Gattungen Calamophyllia, Cladophylka p. p. und Rhabdophyllia p. p. mit Thecosmilia zu vereinigen. Wenn man die Gattung in diesem Sinne fasst, dann zählt die Gattung T’hecosmilia in der Triasperiode sehr viele Vertreter. Diese Trias-Thecosmilien bilden fast stets buschige Stöcke vom Habitus der in den Alpen so verbreiteten Z’hecosmilia clathrata. Es 'Thecosmilia Koniakensis. 201 sind meist solche Formen, die von früheren Autoren als Lithodendren be- zeichnet wurden. Im oberen Jura treffen wir bereits unter den Thecosmilien hinsichtlich der Art des Wachsthums viel grössere Manniefaltigkeit. Neben Formen vom Habitus der Thecosmilia clathrata sind auch kurze, ästige Formen in sehr grosser Zahl vertreten. Als Repräsentant dieser Art von Stöcken mag die weit verbreitete 7’h. trichotoma genannt werden, also diejenige Art, die bei Aufstellung der Gattung als Typus diente. Von diesen Formen gibt es dann Uebergänge zu einer dritten Gruppe von Thecosmilien, bei welcher die einzelnen Kelche nicht als Aeste in die Höhe wachsen und frei werden, sondern wo 2 oder 3 Kelche confluent bleiben. Der Typus dieser Gruppe ist die 7%. suevica. Derartige Formen wurden früher (von QuENSTEDT z.B.) als Lobophyllia oder (von EpwArps und Haımz z. B.) als Ulophyllia be- schrieben. Diese verschiedenen Arten im Habitus der 'Thecosmilien hängen aufs Innigste mit der Art der Vermehrung zusammen. Bei den Formen vom Typus der clathrata und der trichotoma erfolgt die Vermehrung durch intra- calyeinale Knospung, ohne Deformirung der Mutterkelche, während bei den Formen vom Suevica-Typus die Tendenz zur Theilung vorherrscht, indem neue Knospen entstehen ohne sich vom Mutterkelch durch eine Scheidewand zu trennen. Unter dem mir vorliegenden Stramberger Material sind alle 3 Wachsthumstypen vertreten. Ausserdem liegen mir eine Masse Formen vor, die alle Arten von Uebergängen zwischen den 3 Typen bilden. Ich gruppire diese Arten in folgender Weise: a) Formen vom Typus der Th. clathrata: Th. Koniakensis, Th. longimana, Th. virgulina, Th. flabella, davan schliessen sich einige Formen, die schon mehr den Uebergang zum Typus der Th. trichotoma aufweisen, nämlich 7h. irregularis und Th. Volzi. b) Formen vom Typus der 7'h. trichotoma : Th. trichotoma, Th. Langi. ec) Formen vom Typus der Th. suevica. Th. swevica, Th. Moraviensis und Th. truncata. Thecosmilia Koniakensis Ocınvır. — Taf. XIV, Fig. 1, 1a. 21884. Thecosmilia ? dichotoma Kosy. Polyp. Jur. p. 175. Pl. 46, Fig. 4—5. ?1886. Dermoseris " > Polyp. Jur. p. 345. non Lithodendron dichotomum GoLvr. Petref. Germ. p. 44. Taf. 13, Fig. 3. non Cladophyllia dichotoma Mıunz EpwArps u. Haıme. Corall. Taf. II, p. 366. non „ n BECKER u. Mitaschewirz. Natth. Kor. p. 155. non Lithodendron dichotomum Quesst. Röhren- u. Sternkorallen p. 709. Koralle meist hohe ästige Stöcke bildend, deren Aeste unter sehr spitzem Winkel von einander abzweigen. Das grösste mir vorliegende Bruchstück ist 202 Die Korallen der Stramberger Schichten. 17 cm hoch und oben über 10 cm breit. Die Aeste sind im Querschnitt rundlich oder comprimirt. Zahl der Septa je nach der Grösse der Kelche verschieden. Zwei Cyclen von Septa reichen bis zum Kelcheentrum, jene des dritten Cyclus nicht ganz so lang aber fast von gleicher Stärke wie die des ersten, die Septa des manchmal incompleten vierten Cyclus sind feiner und kürzer. Der Durchmesser der Aeste wechselt von 8 zu l4 mm. Traversen stark entwickelt. EFpithek dick und stark runzelig mit tiefen Furchen in Abständen von 4—5 mm. Allgemeine Bemerkungen: Die mir vorliegenden Exemplare dieser Art stimmen nach der Beschreibung und Abbildung Kogy’s mit dessen Theco- smilia dichotoma überein. In einem späteren Abschnitt seiner Abhandlung hat sodann Kosy diese Art, sowie T’hecosmilia plicata Kopy zu seinem neuen Genus Dermoseris gestellt, weil er nachträglich bei beiden neben den Tra- versen auch noch Pseudosynaptikel beobachtete. Die Exemplare von Koniakau haben keine Pseudosynaptikel und sind sicher ächte Thecosmilien. Da ich ferner keinen Unterschied zwischen ihnen und den von Kogy abgebildeten Exemplaren finden kann und da Kor für Dermoseris dichotoma auch keine weitere Abbildung gibt, halte ich vorderhand noch die Kogy’schen Exemplare und die Koniakauer Exemplare für ident und stelle sie zum Genus T'heco- smilia. Der Speciesname dichotoma konnte aber nicht beibehalten werden, da die in Frage kommenden Formen nicht mit Zithodendron dichotomum GDF. (siehe Synonyma) übereinstimmen, deswegen nenne ich die Art Koniakensis. Die in Frage stehende Art hat am meisten Aehnlichkeit mit Kopy’s Dermoseris (Thecosmilia) plicata. Nach ihm wäre der wesentliche Unterschied zwischen beiden nur der, dass bei 7’h. plöcata die Traversen „rares“ wären, bei Th. dichotoma indess „nombreux et rapprochees“. Die andern Unterscheidungs- merkmale, wie verschiedene Grösse des Winkels, unter dem die Aeste ab- zweigen, dann die grössere oder geringere Regelmässigkeit der Epithekal- falten, variiren bis zu einem gewissen Grade schon bei ein und demselben Exemplar und noch mehr bei verschiedenen Exemplaren. Th. Koniakensis steht in naher Beziehung zu einer Reihe anderer Arten, die eine gut begrenzte Gruppe von hochwachsenden, langarmigen Thecosmilien bilden, deren Art des Wachsthums mit jenem übereinstimmt, das sonst für das Genus Calamophyllia als charakteristisch angesehen wurde, sonst haben sie noch runzeliges Epithek, dagegen keine wurzelföürmigen Ausläufer. Th. Koniakensis ist ein guter Beweis für die Zusammengehörigkeit der Genera Thecosmilia und Calamophyliia. Frech hat bekanntlich T’hecosmilia, Calamo- phyllia und Cladophyllia (ex parte) unter dem Genusnamen Thecosmilia ver- einigt und derselbe nimmt in seinen allgemeinen Bemerkungen über das Genus gerade auf derartige jurassische Formen Bezug, wie die in Rede stehende und von Kogy abgebildete Art. Mit den Ergebnissen aus den Untersuchungen Thecosmilia longissima. 205 FrecH’s über diese Genera stimmen meine Beobachtungen an den Formen aus den Stramberger Schichten vollkommen überein und bei Betrachtung der verschiedenen bisherigen Arten werde ich auf diesen Punkt noch zu sprechen kommen. Thecosmilia Koniakensis gehört zu jener Gruppe, deren Hauptrepräsen- tant zuerst von GUETTARD als „Calamites a tuyaux lisses“ (Mem. sur diff. part des Se. et des arts. Taf. III, p. 486, pl. 35 [1770]) beschrieben wurde und später [1830] von Bramviıuıze als „Calamophyllia laevis“ Diet. des Se. nat. Taf. 60, p. 312 beschrieben wurde. Um zu zeigen, zu welch verschiedenen Genera diese Art im Laufe der Zeiten gestellt wurde, seien folgende Syno- nyma angeführt : 1843. Lithodendron laeve Mıcn. Icon. p. 43, pl. 19, Fig. 8. 1847. Cladocora laevis Geisırz. Grundr. d. Versteinerungen p. 570. 1549. Eunomia „ Eow. u. H. Ann. des Sc. nat. 3. ser, Taf. II, p. 260. 1850. e „ D’Ors. Prodr. Taf. II, p. 32. 1851. Cladophyllia laevis Evw. u. H. Pol. foss. p. 82. 1857. " ” n „ Pol. Corall. Vol. II, p. 364. 1858—61. „ »„ From. Introd. p. 145. Diese Art unterscheidet sich von TR. dichotoma Kogy lediglich durch geringeren Durchmesser der Aeste, und einige Exemplare des Münchener Museums von Th. laeve von Merry sur Yonne, die ich vergleichen konnte, zeigten vollständige Uebereinstimmung mit Micueuin’s Beschreibung und Ab- bildung, waren indess nicht mit den Exemplaren von Koniakau zu identificiren. Zur Gruppe der Th. laevis gehört ausser der 7’h. Koniakensis noch Th. longimana Qusxst. sp., Th. Olaudiensis Er., Th. connecta Er., Th. vir- gulina Er., sowie Th. Gressiyi Kosy und Th. Jaccardi Kopy. Zahl der untersuchten Exemplare: Mehrere Bruchstücke. Fundorte: Koniakau, Ignatziberg; ausserdem Caquerelle, Soyhieres etc. Theecosmilia longimana Quesst. sp. — Taf. XIV, Fig. 2, 2a, 2b, 5, 3a. 1858. Lithodendron laeve Quenst. Jura. p. 711, Taf. 86, Fig. 12. 1575—76. Thecosmilia sp. Becker. Natth. Kor. p. 154. 1882. Lithodendron longimanum Quexst. Röhren- u. Sternkorallen p. 698. Pl. 170. Fig. 17. 1881. Lithodendron eylindratum Quesst. Röhren- u. Sternkorallen p. 699. Pl. 170. Fig. 18. 1881. Lithodendron laeve Quenst. Röhren u. Sternkorallen p. 699. Pl. 170, Fig. 19. Koralle hohe, ästige Stöcke bildend. Die Aeste zweigen unter spitzem Winkel von einander ab und wachsen dann gerade in die Höhe. Querschnitt der Aeste rund und selbst an den Stellen, wo sich die Aeste berühren nur wenig comprimirt. Der Durchmesser der Aeste beträgt 10—1S mm, mittlerer 204 Die Korallen der Stramberger Schichten. Durchmesser eines vollkommen entwickelten Astes ist 15 mm. Septa zahl- reich. In den kleineren Kelchen sind 4 vollständige Cyelen von Septen ent- wickelt, in den etwas grösseren noch ein incompleter fünfter (im Ganzen bis zu SO Septen). Die Septen der drei ersten Cyelen sind stärker entwickelt und reichen bis zum Kelchcentrum, wo sich ihre inneren Enden verdicken. Sie lassen im Centrum einen kleinen runden oder etwas verlängerten Zwischen- raum frei. Columella nicht vorhanden. Auf den Seitenflächen der Costen sind Granulationen zu beobachten. Mit den 48 Costen, welche den 4 ersten Cyelen der Septa entsprechen, alterniren feinere. Epithek stark entwickelt, rugos und in Abständen von 7—8 mm deutliche Einschnürungen zeigend. Allgemeine Bemerkungen: Der Erhaltungszustand der Epithek ist bei den verschiedenen Stücken ein sehr verschiedener. Bei einigen grossen Exemplaren ist hin und wieder ein vollständiger Abdruck der inneren Fläche der Epithek übrig geblieben, während der Ast selbst ausgelangt wurde, andere Stücke zeigen gar keine Epithek mehr und bei einer grossen Anzahl sind Epithekalringe nur mehr an den Einschnürungsstellen vorhanden. Derartige Stücke, bei denen gar keine Epithek mehr vorhanden ist, wurden früher ge- wöhnlich zum Genus Calamophyllia gestellt. Das mir vorliegende Stramberger Material ist jedoch in dieser Hinsicht sehr günstig und da hinsichtlich des Fehlens oder Vorhandenseins der Epithek alle Uebergänge vorhanden sind, ist die Zusammengehörigkeit all der verschiedenen Bruchstücke und damit ihre Zugehörigkeit zu Th. longimana zweifellos. Schon die Abbildungen Quensteor's der drei oben angeführten Arten von Nattheim würden darthun, dass ganz ähnliche Verschiedenheiten im Er- haltungszustand der Epithek der Hauptgrund waren, sie zu 3 verschiedene Species zu stellen. Dies geht noch mehr aus dem Text hervor, der der Hauptsache nach eine Beschreibung der äusseren Ansicht der Aeste ist: ob die Rippen hervortreten, oder ob die Epithek mehr oder weniger stark ent- wickelt ist ete. In keinem Fall aber konnte als Unterschied zwischen den 3 Arten, die Zahl und Anordnung der Septen, welche eben völlig übereinstimmend ist, benutzt werden. In der Münchener Palaeontologischen Sammlung ist ein sehr gut erhaltenes Exemplar von Lithodendron longimanum (QUENST. von Beiningen, dessen Aeste an einzelnen Stellen indess ebensogut mit Zitho- dendron eylindratum Quexsst. oder mit Zithodendron laeve Quest. (non L. laeve MıcH. sp.) übereinstimmen. Ein anderes sehr wechselndes Merkmal ist die Tiefe der Einschnürungen im Epithek, sowie die Grösse des Abstandes derselben. Diese Merkmale können aber weder zur Unterscheidung von Arten noch selbst von Varietäten dienen, Becker identifieirte ein mangelhaft erhaltenes Stück von Nattheim mit Qussstepr's L. laeve (Jura. Taf. 86, Fig. 12). Da er aber die Zugehörigkeit Thecosmilia longissima. 205 von QuENSTEDT'S laeve zu MicHeuin’s Lithodendron laeve nicht für richtig hielt, bezeichnete er dasselbe als Z7’hecosmilia Sp. Im Münchener Palaeontologischen Museum sind mehrere Exemplare von Merry sur Yonne, welche vollkommene specifische Uebereinstimmung mit den Stücken von Beiningen und Stramberg zeigen und die mit diesen identifieirt werden müssen. Ich konnte indessen in der Literatur keine Beschreibung von Exemplaren von Merry sur Yonne finden, die genau mit der von QUENSTEDT für longimana gegebenen übereinstimmt. Es ist indessen wohl möglich, dass eine oder die andere der von Eratuon beschriebenen Arten damit synonym ist. Dies könnte indess nur durch genaue Untersuchung der Eratvon’schen Originalexemplare festgestellt werden. Die Zahl der Septen wechselt nach den Beschreibungen von 48 (in kleinen Kelchen) bis zu 80 und in einem sehr grossen und durch beginnende Theilung in die Länge gezogenen Kelche bis zu 120. Thecosmilia Claudiensis Er. (Ray. du Haut-Jura p. 90) aus dem Diceratien von Valfin z. B. muss nach der Beschreibung zu schliessen, der Th. longimana QuENST. ausserordentlich ähnlich sein, nur sind hier 110 „subegale“ Septen vorhanden. Calamophyllia crassa Kosy (Polyp. Jur. p. 181. pl. 59, Fig. 1) hat grosse Aehnlichkeit mit den Aesten solcher Exemplare, bei denen die Epithek abgerieben ist. Sie unterscheidet sich von solchen durch etwas ovaleren Querschnitt der Aeste, grösseren Durchmesser (s—20 mm), durch das Vor- handensein von 5 vollständigen Cyclen von Septen und feinere Rippen (24 bis 26 auf 10 mm Breite). Th. longimana unterscheidet sich von der vorhergehenden Z’h. Konia- kensis durch grössere Kelche, regelmässigeren und runderen Querschnitt und grössere Zahl der Septen. In beiden Exemplaren haben wir Beispiele dafür, wie ein und dieselbe Art unter gewissen lokalen Einflüssen variirt und in manchen Fällen wurden sicherlich Exemplare von verschiedenen Fundorten, die aber nur lokale Varia- tionen ein und derselben weit verbreiteten Art bilden, zum Range von selbst- ständigen Arten erhoben. Zum Beleg dafür sei nur auf Calamophyllia fla- bellum Buaınv. hingewiesen, welche ebenfalls unter etwa ein halb Dutzend Genusnamen und noch mehr Speciesnamen beschrieben wurde. Kor (l. c. pp: 185—84) hat eine genaue Beschreibung der verschiedenen Varietäten gegeben und zugleich ihre Zugehörigkeit zu ein und derselben Art (Calamo- phyllia flabellum) gegeben. Er unterscheidet folgende Varietäten von Calamo- phyllia flabellum: var. typica, compacta, crassa, nodosa, ramosa. Einige der Stramberger Exemplare zeigen einzelne Abweichungen von der oben gegebenen Artbeschreibung. Ich kann dieselben indessen nur als Varietäten dieser Art betrachten. Es sind dies: 206 Die Korallen der Stramberger Schichten. 1) Thecosmilia longimana var. lacerum Quest. (Synonym: Lithodendron lacerum Quesst. Röhren- und Sternkorallen Pl. 170, Fig. 21, p. 701). Diese Varietät kommt bei Stramberg vor. Sie unterscheidet sich von der typischen longimana durch den ausgeprägteren elliptischen Querschnitt der Aeste. Grosser Durchmesser im Maximum 20 mm (gewöhnlich 17”—18 mm). Septa ver- hältnissmässig zahlreicher, 9—10 bei einer Breite von 5 mm. Lithodendron pressum QUENST. (l. c. Taf. 170, Fig. 20, p. 701) hat einen viel elliptischeren (Querschnitt und zeigt grössere Divergenz. Beide wurden von Quessteor Missbildungen genannt. 2) Thecosmilia longimana var. magna Fr. (Synonym: 1848. Lithoden- dron magnum Taurnm. Coll. — 1862. Thecosmilia magna Fr. Leth. Bruntr. p. 358, Pl. 54, Fig. 11. — 1884. Thecosmilia magna Kosy. Polyp. Jurass. p. 166, Pl. 44, Fig. 1, 2, 3). Diese Varietät liegt ebenfalls von Stramberg vor. Querschnitt der Aeste rund, aber von grösserem Durchmesser (im Maxi- mum 20 mm, meist 17”—1S mm). Die einzelnen Aeste zweigen unter einem grösseren Winkel von einander ab, häufig wachsen von einem gemeinsamen Stamm zugleich mehrere in die Höhe und nehmen sehr rasch an Umfang zu. Die Zahl der Septen und Art der Epithek stimmt mit longimana überein. Bei einer Breite von 5 mm kommen 9 Rippen vor. Kogy gibt dieselbe Zahl von Rippen an, Erauuon hingegen spricht von 32 auf 10 mm Breite. Zahl der untersuchten Exemplare: Zahlreiche Bruchstücke. Fundorte: Stramberg, Kotzobenz, Stanislowitz, Wischlitz, Koniakau ; ausserdem Nattheim, Beiningen, Valfın, Bressancourt, Montagne de Courroux, Locle. Theeosmilia virgulina Er. sp. — Taf. XIV, Fig. 4, Aa. 1864. Calamophyllia virgulina Wr. Leth. Bruntrut p. 382, Pl. 54, Fie. 6. Koralle verzweigte Stöcke bildend, deren einzelne Aeste unter sehr kleinem Winkel von einander abzweigen und dann nahezu senkrecht in die Höhe wachsen. Querschnitt der Aeste kreisrund, seltener oval; die einzelnen Aeste berühren sich ab und zu, olme indess dadurch comprimirte Gestalt anzunehmen. Durchmesser der Aeste 7—8 mm. Septa fein, 4 complete Cyclen und eine geringe Zahl von Septen des 5. Cyclus sind entwickelt. Die Septen der ersten 3 Cyelen reichen bis zum Centrum und sind dicker als die damit alternirenden Septa. Costen sehr fein, gleich stark und granulirt. Epithek von mässiger Dicke mit ringförmigen Anschwellungen in Abständen von 1—2 mm. Allgemeine Bemerkungen: Die Zugehörigkeit der mir vorliegenden Exemplare zu Erauvon’s Art steht ausser allem Zweifel, obwohl die Be- schreibung und Abbildung Erauvon’s mangelhaft sind und obwohl seine Ab- Thecosmilia flabella, 207 bildung kein Epithek zeigt. Dass Erauvox’s Original wahrscheinlich Epithek besass, kann man indireet daraus schliessen, dass Erauvon diese Art mit einer früher von ihm beschriebenen, nämlich mit Th. connecta Er. vergleicht, welch letztere eine dicke Epithek besitzt (cf. Haut-Jura, p. 91). Einige Punkte aus der Beschreibung von Th. connecta seien hier nochmals angeführt: Aeste oval, unregelmässig, „soudes dans presque toute leur etendue,“ Epithek dick, Zahl der Septen 50—60, Rippen stark, Kelchdurchmesser S—9 mm. Beim Vergleich der beiden Arten bemerkt Eraunvon, dass bei Th. comnecta „les polypierites sont unis sur une grande hauteur.* Ausserdem seien noch die starken Rippen und der ausgesprochene elliptische oder unregelmässige Querschnitt der Aeste hervorgehoben. Th. connecta ist eine Form, die theilweise mehr nach dem Typus von Lithodendron laeve Mıc#. gebaut ist und welche zur selben Gruppe, wie auch die beiden vorgehenden, nämlich Th. Koniakensis und Th. longimana gehört, während 7h. virgulina, obwohl es ähnliche, wenn auch feinere Epithek wie diese besitzt, sich mehr zu jener Gruppe von Thecosmilien nähert, als deren Typus ich die bekannte Thecosmilia (Oalamophylkia) flabellum Buaınv. betrachte. Es ist indessen sicher, dass wir in den beiden Formen, die ich als Typus angeführt habe, nämlich in Lithodendron laeve MicH. sp. und Lithoden- dron flabellum Mıc#. echte Thecosmilien vor uns haben. (Siehe Epw. und Hame |Compt. rend. de l’acad. des Se. Taf. 27, p. 465—1848] Bemerkungen über das Genus Thecosmilia.) Einerseits haben wir an Lith. laeve Mıcn. sp. und den nahestehenden Arten äussere Merkmale. die früher für die Gattung Oladophyllia typisch gehalten wurden, andererseits an Lith. flabellum und den verwandten Arten, solche typisch für das ehemalige Genus Calamophyllia. Zahl der untersuchten Exemplare: zahlreiche Bruchstücke. Fundorte: Stramberg, Ignatziberg; ausserdem Croix-dessus (Hypo- virgulien). Theeosmilia flabella Braınv. sp. var. compacta Kor. — 1 DAN er 3, Wer DD. 1830. Calamophyllia compacta Braısv. Dict. des Sc. nat., Taf. 60, p. 312. 1330. 5; striata (pars) Braıv. Diet. des Sc. nat., Taf. 60, p. 312, Pl. 52, Fig. 4. 1843. Lithodendron flabellum Mıcu. Icon. Zooph. p. 94, Pl. 21, Fig. 4. 1849. Calamophyllia flabella (paxs) Evw. u. Haımr. Ann. des Sc. Nat., Taf. X, p. 262, 1850. Eunomia flabella w’Orr. Pr. II. p. 32. 1357. Calamophyllia striata (pars) Epw. u. Hammer. Corall. II, p. 345. 1857. a 4 (pars) Fros. Introd. p. 136. 1864. Rhabdophylüia flabella Tuurmann u. Eratvox. Leth. Bruntr. p. 386, P1.54, Fig. 2. 208 Die Korallen der Stramberger Schichten. 1880. Lithodendron Rauracum Qurnstm. DPetrefactenkunde, Taf. VI, p. 722, Pl. 171, Fig. 18. 1889. Calamophyllia flabellum var. compacta Kosy. Polyp. Jur. p. 182, Pl. 53, Fig. 1, 4u.5 Korallenstock ästig, Aeste sehr nahestehend und sich theilweise be- rührend. Querschnitt der Aeste annähernd kreisförnig, Durchmesser der- selben S—10 mm. Die Septen sind sehr fein, 48—56 an Zahl, wovon die der ersten zwei Cyclen bis zum Centrum reichen und ein falsches Säulchen bilden. Die Costen sind fein, gleichmässig entwickelt. Auf 5 mm Breite kommen 20. Traversen in den peripheren Theilen des Kelches häufige. Epithek sehr dünn mit schwachen Andeutungen epithekaler Anschwellungen. Dieser weit verbreiteten und gut bekannten Art steht Calamophylkia Mentonensis MEnEGH. sp. von Mentone (p’Aca. Cor. Giur. p. 34, Taf. 18, Fig. 2) sehr nahe. Die mir vorliegenden Exemplare von Stramberg stimmen nur mit der einen Varietät compacta von Kor überein. Zahl der untersuchten Exemplare: 5. Vorkommen: Chlebowiz, Iskritschin; ausserdem Soyhieres, Caquerelle, Locle, Bressancourt, Haut-de-Coeuve und zahlreiche andere Fundpunkte. Theeosmilia flabella Bramv. sp. var. erassa Kopy. 1850. Calamophyllia striata (pars) Bramv. Diet. des Sc. nat. Taf. 60, Fig. 312. 1849. 5 flabella (pars) Ev. u. H. Ann. Se. nat. Taf. XI, p. 26, 262. 1350. ” strangulata v’OrB. Prodr. II, p. 31. 1857. he Ep. u. H. Corall. I, p. 347. 1858. » striata (pars) Ev. u. H. Corall. II, p. 345. 1858—59. Rhabdophyllia undata Eraurox (non Epw. u. H.). Haut-Jura p. 87. 1858—61. Al Valfinensis From. Introd. p. 138. 1864. > strangulata Brauuon. Leth. Bruntr. p. 381, Pl.54, F.3. 1881— 88. Calamophyllia flabellum, var. crassa Kopy. Pol, Jur. p. 182, Pl. LIV, Fig. 1. Diese Varietät unterscheidet sich von der vorhergehenden lediglich durch grössere Dimensionen der Aeste. Durchmesser der Aeste 10—12 mm, Septen zahlreich, 70—80, von denen die der zwei ersten Cyclen bis zum Kelchcentrum reichen. Von den Costen kommen 8 auf 5 mm Breite, sie sind alle gleichmässig dick. Rhabdophyllia Edwardsii Mıc#. (Icon. p. 96, Pl. 21, Fig. 2) unterscheidet sich von dieser Varietät nur durch die geringere Zahl der Septen und durch das Fehlen von epithekalen Anschwellungen. Nach »’Aca. (Cor. Giur. p. 51) kommt die Rhabdophyllia Edwardsiüi auch am Mte, Cavallo vor. Zahl der untersuchten Exemplare: 3. Vorkommen: Kotzobenz, Stramberg; ausserdem Valfın, Caquerelle, Bressancourt etc. Thecosmila. 209 Thecosmilia irregularis Er. — Taf. XIV, Fig. 6, 6a. 1864. Thecosmilia irreqularis Eratvox. Leth. Bruntr. p. 384, Pl. 54, Fig. 9. 1878. en ” STRUcCKMARN. Der Jura der Umg. von Hannover, p. 26. non Th. irregularis Duscan. (aus dem unt. Lias). non, rn Lavse. (aus der Trias v. St. Cassian.) Fauna v. St. Cassian, p. 37, Taf. VI, Fig. 6. Koralle niedere unregelmässig verästelte Stöcke bildend. Die Abzweigungs- Stellen der einzelnen Aeste liegen in kurzen Abständen übereinander. Quer- schnitt der Kelche rundlich oder elliptisch, Kelchdurchmesser gewöhnlich 10 mm. Septa wohl entwickelt. Die der ersten 2 Cyclen reichen bis zum Kelcheentrum, jene des 3. und 4. Cyclus sind wenig kürzer, die des 5. Cyclus selten vollständig entwickelt. Traversen spärlich. Mauer dünn, Costen dick und von gleicher Stärke, auf die Breite von 5 mm kommen 9. Epithek liess sich nicht beobachten. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich von den nächstverwandten durch die grosse Unregelmässigkeit des Wachsthums und geringe Höhe des Stockes. Selbsttheilung in 2 Kelche ist sehr gewöhnlich, häufig entstehen aber auch 3 Kelche zugleich durch Theilung. Dies ist eine der wenigen Arten, die STRUCKMAnN aus dem oberen Jura von Hannover anführt. Sie kommt sehr häufig am Tönjesberg in der Zone des Pferoceras Oceani vor, die nach Srruckmann dem Nattheimer Coralrag entspricht. Zahl der untersuchten Exemplare: 3. Vorkommen: Koniakau, Ustron (Minch-Feld); ausserdem Vieille-Route, Essert-Tainie, Tönjesberg. Theeosmilia Volzi" OgıLvızr. — Taf. XIV, Fig. 7, 7a, 8. Korallenstock ästig, Querschnitt der Aeste cylindrisch. Durchmesser 18—25 mm. An der Theilungsstelle zweier Aeste biegen dieselben unter grossem Winkel von einander ab, und während der eine in die Höhe wächst, bleibt der andere kurz. Septa, 120—140 an Zahl, an Stärke alternirend. Die der ersten zwei Cyelen reichen bis zum Kelchcentrum, jene des 3. 4. und 5. successiv kürzer, ausserdem sind noch eine Anzahl Septen des sechsten Cyelus vorhanden. Säulchen fehlt. Traversen fein und zahlreich. Epithek ziemlich dick, aus feinen concentrischen Streifen bestehend, Costen fein, an Stärke etwas alternirend, mit gezähnelten Rändern. Auf der Breite von 5 mm kommen 7—S vor. Allgemeine Bemerkungen: In Fig. 8 ist eine Bruchfläche abgebildet, die schief durch einen Ast verläuft. 7%. Volzi zeigt auffallende Aehnlich- * Diese Art wird nach Herrn Dr. Vorz, Assistent am pal. Institut der kgl. Uni- versität Breslau, genannt. Palaeontologische Mittheilungen, Band 3. 14 210 Die Korallen der Stramberger Schichten. keit mit Th. annularis FLemıss und unterscheidet sich von ihr hauptsäch- lich durch Feinheit der Septen, ihre grössere Zahl und andere Anordnung. Die eigenthümliche Art des Wachsthums haben beide gemein und unter- scheiden sich dadurch sowohl von der Gruppe der 7. laevis und der Th. /labellum als auch von der im Folgenden besprochenen 7h. suevica und tricho- foma. Von den Abbildungen, welche Kory von 7h. annularis giebt, zeigt die eine aus dem Astartien von Bressancourt (Pl. 57, Fig. 7) grosse Aehn- lickeit mit der Stramberger Form. Kosy selbst sagt darüber; „Les individus du Terr. & ch. silic. sont plus forts et plus eleves que ceux du Corallien et de l’Astartien, qui ne sont composes que de quelques branches. On pourait peut-etre eriger ces derniers en nouvelle espece.“ p’Acmıarpr (Cor. Giur. p. 7) giebt von Mte. Pastello eine „Zhecosmilia annularis?“ an, von der er selbst bemerkt, dass sie kleinere Dimensionen zeige als die Th. annularis. Thecosmilia Volzi hat ausserdem grosse Aehnlichkeit mit Zhecosmilia Bwvignieri MicH. sp., unterscheidet sich aber von ihr durch die grösseren Kelche und zahlreicheren Septen. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Vorkommen: Mittel Bludowitz (Stramberg), Ignatziberg. Thecosmilia trichotoma GoDr. sp. 1826—33. Lithodendron trichotomum Gowpr. Petr. Germ. Taf. I, p.45 Taf. 13, Fig. 6. 1836. n Rormer. Verst. des nordd. Ool. Geb. p. 19. Taf. I, Fig. 9. 1848. Cladocora trichotoma Broxs. Ind. palaeont. p. 304. 1549. Thecosmilia e En. u. H. Ann. sc. nat. 3. ser. Taf. X, p. 270. 1350. a ” vD’ÖRE. Prodr. de Palaeont. Taf. I, p. 385. 1851. en Ep. u. H. Polyp. foss. des terr. palaeoz. p. 77. 1852. Ro den don trichotomum Quexsr. Handb. d. Petref. 1. Aufl. p. 653 (2. Aufl. p. 784. 1867). 1857. Thecosmilia trichotoma Ep u. H. Corall. Taf. II, p. 356. 1858. Lithodendron trichotomum QuEnsT. Jura. p. 710, Taf. 86, Fig. 13. 1858—61. Thecosmilia trichotoma From. Intr. p. 142. 1864. R h 5 Corall. des env. de Gray. p. 15. 1861--64. ” 5 Turm. u. Er. Leth.Brunt. p.386, Taf. 55, Fig.2. 1367. R 2 Börsche. Korall. d. nordd. Jura u. Kr. Geb. p. 11. 1878. s . StruckMAnN. Ob. Jura d Umgeg. v.Hannov. p.26. 1881. » en Quesstepr. Röhren. und Sternkorallen p. 690. Taf. 170, Fig. 1—13. 1887. h ” SotLomko. Jura u. Kreide-Kor. der Krim. p. 79. 1881 —89. n " Kosgy. Polyp. Jur. p. 168, Pl. 45, Fig. 1, 2. Korallenstock ästig; van einem kurzen Stumpf zweigen nahezu in der- selben Höhe zwei oder mehrere kurze Aeste ab. Kelche rundlich oder ellip- T'heeosmilia. 211 tisch, 12—20 mm im Durchmesser mit tiefer Fossula und abgerundetem Kelch- rand. In einem Kelche, der 12:14 mm im Durchmesser hat, sind 72 Septen vorhanden, in grösseren Kelchen verhältnissmässig mehr. (Es sind 4 Cyelen von Septen und ein unvollkommener fünfter entwickelt). Die Septen alter- niren an Dicke, die der ersten zwei Cyclen reichen bis zum Kelcheentrum. Costen alle von gleicher Stärke, auf die Breite von 5 mm kommen 10. Ein concentrisch gestreiftes Epithek ist vorhanden. Allgemeine Bemerkungen: Zhecosmilia trichotoma Gor. sp. ist die typische Art für die Gattung T’hecosmilia E. u. H. und zwar basirten sie ihre Diagnose auf Exemplare von Nattheim und Giengen. Th. trichotoma unterscheidet sich durch die Art ihres Wachsthums wesentlich von den bisher betrachteten. Die Gruppe der trichotoma bildet in Bezug auf den Habitus ein Bindeglied zwischen solchen langästigen Formen, wie sie die Gruppe der 7’. laevis bilden und solchen Formen, wie Z’'h. suevica, bei denen die Aeste überhaupt nicht frei werden. Zahl der untersuchten Stücke: 3. Vorkommen: Koniakau und Stramberg; ausserdem Nattheim, Beiningen, Linden b. Hannover, Caquerelle, Soyhieres, Champlitte, Krim etc. Theeosmilia Moraviensis Osınvır. — Taf. XIV, Fig. 12. Koralle niedrige breite Stöcke bildend, die aus mehreren Kelchgruppen bestehen. Die einzelnen Individuen einer Gruppe berühren sich nur im cen- tralen Theil ihrer ganzen Höhe nach. Im peripheren Theil bildet jeder einzelne Kelch einen lappenförmigen Ausläufer. Der Querschnitt der Kelche ist unregelmässig rundlich oder elliptisch. Der Durchmesser derselben be- trägt 16—20 mm. Die Zahl der Septen beträgt etwa 80. Dieselben sind von alternirender Dicke. Die der 2 ersten Cyclen reichen bis zum Centrum, wo sie sich knopfförmig verdicken. Traversen zahlreich, fein. Allgemeine Bemerkungen: Die Stöcke sind in ihrem Habitus von allen bis jetzt beschriebenen Thecosmilien verschieden. Diese Art hat noch bei weitem mehr lappige Ausläufer als die Z7’hecosmilia suevica, und in den verschiedenen Kelchgruppen sind die Berührungsstellen der einzelnen Kelche viel begrenzter und schmäler. Dadurch dass der Stock sich aus derartigen verschiedenen Kelchgruppen zusammensetzt, gewinnt er auch eine viel grössere Ausdehnung in horizontaler Richtung als Z’h. suevica. Da mir nur der in Gestein eingeschlossene Theil eines grösseren Stockes vorlag, konnte ich über die Beschaffenheit der Mauer und der Epithek keine weiteren Beobachtungen machen. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Vorkommen: Ienatziberg. 14* 212 Die Korallen der Stramberger Schichten. Theeosmilia Langi Kopy. 1884. Thecosmilia Langi Kory. Polyp. Jurass. p. 161. Pl. 49, Fig. 1—9, Von dieser Form liegt mir nur ein kurzes 35 mm hohes Exemplar von Stramberg vor. Dasselbe hat am unteren Ende 20 mm im Durchmesser und theilt sich weiter oben in 2 Aeste, die nicht vollkommen frei werden und die kurz bleiben. Die Aeste haben 20 resp. 16 mm im Durchmesser. Die Septen sind ungleich dick, ungefähr 60 an Zahl. Die Rippen sind stark, an Dicke alternirend, und gezähnelt; auf die Breite von 5 mm kommen unge- fähr 7. Traversen sind häufig. Allgemeine Bemerkungen: Am nächsten steht 7’h. costata From. hinsichtlich Zahl und Anordnung der Septen und Costen, doch wächst diese Form höher und die Aeste werden vollkommen frei. Während 7%. Langi mehr den Habitus von 7’h. suevica QUENST. sp. zeigt, gehört 7’. costata mehr in die Gruppe der Z’h. trichotoma. Thecosmilia sueviea Quenst. sp. — Taf. XIV, Fig. 9, 10, 10a, 11. ?1840—47. Lobophyllia meandrinoides Mıcn. Icon. p. 93, pl. 19, Fig. 3. 1843. Astraea confluens (uEnst. Flötzgeb. p. 464. 1852. 5 rn (ee Handb. d. Petref. 1. Aufl. p. 649. Taf. 57, Fig. 27. (non Taf. 58, Fig. 1). 1857. Ulophyllia ? meandrinoides Ev. und H. Corall. II. p. 380. 1858. Lobophyllia suevica Quenst. Jura. pp. 688, 708. 1859. Tlophyllia 2 meandrinoides Kıavz. Haut-Jura. p. 95. 1867. Lobophyllia suevica Quexst. Handb. d. Petref. 2. Aufl. p. 780, Taf. 74, Fig. 27. 1875—76. Thecosmilia suevica Breker. Natth. Kor. p. 153, Taf. 38, Fig. 6, 7, 8. 1881. Lithodendron quadrilobus Quexst. Röhr.- u. Sternkor. p. 702. Taf. 170, Fig. 23 u. 24. 1881. Lithodendron confluens und Lobophyllum suevieum Quexst. Röhren- und Sternkor. p. 660. Taf. 168, Fig. 11—14. Koralle mit kleiner Basis festgewachsen, im Allgemeinen niedere Stöcke von sehr unregelmässigem und wechselndem Querschnitt bildend. Sie sind gewöhnlich comprimirt und lappig. Bei dieser Art bleiben nach der Theilung die einzelnen Kelche in der gleichen Höhe und sind direct durch die Septen verbunden. Dadurch wurde QuEnstepr veranlasst einzeme Exemplare zu Thamnastraea confluens zu stellen. Unter den Stramberger Formen überwiegen hauptsächlich 4-lappige, seltener 5-lappige Formen. Der Abstand der Kelchcentren beträgt 10—12 mm. Die Septa alterniren an Dicke. 5 Cyelen sind vorhanden, hievon sind die der ersten beiden Cyelen gleich lang, die der übrigen respective kürzer, Traversen zahlreich und fem. Ein Säulchen ist nicht vorhanden, aber die Enden der Hauptsepten sind manchmal verdickt. Thecosmilia. 213 BECKER hat bereits «die verwandtschaftlichen Beziehungen dieser Art dargelegt. MicHELın hat eine Art aus dem Corallien von St. Mihiel als Zobophyllia meandrinoides beschrieben, die mit TR. suevica sehr grosse Aehnlichkeit hat. Dieselbe wurde später von MıLne EpwArnps und HAımz, allerdings mit einigem Zweifel zur recenten Gattung Ulophyllia gestellt. Erauvon führte sodann dieselbe Form unter dem gleichen Namen aus dem Corallien von St. Claude an, bemerkt jedoch, dass sie nicht recht zur Gattung Ulophyllia passe. Die recente Gattung Ulophyllia bildet grosse maeandroide Stöcke, deren Kelche in Reihen stehen, die von scharfen Rücken begrenzt sind. Die Septen sind stark ausgezackt und ein spongiöses Säulchen ist vorhanden. Die oben erwähnte Form aus dem Corallien von Frankreich zeigt kein einziges der oben angeführten Merkmale. Wahrscheinlich dürfte diese Art zu Th. suevica gestellt werden. Zahl der untersuchten Exemplare: 20. Vorkommen: Stramberg, Koniakau, Chlebowitz, Wischlitz; ausserdem Nattheim, Beiningen, Heidenheim, Oberstotzingen, St. Mihiel, St. Claude. Thecosmilia truncata Ocınvız. — Taf. XII, Fig. 16, 16a. Auf einer verhältnissmässig schmalen Basis erhebt sich ein massiver, klotziger Stock (ohne Aeste und Lappen). Obwohl die Koralle wegen der Confluenz der Septen und des Habitus des Stockes bis zu einem gewissen Grade an T’hamnastraea erinnert, so ist doch die Zugehörigkeit zu den Thamn- astraeiden ausgeschlossen, da die Traversen stark und regelmässig entwickelt sind und da Pseudosynaptikel fehlen. Dies liess sich in ausgezeichneter Weise beobachten, weil das mir vorliegende Exemplar zum Theil als Abdruck und Steinkern erhalten ist. In Folge dessen kann man auch die Septalstruetur sehr gut beurtheilen. Es zeigt sich, dass die Trabekel nach oben und innen auf der Septalfläche verlaufen, ferner dass sie gleichmässig stark und ihrer ganzen Länge nach eng mit einander verwachsen sind, so dass das Septum ganz compact ist. Auch die quer über die Septaltläche verlaufenden Wachs- thumscurven sind deutlich sichtbar. Wenn auch die Oberseite des Stückes nicht vollkommen intact war, so liess sich doch so viel beurtheilen, dass die Koralle weder grössere Aeste noch Lappen bildete. Dadurch unterscheidet es sich von den nächststehenden Thecosmilia-Arten, wie Th. suevica QuENST. sp., Th. grandis Kosy und Th. tithonica OcınvıE. Die Kelche sind sehr gross (25>—35 mm im Durchmesser). 214 Die Korallen der Stramberger Schichten. Septen zahlreich, an Stärke etwas alternivend, 120—130 an Zahl, von diesen reichen ca. 20 bis zum Kelchcentrum. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Hüttenwerk Baska bei Friedeck in Mähren. Gen, Rhabdophyllia E. und H. 1829. Caryophyllia (pars) Prıtrırs. Geol. of York. Taf. I, p. 126. 1843. Lithodendron (pars) Mıc#. Icon. zooph. p. 95. 1849. Calamophyllia (pars) M. Epw. u. J.H. Ann. Sc. nat. 3. ser. Taf. XI, p. 264. 1851. Rhabdophyllia M. Eopw. u. J. H. Pol. foss. terr. Pal. p. 83. 1857. 5 M. Eow. u. J. H. Hist. Nat. Cor. Taf. II, p. 438. 1858. 5; Erarı, Ray. du Haut-Jura. p. 87. 1853 — 60. = From. Introduction. p. 137. 1884. n (4 Aplophyllia »’Ore.) Duncan. Madreporaria. p. 80. 1881—89. n Kosr. Pol. Jur. p. 191. 1890. y p-p. (non Dermosmilia) Frecn. Triaskorallen. p. 7. Zusammengesetzte ästige oder buschige Stöcke. Septen stark, Die Mehrzahl bis zum grossen, schwammigen Säulchen reichend. Traversen un- regelmässig, Pseudothek gut ausgesprochen, Epithek vorhanden. Diese Gattung schliesst sich aufs engste an T’hecosmilia und speciell an den Typus der Th. clathrata an, unterscheidet sich aber von ihr nur durch das Vorhandensein des grossen, schwammigen Säulchen. Mit dem Vorkommen dieses Säulchens hängt dann auch die geringere Zahl und unregelmässigere Entwicklung der Traversen zusammen. Frec# hat (. cit. p. 7) auch die Kogr'sche Gattung Dermosmilia zu Rhabdophyllia gestellt, da sich nach seiner Meinung die Gattung Dermosmilia hinsichtlich der Art ihres Wachsthums zu Rhabdophyllia genau so verhält, wie Thecosmilia zu Calamophyllia. Ich kann dieser Vereinigung nicht zu- stimmen, da bereits Kopy hervorgehoben hat (cf. Pol. Jur. Pl. 129, Fig. 11, lla), dass sich Dermosmilia hinsichtlich der feineren Structur der Septen vollständig von Thecosmilia unterscheidet. Ich stelle Dermosmilia auf Grund der Anschauungen, die ich durch Untersuchungen über die Septalstructur gewonnen habe, zu den Eupsammiden und zwar in die Nähe der Gattungen Epistreptophyllum und Haplaraea. Rhabdophyllia disputabilis Becker sp. — Taf. XV, Fig. 1, 1a, 1b, le. 1826 —33. Lithodendron plicatum Gotwpr. Petref. Germaniae. Taf. XII, Fig. 5. 1850. Eunomia plicata v’ORE. (pars). Prodr. I, p. 385. 1857. Latimaeandra plicata (pars) Epw. u. H. Hist. nat. Cor. II. p. 544. 1858. Lithodendron plicatum (uensm. Jura. p. 711, Taf. 87, Fig. 1 (non Fig. 2). Rhabdophyllia. 215 1875. Calamophyllia disputabilis Becker. Natth. Kor. p. 151. 1881. Plicodendron plicatum rotundum Quest. Sternkor. p.721, Taf. 171, Fig. 16. 1831. s A sinuosum 5 5 R S Fig. 17. Koralle grosse ästige Stöcke bildend, deren einzelne Aeste unter sehr spitzem Winkel von einander abzweigen. Kelche rund, ungefähr T—8 mm. Septa fein, 60—70 an Zahl, von denen 24 bis zur Columella reichen. Es sind vier complete Cyclen von Septen vorhanden, der fünfte Cyelus ist ver- schiedenartig entwickelt. Das Säulchen ist stark entwickelt und maschieg. Traversen besonders häufig nahe der Peripherie. Die Costen sind gleich- mässig dick, 14—15 in 5 mm vorhanden. Epithek um jeden Ast entwickelt, stark und mit Einschnürungen bei Entfernungen von ungefähr 6 mm. Die hierher gehörigen, von BEcKEr beschriebenen Nattheimer Exemplare von dieser Art, sind im Münchener Museum aufbewahrt. Der Vergleich zwischen denselben und den Stramberger Exemplaren lassen keinen Zweifel, dass sie identisch sind; auch stimmen verschiedene als Z. plicata in der Literatur angegebenen Exemplare damit überein. Zahlder untersuchten Stücke: Sehr zahlreiche, oft grosse Bruchstücke. Fundorte: Stramberg, Chlebowiz; ausserdem: Nattheim ete. Rhabdophyllia eervina Er. — Taf. XV, Fig. 2, 2a. 1860. Thecosmilia cervina Br. Jura Graylois p. 18. 1864. Rhabdophyllia „ Tuurx. et Er. Leth. Bruntr. p. 380, pl. 54, Fig. 1. 1884, n „ Kosy. Polyp. Jur. p. 191, pl. 86, Fig. 3—7. Die Aeste der Stöcke zweigen unter grossem Winkel (ca. 60°) von einander ab, und die einzelnen Aeste sind oft leicht gebogen. Kelche rund, resp. elliptisch, ungefähr 5—7 mm. Septa fein, in vier Cyclen, von denen zwei stärkere das schwammige Säulchen erreichen; der vierte Cyelus ist nicht immer vollständig. Die Costen gleich gross zählen 12 in 5 mm. Traversen zahlreich und sehr fein; Epithek dünn. Die Mehrzahl der untersuchten Exemplare sind Abdrücke von Wischlitz, doch lassen dieselbe den ursprünglichen Bau der Koralle ganz gut feststellen. Zahlreiche Bruchstücke. Fundorte: Wischlitz, Skotschau, Iskritschin; ausserdem Ste. Ursanne, Caquerelle etc. Familie Fungidae Dana emend. ÖGILVviE. Einfache Korallen oder coloniebildende buschige, ästige, lappige oder massiv astraeoidische Stöcke; Kelche dureh Septen oder Pseudothek verbunden. Septen dicht oder porös, zahlreich, radiär angeordnet, aus lauter zusammen- 916 Die Korallen der Stramberger Schichten. gesetzten Trabekeln aufgebaut. Seitenflächen der Septen mit gut entwickelten Granulationen versehen, die auf den senkrecht zum Oberrand gerichteten Trabekeln angeordnet sind. Die Granulationen ein und derselben Septal- oberfläche verschmelzen häufig seitlich mit einander und bilden horizontale oder schräg gestellte Leisten. Die Granulationen resp. Leisten gegenüber- stehender Septen berühren sich und verschmelzen (Pseudosynaptikel) oder werden durch neue Calcificationscentren (ächte Synaptikel) verbunden. Tra- versen reichlich oder spärlich vorhanden, oder ganz fehlend. Die Vermehrung erfolgt durch marginale Knospung und durch Septalknospung: (Theilung). Die verwandtschaftlichen Beziehungen der Fungiden zu den Astraeiden und zu den Eupsammiden wurden bereits in einer früheren Arbeit (Phil. Trans. Roy. Soc. London 1896) erörtert. Ebenso wurde daselbst auf die muthmassliche Abstammung von den Cyathophylliden hingewiesen. Ich habe bei dieser Familie drei Subfamilien unterschieden: 1) die Thamnastraeinae = Pseudoastraeinae Prartz (zum grössten Theil), eine ausgestorbene Gruppe, die von der Trias bis zum Tertiär reichte und und ihre Blüthezeit im oberen Jura hatte, um darauf rasch abzuriehmen. Ich betrachte die Thammastraeinae nicht als die Vorläufer der Poritinae, wie es Prarz, NEUMAYR, FRECH und andere annehmen. 2) die Funginae, deren Hauptvertreter in der Gegenwart leben und deren erste sichere Vertreter in der Jura- und Kreidezeit vorkommen. Die Funginae haben in der Septalstructur viele Beziehungen zu den Astraeiden, unterscheiden sich aber von ihnen durch ihre Septalleisten und Synaptikeln, die indess nicht so regelmässig gebaut sind wie bei den Thamnastraeinen und Lophoserinen. Zu den Funginen rechne ich auch die recente Gattung Sider- astraea mit ihren Vorläufern Söderofungia und Thamnoseris. 3) die Zophoserinae, welche erst im Jura auftreten, in der Kreide rasch zunehmen und in der Jetztzeit eine sehr dominirende Stellung einnehmen. Diese Unterfamilie ist desshalb interessant, weil sie im feineren Bau der -Trabekeln zwar grosse Uebereinstimmung mit den Thamnastraeinen aufweist, andererseits aber in der Anordnung der Trabekel an Eupsammiden erinnert. Die jurassischen Vertreter dieser beiden letzten Unterfamilien zeigen noch grosse Uebereinstimmung mit den Zhamnastraeinae, während in späteren Zeiten beide nach bestimmten Richtungen modifizirt wurden. Subfamilie Thamnastraeinae Rruss em. Prarz. —= Pseudoastraeinae regulares (pars) Pranz. Einfache oder coloniebildende Korallen, deren Kelche mittelst ihrer confluenten Septen zusammenhängen. Septen aus continuirlichen und zu- Thamnastraeinae. 27, sammengesetzten Trabekeln bestehend, deren Querschnitt rundlich oder vier- eckig ist. In coloniebildenden Formen divergiren diese Trabekel da, wo zwei benachbarte Kelche zusammenstossen, und sind nach Innen gerichtet. Septen am Öberrand regelmässig gezackt. In einfachen Kelchen fällt die Lage der Divergenzstellen mit der Pseudotheka nahe am Kelchrand zusammen; die nach Innen aufsteigenden Trabekel bilden die Septen, die nach Aussen aufsteigen- den bilden den sogenannten costalen Theil derselben. Die einzelnen Trabekel- glieder in einem Wachsthumssegment des Septums berühren sich ursprünglich nur zum Theil. Dadurch sind dann in Reihen, parallel mit dem Septalrand angeordnete Lücken vorhanden. Entsprechend dem Verlauf der Trabekel kann man aber auch diese Lücken in Reihen, die senkrecht zum Septalrand stehen, verfolgen. Die Granulationen auf der Oberfläche jedes einzelnen Trabekelgliedes verschmelzen mit denen des Nachbarseptums und bilden so Pseudosynaptikel, ächte Synaptikel sind nicht vorhanden. Traversen blasig, immer vorhanden. Epithek gut entwickelt, gerunzelt. In einer früheren Arbeit (Phil. Trans. Roy. Soc. London 1596) habe ich bereits die Berechtigung dieses Namens für die Subfamilie. nachgewiesen und zugleich einige Bemer- kungen über die Nomenclatur gemacht. Prarz theilte seine Unterfamilie Pseudoastraeinae in regulares und irregulares ein, je nachdem die Trabekeln im Septum regelmässig oder ohne Regelmässigkeit angeordnet sind. Nach meinen Untersuchungen stelle ich die Gattungen, welche PrArz zu der Pseudo- astraeinae irregulares vechnete (es sind dies: Haplaraea, Diplaraea und Cosein- araea) zu den Eupsammiden. Ferner habe ich zwei Gattungen der Pseudoastraeinae regulares hievon entfernt. Die eine, Comoseris, stelle ich, wie dies schon Duncan gethan hat, zu den Lophoserinae, die andere, Thamnaraea, an welche Prarz die Poritinae anschloss, gehört nach meiner Ansicht, wegen der Art des Coenenchyms, zu den Madreporiden. Prartz hat die hieher gehörigen Korallen, die Pseudoastraeinae regulares, wie er sie nennt, wieder in zwei Gruppen geschieden. Die erste Gruppe umfasst diejenigen Formen, deren Septen „nicht immer und dann nur theilweise perforirt“ sind, da hier die ursprünglichen Lücken durch nach- trägliche Kalkablagerung grösstentheils ausgefüllt wurden (typisch hiefür sind: Oyelolites, Leptophyllia, T’hamnastraea); die zweite Gruppe umfasst dagegen solche Formen, bei denen die Septa „fein und regelmässig gegittert“ bleiben (typisch hiefür sind Zrocharaea und Microsolena). Beide Gruppen sind unter dem Stramberger Material reichlich vertreten und ich halte es mit Prarz für zweckmässig, die beiden Gruppen getrennt zu halten und zwar werde ich die erste Gruppe als Thamnastraeinae expletae und die zweite als T’hamnastraeinae cancellatae bezeichnen. 918 Die Korallen der Stramberger Schichten. I. Thamnastraeinae expletae OGILvir. Zwischenräume zwischen den einzelnen Trabekeln durch nachträglich sich ablagernde Kalksubstanz theilweise ausgefüllt. Septa in Folge dessen nicht immer, und dann nur theilweise perforirt. Leptophyllia Rıuss. 1849. Trochosmilia (pars) Epw. u. H. Ann. des Sc. nat. 3. ser. Taf. X, p. 243. 1849. Acrosmilia (pars) D’Ore. Notes sur les Polyp. toss. p. 5. 1850. „ r 7 Prod. t. I, p. 207. 1551. 5 h Cours &l&m. de pal6ont. t. II, p. 160. 1851. Trrochosmilia ae) Eow. u. H. Polyp. foss. des terr. pal. p. 45. 1852. Turbinolia (pars) Quenst. Handb. d. Petref. p. 655, Taf. 59, Fig. 22. 1854. Leptophyllia Reuss. Beitr. zur Charakt. der Kreide, p. 101. 1857. Drochoseris (pars) From. Polyp. foss. de Pet. neoc. p. 18. 1857. Leptophyllia Eow. u. H. Hist. nat. des Corall. II, p. 294. 1857. Montlivaltia (pars) Eow. u. H. Hist. nat. des Corall. I, p. 326. 1858. Leptophyllia From. Introd. p. 120. ' 1858. n Erate. Haut-Jura, p. 82. 1865. „ (pars) From. et Ferry. Pal. franc. terr. jur. p. 87. 1879. er Zırmer. Handb. d. Pal. p. 250. 1881. Turbinolia (pars) Quenst. Sternkor. p. 679, Taf. 169, Fig. 25. 1882. Leptophyllia Prarz. Verwandtschaftl. Beziehg. einiger Kor.-Gatt. Palaeont. Bd. 29, p. 90, pl. 1, Fig. 9. 1884. 5 Duncan. Madreporarian Genera, p. 166. 1850—89. „ Kosy. Polyp. Jur. p. 313, 555, 569, pl. 129, Fig. 17, 18, 19. Koralle einfach, conisch oder eylindro-conisch mit flachem Kelch. Septen zahlreich, fein, am Oberrand regelmässig gezackt, auf den Seitenflächen senkrecht zum Septalrand verlaufende Reihen von Granulationen, die Pseudo- synaptikel bilden. Septen nicht immer und dann nur theilweise perforirt. Traversen dünn, zahlreich, blasig, gegen die Peripherie zu stärker und mit den Septen eine Pseudotheka bildend. Die Costalenden der Septen fein ge- zackt. Dünne Epithek vorhanden. Leptophyllia eyclolites Quasst. Sp. 1852. Turbinolia cyclolites Quenst. Handb. d. Petref. p. 655, Taf. 59, Fig. 22, 1857. Montlivaltia „ M. Eow. u. H. Corall. Bd. II, p. 326. 1881. Turbinolia n Quexst. Sternkor. p. 679, Taf. 169, Fig. 25. 1889. Leptophyllia cupulata Kosy. Polyp. jur. p. 318, pl. XC, Fig. 25. Koralle kurz, conisch gefaltet. Kelch fast kreisförmig, wenig tief, Durchmesser 35 mm. Septen sehr zahlreich, regelmässig gezackt, 24 er- reichen das Centrum, ein vierter Öyclus beinahe, der fünfte wenig kürzer, Thamnastraea, 219 der sechste unvollständig entwickelt. Im Ganzen sind 150—180 Septen vor- handen. Die Costalenden der Septen sind gleichmässig dick, 13 kommen auf 5 mm. Epithekalringe sind vorhanden. Allgemeine Bemerkungen: Z. cyelolites unterscheidet sich von L. Thurmanni durch feinere Septen und hervortretendere Synaptikel. Die Abbildungen von QuEnsTEDT stimmen, was Septalbau und Synaptikel betrifit, überein. Da auch die Form der Koralle sehr ähnlich ist, habe ich sie mit Kosr'’s Art vereinigt. Zwei von den von mir untersuchten Exemplaren sind vollkommene Abdrücke, das dritte ein sehr gut erhaltenes Exemplar; daher war es leicht die für L. eyelolites charakteristische Structur festzustellen. Zahl der untersuchten Exemplare: 3. Fundorte: Bobrek; ausserdem: Nattheim, Hofbergle. Leptophyllia Thurmanni Kogy. — Taf. XI, Fig. 10, 10a. 1864. Leptophyllio depressa (pars) Tuurm. & Er. Leth. Bruntr. p. 376, pl. 53, Fig. 1. 1881—89. , Thurmanni Kogy. Polyp. jur. p. 317, pl. 91, Fig. 15—28. Koralle conisch, mit enger, gerade oder schief gestellter Basis. Kelch sehr seicht, mit klemen Gruben. Die zwei untersuchten Exemplare haben folgende Grössenverhältnisse: 1) Höhe 15 mm. Kelchdurchmesser 24 mm. On ame, n 20 5 Die Septenzahl beträgt 150—180. Drei Cyclen erreichen das Centrum, der vierte sehr wenig kürzer, die übrigen Septen kaum als Cyelen zu bezeichnen. Die Costalenden der Septen gleich dick, auf 5 mm kommen 13—14. Die Epithek ist gut entwickelt, mit concentrischen Ringen. Allgemeine Bemerkungen: Kopry hat mit Recht Z. depressa Er. in zwei Arten getheilt, nämlich Z. intermedia Kogy und L. Thurmanni Kopy, und ausserdem noch einige Exemplare mit Z. Fromenteli vereinigt. L. Thur- mannı unterscheidet sich von den anderen genannten Arten durch die ge- ringere Grösse der Koralle und ihre gröberen Septen. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, Soyhieres, St.-Ursanne. Thamnastraea Iusauvase em. PrRATZ. 1823. Thamnastraea LvsauvAcr. Mem. de la Soc. d’Hist. nat. T. I, p. 243. 1326. Agarieia (pars) und Astraea (pars) GoLpor. Petref. Germ. T. I, p. 43, 66. 1850 Siderastraea (pars) Braınv. Dict. des Sc. nat. T. 60, p. 336. 1832. Thamnastraea LesauvaGe. Ann. des sc nat. 1. ser. T. 26, p. 328. 1548, R und Synastraea Epw. u. H. Compt. Rend. de !’Acad. des sc. T. 27, p. 495. Die Korallen der Stramberger Schichten. [S) [5°] (>) 1849. Dactylocoenia, Centrastraea u. Polyphyllastraea vD’OrB. Note sur les polyp. foss. p. 7, 9, 10. 1850. Dactylocoenia, Centrastraea u. Polyphyllastraea v’ Org. Prodr. II, p. 216. 1851. Thamnastraea Epw. u. H. Polyp. foss. des terr. palaeoz. p. 108. 1857. Ras), Histeonatz desCoralliT. TI, p%90D- 1857. n Pıcrer. Traite de Paleont. T. IV, p. 416. 1858. & From. Introd. p. 211. 1858. 5 Erarı. Haut-Jura, p. 113. 1862. n From. Monogr. des Pol. jur. sup. p. 43. 1864. Confusastraea (pars) u. Pirrastraea Reuss. Anthoz. der Kössener Schichten, p- 10 und 11. 1875—76. Thamnastraea BEckER u. MırascH. Kor. der Natthı. Schicht. Palaeont. Bd. 21, p. 168, 218. 1879. Thamnastraea Zırnmer. Handb. der Pal. T. I, p. 245. 1882, 5; Prarz. Verwandtsch. Beziehung. einiger Kor.-Gatt. Palaeont. Bd. 29, p. 92, pl. XIV, Fig. 10—12. 1884. cn Duncan. Madrep. Genera, p. 136. 1886. Synastraca From. Paleont. franc. terr. ceret. p. 595. 1880—89. Thamnastraea Kosy. Polyp. jur. p. 353, 556, 568, Pl. 130, Fig. 3. 1890. n (pars) Frech. Triaskor., Palaeont. Bd. XXXVL, p. 60. Zusammengesetzte Stöcke, subconisch, mit flacher oder convexer Ober- seite oder unregelmässig knollig. Kelche auf der Stockoberfläche unregel- mässig vertheilt, mit flacher Kelehgrube; benachbarte Kelche durch confluente Septen verbunden. Septen am Oberrand regelmässig gezackt, auf den Seiten- flächen senkrecht zum Septalrand verlaufende Reihen von Granulationen, die mit denen der benachbarten Septen Pseudosyhaptikel bilden. Septen nicht immer und dann nur theilweise perforirt. Papillöses Säulchen vorhanden. Traversen fein, wenig entwickelt. Pseudotheka schwach entwickelt, haupt- sächlich durch die Divergenzpunkte der aufsteigenden Trabekel angedeutet. Unterseite des Stockes mit Epithek versehen. Thamnastraea confluens QuExst. sp. Tat 1X, Bier 1, 1a, 1b, lc. 1852. Astraea confluens QuEnstepr. Petrefactenkunde, p. 649, Taf. 58, Fig. 1. 1881. n 5 „ Röhr.- u. Sternkorallen, p. 802—806, Taf. 174, Fig. 20—24. 1885. 2 Petrefactenk. (3. Aufl.), p.1004, Taf. S1, Fig. 13. 1826. Metmasa nn Gouor. Petref. Germ. Taf. 22, Fig. 5. 1836. e is Mırne EpwAros. Annot. de la 2° ed. pe Lamarck, T. II, p. 422. non x 1852. > -i Quensteor. Petrefactenk., p. 649, Taf. 57, Fig. 27. 1858. & 2 er Jura, p. 706, Taf. 86, Fig. 4. 1885. A 5 ” Petrefaetenkunde (3. Auflage), p. 1004, Taf. 81, Fig. 12, T'hamnastraea. } 221 Korallenstock massiv, meistens breite, plattenförmige Massen bildend. Die Kelche wechseln an Grösse von 10—15 mm im Durchmesser. Es sind 32—40 Septen vorhanden, von welchen die der ersten drei Cyelen gleich stark sind. 10—12 Septa reichen bis zum Kelcheentrum und mit diesen alterniren die kürzeren des dritten Cyelus. Ein unvollständiger vierter Cyclus von dünneren und noch kürzeren Septen ist in allen Kelchen, mit Ausnahme der kleinsten, vorhanden. Der Oberrand der Septen ist mit dicken gerundeten Zähnchen versehen. Auf einer Breite von 5 mm kommen 12—14 Septocosten von alternirender Stärke vor. Die Traversen sind stark entwickelt und bilden dicht übereinanderstehende regelmässige nach oben gekrümmte Scheidewände, die zwischen den Septen von der Mauer bis zum Kelchcentrum verlaufen. Allgemeine Bemerkungen: Wohl selten wird sich eine so günstige Gelegenheit wieder finden, um die feinere Structur der Septen bei Korallen aus der Jurazeit zu studiren, als dies bei den mir vorliegenden Stramberger Exemplaren der Fall ist. Dieselben kommen in den verschiedensten Arten der Fossilisation vor, und namentlich gestatten einige Steinkerne von Wisch- litz genaueren Einblick in den Bau der Septen. Bei diesen Exemplaren lässt sich der trabekuläre Bau des Thamnastraeiden-Septums, wie er bereits von Prarz beobachtet wurde, in untrüglicher Weise erkennen. An einzelnen Stellen sind nämlich nur noch die Trabekeln vorhanden, während die intra- trabekuläre Kalkausscheidung bereits wieder aufgelöst worden ist. Bei einigen anderen Exemplaren, wo der Zwischenraum zwischen den einzelnen Septen vollkommen ausgefüllt worden ist, lassen sich die ursprünglichen Traversen noch als feine bogenförmige Lamellen zwischen dem später zwischen ihnen ausgeschiedenen Kalk erkennen. Die Trabekeln verlaufen nicht in vollkommen paralleler Richtung mit dem Oberrand der Septen, sondern steigen von der Richtung an, wo zwei Kelche sich berühren, bogenförmig nach oben und aussen. Dass eine Columella nicht vorhanden ist, lässt sich mit Sicherheit feststellen. Durch die beträchtliche Grösse der Kelche und durch die geringe Zahl der Septen, sowie deren alternirende Dieke unterscheidet sich diese Art sofort von den ihr nahestehenden Arten. QuUENSTEDT hat unter dem Namen Astraea confluens Formen zusammen- gefasst, die zu verschiedenen Gattungen gehören, von welchen aber keine mit dem von GoLpruss unter diesem Namen beschriebenen und abgebildeten Original übereinstimmt. Die Gospruss’sche Art wurde auch bereits von Miıtne Epwarps und HaımE zum Genus Latimaeandra gestellt (cf. Hist. nat. Cor. Vol. U, p. 544, Latim. plicata). Von den zwei Exemplaren, die Qurx- stept abbildet, gehört eines zu T’hecosmilia suevica, während das andere eine ächte Zhanmastraea ist, welche aber, soweit mir bekannt ist, bis jetzt von niemand anders als Quexsteort beschrieben wurde. Für diese Art halte ich desshalb den Namen Thamnastraea confluens QUENSTEDT Sp. aufrecht. [6] [8e] D&D Die Korallen der Stramberger Schichten. Eine Art, die grosse Aehnlichkeit mit Z’h. confluens hat, ist die von BECKER als T’hamnastraea ? seriata beschriebene (Natth. Korallen, p. 174, Taf. XL, Fig. 11). Die Dimensionen sind bei dieser aber etwas kleiner als bei Z’h. confluens. An dem einzigen Stück, das Breker vorlag, war an einigen Stellen eine reihenförmige Anordnung der Kelche zu beobachten, da jedoch ein Centralkelch nicht vorhanden war, stellte er diese Art lieber zum Genus Thamnastraea als zu Dimorphastraea. Auch bei dieser Art sind die Septocosten von alternirender Dicke. Die Kelcheentren haben einen Ab- stand von 6—5 mm. Es wäre möglich, dass die Beeker’sche Art nur der äussere Theil eines grösseren Stockes von 7%. confluens ist, die ja QuUENSTEDT auch von Nattheim anführt. Bei einigen der Stramberger Exemplare liess sich übrigens ab und zu ebenfalls eine reihenförmige Anordnung der Kelche beobachten. Thamnastraea confluens hat am meisten gemein mit der zweiten Thamnastraea-Gruppe Kogr's (ef. die einleitenden Bemerkungen über Thamn- astraea) und besonders mit T’hamnastraea Lomontiana Er. Diese Art hat indess nur Kelche von 4—5 mm im Durchmesser, auch ist der Korallenstock von geringerer Grösse. Zahl der untersuchten Exemplare: 12. Fundorte: Stramberg, Wischlitz, Ignatziberg; ausserdem: Nattheim, Hochsträss, Beiningen, Sirchingen. Thamnastraea oculata Kosy. — Taf. IX, Fig. 2, 2a. 1887. Thamnastraea oculata Kopy. Polyp. Jur. p. 359, pl. 96, Fig. 7. Der Korallenstock bildet flach ausgebreitete Massen. Die Kelche stehen in unregelmässigen Abständen von einander, zuweilen ist auch eine Tendenz zu reihenförmiger Anordnung vorhanden. Wenn sie m Reihen angeordnet sind, haben die Kelche derselben Reihe 5 mm Abstand, während die zwei benachbarte Reihen 4 mm Abstand haben. Die grössten Kelche haben einen Durchmesser von ungefähr 6 mm. Es sind im Ganzen etwa 36—40 Septo- costen vorhanden, von denen etwa 14—18 bis zum Kelchcentrum reichen. Zwischen den einzelnen Kelchen ist die Oberfläche des Stockes convex nach oben gekrümmt. Die Fossula ist tief und bei besser erhaltenen Kelchen lässt sich eine falsche Columella beobachten, welche von den Enden der Septa gebildet wird. Die Septa variren nur wenig in ihrer Stärke. Synaptikeln und Traversen sind sehr fein. Die Unterseite des Stockes ist von dünnem, wellig gebogenem Epithek bedeckt. Die Costen sind von gleicher Stärke und stark granulirt. Auf die Breite von 5 mm kommen 22—23. Allgemeine Bemerkungen: Die vorliegenden Exemplare sind gut erhalten. Wenn diese Art auch mit der im mittleren Jura weit verbreiteten 'Thamnastraea. 223 Th. arachnoides PARKınson sehr grosse Aehnlichkeit hat, so lässt sie sich doch durch die bereits von Kogy angegebenen Merkmale leicht davon unter- scheiden, von welchen die geringere Kelchgrösse und die grössere Zahl feiner und gleichmässig entwickelter Costen die wichtigsten sind. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, Montrusselin (Cor. blanc). Thamnastraea gibbosa Becker. — Taf. IX, Fie. 3, 3a. non 1858— 61. Thamnastraea (Centrastraea) gibbosa From. Introd. p. 21 1875. Thamnastraea gibbosa BECKER. Natth. Kor. p. 170, Taf. XL, Fig. 3 1884. er 5 Tomes. Oolitie Madrep. of the Boulonnais. Q. J. Geol. Soc. November 1884. p. 121. 8. Korallenstock flach, unregelmässig, Knollig, auf Fremdkörpern festge- wachsen, aber an den freien Stellen mit starkem Epithek versehen. Kelche klein (2'/),—5 mm im Durchmesser). Septen stark und gleichmässig ent- wickelt. Es sind 14—15S, meist 16 Septocosten von gleicher Stärke vorhanden. 8—10 Septa reichen bis zur Columella. Columella hervorragend, zuweilen rund, meist griffelförmig. Die Pseudosynaptikeln sind dünn und nicht sehr häufig. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art wurde von MiLAScHEWwITZ zu Astraeomorpha gestellt (cf. Natth. Korallen, p. 222), später aber wieder von PrAatz in Anbetracht der feineren Structurverhältnisse zum Genus Zhamn- astraea zurückversetzt (cf. Prarz. Palaeontographica, Bd. 29, p. 103—104). Die geringe Zahl der Costalsepten und die hervorragende Columella lassen diese Art gut von den nahestehenden Formen mit kleinen Kelchen unter- scheiden. Am meisten Aehnlichkeit hat sie mit Thamnastraea Bourgeati Kopx (Pterocerien coralligene). Die Kelche der Kogr'schen Art sind indess klemer (2—2'/z mm im Durchmesser), die Septa zahlreicher (16—22) und der Stock der Koralle bildet kleine kugelige Massen. Thammastraea Coquandi Eır., von welcher Art mir Exemplare aus der Münchener palaeontologischen Sammlung zum Vergleiche vorlagen, steht ZT’h. gebbosa ebenfalls nahe, unterscheidet sich aber durch grössere Kelche (3—3'/z mm im Durchmesser) und zahlreichere Septen. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundort: Stramberg; ausserdem: Giengen, Houllefort (Boulonnais). Thamnastraea globosa OcıLvır. — Taf. IX, Fig. 4, 4a, 4b. Korallenstock klein, kugelig, 25>—2S mm im Durchmesser. Die Kelche sind seicht, mit flacher centraler Fossula, und haben 1,5—2 mm im Durch- messer. Auf der Stockoberfläche zwischen den Kelchen verlaufen manchmal 224 Die Korallen der Stramberger Schichten. unregelmässige Erhöhungen. Septa alle gleich stark; von den 13—20 Septo- costen reichen S oder 9 Septen bis zum Keleheentrum. Die Septocosten ver- laufen mit leichter Krümmung von Kelch zu Kelch. Columella rund und hervorragend. Epithek war nicht zu beobachten. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art gehört zu derselben Gruppe von Thamnastraea wie Th. concinna GDr. sp., Th. gracilis GDF. sp., Th. minima Er. und Th. pusilla Kopy. Die zwei Arten von GoLpruss wurden früher in der Litteratur häufig mit einander verwechselt, MILASCHEWITZ (Natth. Kor. p. 226—227) hat indess beide genau untersucht. Alle vier Arten haben kleine Kelche und nicht mehr als drei Cyelen von Septa; Th. concinna und Th. minima bilden flach sich ausbreitende Stöcke, Th. gracilis und Th. pusilla dagegen rundliche Formen wie die Stramberger 7h. globosa. Die vorliegende Stramberger Art besitzt sehr grosse Aehnlichkeit mit der Form, welche Kopy als 7’h. graeilis beschrieb. Dieselbe ist aber offenbar nicht identisch mit 7’h. gracilis Gpr. So hat Th. gracilis Kosy z. B. einen Kelchdurchmesser von nur 1,5 mm, während 7’h. graeilis Gpr. einen solchen 2—3 mm und ausserdem auch noch Septa von ungleicher Stärke besitzt. Da mir das Kogy’sche Original nicht vorlag, wage ich nicht zu entscheiden, ob Th. globosa und Th. gracilis Kogy wirklich identisch sind. Kosy führt als Hauptunterscheidungsmerkmal zwischen 7h. pusilla und Th. gracilis namentlich die geringere Grösse des Korallenstockes von erstgenannter Art auf, in welcher Hinsicht die Stramberger Form hesser mit 7. pusilla überein- stimmt. Andererseits haben aber die Kelche von 7’h. pusilla nur einen Durch- messer von 1—1,5 mm, dagegen 20—24 Septa, wodurch sich diese Art, welche im Astartien vorkommt, von der 7’h. globosa unterscheidet. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundort: Stramberg. Thamnastraea aspera Ocınvız. — Taf. IX, Fig. 5, 5a. Stock dicke, unregelmässig sich ausbreitende Massen bildend, mit plumpen fingerförmigen Fortsätzen und sehr unregelmässig höckeriger Oberfläche. Kelche 2,5 mm im Durchmesser, regelmässig über den ganzen Stock sowohl die Ober- wie Unterseite vertheilt. Septa von gleicher Stärke, 12—16 an Zahl, von welchen 9—10 das Kelcheentrum erreichen. Auf 3 mm Breite sind 9 Septocosten vorhanden. Die längsten Septen strahlen zunächst in gerader Richtung vom Kelcheentrum nach aussen, biegen dann aber häufig ziemlich scharf um und fliessen mit denen der Nachbarkelche zusammen. Traversen zahlreich und dick. Columella hervorragend und griffelförmig. Epithek nicht vorhanden. Dimorphastraea. 225 Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich von den ihr nahestehenden hauptsächlich durch die eigenthümliche Form des Stockes. Derartige ausgebreitete Formen besitzen in der Regel eine wohlentwickelte Ansatzstelle und Epithek, wie z. B. T’h. portlandica From. (Polyp. jur. sup. p. 44, pl. VII, Fig. 1), eine Art von Mantoche und Gray la Ville, die mit der oben beschriebenen nahe verwandt ist, indess sind die Kelche von Th. portlandica kleiner als die von aspera. Th. gibbosa BEcker (Natth. Korallen, p. 50, Taf. XL, Fig. 3) gleicht der 7’h. aspera in Bezug auf Kelche und Septa. Die Nattheimer Art bildet indess fremde Körper überziehende Stöcke, und ist auf der Unterseite, da wo sie frei ist, mit Epithek versehen. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Koniakau. Thamnastraea aff. Lomontiana Erauuox. 1864. Thamnastraea Lomontiana THURMAnN et Brarvon. Lethaea Bruntr. p. 399, pl. 56, Fig. 14. ; 1889. Thamnastraea« Lomontiana Kosy. Polyp. jur. p. 366, pl. 98, Fig. 3—5, pl. 100, Fig. 2. Das einzige mir vorliegende Exemplar stimmt, soweit der schlechte Erhaltungszustand zu beobachten gestattet, in allen wesentlichen Merkmalen mit Th. Lomontiana überein. Nur die polygonale Form der Kelche, welche Erauvon bei Th. Lomontiana erwähnt und die derselben nach ihm ein Goniastraea-ähnliches Aussehen verleihen sollen, liess sich am Stramberger Exemplar nicht beobachten. Indessen spricht auch die unregelmässige Ver- theilung der Kelche und der Umstand, dass die Septocosten ab und zu an den mehr unebenen Stellen der Oberfläche reihenförmig geordnet sind, eher gegen das Vorhandensein ursprünglich polygonaler Kelche. Das vorliegende Exemplar, welches ich wegen des schlechten Erhaltungszustandes nicht mit Sicherheit zu Th. Lomontiana stellen kann, ist von allen bisher beschriebenen Stramberger Thamnastraeen aufs deutlichste verschieden. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Koniakau; ausserdem: St. Ursanne, Soyhieres, Blauen, Caquerelle, Bressaucourt, Hochwald ete. Dimorphastraea n’Orzıeny. 1826. Astraea (pars) GouLpruss. Petref. Germ. T. I, p. 68. 1845. Agaricia (pars) MıcHerin. Icon. Zooph. p. 199. 1850. Dimorphastraea v’Orsısny. Prodröme. T. II, p. 93. 1850. Morphastraea “ » T. II, p. 183, 277. Palaeontologische Mittheilungen. Band 8. 15 296 Die Korallen der Stramberger Schichten. 1851. Dimorphastraea Enwarps u. Hame. Pol. Foss. Terr. Palaeoz. p. 108. 1857. 5) H ” Hist. Nat. Cor. T. II, p. 585. 1857. 5; Pıcrer. Trait& de Pal&eont. T. IV, p. 415. 1857. > FronenteL. Pol. foss. de l’Etage n&ocomien, p. 65. 1857. ? Dimorphocoenia en ” er » H p- 55. 1858—60. Dimorphastraea FROMENTEL. Introduction, p. 223. 1879. ch Zırrer. Handbuch der Palaeontologie. Bd. 1, p. 245. 1884. a“ Duncan. Madreporaria, p. 140. 1880 —89. > Kogy. Pol. Jur. p. 354, 556 u. 569. 1890. Thamnastraea (pars) Frecn. Triaskorallen Palaeont. Bd. XXXVL, p. 60. Zusammengesetzte Stöcke, flach oder subconisch mit convexer Oberseite. Kelche regelmässig in concentrischen Ringen um einen grösseren in der Mitte des Stockes angeordnet; benachbarte Kelche durch confluente Septen ver- bunden. Septen am ÖOberrand regelmässig gezackt, auf den Seitenflächen Reihen von Granulationen, die senkrecht zum Septalrand verlaufen und mit denen der nächsten Septen Pseudosynaptikeln bilden. Septen nicht immer und dann nur theilweise perforirt. Papillöses Säulchen vorhanden, Pseudo- theka schwach entwickelt, hauptsächlich durch die Divergenzpunkte der auf- steigenden Trabekel angedeutet. Unterseite des Stockes mit Epithek versehen. Dimorphastraea heteromorpha Quexst. sp. — Taf. IX, Fig. 6, 6a. 1858. Thamnastraea heteromorpha (\ENSTEDT. Jura, p. 707, Taf. 86, Fig. 5. 1875—76. Dimorphastraea ,, Becker. Natth. Kor. Palaeont. Bd. 21, p. 178. 1881. Thamnastraea > Quessteot. Röhren- u. Sternkorallen, p. 808, Taf. 175, Fig. 4 und 5. Korallenstock niedere pilzförmige Massen bildend, unten mit einer kleinen Anwachsstelle und sich nach oben rasch verbreiternd. Oberseite des Stockes schwach concav; Höhe desselben 25 mm; Durchmesser 53—63 mm. Der grosse Mutterkelch hat einen Durchmesser von 16 mm. Die Kelchgrube ist tief und ungefähr 24 Septa reichen bis gegen das Centrum. Die Gesammt- zahl der Septa beträgt S4. Die kleineren Kelche nicht sehr zahlreich, haupt- sächlich nur in einem Ring um den Mutterkelch angeordnet. Sie haben nur 10 mm im Durchmesser und 36 Septen, von welchen etwa die Hälfte bis zum Kelcheentrum reicht. Während die Septen des Mutterkelches radiär nach aussen strahlen, sind die der kleineren Kelche mehr parallel angeordnet und auch hauptsächlich nach innen und aussen gerichtet (d. h. auch radiär zum Mutterkelch angeordnet). Etwas ausserhalb der Kelchgrube treffen 10—12 Septen auf die Breite von 5 mm; an der Peripherie des Stockes sind die Septen etwas dichter stehend. Unterseite des Stockes mit feinen Costal- streifen versehen. Darüber kräftige Epithekalringe. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg; ausserdem: Nattheim. Dimorphastraea. 297 Dimorphastraea conica Kosy. — Taf. IX, Fig. 7, 7a, Tb. 1886. Dimorphastraea conica Kosy. Polyp. Jur. p. 349, Pl. 95, Fig. 3. Korallenstock conisch, mit flacher Oberseite. Höhe des Stockes ungefähr 25 mm, Durchmesser 50—60 mm. Um den centralen Mutterkelch ist eine sehr beträchtliche Anzahl kleinerer Kelche regellos gruppirt. Der Mutter- kelch hat ungefähr 12 mm im Durchmesser, die kleineren 5—7 mm. Septen alle nahezu gleichstark und fein. Im centralen Kelch sind etwa 100—110 Septen vorhanden, in den kleineren 46—50. Die Stockoberfläche zwischen den einzelnen Kelchen ist eben. Die Septen strahlen nach allen Richtungen aus und sind nirgends parallel angeordnet. Etwas ausserhalb der Kelchgrube treffen 22—25 Septen auf die Breite von 5 mm. Pseudosynaptikeln stark entwickelt und regelmässig zwischen den Septen angeordnet. Eine Pseudo- columella, die durch die inneren Enden der Septa gebildet wird, ist vorhanden. Unterseite des Stockes mit Costalstreifen versehen, die von dicken concentrischen Epithekalringen überdeckt werden. Diese Art ist hauptsächlich wegen der feinen und zahlreichen Septa, der dicht gedrängten Synaptikel und der starken Entwickelung der Epithek bemerkenswerth. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle (Cor blanc). Dimorphastraea dubia From. — Taf. IX, Fig. 8, Sa. 1858—61. Dimorphastraea dubia FRoMENTEL. Introduction, p. 224. 1864. 5 " » Corall. env. Gray, p. 24. 1876. » „ Becker. Natth. Korallen, p. 57. 1387. er „ Soromko. Jura- und Kreidekorallen der Krim, p. 121, T. VI, Fig. 7. (non Dimorphastraea dubia Tomes. Geol. Mag. London 1878). Zusammengesetzte, flach scheibenförmige Stöcke, mit kurzem Stiel auf- gewachsen. Höhe des Stockes etwa 11 mm. Durchmesser 35—55 mm. Kelche in concentrischen Reihen um den centralen Mutterkelch angeordnet. Letzterer hat etwa 8 mm, die kleineren Kelche etwa 6 mm im Durchmesser. Kelchgruben scharf ausgeprägt. Septa stark, gleichmässig entwickelt. Im centralen Kelch sind etwa 64 vorhanden, in den übrigen ca. 42. Die Septen sind leicht wellenförmig gebogen und durch feine Pseudosynaptikel verbunden. Zwischen dem Centralkelch und der nächsten Kelchreihe trifft man etwa 5 Septen auf die Breite von 2 mm, etwas weiter aussen sind 6 und in der Nähe der Peripherie des Stockes 7 auf der Breite von 2 mm. Unterseite des Stockes mit gerunzelter Epithek bedeckt, unter welcher die Costalstreifen deutlich hervortreten. 15* 398 Die Korallen der Stramberger Schichten. Allgemeine Bemerkungen: D. dubia ist eine von drei Nattheimer Arten, deren Centralkelch wenig grösser als die übrigen Kelche ist. D. fallax unterscheidet sich von D. dubia durch die geringere Zahl der Septen. D. concentrica dagegen hat eine grössere Anzahl von Septen. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg; ausserdem: Nattheim, Sudagh. Dimorphastraea vasiformis Kogr. — Taf. IX, Fig. 9. 1886. Dimorphastraea vasiformis Kory. Pol. Jur. Pl. XCV, Fig. 1 u. 2, p. 348. Stock klein, mit kurzem Stiel und breiter, etwas concaver Oberseite. Höhe 15 mm. Durchmesser an der Oberseite 30 mm. Der Centralkelch hat 10 mm im Durchmesser, die übrigen 5 mm. Septen stark und gleichmässig ent- wickelt. Etwa 80 im Centralkelch, in den übrigen 24—36, von welchen etwa 14—16 bis zum Kelcheentrum reichen, wo sich mittelst der inneren Trabekel ein papillöses Säulchen bildet. Die Septen anastomosiren häufig in ihrem Verlauf von Kelch zu Kelch. Pseudosynaptikel sehr zahlreich und regelmässig. Gegen den Rand des Stockes schieben sich noch eine grössere Anzahl dünner kurzer Septen ein, die auf der Unterseite zusammen mit den anderen Costal- streifen bilden (20 auf 5 mm Breite). Epithek dünn und gefältelt. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, Ste. Ursanne, Soyhieres. II. Thamnastraeinae cancellatae Ocınvır. Zwischenräume zwischen den einzelnen Trabekeln werden nicht oder nur wenig ausgefüllt; die Septa bleiben in Folge dessen fein und regelmässig gegittert. Microsolena [,.ımovrovx. 1811. Microsolena Lamovrovx. Exped. method. des genr. de pol. p. 65. 1833. Agaricia (pars) GoLpor. Petref. Germ. T. I, p. 109. 1843. Alveopora Micnerım. Icon. Zooph. p. 110. 1849. Dendrarae« v’OrBIGNY. Note sur des pol. foss. p. 9. 1850. Actinaraea s Prodr. T. I, p. 387. 1850. Mierosolena und Polyphyllastraea D’Orgısny. Prodr. T. II, p. 37. 1851. > Epwarps u. Hammer. Polyp. foss. des terr. pal. p. 144. 1854. . Pıcrer. Traite de palöont. T. IV, p. 438. 1857. » Eow, u. Hame. Hist. nat. des Corall. T. III, p. 196. 1858. > From. Introd. p. 252. 1858. » Eratr. Haut-Jura, p. 122, 1862. ” From. Monogr. des polyp. jur. sup. p. 49. 1875—76. ,, MitAascHn. Kor. der Natth. Sch. Palaeont. Bd. XXI, p. 225. Mierosolena. 299 1875— 76. Actinaraea Mivascn. Kor. der Natth. Sch. Palaeont. Bd. XXI, p. 231. 1879. Microsolena Zırrer. Handb. der Pal. Bd. I, p. 245. 1882. > Prarz. Verwandtschaftl. Bezieh. einiger Kor.-Gatt. Palaeont. Bd. 29, p. 98. 1884. = Duncan. Madrep.-Genera, p. 168. 1880-89. „ Kosr. Polyp. jur. p. 389, 561, 569. Pl. CXXX, Fig. 6. Zusammengesetzte Stöcke, subconisch, Oberseite flach oder gewölbt, zu- weilen unregelmässig knollig. Kelche auf der Stockoberfläche unregelmässig vertheilt, mit flacher Kelchgrube. Benachbarte Kelche durch ceonfluente Septen verbunden. Septen am Oberrand regelmässig gezackt, auf den Seitenflächen senkrecht zum Septalrand verlaufende Reihen von Granulationen, die mit denen der benachbarten Septen Pseudosynaptikel bilden. Septen dünn und regelmässig gegittert, oft mit horizontalen Septalleisten versehen, die durch seitliche Verschmelzung der Granulationen eines und desselben Septums ent- stehen. Säulchen fehlend oder rudimentär. Pseudotheka nicht vorhanden. Unterseite des Stockes mit Epithek versehen. Die Gattung Actinaraea soll sich nach Miırascmhewirz von Micro- solen«a durch das gänzliche Fehlen von horizontalen Septalkämmen unter- scheiden. Diese Septalkämme entsprechen den „Septalleisten“ von Prarz, die nach ihm durch seitliche Verschmelzung nebeneinander stehender Pseudo- synaptikel entstanden sind. Auch bei Mierosolena verschmelzen indess nicht immer nebeneinander stehende Synaptikel zu Septalleisten. Prarz, der die Originalexemplare von MitAscHewirz untersuchen konnte, hebt hervor, dass er keinen wesentlichen Unterschied zwischen Actinaraea und Mierosolena finden konnte. Daraufhin vereinigte auch Duncan Actinaraea mit Mierosolen« und ich kann mich dem auf Grund weiterer Untersuchungen nur anschliessen. Mierosolena stellata OcıLvız. — Taf. X, Fig. 5, 5a, 6, 6a. Korallenstock subglobos, mit breiter Ansatzstellee Durchmesser des Stockes 50—80 mm, Höhe 30—65 mm. Abstand der Kelcheentren von 3—4,5 mm. Fossula tief. Zwischenräume zwischen den Kelchen rundlich erhoben. 10—12 Septa von gleicher Stärke reichen bis zum Kelchcentrum. (Von diesen zweigen andere ab). Im Ganzen zählt man 40—48 Septa. Auf der Breite von 3 mm befinden sich 12 Septocosten. Durch die gleichmässige Stärke und die regelmässig radiale Anordnung der Septa erhalten die Kelche ein sternförmiges Aussehen. Durch die Septalenden und die Synaptikeln wird manchmal ein kleines falsches Säulchen gebildet. Synaptikeln fein, dicht gedrängt und regelmässig angeordnet. Epithek konnte nicht beobachtet werden. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich von den nächststehenden durch ihre grosse subglobose Form sowohl als durch ihre 230 Die Korallen der Stramberger Schichten. zahlreichen Septen. M. Fromenteli bildet ähnliche Stöcke, die Kelche sind indess viel grösser und die Septa zahlreicher. Am meisten Aehnlichkeit zeigt Actinaraea granulata Msr. sp. (cf. Mıraschzwirz, Natth. Kor. p. 231, Taf. 51, Fig. 5). Dass Actinaraea von Microsolena nicht generisch verschieden ist, habe ich oben bereits erwähnt. Die M. gramulata unterscheidet sich indess von M. stellata durch die flachere Form des Stockes, durch kleinere Kelche und durch eine verhältnissmässig grössere Zahl der Septen, Zahl der untersuchten Exemplare: 6. Fundorte: Stramberg, Kotzobenz, Mierosolena variata Ocınvız. — Taf. X, Fig. S, Sa, Sb. Koralle halbkugelig, aus lauter concentrisch übereinander gelagerten Kugelschalen aufgebaut. Die Höhe der beiden vorliegenden Exemplare be- trägt 40 und 60 mm. Die Kelche stehen in Abständen von 4',— 5'/, mm. Kelehgrube gross, tief und kreisförmig. Zahl der Septen SO—90, in grösseren Kelchen über 100. Dieselben sind fein und gleichmässig entwickelt. Synap- tikeln zahlreich. Columella oberflächlich nicht sichtbar. In Schliffen erkennt man aber in grösserer Tiefe eine spongiöse Columella. Allgemeine Bemerkungen: Die oben bereits erwähnte Microsolen« Julü Er. hat Kelche vom gleichen Durchmesser und ebenso feinen Septen, die aber nur in der Zahl von 60—72 vorhanden sind. Auch ist die Form des Stockes verschieden. Auf die Unterschiede zwischen Microsolena variata und Microsolena agarieiformis Er. wurde schon früher hingewiesen. Von Mierosolena stellata unterscheidet sich diese Art durch beträchtlichere Grösse des Stockes und der Kelche, sowie durch die doppelte Zahl der Septen. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundort: Wischlitz. Microsolena exigua Kosyr. — Taf. XI, Fig. 7, 8. 1889. Microsolena exigua Kopy. Polyp. jur. p. 400, pl. 121, Fig. 1, 2. Korallenstock klein, unregelmässig rundlich oder flach, mit concentrisch gerunzelter Epithek. Durchmesser der Stöcke sehr verschieden, 10°—15 mm. Kelche klein, Durchmesser 3—4 mm. In einigen Exemplaren sind die Kelch- gruben deutlich erkennbar, in anderen weniger. 36—40 Septen in einem Kelch. Wo die Septocosten parallel laufen, zählt man 25 auf 5 mm. Die Synaptikel sind dick, ganz regelmässig angeordnet und stehen sich auf den Seitenflächen des Septums alternirend gegenüber. Allgemeine Bemerkungen: Schon Kogy hat auf die Uebergänge von runden zu ganz flachen geschichteten Formen des Korallenstockes auf- Microsolena. 2331 merksam gemacht, die man bei dieser Art findet. Im Habitus stimmen die von mir untersuchten Exemplare mit den Abbildungen (Pl. 121, Fig. 1, 2) von Kogy überein. Die geringere Grösse des Stocks und des Kelchdurch- messers unterscheidet M7. exigua von M. Julii Er. Dieselben Merkmale, sowie die geringere Zahl der Septen unterscheidet sie von M7. stellata Ocınvır, mit welcher letzteren sie sonst viel Aehnlichkeit hat. Ein Durchschnitt von einem rundlichen Exemplar ist auf Taf. XI, Fig. S abgebildet und zeigt die fein- maschige Struktur des Innern. Kosgy hat zwei Arten mit Fragezeichen zu der Gattung Thammaraea gestellt, nämlich Th. granulos« Kogy und Th. bacıllaris Kogy. Die „spongien- ähnliche“ Struktur scheint seinen Zweifel erregt zu haben. Er beschreibt ein inneres granulirtes Gewebe, dessen Körner sehr feine Schichten bilden, die sich wieder zu dichteren Schichten gruppiren. Da nun die Abbildungen von Kopy Stücke zeigen, die, wenn auch grösser, doch in ihrem Habitus 7, exigua sehr ähnlich sind, und da sie damit auch nach der Beschreibung des Gewebes übereinstimmen, so glaube ich, dass die Kogy'schen Arten vielleicht zu der Gattung Microsolena gehören. In diesem Fall wären sie als nahe verwandt mit M. exigua zu betrachten. Zahl der untersuchten Exemplare: 18. Fundort: Stramberg; ausserdem: Blauen und Zwingen. Mierosolena tuberosa Mıcn. sp. — Taf. X, Fig. 4, 4a, 4b. 1543. Alveopora tuberosa Mich. Icon. Zooph. p. 110, Pl. 25, Fig. 7. 1851. Microsolena ,, v’OrB. Prodr. de paleont. T. II, p. 37. 1856. % n Epwarps u. Hamme. Monogr. des Poritides. (Ann. des sc. nat. T. XVI, p. 53). 1857. Rn 3 Epwarps u. Harmme. Coralliaires III, p. 201. Wahrscheinlich 1858. Microsolena conica Er. Haut-Jura, p. 124. Korallenstock unregelmässig knollige, in die Höhe wachsende Massen. Kelche über die ganze Stockoberfläche regelmässig vertheilt. Abstand der Kelcheentren 2—3 mm. Fossula sehr tief, Zwischenräume zwischen den Kelchen leicht erhoben. Septa dick, von gleicher Stärke und sich nicht im Kelchcentrum vereinigend. Columella nicht vorhanden. 36—40 Septocosten, von welchen 12 noch in die Fossula hineinragen. Synaptikeln fein und zahl- reich. An Stellen, die nicht zu sehr abgerieben waren, liessen sich An- deutungen epithekaler Ringe beobachten. Allgemeine Bemerkungen: Mic#zrın hat die Vermuthung ausge- sprochen, dass Alveopora tuberosa nur ein Jugendstadium von Alveopora racemosa Mich. vorstelle, bei welchem aus dem unregelmässig knolligen Stock 339 Die Korallen der Stramberger Schichten. noch keine astartigen Fortsätze emporgewachsen seien. Alveopora racemosa Mic#. ist aber jedenfalls eine Thamnaraea (siehe unter „Allgemeine Be- merkungen“ zu Polyphylloseris corticata OGILvıE, p. 236). Microsolena conica Er. von Valfın ist der Beschreibung nach äusserst ähnlich, vielleicht sogar identisch mit Mierosolena tuberosa. Die Erauuon’sche Art hat dieselbe Kelch- grösse und die gleiche Zahl der Septa. Ausserdem erwähnt Erauvon das Vorhandensein eines stark entwickelten rugosen Epitheks, unter welcher feine Costen sichtbar werden. Es ist wahrscheinlich nur eine Folge des Erhaltungs- zustandes, dass sich dies bei den Stramberger Exemplaren nicht beobachten liess. Da ich nicht in der Lage war, die Original-Exemplare von Eraunox’s Microsolona conica zu vergleichen, und da diese Art auch nicht abgebildet ist, kann ich M. conica nicht mit voller Sicherheit mit M. tuberosa vereinigen. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundort: Stramberg; ausserdem: St. Mihiel (Meuse), Ob. Jura. Microsolena agarieiformis Er. — Taf. X, Fig. 7, 7a, 7b. 1859. Microsolena agariciformis Er. Haut-Jura, p. 123. 1864. sa 5 Fron. Cor. env. de Gray, p. 26. Korallenstock kugelige Massen von etwa 60 mm Durchmesser bildend. Kelche seicht und die Fossula nicht deutlich ausgeprägt. Abstand der Kelch- centren 6—7 mm. Septa 70—80 an Zahl, in den grösseren Kelchen manchmal etwas mehr, fein, und von gleicher Stärke und in Gruppen von einem Kelch zum anderen verlaufend. Am abgerundeten Rand des Stockes finden sich hin und wieder kleinere unregelmässig vertheilte Kelche mit weniger Septen, welche letztere die Tendenz zeigen in radialer Richtung (in Bezug zum Pol, Mittelpunkt) des Stockes nach aussen und abwärts zu verlaufen. Synaptikel fein und zahlreich, wodurch die Stockoberfläche das Aussehen eines spongiösen Gewebes erhält. Allgemeine Bemerkungen: Wegen der feinen und zahlreichen Septen und Synaptikeln ist diese Art zu einer gut abgegrenzten Gruppe von Micro- solena-Arten zu stellen, nämlich zu Möcrosolena Edwardsi Kosx, M. Julü Er., M. Fromenteli Kosy und M. variata OcınLvyıE. M. Fromenteli Kosy (aus d. Terr. ä chaille silic. u. Cor. blanc) hat ebenso wie Möcrosolena agariciformis Er. eine sehr seichte Fossula. Bei Microsolena variata OcınvıE ist die Fossula tief, die Zwischenräume zwischen den Kelchen sind etwas erhöht, die Kelche sind etwas kleiner und die Septa zahlreicher. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundorte: Stramberg, Wischlitz, Valfin. Polyphylloseris. 933 Mierosolena cf. Bouri From. sp. 1856. Thamnastrae« Bouri From. Bull. de la Soc. geol. de Fr. p. 863. 1860. Synastraea “ nr Introd. p. 221. 1562. Thamnastraea ,, 5 Polyp. jur. sup. Etag. Portl. p. 46, Pl. VII, F. 4 Korallenstock klein. Unterseite fast eben, Oberseite convex, höckerig und unregelmässig lappig. Höhe des Stockes etwa 26 mm; Durchmesser ca. 45 mm. Kelche tief, unregelmässig angeordnet. Kelchdurchmesser 4—5 mm. Septa von gleicher Stärke, meist 24, selten etwas weniger. Auf einer Breite von 2 mm kommen 8—9 Septocosten vor. Am Rande der Oberseite stehen die Septocosten nahezu parallel und radial zur Mitte des Stockes. In Dünn- schliffen erkennt man die charakteristische Microsolena-Struktur. Traversen sind nicht häufig. Columella gross, papillös und tief im Kelche gelegen. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art ist der Microsolena gibbosa Fr. (Haut-Jura, p. 127) sehr ähnlich, unterscheidet sich aber von ihr durch die feineren Septa. Andererseits ist aber auch M. Bowri durch die kleine rund- liche Form des Stockes von den Microsolenen mit wenig Septen, z. B. M. irregularis D’Ore. leicht zu unterscheiden. Zwei Arten, nämlich M. exigua Kogy und M. cavernosa Kosy stehen ihr am nächsten. Aber auch sie sind durch die Kelchgrösse und die Septenzahl von ihr verschieden, Das einzige mir vorliegende Exemplar ist etwas abgerieben. Die feineren Strukturverhältnisse sind indessen gut zu beobachten und beweisen, dass das Stramberger Exemplar eine ächte Mierosolena ist. Sollten die Exemplare Fronznters wirklich Thamnastraeen sein, dann wäre die Stramberger Form zu einer neuen Microsolena-Art zu stellen. Die grosse Uebereinstimmung beider indess, sowohl in Bezug auf die Form des Stockes, als auch auf die Anordnung der Kelche und Septen, veranlassen mich, das Stramberger Exem- plar vorderhand mit jenen FromEnter’s unter dem Gattungsnamen Miecrosolena zu vereinigen. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg; ausserdem: Mantoche (Haute Säone), Ob. Jura. Polyphylloseris Frox. 1850. Polyphyllastraea v’Ors. Prodr. T. I, p. 179. 1551. Thamnastraea? p.p. EpwArops u. are Polyp. Foss. Arch. Mus. T.V, p. 113. 1857. r » Corall. T. IH, p. 584. 1857. Polyphylloseris From. Bon foss. de Pet. Ne&oc., p. 67. 1861. 55 5 Introd. p. 240. 1876. Thamnastraea p.p. Zırrer. Handb. I, p. 245. 1884. Polyphylloseris Duncan. Madrep. Genera, p. 168. 1891. n Feuix. Versteiner. aus dem Neocom von Tehuacan im Staat Puebla. Palaeont. Bd. 37, p. 149. t os NS Die Korallen der Stramberger Schichten. Zusammengesetzte flache, knollenförmige oder fingerförmige Stöcke. Kelche auf der Stockoberfläche regellos vertheilt und Erhabenheiten bildend. In den diese Erhabenheiten umgebenden Vertiefungen fliessen die Septen der benachbarten Kelche vollkommen zusammen. Septen fein, zahlreich, am Ober- rand regelmässig gezackt; auf den Seitenflächen sind Granulationen, die senk- recht zum Oberrand verlaufen und mit denen der Nachbarsepten verschmelzen und Pseudosynaptikel bilden. Säulchen fehlt. Unterseite mit Epithek ver- sehen, die auch bei den ästigen Stöcken bis ganz nach oben reicht. Diese Gattung ist mit Mierosolena aufs engste verwandt, unterscheidet sich indess von ihr durch die Erhabenheiten, auf welchen die Kelche sich befinden, sowie durch die grössere Mannigfaltigkeit in der Form der Stöcke. Bis jetzt waren Vertreter dieser Gattung nur aus dem Neocom und zwar von Yonne in Frankreich und vom Staate Puebla in Central- Amerika bekannt. Die Stramberger Exemplare haben fast alle fingerförmige Gestalt und zeigen mit den amerikanischen grosse Aehnlichkeit. Polyphylloseris tenuiseptata OcıLvıe. — Taf. X, Fig. 11, 11a. Von dieser Art liegt nur ein unten abgebrochener Ast vor, der sich weiter oben in zwei parallele, sich seitlich berührende astartige, kurze, oben abgerundete Fortsätze mit einem Durchmesser von 16—1S mm theilt. Kelche über die ganze Stockoberfläche in Abständen von 3,5—4 mm vertheilt. Fossula tief und gut ausgeprägt. In den Zwischenräumen zwischen den Kelchen er- hebt sich die Oberfläche des Stockes manchmal einfach in gleichmässiger Krümmung, manchmal als zwei gesonderte Anschwellungen, getrennt durch eine flache Furche dazwischen. Septa ausserordentlich fein, ungefähr 80 an Zahl, von diesen erreichen 13—20 die centrale Fossula. Synaptikeln äusserst fein und zahlreich. Epithek konnte nicht beobachtet werden. Allgemeine Bemerkungen: Nur eine einzige bis jetzt bekannte Art, nämlich Miecrosolena catenata Kraun. (Haut-Jura, p. 127) zeigt mit der oben beschriebenen Art grössere Aehnlichkeit. M. catenata hat indessen Kelche von 3—3,5 mm Durchmesser und 60 Septen. Hievon und von Polyphylloseris polymorpha Ferıx unterscheidet sich P. tenwiseptata durch die geringere Grösse der Kelche und durch die grössere Zahl der Septen. Auf die Form des Stockes kann ich weniger Werth legen, umsomehr als das mir vorliegende Stück nicht vollständig ist. Die grosse Aehnlichkeit der äusseren Form von dieser Art mit der Polyphylloseris polymorpha Fruıx (Palaeontogr. Bd. 37, p. 143, Taf. 22, Fig. 4) springt sofort bei Betrachtung der Abbildungen in die Augen. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg. Polypbylloseris. 335 Polyphylloseris faseicularis OcıLvıe. — Taf. X, Fig. 12, 12a, 12b. Von dieser Art liest mir nur ein einziges Exemplar vor, an dem sich folgende Merkmale feststellen liessen: Korallenstock aufrecht eylindrisch, von ca. 13 mm Durchmesser und 25 mm Höhe, von sehr dicker, runzeliger Epithek umgeben. Die Falten der Epithek besitzen eine Tiefe von 5—4 mm. Ab und zu sind noch Andeutungen von Costen unter der Epithek vorhanden. Kelche nur auf der oberen Spitze des Stockes vorhanden. Eine regelmässige Anordnung in concentrische Reihen ist nicht zu beobachten. Abstand der Kelchcentren 5 mm. Septa zahlreich, etwa 80, alle von gleicher Stärke; 16 davon reichen bis zum Kelchcentrum. Diese sind an ihrem centralen Ende nicht mehr so oft unterbrochen, d. h. nicht mehr in so viele einzelne Septaldornen aufgelöst wie weiter aussen, infolge dessen bilden sie im Kelch- centrum einen Stern von etwa 2'/, mm Durchmesser (cf. Fig. 12a). Weiter aussen lösen sich dann die Septa in lauter einzelne Septaldornen auf und dadurch, dass sich ausserdem in diesen äusseren Partien zwischen die Septa noch zahlreiche dicke und regelmässig angeordnete Synaptikeln einschieben, gewinnt hier das Gewebe ein spongiöses Aussehen. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich von den beiden vorhergehenden sofort dadurch, dass die Kelche nur an der oberen Spitze des Astes vorkommen, sowie durch die dicke Epithek, welche den Stamm, den der Korallenstock bildet, vollkommen umhüllt. Der einzige mir bekannte ähnliche Fall des Vorkommens einer dicken runzeligen Epithek bei nahestehen- den Gattungen ist, wie schon erwähnt, der von Alveopora inerustata MicH. Die Thamnaraea-artige Anordnung der Septa und Septaldornen, wodurch im Kelchcentrum eine Art Stern gebildet wird und aussen ein dichtes schwammiges Gewebe bildet, ist ein gutes Merkmal für diese Art, da dies bei den nächst- stehenden nicht in so ausgeprägtem Maasse vorkommt. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Ignatzibere. Polyphylloseris corticata OGıLvıE. TareX Ei 10r 0a Ta RT Ni029 9a. Stock aus einer Anzahl dicht nebeneinander stehender und eng aneinander gepresster, in die Höhe wachsender Aeste bestehend. Diese sind im allge- meinen rund, aber infolge der gegenseitigen Pressung beim Emporwachsen auch häufig unregelmässig oder ausgesprochen elliptisch. Der Durchmesser _ der einzelnen Aeste schwankt in der Regel von 15 mm bis zu 35 mm. Die oberen Enden der Aeste sind abgerundet (rundlich) oder abgestumpft. Die- jenigen Stellen der Aeste, welche an der Aussenseite (des Stockes sich be- 236 Die Korallen der Stramberger Schichten. finden, zeigen ab und zu noch Andeutungen von Epithekringen, und an gut er- haltenen Exemplaren liess sich auch noch dünne Epithek beobachten. Dasselbe besteht aus feinen concentrischen Streifen, die stellenweise zu dickeren Ringen anschwellen. Kelche über die ganze Oberfläche der Aeste vertheilt. Abstand der Kelcheentren von 4—6 mm. Fossula klein aber deutlich ausgeprägt. Columella nicht vorhanden. Septa fein und sehr zahlreich, ungefähr 12—16 reichen bis zum Kelchcentrum, die des nächsten Cyelus nur wenig kürzer, die übrigen kürzer. Im Ganzen sind in den grösseren Kelchen 72—76 Septa vorhanden. Dadurch, dass die die Septen aufbauenden Trabekeln äusserst dicht nebeneinander stehen, erscheint der Oberrand der Septen sehr fein ge- zähnt und alle Querschliffe zeigen die Septa als feine unterbrochene Körner, welche mit den Synaptikeln ein schwammartiges Gewebe bilden. Die Septa strahlen vom Kelchcentrum regelmässig nach allen Richtungen aus. Die sich dazwischen einschiebenden vereinigen sich stellenweise mit ihnen. Theils ver- laufen die Septa in gerader Richtung von Kelch zu Kelch, theils biegen sie in ihrem Verlauf unter emem stumpfen Winkel um. Synaptikeln sehr zahl- reich, fein und in regelmässigen Abständen zwischen den Septen angeordnet. Allgemeine Bemerkungen: Diejenige jurassische Art, welche der M. corticata am meisten gleicht, ist Microsolena excelsa Fr. aus dem Grossoo- lithe (Brit. Foss. Cor. p. 124, Tb. 25, Fig. 5). Bei dieser Art besteht der Stock aus eng nebeneinander stehenden Armen, die aussen mit dünner Epithek überzogen sind und bei welchen die Kelche ebenfalls über die ganze Stock- oberfläche vertheilt sind; die Kelche sind indessen von geringerer Grösse und die Septa weniger zahlreich. M. excelsa wurde von Mıunz EpwArps und Haıne irrthümlicherweise mit Alveopora incrustata Mich. (Icon. p. 3, Tb. 25, Fig. 8) vereinigt; allein die Micnzuiw’sche Art unterscheidet sich durch die starke Entwicklung der Epithek gut von Meecrosolena excelsa E. u. H. Keine von den jurassischen Arten zeigt so viel Aehnlichkeit mit P. corticata wie eine Species aus dem Neocom, P, polymorpha Ferıx (Korallen aus dem Neocom von Tehuacan im Staat Puebla. Palaeontogr. Bd. 37, p. 143, T. 22, Fig. 4—6). Die Kelche in P. polymorpha sind aber grösser und treten auf den Aesten mehr hervor. Ein Exemplar von den mir vorliegenden (Taf. XI, Fig. 9 ab- gebildet) scheint mir eine Varietät von P. corticata zu sein. Die Septen sind etwas feiner, 16—20 erreichen das Centrum, die Intercalycinalräume sind oft grösser. Doch sind die Unterschiede nicht so bedeutend, dass ich für dies einzelne Exemplar eine neue Art aufstellen möchte. Zahl der untersuchten Exemplare: 20, Fundort: Stramberg. Dimorpharaea. % 0 I Polyphylloseris ramosa Ocınvır. — Taf. X, Fig. 13, 13a. Auch von dieser Art liest mir nur ein einziges Exemplar vor, über dessen Zugehörigkeit zum Genus Polyphylloseris indess kein Zweifel möglich ist. Es ist ein kurzer dicker astartiger Strunk von nur S mm im Durch- messer. Kelche über die ganze Stockoberfläche vertheilt in einem Abstand von ungefähr 3—3'; mm. Fossula klein und tief, Septa von gleicher Stärke, etwa 40—50 an Zahl, von denen 16 bis zum Kelehcentrum reichen. Synap- tikeln fein und zahlreich. Die einzige bisher bekannte Art, welche einige Aehnlichkeit mit der P. ramosa hat, ist Thanmaraea arborescen® Er. Allein die Eraunov’sche Art (cf. Leth. Bruntr. p. 412, Pl. 58, Fig. 5, Kosr Polyp. Jur. p. 411, Pl. CX, Fig. 2—6) hat nur 12—20 Septa, die nicht mit denen der Nachbarkelche zusammenfliessen, auch sind bei ihr die Septa noch viel femer und sehr in Septaldornen aufgelöst. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg. Dimorpharaea Fron. 1836. Anomophyllum Roemer. Verst. des nordd. Ool. Gebirges, p. 21. 1555. Microsolena Haıme. Lettres inedites. 1857. » (pars) Epw. u. Haıme. Corall. T. III, p. 202. 1858. hs „ Krarvon. Haut-Jura, p. 126. 1858—60. Dimorpharaea From. Introd. p. 254. 1860. Microsolena (pars) Er. Ray. Montb. Pl. 6, Fig. 26. 1864. " „ Tuurm. u. Er. Leth. Bruntr. p. 408, 409. 1865—68. Thamnastraea (pars) Eıcauwarn. Leth. Rossica, p. 152. 1872. Dimorphoseris Duncan. Brit. Foss. Corals. ser. II pt. IIL, p. 22. 1879. Dimorpharaea Zırmer. Handb. I, p. 245. 1884, ” Duncan. Madrep. Genera, p. 170. 1881—89. » Kosr. Polyp. Jur. p. 387, 560, 569. Zusammengesetzte Stöcke, unten subeonisch, mit flacher oder concaver Oberseite. Kelche regelmässig, in concentrischen Ringen um einen grösseren in der Mitte des Stockes angeordnet. Benachbarte Kelche durch confluente Septen verbunden. Septen am Oberrand regelmässig gezackt, auf den Seiten- flächen Reihen von Granulationen, die senkrecht zum Septalrand verlaufen und mit denen der benachbarten Septen Pseudosynaptikel bilden. Septa fein und regelmässig gegittert. Pseudotheka nicht vorhanden. Unterseite des Stockes mit Epithek versehen. 238 Die Korallen der Stramberger Schichten. Dimorpharaea Koechlini Hame sp. — Taf. XI, Fig. 3. 1855. Microsolena Koechlini Haıme. Lettres inedites. 1857. m > Eow. u. Haıme. Corall. T. III, p. 202. 1858. » expansa Er. Haut-Jura, p. 126. 1860. Dimorpharaea Koechlini From. Introd. p. 254. 1860. Microsolena expansa Er. Ray Month. Pl. 6, Fig. 26. 1864. .n En THurm. u, Er. Leth. Bruntr. p. 408. 1880—89. Dimorpharaea Koechlini Kogy. Polyp. jur. p. 387, Pl. 108, Fig. 1—5. Korallenstock von einer engen Basis ausgehend, dann breite flache, zu- weilen kreisförmige Massen bildend. Junge Exemplare haben eylindroconische Gestalt, die sich später schalenförmig ausdehnt. Durchmesser des mittleren Kelchs 10 mm. Abstand zwischen den Kelchcentren einer Reihe 4—5 mm. Breite einer Kelchreihe 7 mm, Ungefähr 60 Septen finden sich im Mittel- kelch. In den Kelchen der Reihen 40—48, von denen 16—20 das Säulchen erreichen. Das kleine Säulchen erhält öfter durch die Vereinigung mit den Septalenden ein schwammiges Aussehen. Eine gut entwickelte, concentrisch und radiär gestreifte Epithek bedeckt die Unterseite. Zahl der untersuchten Exemplare: 15. Fundorte: Stramberg, Ignatziberg, ausserdem: La Croix, Combe Cha- vatte, Chätillon, Fringuelet, Hofbergle, Günsburg, Belfort etc. Maeandraraea fürn. em. Prarz, 1856. Latimaeandraraea From. Catalogue ined. des polyp. foss. de l’Yonne. 1859. Macandraraea Erauı. Haut-Jura, p. 128. 1858—60. Latimaeandraraea From. Introd. p. 247. 1860. Maeandraraea Epwarvs u. Haımme. Hist. Nat. Cor. T. III, p. 202. 1864. , Taurm. u. Eraue. Lethaea Bruntr. p. 407. 1882. 5 Prarz. Verwandtsch. Bezieh. einiger Kor.-Gatt. Palaeontogr. Bd. 29, p. 112, 113. 1883. Latimaeandraraea Tomes. Quart. Journ. Geol. Soc. p. 561. 1884. ch Duncan. Madreporaria, p. 170. 1889. Maeandraraea Kosy. Polyp. jur. p. 407 u. 562. non Latimaeandraraea Kosy. Polyp. jur. p. 551. Zusammengesetzte, massive, flache Stöcke. Kelche in maeandrinische oder nahezu parallele Reihen angeordnet. Die einzelnen Kelchreihen durch ziemlich scharfe Hügel von einander getrennt, über welche, fast parallel zu einander, die Septen verlaufen. Septen zahlreich, fein; Oberrand regelmässig gezackt. Auf den Seitenflächen Reihen von Granulationen, die senkrecht zum Septalrand verlaufen und mit denen der Nachbarsepten Pseudosynaptikeln bilden. Septen regelmässig gegittert. Kein Säulchen. Epithek vorhanden. Maeandraraea. 239 Ungefähr gleichzeitig gab Eranuon derartigen Formen den Namen Maeandraraea uud FROMENTEL den Namen Zatimaeandraraea. In der Folge- zeit haben verschiedene Autoren derartige Formen bald als Latimaeandraraea, bald als Maeandraraea bezeichnet. Indess hat FRomexter's Name die Prio- rität. Aus den Untersuchungen von Prarz über die feinere Septalstruktur geht hervor, dass unter Maeandraraea bisher verschiedenartige Formen ver- treten waren. Die eine Gruppe, welche auch die typische Art in sich schliesst, gehört zu den Pseudoastraeinae regulares (Gruppe II), die andere gehört hingegen zu den Pseudoastraeinae irregulares. Dass derartige verschiedene Strukturen vorkommen, konnte ich auch an dem Stramberger Material beobachten. Ich kann nur darin mit Prarz nicht vollkommen übereinstimmen, wenn er die Formen mit unregelmässig trabekulärer Struktur in die Nähe von Haplaraea stellt. Meiner Meinung nach sind diese Formen Lophoseriden. Maeandraraea tuberosa Erauu. — Taf. XI, Fig, 4. 1864. Maeandraraea tuberosa Tuuru. u. Er. Leth. Bruntr. p. 407, Pl. 57, Fig. 12, 1880—89. Maeandraraea tuberosa Kosy. Polyp. jur. p. 409, Pl. CIX, Fig. 4. Korallenstock in unregelmässiger gerundeter Masse. Höhe 40—60 mm. Durchmesser 100—200 mm. Das von mir untersuchte Exemplar erreichte eine Höhe von 45 mm und eine Länge von 115 mm. Die Kelche sind im kurzen Reihen angeordnet, mit deutlichen Kelchcentren in sehr unregelmässigen Ab- ständen. Entfernung im Durchschnitt 4 mm. Breite einer Reihe 3'/), mm. Von den sehr feinen Septen erreichen 16—20 das Centrum. 17 Septocosten kommen auf 5 mm. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Stramberg; ausserdem: Waldeck pres de Porrentruy. Maeandraraea laminata Ocıvır. — Taf. XI, Fig. 5. Korallenstock flach ausgedehnt. Die Kelche wachsen schichtenweise aufeinander. Die Kelchgruben sind selten gut ausgeprägt, länglich gezogen. Kelehcentren in den Reihen sehr dicht gedrängt. Breite einer Reihe 2 bis 3 mm. Die Septen sind sehr frei und gleichmässig entwickelt, leicht ge- bogen; 25 kommen auf 5 mm Breite; ca. 16 reichen bis zum Kelchcentrum. Der Stock hat auf seiner Unterseite einen dünnen, concentrisch gestreiften Epithek. Allgemeine Bemerkungen: M. laminata unterscheidet sich leicht von den übrigen Arten durch ihre sehr zahlreichen Septen und engstehenden 940 Die Korallen der Stramberger Schichten. Kelchreihen. M. rebriformis Er. ist am nächsten verwandt, hat aber viel deutlicher ausgeprägte Kelchcentren und wellig verlaufende Septalcosten. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundort: Koniakau. Subfamilie: Funginae Eow. u. H. Einfache oder coloniebildende Korallen, deren Kelche mittelst confluenter Septen und pseudothekaler Bildung infolge verstärkter Synaptikeln zusammen- hängen. Divergenz der Trabekeln, wie bei den Z’hamnastraeinae. Die Tra- bekeln sind hier aber flacher und breiter, und im Querschnitt elliptisch oder linsenförmig. Da hier auf den einzelnen Trabekelgliedern in der Septalebene knotenartige Auswüchse fehlen, so legen sich die Trabekeln innerhalb eines Septums dicht aneinander, infolge dessen sind die Septen dicht, nur bei wenigen Formen sind die dünnen Septen höherer Ordnungen noch etwas porös. Aechte Synaptikel sind zahlreich vorhanden, Pseudosynaptikel weniger. Tra- versen spärlich entwickelt oder fehlend. Epithek rudimentär. Unterseite oft stachlig. Wenn man auch gewohnt ist, als Hauptvertreter dieser Subfamilie Fungia zu betrachten, so kommen bei derselben doch auch astraeidische, hochwachsende Stöcke, mit kleinen polygonalen Kelchen vor. Mitne Epwarps hat, als er zuerst die Bezeichnung Synaptikel in die Literatur einführte, Fungia und deren Verwandte als Beispiel gegeben und hat die Synaptikeln als zusammen- gewachsene Granulationen benachbarter Septen erklärt. Spätere Unter- suchungen haben nun gezeigt, dass gerade bei diesen Gattungen die Granu- lationen nur sehr selten direkt verwachsen, sondern dass hier meistens zwischen den Granulationen benachbarter Septen noch nachträglich Kalkablagerung um neue Üaleificationscentren stattfindet. Eine derartige Verbindungsart wies Prarz bei Siderastraea und anderen Gattungen nach und nannte sie ächte Synaptikel, im Gegensatz zu den durch direkte Berührung der Granulationen entstandenen Pseudosynaptikel. Ich habe das Vorkommen von ächten und Pseudo-Synaptikeln bei der Gattung Frungia nachgewiesen; — ferner dass in Fungia und Siderastraeas die Synaptikel immer aus einer grossen Anzahl zusammengewachsener Granulationen und dazwischen eingeschalteter neuer Caleificationscentren bestehen. Die Pseudosynaptikel kommen bei den Funginae hauptsächlich gegen den centralen Theil der Kelche zu vor, da wo die Septen einander sehr nahe kommen und die Granulationen infolge dessen leicht verschmelzen. Der Hauptunterschied im Septalbau zwischen Thamnastraeinae und Funginae besteht darin, dass bei den ersteren jedes Trabekelglied der zu- sammengesetzten Trabekel aus sehr wenigen und verhältnissmässig langen Thamnoseris. 241 Faserbündeln gebaut ist, während bei den Funginae jedes Trabekelglied aus einer Reihe verhältnissmässig kleiner, aber zahlreicher, eng verwachsener Faserbündel besteht. Mit diesem Unterschied im Septalbau hängt auch die dichtere Struktur der Funginen-Septen und die oben beschriebene Beschaffen- heit der Synaptikel zusammen. Gen. Thamnoseris Fromenter, 1858. Thamnoseris From. Introduction, p. 241. 1864. > Taurm. et Er. Lethaea Bruntrut. p. 406. 1864. Microphyllia (pars) Truunm. et Er. Lethaea Bruntrut. p. 393. 18334. en Duncan. Madreporaria. p. 152. 1880—89. „, Kosy. Pol. Jur. p. 385. 1880—89. Latimaeandra (pars) Kopy. p. 254. 1890—91. Microphyllia Feuıx. Palaeontographica Bd. 37, p. 152. Zusammengesetzte Stöcke; Form äusserst verschieden: flach, knollig, subeonisch mit convexer Oberfläche oder hoch fingerförmig. Kelche auf der Oberfläche regellos vertheilt, mit einander durch zusammenfliessende Septen und eine Pseudothek verbunden. Letztere bildet an der Oberfläche meist einen Rücken. Septen dick und compact, durch ächte und Pseudosynaptikeln mit einander verbunden; gegen das Kelcheentrum zu anastomosiren die Septa sehr oft und bilden ein schwammiges Säulchen. Dünne Traversen sind auch vorhanden. Eraron sagt, dass man die zu diesem Genus gehörigen Formen als Thamnastraeen ohne Traversen aber mit sehr feinen und zahlreichen Synap- tikeln bezeichnen könnte. Kosy fügte der ursprünglichen Diagnose noch bei, dass auch eine rudimentäre Mauer vorhanden sei. Dasselbe betonte später auch Ferıx und hob zugleich hervor, dass dies ein Unterscheidungsmerkmal von Siderofungia Reıs sei und dass Thamnoseris zwischen Siderofungia und Siderastraea stünde. Die Mauer von T’hamnoseris ähnelt im feineren Bau der von Siderastraea, über die ich früher schon (Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896) näheres mitgetheilt habe. Sie besteht aus ächten und Pseudo- synaptikeln, die an der Stelle, welche die Mauer vertritt, kräftiger entwickelt sind. Die Mauer ist also hier auf ähnliche Weise gebaut wie bei den Astraeiden, nur dass sie hier anstatt durch Traversen durch Synaptikeln und Pseudosynaptikeln (im Verein mit den Septen) zu Stande kommt. Bei meinen Stramberger Exemplaren konnte ich neben den Synaptikeln auch noch spär- liche Traversen beobachten. Die früheren Autoren, Erauuon und Kopy, be- schrieben nur rundliche oder knollige Stöcke. Später beschrieb Feuıx eine Art aus dem Neocom, T’hammoseris arborescens, die aus cylindrischen oder etwas comprimirten Stämmchen besteht. Unter dem Stramberger Material finden sich sowohl rundliche und knollige, wie cylindrische Formen. Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 16 2423 Die Korallen der Stramberger Schichten. Thamnoseris Montispastelli p’Acn. sp. — Taf. IX, Fig. 10. 1890. Isastraea Montispastelli D’Acm. Cor. Giur. p. 14, pl. 17, Fig. 5. Korallenstock flache oder seitlich comprimirte Masse mit rundlicher Oberfläche. Circa 50 mm im Durchmesser. Kelchgruben seicht, mit hervor- tretenden Wänden, unregelmässig kreisförmig oder polygonal. Durchmesser 3—5 mm. Die Septen der benachbarten Kelche fliessen an den Wänden zusammen. Sie wechseln wenig in der Grösse, spitzen sich nach innen zu. Man zählt 48—50 Septen, die am Oberrand gezackt und an den Seiten- flächen mit deutlichen, unregelmässig gestellten Synaptikeln versehen sind. Ein papillöses falsches Säulchen ist vorhanden. Fpithek scheint dünn ge- wesen zu sein. Allgemeine Bemerkungen: Von den mir vorliegenden Exemplaren haben zwei von Stramberg stammende einen flachen Stock, ähnlich dem von n’AcHIARDI beschriebenen; während zwei von Chlobowitz stammende höher und comprimirt sind. Die Abbildung von p’AcHrArpı macht vollkommen den Eindruck von mit Synaptikeln versehenen Septen. Da auch die Kelchumrisse scharf hervortreten, habe ich meine Exemplare mit seiner Art identifieirt und zu der Gattung T’hamnoseris gestellt. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundorte: Stramberg, Chlobowitz; ausserdem: Monte Pastello. Thamnoseris Amedei Er. sp. — Taf. X, Fig. 1, 1a, 1b. 1862. Microphyllia Amedei Tuuru u. Br. Leth. Bruntr. p. 393, pl. 56, Fig. 1. 1889. Latimaeandra Amedei Kosy. Polyp. jur. p. 254, pl. 71, Fig. 3, pl. 72, Fig. 8. Korallen bilden hochwachsende Aeste, die 15—20 mm Durchmesser aufweisen. Kelche mit seichter Grube und etwas hervorragenden Wänden. Durchmesser 3—4 mm. Die Septen wechseln in der Grösse, werden dünn nach innen und dicker im peripheren Kreis der Kelche. Man zählt gewöhnlich 25—35. Ein falsches Säulchen von spongiösem Aussehen wird durch die inneren Septalenden gebildet. Marginale Knospung tritt sehr häufig auf und gibt den Kelchen unregelmässige Umrisse. Kurze Reihen von 2, höchstens 3, Kelchen kommen ab und zu vor. Allgemeine Bemerkungen: Frec# (Palaeontogr. Bd. 37, p. 21) hat nach den Abbildungen von Kogy geurtheilt, dass Z. Amedei der Septalstruktur nach eher zu der Gattung Thammastraea zu rechnen sei. Auf Grund der Septalstruktur stimme ich mit Frecm überein, dass die Gattung kein Astraeide ist; alle übrigen Merkmale deuten ihre Zugehörigkeit zu Zhammoseris an. Es kommt immer eine Kelchwand zum Vorschein, wenn man die Exemplare Thamnoseris. 243 anschleift. Auch die ungleichen Zacken des Septal-Oberrandes und das spongiöse Säulchengewebe spricht dafür. Von 7’h. Perroni ist Th. Amedei durch die kleineren Kelche und feineren Septen unterschieden. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, Soyhieres, St.-Ursanne. Thamnoseris Perroni From. sp. — Taf. X, Fig. 2, 2a, 2b. 1856. Thamnastraea Perroni From. Bull. de la Soc. Geol. de France, p. 868. 1862. s 5 5 Monogr. des Polyp. jur. sup. p. 45, pl. V,F. 5. Korallen massiv, rundlich. Wachsthum in übereinander gelegten Schichten. Höhe 60, Durchmesser 38 mm. Kelche mit hervorragenden Wänden und sehr tiefen Gruben. Kelchdurchmesser 5—6 mm. Die Septen sind dick, gleich- mässig entwickelt, am Oberrand tief gezackt. 16—20 ziemlich gleich ent- wickelte erreichen das Centrum. Im Ganzen zählt man 36. Die Synaptikeln sind sehr zahlreich und hervortretend. Säulchen klein, mit Septalenden und Synaptikeln im Innern ein spongiöses Gewebe bildend. Epithekalringe sind oft an den verschiedenen Wachsthumschichten sichtbar in Entfernungen von 7—10 mm. Costalenden finden sich auf diesen Ringen 22 auf 5 mm. Allgemeine Bemerkungen: Da einige Exemplare in der Münchener Sammlung aus Mantoche und Coulange sur Yonne stammen, dem Fundort von FROMENTEL’s Exemplaren, und mit seiner Beschreibung übereinstimmen, habe ich sie auf ihre feinere Struktur untersucht und gefunden, dass sie da- nach zu der Gattung T’hamnoseris anstatt zu Thamnastraea zu rechnen wären. Dies Resultat hat auch mein Stramberger Exemplar bestätigt. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundorte: Stramberg, Mantoche, Gray la Ville. Thamnoseris Strambergensis OcıLvıe. — Taf. X, Fig. 3, 3a. Korallenstock massiv, mit rundlicher Oberfläche und engem Stiel. Höhe 30, Durchmesser 60 mm. Die Kelche sind wenig hervorragend, mit unregel- mässig polygonalen Umrissen. Kelchdurchmesser 4'/, mm. 10—14 Septen erreichen das Centrum, im Ganzen sind 36—42 vorhanden. Die kürzeren Septen legen sich oft an die Seitenflächen der längeren an. Säulchen papillös. Die inneren Enden der Septen sind oft verdickt und nehmen das Aussehen von Pfählchen an. Epithek gut entwickelt; Costen sind 16 auf 5 mm vorhanden. Allgemeine Bemerkungen: 7%. Strambergensis ähnelt der für die Gattung typischen Art 7A. Troteana Er. sehr, hat aber kleinere Kelche und weniger zahlreiche Septen. Auffällig regelmässig bei 7’. Strambergensis ist die Gruppirung der Septen in mehreren Bündelchen, die von den Kelcheentren . 16* 244 Die Korallen der Stramberger Schichten. strahlenförmig auslaufen. Die Synaptikeln auf der Oberfläche der Septen sind zahlreich aber fein. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundort: Strambere. Subfamilie Lophoserinae Eow. u. H. Einfache Korallen oder coloniebildende, meist flache, lappige Stöcke, deren Kelche mittelst confluenter Septen und pseudothekaler Bildung infolge verstärkter Synaptikeln zusammenhängen. Septen am Oberrand unregelmässig gezackt. Divergenz der Trabekeln nicht wie bei den Thamnastraeinae und Funginae, die Trabekeln divergiren hier von mehreren Verticallinien in ein und demselben Septum. Ausserdem können die einzelnen Trabekel ab und zu in ihrem Verlauf unterbrochen sein. Im Querschnitt sind die Trabekel rundlich oder viereckig wie bei den Z’hamnastraeinae. Aus den beiden letzt erwähnten Momenten folgt, dass die Septen ursprünglich nicht vollkommen dicht sind, wenn sie sich auch später durch nachträglich sich ablagernde Kalksubstanz manchmal ausfüllen. Es sind sowohl ächte als Pseudosynaptikel reichlich vorhanden. Traversen spärlich oder fehlend. Epithek rudimentär. Die Lophoserinae schliessen sich im Bau der einzelnen Trabekel aufs engste an die Thamnastraeinae an, indem auch hier jedes Trabekelglied aus einer verhältnissmässig geringen Anzahl starker Faserbündel besteht, deren Caleificationscentren um eine gemeinsame (ideale) Axe angeordnet sind. Da- gegen unterscheiden sich die beiden Subfamilien etwas in der Anordnung der Trabekeln. Bei den Thamnastraeinen sind die Trabekeln nahezu parallel an- geordnet und sind vom Aussenrand der Septen nach oben und innen gerichtet. Bei den Lophoserinen dagegen kann man in ein und demselben Septum mehrere Divergenzzonen unterscheiden, von welchen die Trabekeln nach beiden Seiten aufsteigen. An den Stellen, an welchen die Trabekeln benachbarter Divergenzzonen aneinander stossen, haben sie die Neigung öfter unterbrochen zu werden und nicht vollständig mit den Trabekeln der anderen Divergenz- zone zu verwachsen. Dadurch kommen hauptsächlich die unregelmässig ver- theilten Löcher im Septum der Lophoserinae und zugleich eine gewisse Aehn- lichkeit mit dem Eupsammiden-Septum zu Stande. Durch die Entwickelung der Horizontalleisten auf den Seitenflächen der Septen unterscheiden sich indess die Zophoserinae sofort von den Eupsammiden und beweisen zugleich ihre Zugehörigkeit zu den Fungiden. Von der Unterfamilie der Funginae unterscheiden sich die Lophoserinen leicht durch den Bau und die Anordnung der Trabekeln. Ich halte das für ein viel wichtigeres Merkmal als das Vor- handensein oder Fehlen von Stacheln auf der Unterseite des Stockes. Protoseris. 245 Gen. Protoseris Ev. u. H. 1351. Protoseris Eopwarvs u. Haıme. Brit. Foss. Cor. p. 103. 1857. Rn “ 7 Corall. T. IH, p. 71. 1857. hs Pıcrer. Traite de Pal&öont. T. IV, p. 425. 1858—60. „, From. Introd. p. 241. 1875 —76. „ Becker. Natth. Kor. Palaeont. Bd. XXI, p. 179. 1579. n Zırtet. Handbuch I, p. 246. 1884. ” Doxcan. Madrep. Genera, p. 159. 1881-89. ,„ (pars) Kopy. Polyp. jur. pp. 350 u. 571. Zusammengesetzte Stöcke aus blattartigen, lappigen Lamellen bestehend, Unterseite durch die Costalenden der Septen gestreift. Oberseite mehr oder weniger concav; die Kelche unregelmässig, doch nahezu parallel dem Aussen- rand der Lappen angeordnet. Kelche durch confluente Septen verbunden. Septen am Oberrand unregelmässig gezackt, auf den Seitenflächen senkrecht zum Septalrand verlaufende Granulationen, die oft verschmelzen und dadurch Horizontalleisten auf den Septalflächen bilden. Die Trabekel auf den Septen sind sehr grob und lassen nur einzelne unregelmässig angeordnete Löcher zwischen sich. Es kommen sowohl ächte als Pseudosynaptikel vor. Säulchen papillös. Hinsichtlich der systematischen Stellung dieser Gattung schliesse ich mich der ursprünglichen Ansicht von Mıtne Epwaros und HArmz und neuer- dings von Duncan an und stelle dieselbe zu den Lophoseriden. BECKER be- trachtete Protoseris als eine Untergattung von Thamnastraea. Kopy ist über die systematische Stellung der Gattung nicht ganz sicher und stellt sie mit einiger Reserve zu seinen Astrocoeniden. Duncan’s Ansicht, dass diese Gat- tung ein Vorläufer der jetzt lebenden Lophoseris ist, scheint mir durch die unregelmässige Löcherung der Septen und den ganzen Habitus des Stockes wohl gerechtfertigt. Protoseris recurvata OcıLvıe. — Taf. XI, Fig. 1. Korallenstock blattartig, jedes Blatt ist in mehrere gerollte Lappen getrennt und besteht aus dichtgedrängten Kelchen. Ungefähr 10—12 Septen kommen auf 5 mm Breite. Die Septen der Kelche, die am Aussenrand eines Blattes stehen, verlängern sich nach aussen bedeutend, und da die Blätter symmetrisch nach innen gerollt sind, geben diese Septen oft den Eindruck, als ob sie von einem Kelchcentrum ausstrahlen; in Wirklichkeit aber sind mehrere Kelche von ganz ungleicher Grösse vorhanden. Die Costalstreifen auf der Unterseite sind nur sehr fein granulirt und nackt. Allgemeine Bemerkungen: Die Kelchcentren sind bei dieser Art nicht so deutlich ausgeprägt wie bei Protoseris robusta. Die Septen sind viel 946 Die Korallen der Stramberger Schichten. gröber als bei den bis jetzt bekannten Profoseris-Arten. Die gerollten Lappen und die charakteristische Anordnung der Septen in jedem Lappen bilden Merkmale ähnlich mit Kosr’s Art Protoseris? Jaccardi. Kosy hegte Zweifel über die Gattungsbestimmung wegen des Vorkommens einer starken Epithek. Die Stramberger Exemplare zeigen keine Spur von Epithek. Gewiss kann das eine Folge der Verwitterung sein, doch weichen die Stramberger Exemplare auch sonst noch in ihrem Habitus etwas ab. Die Lappen sind kräftig und stehen weit auseinander, was dem Stock ein fast pfeilerartiges Aussehen gibt. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundort: Stramberg. Protoseris robusta Becker. — Taf. XI, Fig. 2, 2a. 1875—76. Protoseris robusta Becker. Natth. Korallen, p. 59, Taf. 42, Fig. 3. Korallenstock aus blättrigen Lamellen gebildet, 5 mm dick, in der Breite ungefähr 100 mm. Die Unterseite des Stockes zeigt concentrische Furchen und feinere Costalstreifen, 17”—18 kommen auf 5 mm. Kelche unregelmässig gestellt. Abstand von Centrum zu Centrum 5—6 mm. Kelchgrube seicht, die Kelchränder sind flach gerundet. Auf den letzteren fliessen die Septen der benachbarten Kelche zusammen. Die Zahl der Septen ist sehr verschieden, im Durchschnitt 36—40. Circa 15 erreichen das schwammige Säulchen. Allgemeine Bemerkungen: Die Uebereinstimmung der Stramberger Exemplare mit dieser Becrer’schen Art ist vollständig. Der Erhaltungs- zustand war der Untersuchung der feineren Struktur nicht günstig, zeigte jedoch das häufige Vorkommen von Synaptikeln. Ein Exemplar von Wischlitz hat eine etwas abweichende Form des Korallenstocks, der sich in regelmässige fingerförmige Ausläufer theilte. Auch war jeder fünfte Costalstreif auf der Unterseite stärker entwickelt wie die dazwischenliegenden. Da aber die wesentlichen Kelchmerkmale übereinstimmten, halte ich dieses Exemplar höchstens nur für eine Varietät der Protoseris robusta. Zahl der untersuchten Exemplare: 1. Fundorte: Stramberg, Wischlitz; ausserdem: Nattheim. Gen. Comoseris »’Orsıcny. 1843. Pavonia (pars) u. Maeandrina (pars) Micuzrin. Icon. zooph. pp. 98 u. 100. 1848. Siderastraea (pars) M’Coy. An. and Mag. of Nat. Hist. 2. ser. T. XI, p. 419. 1849. Comoseris D’Orzıcny. Note sur des pol. foss. p. 12. 1851. > Mırne EpwArps u. Hase. Brit. foss. Corals. p. 101. 1857. n 5 n cR Hist. Nat. Corall. T. II, p. 62. Comoseris. 247 1858. Comoseris KırauLon. Haut-Jura, p. 121. 1858—60. ,, Fromenzer. Introduction, p. 170. 1562, ” THURMAnN u. Eratvox. Lethaea Bruntrutana, p. 405. 1875—76. „, Becker u. Mitascnewrrz. Natth. Kor. Palaeontogr. Bd. XXI, p. 230. 1882. 55 Prarz. Verwandtschaftl. Bez. Korall. Gatt. Palaeontogr. Bd. XXIX, p- 112, 113. 1334. ee Duncan. Madreporaria, p. 162. 1850—89. ,, Kosy. Pol. Jur. p. 404. Zusammengesetzte, massive Stöcke. Unten sehr stumpf-conisch bis flach, Oberseite convex. Kelche unregelmässig angeordnet, durch confluente Septen verbunden. Die Kelche fliessen oft zu kurzen Reihen zusammen. Septen fein, zahlreich, und fast gleich lang, am Oberrand regelmässig gezackt. Auf den Seitenflächen Reihen von Granulationen, die senkrecht zum Septalrand verlaufen und mit denen der nächsten Septen Pseudosynaptikeln bilden. Septen regelmässig gegittert. Pseudotheka nicht vorhanden, doch sind oft scharfe Höhenzüge zwischen benachbarten Kelchen und Kelchreihen. Unterseite mit runzeliger, starker Epithek versehen. Die Gattung Comoseris wurde von den früheren Autoren immer neben Lophoseris in der Unterfamilie Zophoserinae gestellt. Später aber gab Prarz an, dass Comoseris hinsichtlich der Septalstruktur mit Microsolena und Maeandraraea in engster Beziehung stünde. Er stellte dieselbe in die zweite Gruppe seiner Pseudoastraeinae regulares, d. h. neben Microsolena. Hierin folgten ihm die meisten der späteren Autoren. Duncan stellte dagegen die Gattung Comoseris zur Familie der Zopho- seridae, da er an einem gut erhaltenen Exemplar von Comoseris irradians ganz dichte Septen beobachtete. Sonst findet man im der Literatur über die feinere Struktur der Septen von ZL. irradians wenig Aufschluss; mehrere Autoren erwähnen nur, dass die Septen unregelmässig gezackt und dass die Trabekel sehr grob sind. Dies sind zwei Merkmale, die sehr gegen die Ein- reihung von Comoseris neben Mierosolena sprechen. Darüber besteht indess kein Zweifel, dass die typische Art der Gattung Comoseris maeandrinoides MicH. sp. in der feinen Septalstruktur wesentlich von den Pseudoastraeinae regulares Prarz abweicht. Kogr bildet ein Septum ab (Polyp. Jur. pl. CXXX, Fig. 17), das zeigt wie die Trabekel nicht parallel mit einander angeordnet sind, sondern in mehreren fächerförmigen Gruppen. Eine solche Anordnung ist sonst nie unter den Pseudoastraeinae regulares bekannt, während sie für die Lophoserinae charakteristisch ist, und zum T'heil die unregelmässige Bezahnung des Septal- randes bedingt. Auf Grund dieses Septalbaues der typischen Art habe ich nun die Gattung Comoseris zu der Unterfamilie Lophoserinae gestellt. 248 Die Korallen der Stramberger Schichten. Comoseris brevivallis OcıLvıe. — Taf. X, Fig. 9. Korallenstock massiv, von rundlichem Umrisse, auf der Unterseite conisch gestielt. Die Kelche sind in kurzen und nicht sehr gewundenen Reihen an- geordnet. Kelchgruben ziemlich tief. Breite einer Reihe 4—5 mm. Abstand der Kelchcentren in den Reihen sehr wechselnd, durchschnittlich 3,5—4 mm. Die Septen sind vollkommen gleich entwickelt, ca. 11 oder 12 reichen bis zum Kelchcentrum. Es kommen auf die Höhenzüge zwischen den Kelchreihen 18 Septen auf 5 mm. Bei den ab und zu vorkommenden Einzelkelchen sind die radiär angeordneten Septen 24—28 an Zahl. Die Septen sind porös, die Poren aber entsprechen nicht genau dem Verlauf der Trabekeln. Pseudo- und echte Synaptikeln sind vorhanden, auch schräg gestellte Traversen stützen sich oft auf unvollkommen verwachsenen Granulationen. Die Costalstreifen auf der Unterseite des Stockes sind 22 auf 5 mm in Zahl, sind gleich stark, granulirt, und mit dünnen concentrischen Epithekalringen versehen. Letztere sind nur an besonders gut erhaltenen Stellen wahrzunehmen. Allgemeine Bemerkungen: C. brevivallis zeichnet sich durch sehr kurze Kelchreihen aus. Dem allgemeinen Habitus nach ähnelt diese Stram- berger Art am meisten der sehr verbreiteten C. irradians Epw. u. H., unter- scheidet sich aber durch grösseren Abstand der Kelcheentren und viel feinere Septen. Letzteres Merkmal unterscheidet sie auch von einer Monte Pastello- Art ©. amplistellata vw’AcH. (Cor. Giur. p. 19, Taf. 17, Fig. 11). Erwähnens- werth ist die Aehnlichkeit, die eine als Anomophyllum Münsteri von RÖMER beschriebene Art bietet (Verst. des Oolithen-Gebirges, p. 21, Taf. I, Fig. 6 und E. u. H. Corall. Taf. III, p. 202). Da das Römer’sche Originalexemplar mangelhaft war, genügt die Beschreibung nicht für einen vollständigen Ver- gleich desselben mit C. brevivallis. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundort: Stramberg. Familie Eupsammidae E. u. H. emend. OcıLvıE. — Eupsamminae E. u. H., welchen aber noch zuzuzählen sind: Epistreptophyllum, Diplaraea und Haplaraea MivAschrwirz, Dermosmilia Kosy und Baryphyllia From. Stylo- phyllum Reuss emend. FrecH und Stylophyllopsis Frecn, Coscinaraea E. u. H, Einfache oder zusammengesetzte Korallen mit zahlreichen Septen. Septal- vand mit unregelmässigen und gerundeten Zähnen versehen. Granulationen sind auf den Seitenflächen der Septa vorhanden, die reihenförmige Anordnung derselben ist indess nicht sehr gut ausgedrückt, entsprechend dem unregel- mässigen Verlauf der Trabekeln. Trabekelglieder (Septaldornen) häufig mit Eupsammidae. 249 den benachbarten oder mit den nächst höheren nicht fest verwachsen, wo- durch die Septen unregelmässige Löcher haben. Pseudo- und ächte Synap- tikel verbinden die Septen, namentlich gegen aussen zu und geben zu einer regelmässigen und symmetrischen Verwachsung verschieden alter Septen Veran- lassung. Traversen von sehr verschiedener Gestalt, bodenartig oder als feine Blasen entwickelt. Pseudotheka nahe am Aussenrand, durch Einschiebung einer grossen Anzahl kurzer Septen, sowie durch Verdickung der basalen und der septalen Elemente gebildet. Ausserhalb der Pseudotheka sind alle Septen als granulirte Costen vertreten. Epithek dünn, gerunzelt. Die Vermehrung erfolgt durch marginale Knospung und Theilung. Die Familie der Eupsammiden ist in der Jetztzeit noch durch zahlreiche Gattungen und Arten vertreten. In den Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896 habe ich die feinere Struktur von Eupsammia ausführlich besprochen. Da ich bei einer Anzahl Gattungen, die bisher zu verschiedenen anderen Korallen- gruppen gestellt wurden, die gleiche Septalstruktur und Uebereinstimmung in sonstigen Merkmalen fand, rechne ich dieselben nun zur Familie der Eup- sammiden. Die wichtigsten und für die Familie charakteristischen Merkmale der feineren Struktur sind folgende: 1) Die verschiedenen auf einander folgenden Glieder der einzelnen Tra- bekel sind nicht immer fest mit einander verwachsen, sondern lassen häufig Zwischenräume zwischen sich frei. Die Trabekelglieder besitzen fast immer mehrere Calcificationscentren, die indess nicht eng und regelmässig um die ideale Trabekelaxe, sondern mehr im Zickzack verlaufen. Damit hängt die gerundete und unregelmässige Gestalt der Septalzähne zusammen. FreEcH spricht bei Stylophyllum und Stylophyllopsis nur von Septaldornen. Da nun diese Septaldornen, oder wie ich sie heisse, diese Trabekelglieder immer in aufsteigenden Reihen angeordnet sind, so ist man vollkommen berechtigt eine derartige Reihe als Trabekel anzusehen. 2) Auch die neben einander stehenden Glieder zweier benachbarter Trabekel sind nicht immer fest verwachsen. Auf diese Weise entstehen so- wohl innerhalb eines Trabekels als auch zwischen benachbarten Trabekeln unregelmässige Lücken, die oft in einander übergehen. Dadurch bekommt ein solches Septum ein sehr unregelmässig löcheriges Aussehen, das sich sehr scharf von einem Thamnastraeen-Septum, mit den in Reihen regelmässig an- geordneten Löchern, unterscheidet. Bei den älteren Septen der Eupsammiden werden diese unregelmässigen Lücken zum Theil noch durch nachträgliche Kalkabscheidung ausgefüllt. 3) Zwischen den Septen sind ächte und Pseudosynaptikel vorhanden. Dieselben sind nicht wie bei den T’hamnastraeinae in einer bestimmten Be- ziehung zu jedem Trabekel, sondern regellos angeordnet. Die Struktur der 350 Die Korallen der Stramberger Schichten. ächten Synaptikel ist genau dieselbe wie die Struktur der einzelnen Trabekel- glieder in dem Septum. Man kann überhaupt nicht streng unterscheiden zwischen Synaptikeln und solchen Trabekelgliedern, die sich am inneren Ende eines kurzen Septums etwas schräg stellen und mit der Seitenfläche des nächststehenden längeren Septums zusammenwachsen. Ein Querschnitt durch einen Eupsammidenkelch gibt ein Bild der Synaptikel und Trabekelglieder, das vom ausgesprochenen radiären Bau der Skeletelemente, wie er bei Heli- astraea z. B. vorhanden ist, abweicht. Im Allgemeinen sind bei den jüngeren Eupsammiden die benachbarten Trabekelglieder in ein und demselben Septum häufiger mit einander verwachsen, so dass das Septum lamellenartiger wird als bei den älteren, mesozoischen Vertretern dieser Familie, wo die einzelnen Trabekelglieder häufiger isolirt bleiben. Bei den jüngeren Eupsammiden sind auch die Synaptikel im inneren Theil der Kelche seltener. Das steht jeden- falls damit im Zusammenhang, dass hier das Septum lamellärer und fester wird. Es finden sich indess bei den älteren mesozoischen Gattungen bereits einige Arten, welche diese Verhältnisse schon zeigen und die dadurch in phyllogenetischer Hinsicht den anderen voraus eilten. Interessant ist es übrigens auch, dass sich bei einzelnen der triasischen und jurassischen Arten manchmal sehr viele Exemplare finden (siehe z. B. unten Haplaraea colum- naris), bei welchen die Septen auf der einen Kelchseite etwas länger sind, wodurch eine gewisse Excentrieität und Bilateralität im Kelchbau hervor- gerufen wird. Dass dies ein Ueberbleibsel aus palaeozoischen Zeiten ist, wurde schon bei Besprechung der Amphiastraeiden erwähnt. Um Wiederholungen zu vermeiden, werde ich gleich hier die drei in den Stramberger Schichten vorkommenden Eupsammiden-Gattungen näher behanden. Es sind dies die Gattungen Epistreptophyllum und Haplaraea (Einzelkorallen), und Diplaraea (coloniebildend), alle drei zuerst von MILAScHE- wırz aus den Nattheimer Schichten beschrieben. Epistreptophyllum wurde indess von MivAscHhewırtz als eine Uebergangsform von den Fungiden zu den Astraeiden betrachtet und unter den Fungiden beschrieben; Haplaraea und Diplaraea dagegen fasste er als Poritiden auf. Die beiden letzten Gattungen wurden ein paar Jahre später von Zırreun zu den Eupsamminae gestellt. Ich will zunächst Haplaraea besprechen, da diese Gattung bereits von Pratz (Verwandtsch. Bezieh. Palaeontogr. Bd. 29, p. 102) eingehend unter- sucht worden ist. Aus diesen Untersuchungen von Prarz geht hervor, dass die Septen hier aus unregelmässigen und nicht vollständig verwachsenen Tra- bekeln bestehen, sowie dass Pseudosynaptikel neben ächten Synaptikeln und zahlreichen Traversen vorhanden sind. Die gleiche Struktur gibt Prarz für Diplaraea, Maeandraraea p. p. und auch für die recente Coscinaraea an. Er fasste diese Formen als eine besondere Gruppe (Pseudoastraeinae irregu- lares) zusammen und stellte sie zu den Fungiden. Ich kann die Beobachtungen Eupsammidae. 951 u von Pratz durch eigene Untersuchung von Haplaraea vollkommen bestätigen. Ich habe indess schon früher (Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896) darauf hingewiesen, dass die für Haplaraea charakteristischen Merkmale ganz und sar mit denen der typischen Eupsamminae- Gattungen übereinstimmen und habe desshalb Haplaraca sowohl von den Fungiden wie von den Poritiden getrennt und zu den Eupsammiden gestellt. Dasselbe gilt auch von den übrigen von Pratz unter den Pseudoastraeinae irregulares zusammengefassten Gattungen. Bis jetzt waren nur zwei Arten von Haplaraea, eine jurassische und eine cretaceische, bekannt. Im Folgenden ist eine neue Art von Stramberg beschrieben und ausserdem hervorgehoben, dass auch die triasische Stylo- phyllopsis polyactis FrecH nach meiner Ansicht zu Haplarae« gehört. FrecH hat seine Gattung Stylophyllopsis überhaupt nicht mit Haplaraea verglichen. Nach Free ist Stylophyllopsis polyactis nur als Einzelkoralle vorhanden, während alle übrigen Arten sowohl als Einzelformen wie als zu- sammengesetzte Stöcke vorkommen. Stylophyllopsis polyactis unterscheidet sich von den übrigen Arten durch die grosse Anzahl seiner Septen und schliesst sich sonst im ganzen Habitus sehr eng an die Gattung Haplaraea an. Hinsichtlich ihres Septalbaues stimmen übrigens auch die anderen Stylo- phyllopsis-Arten vollkommen mit Haplaraea überein. Als Gattungsunterschiede wären nur die geringere Zahl der Septen und die damit zusammenhängende seltenere seitliche Verwachsung derselben, sowie die bodenartige Entwicklung der Traversen zu erwähnen. Die systematische Stellung der Gattung Epistreptophyllum war lange schwankend. Von Epistreptophyllum waren bis jetzt die drei Arten bekannt, welche schon MitaAschzrwirz aufgestellt hat. Wie bereits erwähnt, stellte MitAscHEwıTZ diese Gattung wegen des Vorkommens der Synaptikel zu den Fungiden, ohne sie indess fest damit zu vereinigen. Später versetzte ZıTTEL Epistreptophyllum in eine besondere Subfamilie der Astraeiden. Aus den Untersuchungen von Prarz geht hervor, dass bei der Gruppe der Zhamn- astraeinae das Vorkommen von Traversen neben Synaptikeln nicht selten ist; ferner, dass bei einer Anzahl Gattungen (Pseudoastraeinae regulares) nur „Pseudosynaptikel“, d. i. verschmolzene Granulationen, vorkommen, während bei anderen Gattungen (Pseudoastraeinae irregulares und Pseudoagaricinae) ausser Pseudosynaptikeln auch ächte Synaptikeln, d. h. Verbindungsglieder zwischen Septen mit selbständigen Caleificationscentren vorkommen. Eine Ergänzung der Untersuchungen von Prarz über Pseudosynaptikel und Synap- tikel habe ich in einer früheren Arbeit gegeben (Philos. Trans. Roy. Soc. London 1896), worin ich beide nebeneinander bei den Funginae, Lophoserinae und Eupsamminae nachwies. Die Eupsamminae unterscheiden sich von den 252 Die Korallen der Stramberger Schichten. Funginae hauptsächlich durch die unregelmässige Anordnung der Synaptikeln und Septen. Leider gestatten die Nattheimer Exemplare von Epistreptophyllum keine feinere mikroskopische Untersuchung, da sie sehr verkieselt sind. Doch lassen sich aus der Oberflächen-Skulptur der Septen immerhin viele Schlüsse über den feineren Bau der Septen ziehen. Wichtig ist es, dass die Septen öfter unterbrochen sind und dass die aufgelösten Stücke im Innern ein schwammiges Säulchen bilden. Die Synaptikel treten ebenfalls unregelmässig auf und geben den Septen öfter Eupsammiden-ähnliche Septalbilder. Die in allen äusser- lichen Merkmalen mit den Nattheimer Formen übereinstimmenden Stramberger Exemplare sind günstiger erhalten und zeigen den für Eupsammiden charak- teristischen feimeren Septalbau. Damit ist die systematische Stellung der Gattung Epistreptophyllum klargelegt und zugleich ihre nahe Verwandtschaft mit der gleichaltrigen Einzelkoralle Haplaraea und der coloniebildenden Diplaraea gekennzeichnet. Später stellte Kosy (Pol. Jur. p. 338) eine neue Gattung, Lithoseris, auf, welche zwei jurassische Arten umfasste, Zithoseris graeilis und Lithoseris compressa. Letztere halte ich für identisch mit Epistreptophyllum commume MIGASCHEWITZ, erstere ist gleichfalls ein Epistreptophyllum und jedenfalls sehr nahe stehend, wenn nicht identisch mit Epistreptophyllum tenue MILASCHEWITZ. Ich vereinige somit die Gattung Lithoseris mit Epistreptophyllum. Ausserdem sei erwähnt, dass die von Fromkenrten und Kogy als Zeptophyllia montis be- schriebene Art auch im den Stramberger Schichten vorkommt, nach meinen Untersuchungen aber ebenfalls zu Epistreptophyllium gehört. Von Haplaraea unterscheidet sich Epistreptophylium durch das Vor- kommen eines Säulchens, durch geradlinigen Verlauf der Septen und dichtere Verwachsung der einzelnen Trabekeln, so dass hier, wenn man den Kelch von oben betrachtet, mehr der Eindruck eines lamellären Astraeiden-Septums hervorgerufen wird, als dies bei den lockeren und gekrümmten Septen in Haplaraea der Fall ist. Schon Mıtaschzwiırz hob genau die gleichen Unter- schiede zwischen Haplaraea und Diplaraea hervor, desshalb ist die Gattung Diplaraea noch inniger mit Epistreptophyllum als mit Haplaraea verwandt. Wenn man Kogr’s Beschreibung des Septalbaues von Dermosmilia Kopy und Baryphyllia From. liesst (Pol. Jur. p. 546 u. 547, Pl. 129, Fig. 11, 11a), so überzeugt man sich, dass die feinere Struktur derselben vollkommen mit den bis jetzt besprochenen jurassischen Gattungen übereinstimmt. Ausserdem hatte ich die Gelegenheit unter dem Stramberger Material solche jurassische Dermosmilien zu untersuchen und die feinere Struktur zu beobachten. Auch daraus geht die Uebereinstimmung bei der hinsichtlich der feineren Struktur hervor, wesshalb ich diese Formen als Eupsammiden auffasse. Kosy's Der- mosmilia stimmt nun, abgesehen vom feineren Bau, auch noch hinsichtlich Eupsammidae. 953 der baumartig verzweigten Form des Polypen-Stockes, sowie der übrigen Merkmale vollständig mit Diplaraea MivascHzwirz überein, wesshalb ich Dermosmilia mit Diplaraea vereinige. Diese Gattung, welche im oberen Jura sehr reichlich vertreten ist, bildet den Vorläufer der recenten Dendrophyllia. Baryphyllia FROMENTEL unterscheidet sich von Diplaraea MILASCHEWITZ durch das Fehlen des Säulchens, sowie durch die geringe Länge der Seiten- äste, die nur als kurze Ausläufer auf dem Hauptast sitzen. Die beiden Gattungen Diplaraes und Baryphyllia haben andererseits hinsichtlich des Habitus des Stockes folgendes gemeinsame und wichtige Merkmal. Von einem dickeren Stamm, der dem ursprünglichen Mutterkelch entspricht, zweigen die neu entstandenen Kelche als Seitenäste ab. Während nun bei Diplaraea diese Seitenäste meistens ziemlich lang werden, sind sie bei Baryphyllia nur als ganz kurze Stummel entwickelt. Hiedurch bekommt ein Baryphyllia-Stock das Aussehen, als ob aus einem mit Costen versehenen Coenenchym die Kelche hervorragen würden. Man kann nun aber bei diesen beiden Gattungen sowohl auf dem Hauptstamm, wie auf den Seitenästen manchmal noch eine dünne Epithek beobachten, wie sie auch bei Hgplaraea und Epistreptophyllum vorkommt. Bei den dicken Hauptstämmen muss offenbar das Höhenwachsthum im Vergleich zum Dickenwachsthum beträchtlich zurückbleiben und da während jeder Wachsthumsperiode der Stamm mit Epithek umgeben war, finden wir im Querschnitt eines solchen Stammes so viele (concentrische) Wachsthums- schichten als es Wachsthumsperioden gibt, also Verhältnisse, die an die Wachsthumserscheinungen bei eigentlichen Bäumen erinnern. Auf diese Wachsthumsart hat Kogy schon hingewiesen, indem er bei Besprechung von Dermosmilia sagt: „Le trone et les branches s’aceroissant en &paisser par la superposition de couches costales qui descendent du sommet ä la base“ (l. ce. p- 194). In ganz gleicher Weise äussert er sich über Baryphyllia. Durch diese Art des Wachsthums überzieht bei solchen Formen das lebendige Ge- webe den ganzen Stock von unten bis ganz oben. Vergleichen wir dagegen ästige Astraeiden-Stöcke, so finden wir, dass die Weichtheile nur eine Strecke weit über den Kelchrand nach aussen hinabragen, und dass sich desshalb das weiter unten befindliche Skelet nicht mehr weiter entwickelt und nur von einer einzigen Epithekschicht überzogen ist. Darin besteht demnach ein wesentlicher Unterschied zwischen ästigen Astraeiden und Eupsammiden. Wenn nun bei einzelnen recenten Eupsammiden-Gattungen ein Coenenchym ange- geben wird, so ist dessen Vorkommen um so leichter verständlich, als die sogenannten Costen auf der Artoberfläche nur die äusseren Endigungen der sich leicht in einzelne Trabekelglieder auflösenden Septen und Costen sind, zwischen die sich ausserdem noch reichliche Synaptikel einschieben. 254 Die Korallen der Stramberger Schichten. Nach dem Gesagten ist es einleuchtend, dass Diplaraea (Dermosmilia) auch abgesehen von der feineren Struktur sich sehr wesentlich von Astraeiden- Formen wie Thecosmilia und Rhabdophyllia unterscheidet, wesshalb ich der von FrecH (Triaskorallen, Palaeontogr. Bd. 37, p. 7) vorgeschlagenen Ein- verleibung von Dermosmilia unter Rhadophyllia nicht zustimmen kann. Schon oben, bei Besprechung von Haplaraea, habe ich die triasische Gattung Stylophyllopsis FrecH kurz erwähnt und auch auseinander gesetzt, warum ich Stylophyllopsis polyactis zu Haplaraea stelle. Die übrigen Stylo- phyllopsis-Arten umfassen coloniebildende Formen, die in ihrer Wachsthumsart und im Habitus sehr Baryphyllia ähneln (vergl. St. Zitteli Frec#. Trias- korallen, p. 49, Taf. XII, Fig. 13 u. 15). Da ausserdem auch die Septal- struktur in diesen triasischen Stylophyllopsis-Arten in allen wesentlichen Punkten mit der bei jurassischen Eupsammiden beschriebenen übereinstimmt, so kann ich Frec# nicht beistimmen, wenn er Stylophyllopsis zu den Astraeiden stellt, und zwar zusammen mit Siylophyllum als besondere Unterfamilie zu den Astraeiden. Frech erwähnt auch, dass eine Anzahl der von Duncan aus dem Lias beschriebenen Montlivaltien und Thecosmilien zu Stylophyllopsis zu stellen $eien und dass diese liasischen Arten die letzten Vertreter seiner Unterfamilie der Stylophyllinae seien. Dieser Ansicht F’rec#’s möchte ich die oben bereits angeführten Beweise entgegenstellen, die darin begründet sind, dass eine sehr grosse Zahl von jurassischen Arten von Epistreptophyllum, Haplaraea, Diplaraea und Baryphyllia in allen wesentlichen Merkmalen da- mit übereinstimmt und dass dieselben Merkmale auch noch bei den jetzt lebenden Eupsammiden zu finden sind. Die Gattung Stylophyllum wurde von Reuss ursprünglich zu den Tabu- laten gestellt (Kreideschichten der Ostalpen, Denkschriften der k. k. Akad. der Wissensch. Bd. VII, p. 132, Taf. 21, Fig. 1—3). Nach Frech unter- scheidet sie sich von Stylophyllopsis dadurch, dass die einzelnen Trabekel- glieder weniger fest verwachsen. Auch in den übrigen Merkmalen schliesst sich Stylophyllum enger an palaeozoische Formen an, als dies Stylophyllopsis thut. Solche Merkmale sind die Excentrieität der Kelchgrube und die damit zusammenhängende mehr oder minder bilaterale Anordnung der Septa, ausser- dem die Art der Vermehrung durch ausgesprochene Tabularknospung. Es gibt aber andererseits auch Arten, die sich wie z. B. St. tenuispinum durch die grosse Zahl ihrer Septen, durch zahlreichere Synaptikel und durch das Vorhandensein eines falschen Säulchens, sehr auf Epistreptophyllum hinweisen und vorbereiten. Ein anderes Beispiel wäre Stylophyllum paradoxum FrECH. Einige der auf Taf. 14 abgebildeten Exemplare (nämlich Fig. 3 und 12) erinnern bereits sehr lebhaft an Haplaraea und Epistreptophyllum. Frech setzte nun des längeren auseinander, warum die palaeozoische Gattung Calostylis nicht zu den Eupsammiden gestellt werden dürfte, wie dies Epistreptophyllum. 255 Lınpström gethan hat, sondern dass Calostylis eher noch mehr Ueberein- stimmung mit Siylophyllum und Stylophyllopsis zeige. Dass solche Fälle möglich seien, auch ohne dass desshalb verwandtschaftliche Beziehungen vor- handen zu sein brauchten, dafür führt er den Ausspruch Neumayr’s an, dass „einander ausserordentlich ähnlich gebildete Harttheile bei sehr verschiedenen Abtheilungen (der Korallen) vorkommen. “ Auf Grund der von mir gemachten Beobachtungen und Vergleiche halte ich es für sicher, dass Stylophyllum und Stylophyllopsis zu den Eupsammiden sehört und dass sie durch zahlreiche Uebergangsformen mit den lebenden Eupsammiden verknüpft sind, Nur nebenher möchte ich bemerken, dass auch NıcHoLson für die Zugehörigkeit von Calostylis zu den Eupsammiden einge- treten ist (Manual of Palaeontology, 1889, Vol. I, p. 307). Meiner Ansicht nach ist die grosse Lücke zwischen der silurischen Calostylis und den creta- ceischen Eupsammiden-Gattungen überhaupt nicht vorhanden, Genus Epistreptophyllum MruAscn. 1358. Zeptophyllia (p.p.) FROMENTEL. Introd. p. 120 non MıLye Enwarps u. Haıne. 1876. Epistreptophyllum MitAschewiırz. Natth. Kor., Palaeontogr. Bd. XXI, p. 210. 1876—80. - Zimmer. Handbuch der Palaeont. I, p. 249. 1884. 5 Duncan. Madreporaria, p. 133. 1881—89. Leptophyllia (p.p.) Koer. Pol. Jur. p. 313. 1881—89. Lithoseris Kosy. Pol. Jur. p. 338. Koralle einfach, conisch oder cylindrisch, Kelch ziemlich tief; Septen sehr zahlreich und fein, ab und zu in einzelne Trabekelglieder (= Septal- dornen FrecH) aufgelöst. Granulationen auf den Seitenflächen nicht regel- mässig angeordnet und von sehr ungleicher Grösse, manche als Pseudosynap- tikel entwickelt. Aechte Synaptikel und zahlreiche blasige Traversen vor- handen. Säulchen schwammig, gross, aus aufgelösten und sich verflechtenden Trabekelgliedern der längeren Septen zusammengesetzt. Keine ächte Wand, nur eine pseudothekale Verdickung der septalen und interseptalen Skelettheile nahe dem Aussenrand. Epithek dünn, runzelig bis zum Kelchrand reichend. Epistreptophyllum eommune MivAscH. Tarı xt. Bio. 13, 19a, 13h, 14. 1875—76. Epistreptophyllum commune MivascH. Natth. Kor. p.90, Taf. 50, Fig. 2, 2a. 1889. Lithoseris compressa Kosy. Polyp. Jur. p. 339, pl. 93, Fig. 33. Koralle eylindroconisch, mit schmaler Anwachsstelle. Höhe 50—100 mm. Kelche etwas elliptisch, Durchmesser 35x30 mm, Septen sehr zahlreich, 176—250, nahezu von gleicher Stärke. 28—30 Septen reichen bis zum 256 Die Korallen der Stramberger Schichten, Kelcheentrum, wo ihre inneren Trabekelenden ein grosses schwammiges Säulchen bilden. Von den übrigen Septen sind etwa 50 längere und etwa 50—60 kürzere gleichmässig in der Dicke. Alle übrigen Septen viel dünner und kürzer. Die Synaptikel sind in der Nähe der Peripherie am stärksten entwickelt. Traversen sind reichlich vorhanden. Costalenden der Septen gleich dick. Auf 5 mm Breite kommen 13—14 Costen. Ueber diesen Costen ist zum Theil eine Epithek erhalten, die in concentrischen Ringen die Koralle bis zum Kelchrand umgibt. Allgemeine Bemerkungen: Diese Art unterscheidet sich von E. eylindratum MıvascH. durch die grössere Zahl und den feineren Bau der Septen. Lithoseris compressa Kosy stimmt der Abbildung und Beschreibung nach vollkommen mit E. commune MmaAscrH. überein. (Bezüglich der Gattung Lithoseris siehe oben die Bemerkungen über den Genus Epistreptophyllum). Zahl der untersuchten Exemplare: 7. Fundorte: Stramberg, Bobreck; ausserdem: Nattheim, St. Ursanne. Epistreptophyllum eonieum OcıLvız. — Taf. XI, Fig. 12, 12a. Koralle conisch, mit sehr kleiner Anwachsstelle. Septa zahlreich, vier Cyclen reichen bis zum Kelchcentrum, die des 5. Cyclus nur wenig kürzer, die Septen des 6. Cyclus viel kürzer und dünnner. Säulchen schwammig, gross. Synaptikeln und Traversen gut entwickelt. Im peripheren Theil sind die Verwachsungen der Septen mittelst der Synaptikeln und Traversen so häufig, dass eine starke Pseudothek hervorgebracht wird. Costen alle von gleicher Stärke. Auf die Breite von 5 mm treffen 12—135. Epithek vorhanden. Allgemeine Bemerkungen: Von dieser Art liegen mir nur zwei Exemplare von Stramberg vor, die sämmtliche Merkmale gut zeigen, nur sind die oberen Kelchparthien nicht vollkommen erhalten. Dieselben unterscheiden sich von den von Mizaschzwirz beschriebenen Epistreptophyllen durch die conische Form, sowie durch die im Verhältniss zum geringen Kelchdurchmesser ausserordentlich grosse Zahl der Septen. Die Stramberger Art ähnelt im Habitus auch sehr der von Kory be- schriebenen Leptophyllia excelsa (Kosy, Pol. Jur. p. 320, pl. 92, Fig. 8S—11). Ich bin indess weder nach der Kosy’schen Beschreibung, noch nach seiner Abbildung ganz sicher, ob diese Art wirklich eine Zeptophyllia ist. Kosy beschreibt ein falsches Säulchen, das durch die aufgelösten inneren Enden („Grains“) der drei ersten Septencyelen entstanden ist. Dies ist nun ein Merkmal, das für Epistreptophyllum sehr charakteristisch ist, während die Diag- nose von Leptophyllia Reuss em. Prarz kein solches Säulchen erwähnt. Ausser- Epistreptophyllum. 257 dem stimmt der Abbildung nach der Septalbau viel mehr mit Epistreptophyllum als mit Zeptophyllia excelsa überein. Die Kosy’sche Art steht jedenfalls der Stramberger sehr nahe, da ich sie aber nicht direkt mit einander vergleichen kann, wage ich nicht sie zu vereinigen. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundort: Stramberg. Epistreptophyllum Montis From. sp. — Taf. XI, Fig. 11, 11a. 1858—60. Leptophyllum Montis From. Introd. p. 121. 1864. E „> ep Polyp. Corall. des env. du Gray, p. 12. 1865. cp 5 en et Ferry. Pal£ont. fr. terr. jurass., Zooph. p- 98, pl. 28, Fig. 2, 2a. 1889. = =; Kosy. p. 319, pl. 92, Fig. 1, 2, 3. Koralle ceylindroconisch oder von einer ziemlich breiten Basis gerade oder leicht gebogen in die Höhe wachsend. Die Peripherie der Koralle ver- rengert sich am Kelchrand, der als scharfe Kante die Kelchgrube umgibt. Die Koralle zeigt knollige Anschwellungen. Höhe der Koralle 20—60 mm; Durchmesser 20—35 mm. Septen sehr fein und zahlreich, gegen innen lösen sie sich vollständig in einzelne Dornen auf. 20—24 sind bis ins Centrum zu verfolgen, der vierte Cyclus ist von gleicher Dicke wie die drei ersten, aber ein wenig kürzer. Der fünfte Cyelus erreicht immerhin zwei Drittel des Kelch- radius, die übrigen Septen sind sehr kurz und dünn. Im Ganzen zählt man 130—190, je nachdem der sechste Cyclus gut entwickelt ist. Das schwammige Säulchen nimmt ziemlichen Raum mitten im Kelch en. Am Rand erreichen alle Septen die gleiche Dicke und sind als fein granulirte Costen unter der dünnen Epithek zu sehen. 11—12 kommen auf 5 mm. Nur oben am Kelch pflegt der sechste Cyclus düpn zu sein und die Costen in Folge dessen ab- wechselnd dicker und dünner. Symaptikel reichlich vorhanden und unregel- mässig gestellt. Traversen blasig, dünn. Allgemeine Bemerkungen: Man kann durch eine Reihe Schnitte an dieser Koralle verschiedene Stadien bezüglich der Bildung einer Pseudotheka beobachten. Ganz unten an der Basis sieht man wie durch nachträgliche Verdickung der Septen und Synaptikeln an der Peripherie eine breite Pseudo- theka sich bildet. Weiter oben bekommt man den in Fig. 11a abgebildeten Schnitt, wo die Verdickung sich nach innen wenig verbreitet, während man am Kelch selber keine Pseudotheka wahrnehmen kann. Obwohl ich nach dem Vorgang von Anderen von Cyelen gesprochen habe, sind diese durchaus keine regelmässigen Cyclen nach den Gesetzen von Ep- wars und HAme. Vielmehr könnte man sagen, dass 20—24 Septen frei und hervorragend das Centrum erreichen, während die übrigen in unregel- Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 17 258 Die Korallen der Stramberger Schichten. mässigen Abständen davon sich durch maschige Gewebe von Synaptikeln und Traversen verbinden, wie dies bei den Eupsammiden noch heutzutage ge- schieht. Der Septalbau stimmt mit den vorhergehenden Arten überein. Das eine abgebildete Stück, Fig. 11, zeigt im unteren Theil an der Seite eine solche Knolle, wie in der Diagnose beschrieben ist. Ein Schnitt durch die- selbe zeigt darin zwei Knospen in verschiedenen Stadien der Entwickelung, während der Mutterkelch sehr eingeschrumpft ist. Wahrscheinlich ist der knollige Habitus der Koralle nur die Folge von zeitweiligen Knospenbildungen. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundort: Stramberg; ausserdem: Soyhieres, Caquerelle, Champlitte, Genus Diplaraea Mivascn. 1843. Dendrophyllia p.p. MiıcHevıs. Icon. Zooph. p. 88. 1850. Thecosmilia p. p. D’OrzısnY. Prodröme II. p. 31. 1858—60. „ „ FRromenter. Introd. p. 144. 1862. 5 „ Tuvrmans u. Erarzon. Leth. Bruntr. p. 383—384. 1875—76. Diplaraea MitascHn. Natth. Kor. Palaeont. Bd. XXI, p. 229. 1881—89. Dermosmilia Kosy. Pol. Jur. p. 194, 546 u. 570. 1890. Rhabdophyllia p.p. Frecn. Triaskorallen. Palaeontogr. Bd. XXXVII, p. 7. Aestige, dichotomirende Korallenstöcke, Kelchröhren im Querschnitt rund bis elliptisch, mit dünner, gerunzelter Epithek überzogen. Septen zahlreich, ab und zu in einzelne Trabekelglieder aufgelöst und seitlich durch ächte, sowie durch Pseudosynaptikeln häufig verbunden. Säulchen schwammig, aus aufgelösten und sich verflechtenden Trabekelgliedern zusammengesetzt. Tra- versen wenig entwickelt. Eine ächte Wand fehlt; es findet nur eine pseudo- thekale Verdickung der septalen und und interseptalen Skelettheile nahe dem Aussenrand statt. Diplaraea simplex Kopy sp. — Taf. XI, Fig. 17, 17a. 1889. Dermosmilia simplex Kosy. Polyp. Jur. p. 476, pl. 124, Fig. 3, 4. Korallen bilden ganz kleine Aeste, an jedem Stock nicht mehr als zwei oder drei. Höhe 12—25 mm. Durchmesser eines Astes 10—12 mm. Kelche flach, mit einer vertieften Grube. Septen wechselnd in der Grösse, zahlreich, ziemlich durchlöchert, mit gezacktem Oberrand. 25—30 Septen erreichen das falsche Säulchen. Im Ganzen sind 60—90 Septen vorhanden. Die Costen sind ausserordentlich fein, granulirt, gleich dick; 20 kommen auf 5 mm. Traversen sehr zahlreich. Synaptikelverbindung besteht zwischen den inneren Enden der kurzen und den Seitenflächen der längeren Septen. Diplaraea. 959 Allgemeine Bemerkungen: Kosy hat an die Möglichkeit gedacht, in diesen so kleinen Individuen Exemplare einer später grösser wachsenden Art vor sich zu haben. Da er aber keine Zwischenstufe fand, und die ver- schiedenen Exemplare eine gleichmässige Entwickelung zeigten, errichtete er dafür eine besondere Art. Meine Exemplare rechtfertigen diesen Schluss. Zahl der untersuchten Exemplare: 3. Fundort: Stramberg; ausserdem: Soyhieres, Caquerelle, St. Ursanne. Diplaraea laxata Er. sp. 1862. Thecosmilia lawata Er. Leth. Bruntr. p. 384, pl. 54, Fig. 9. 1889. Dermosmilia lawata Kosy. Polyp. jur. p. 195, pl. 51, Fig. 1—5. Korallenstock in hohen, wenig verzweigten, etwas breitgedrückten Aesten wachsend.. An den Aesten finden sich leichte Anschwellungen und Ein- schnürungen; Durchmesser eines Astes 11X16 mm. Septen 80—110 an der Zahl. 20—24 davon sind stark entwickelt und reichen bis nahe an das Centrum, wo ihre frei werdenden inneren Trabekeln ein grosses falsches Säulchen bilden. Auch in dem übrigen Theil der Septen sind unausgefüllte Intertrabekularräume sehr häufig. Synaptikel nur an der Peripherie häufig, Traversen dagegen zahlreich, fein und blasig entwickelt. Die Costen sind gleich dick und stark granulirt. Oft finden sich darauf noch die Ueberreste einer gerunzelten Epithek. Da Kosry einige vortreffliche Abbildungen von dieser Art gegeben hat, liess ich die Stramberger Exemplare nicht abbilden. Zahl der untersuchten Exemplare: 4. Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, Soyhieres, St. Ursanne. Diplaraea suberassa Kopy sp. — Taf. XI, Fig. 18, 18a. 1889. Dermosmilia suberassa Kosy. Pol. Jur. p. 475, pl. 124, Fig. 5. Korallenstock in kurzen dicken Aesten wachsend. Kelche in gleicher Höhe bleibend, kreisförmig, elliptisch oder gelappt. Durchmesser des Astes sehr verschieden, von 12 bis 20 mm. Septen in mehreren Cyclen angeordnet, ungefähr 24—30 erreichen das Centrum; dazwischen erscheinen kürzere und dünnere, aber immer gut entwickelte. Nahe der Peripherie eines Astes schiebt sich noch eine Anzahl von sehr kurzen Septen ein, so dass im Ganzen die Zahl S0—100 erreicht wird. Die Costen sind stark, gleich dick, 10 kommen auf die Breite von 5 mm, Von einer Epithek war auf den unter- suchten Exemplaren nicht mehr viel zu sehen. Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, St. Ursanne. 17* 960 Die Korallen der Stramberger Schichten. Diplaraea aff. rugosa Kogy sp. — Taf. XI, Fig. 16. 1889. Dermosmilia rugosa Kosy. Polyp. juras. p. 201, pl. 52. Korallenstock wenig verzweigt, mit geraden oder gekrümmten Aesten. Kelche rund oder elliptisch, Durchmesser 11—15 mm. Septen wenig zahl- reich, dünner gegen das Centrum, in das die ersten drei Cyelen hereinreichen. Der vierte Cycelus ist etwas kürzer und dünner. Epithek dick, gerunzelt, oft mit kragenförmigen Verdickungen. Allgemeine Bemerkungen: Die zwei mir vorliegenden Exemplare sind wahrscheinlich identisch mit Kosy's Art. Dermosmilia rugosa. Doch zögerte ich, sie damit zu vereinigen, weil daran eine kleine Anzahl zu einem fünften Cyclus gehöriger Septen sichtbar war. Im Zusammenhang mit diesem Merkmal kommen an meinen Exemplaren 14 oder 15 Costen auf 10 mm, während Kogy nur 12 angibt. Nur ein kleiner Theil eines Stocks ist auf Fig. 16 abgebildet, um die Verästelung zu zeigen. Zahl der untersuchten Exemplare: 5. Fundort: Stramberg; ausserdem: Caquerelle, Soyhieres. Diplaraea nobilis Ocınvır. — Taf. XI, Fig. 19, 19a, 19». Korallenstock mit langen Aesten, die sich oft theilen. Verzweigungen finden ungefähr im Abstand von S—10 mm statt. Kelche unregelmässig elliptisch in der Form. 25x15 mm im Durchmesser, mit tiefer Grube und etwas hervorragenden Septen. Septen ca. 140 an der Zahl, von welchen 26 bis 30 in das Centrum hineinreichend dicker und besser entwickelt sind wie die übrigen. Cyelische Anordnung ist kaum zu erkennen. Doch zeigt sich am Rand regelmässiges Alterniren der Septen. Costen etwas alternirend in Grösse, S kommen auf 5 mm. Säulchen schwammig, nimmt verhältnissmässig wenig Kelchraum ein. Die Traversen sind fein, sehr zahlreich, im Innern des Kelches horizontal, ansteigend und gröber nach aussen. Eine dünne Epithek reicht bis zum Kelchrand. Allgemeine Bemerkungen: Die einzige bis jetzt beschriebene Der- mosmilia-Art, die D. nobilis nahe steht, ist D. crassa Mıc#. sp., von der Kogy eine Anzahl guter Abbildungen gegeben hat (Kogy, Polyp. jur. p. 194, pl. 50, Fig. 1—6). Der Habitus ist ganz der gleiche bei beiden, doch hat D. crassa eine geringere Septenzahl und feinere Rippen. Der Erhaltungszustand meiner Exemplare war ein sehr günstiger und zeigte die feinere Struktur der Septen sehr deutlich. Der Oberrand der Septen ist unregelmässig, immer fein ge- zackt. Bei Verwitterung werden die Zacken deutlicher und entsprechen den Granulationen auf den Seitenflächen. Ein Vergleich von Längen- und Quer- Haplaraea. 261 schnitten zeigt, dass die Trabekeln aus einzelnen Dornen bestehen, die nur stellenweise horizontal oder vertical mit einander verwachsen. Diese Be- schaffenheit der Septen ist dieselbe, wie Frzc# sie öfter abgebildet hat für Arten, die zu den triasischen Gattungen Stylophyllum und Stylophyllopsis gehören und wie ich bei der jurassischen Gattung Epistreptophyllum be- schrieben habe (vergl. oben pp. 251, 254). Zahl der untersuchten Exemplare: 2. Fundort: Koniakau. Gen. Haplaraea MILASCHEWITZ, 1876. Haplaraea Miraschewirz. Natth. Korallen, Palaeontogr. Bd. XXI, p. 228, 1876—80. „ Zırter. Handb. der Palaeontol. p. 242. 1882, Haplaraea Prarz. Verwandtschaftl. Beziehungen einiger Korall.-Gattungen, Palaeontographica Bd. 29, p. 102. 1884. Leptophyllia p. p. Duxcan. Madreporaria, p. 166. 1890. Stylophyllopsis p.p. FrecH. Triaskorallen, Palaeontographica Bd. 37, p. 48. Koralle einfach, eylindrisch. Septen zahlreich, sehr löcherig, unregel- mässig gekrümmt und häufig seitlich verschmelzend. Septen oft in kurze, dicke Trabekelglieder aufgelöst und zusammen mit den Synaptikeln ein un- regelmässig löcheriges Gewebe bildend. Pseudosynaptikeln nicht zahlreich. Traversen zahlreich und blasig. Säulchen nicht zu unterscheiden. Keine ächte Wand vorhanden, nur eine pseudothekale Verdickung der septalen und interseptalen Skelettheile nahe dem Aussenrand. Epithek dünn, runzelig, bis zum Kelchrand reichend. Haplaraea columnaris OcıLvıe. — Taf. XI, Fig. 15, 15a. Koralle cylindrisch, auf breiter Basis, mit häufigen Einschnürungen. Kelchdurchmesser 20 mm. Höhe bis zu 60 mm bei den untersuchten Exem- plaren. Septen sehr fein und zahlreich, mit unregelmässig gekrümmtem Ver- lauf. In dem ganz kreisrunden Kelch sind die Septen excentrisch angeordnet und deuten damit eine Neigung zur Bilateralität an. 12—16 Septen sind dicker und länger wie die anderen und reichen frei bis ins Centrum hinein. Die übrigen Septen sind schwächer; sie bleiben sich in der Dicke ziemlich gleich und wechseln in der Länge, ohne bestimmte ceyclische Anordnung auf- zuweisen. Im Ganzen zählt man 90—100 Septen, die dann am Rand als breite, gleich dicke Costen erscheinen. Auf 5 mm kommen 7 oder 8 Costen. Poren sind in den Septen häufig, gross und in unregelmässigen Abständen. Auf den Septalflächen finden sich grosse Granulationen. Die durch ächte Synaptikel anastomosirende Septen bilden Gruppen, analog den der Eupsammi- 262 Die Korallen der Stramberger Schichten. y den, wenn auch nicht so regelmässig. Traversen sind zahlreich, von sehr wechselnder Grösse. Epithek gerunzelt, gut ausgebildet. Allgemeine Bemerkungen: Die einzige bis jetzt bekannte jurassische Art ist Haplaraea elegans MivascH. (Natth. Kor. p. 229). Sie ist im Habitus H. columnaris sehr ähnlich, hat aber eine mehr breitgedrückte Form, während H. columnaris durch ihre säulenartige Gestalt mit dem runden Kelch besonders auffällt. Weiter zeigen die Septen bei H. elegans keine excentrische Lage und nur 6 davon reichen als freie grosse Septen bis zum Centrum. Wie bei Epistreptophylium trifft man bei H. columnaris auf den Seitenoberflächen hie und da kleine Knollen. Einige davon konnte ich als Knospen nachweisen. Schon MinAscHEwITZ hat bei seiner Art aufmerksam gemacht, dass die Einschnürungen in Folge eines Verjüngungsprocesses entstanden seien, eine Annahme, die meine Exemplare klar bestätigten. Durch die excentrische Stellung der Septen bekommt H. colummaris ein alterthümliches Aussehen, das die Erinnerung an die triasischen Gattungen Stylophyllum und Stylophyllopsis lebendig macht. Diese beiden Gattungen enthalten Arten, in welchen Exemplare mit centrischen und excentrischen Septenstellungen vorkommen. Als Beispiel erwähne ich Stylophyllopsis polyactis Frech (Korallenfauna der Trias, Palaeontogr. Bd. 37, p. 48, Taf. XV, Fig. 17 bis 23). Figur 22 zeigt eine Koralle mit Kelch, die im Habitus H. elegans sehr ähnlich ist; Figur 23 dagegen erinnert mehr an H. columnare. Wie schon oben bei der Beschreibung der Gattung gesagt, stimmt der Septalbau in diesen triasischen Gattungen mit Haplaraea überein. Ich glaube Recht zu haben, wenn ich annehme, dass die Einzelkoralle Stylophyllopsis polyactis FRECH ein Vorfahre von diesen jurassischen Haplaraea-Arten ist. Meiner Ansicht nach gehört diese triasische Art sogar zur Gattung Haplaraea MiuascH. Zahl der untersuchten Exemplare: 7. Fundorte: Stramberg, Koniakau, Kotzobenz. Schlussbemerkungen. Die Stramberger Korallenfauna ist, wie aus dieser Monographie hervor- geht, eine sehr reiche. Sie umfasst 41 Gattungen mit 128 Arten. Von diesen sind 4 Gattungen und 43 Arten — also fast ein Drittel der Arten — neu. Ein Theil derselben mag allerdings bei genauerem Studium auch in anderen oberjurassischen Korallenfaunen wiedergefunden werden. Es sei gleich hier darauf hingewiesen, dass ein Vergleich mit anderen, namentlich oberjurassischen Lokalitäten wohl schwerlich ein richtiges Bild gibt, da die Korallen hier zum Theil nicht so häufig sind und da sie noch eingehend monographisch bearbeitet werden müssten. Bis vor nicht sehr langer Zeit wären von grösseren Schlussbemerkungen. 265 Arbeiten, die gewisse jurassische Korallenfaunen behandelten, eigentlich nur jene von FROMENTEL und Eratton, von (QUENSTEDT, BECKER und MILASCHE- wırz in Betracht gekommen. Seitdem Kosy das überaus reiche Material aus dem Schweizer Jura bearbeitet hat, wurden eine Masse neuer Vergleichspunkte gegeben. Das muss man sich sehr vor Augen halten, wenn man sieht, dass die Stramberger Fauna scheinbar mehr Anklänge zeigt zu Korallen aus relativ tieferen Schichten des oberen Jura’s, nämlich zu solchen Horizonten, die in der Schweiz besonders reich entwickelt sind und von Kosy eingehend ge- schrieben worden. Betrachten wir nun die Stramberger Korallenfauna zunächst allein für sich. Die 41 Gattungen vertheilen sich auf 9 Familien, von denen jedoch eigentlich nur 4 der Fauna ihr charakteristisches Gepräge verleihen. Es sind dies die Amphiastraeidae, Stylinidae, Astraeidae und Fungidae, während die andern, nämlich die Turbinoliden, Oculiniden, Pocilloporiden, Madreporiden und Eupsammiden ganz zurücktreten. Diese letzteren sind lauter Familien, die erst in jüngeren Perioden ihre Hauptblüthe erlangen. Im Ganzen hatte ich ungefähr 600 wohlerhaltene Exemplare zur Unter- suchung. Etwa 23°, aller Stücke gehörten zu den Amphiastraeiden und ebensoviel Procent zu den Astraeiden, 20°, zu den Fungiden und 13°), zu den Styliniden. Je 6"/, der Exemplare vertheilten sich auf die Turbinoliden und auf die Pocilloporiden, 5°/, auf die Eupsammiden, nur 1,5°/, auf die Madreporiden und gar nur 1°), auf die Oculiniden. Nahezu das gleiche Bild erhält man, wenn man die Zahl der verschiedenen Arten in Procenten aus- drückt, wie dies die folgende Tabelle zeigt. Es enthalten die Amphiastraeidae . 11 Gattungen mit 21 Arten, d.ı. 16,4 der Arten. Turbinoidaee . . 2 n N IE; 9. Dan, m » Oculinidae . . 2 = N OU E: u PÄRIENENE 5 Pocilloporide . 2 u We oe onlnae 5 Madreporide . 1 5 a en a ee 2 Stylinidae . . 6 b > 0, » 20835 2» Astraeidae . . R 4 „ » 26 » » 20,3 bi) D) ” Fungidae a 0) » „ 30 » » 23,4 D) » ” Eupsammidae. . 3 e 3, DER UI EER » Summa Be & 41 » „ 128 „ „ 99,7 ” ” ” Die 4 neuen Gattungen gehören sämmtlich in die neu errichtete Familie der Amphiastraeiden. Durch die Aufstellung dieser Familie wurden auch manche Aenderungen in der Begrenzung anderer Familien, besonders der Astraeiden herbeigeführt. Es wurde bereits oben auseinander gesetzt, warum ich auch gewisse Formen, wie Rhipidogyra, Dendrogyra ete., bei denen die Bilateralität des Septalbaues verwischt ist, von den Astraeiden entfernt und 364 Die Korallen der Stramberger Schichten. zu den Amphiastraeiden gestellt habe. Die Familie der Astraeiden hat von mir auch insofern eine wesentliche Verringerung der Arten erhalten, als die Styliniden von ihnen abgetrennt und als selbständige Familie behandelt wurden. Ich habe auch die Unterfamilie Kusmilinae aufgehoben, und die Mehrzahl der bis jetzt dahin gehörigen Gattungen zu der Familie der Turbinoliden gestellt. Von diesen Familien haben, wie bereits erwähnt, die Amphiastraeiden und die Styliniden noch die meisten Beziehungen zu palaeozoischen Korallen, nämlich zu den Zaphrentiden resp. den Cyathophylliden. Beide Familien be- einnen schon in palaeozoischer Zeit, sind aber erst im Jura stark vertreten und erreichen hier auch ihre Hauptblüthezeit, während die eine in der Jetzt- zeit nur noch wenige Vertreter zählt und die andere bereits erloschen ist, wenn man nicht Galaxea zu dieser Familie rechnet. Dass solche Formen, welche ich zur Gruppe der Amphiastraeiden zähle, bisher aus manchen Jura- ablagerungen, wie z. B. aus dem schwäbischen nicht so bekannt sind, hat seinen Grund jedenfalls nur darin, dass sie früher nicht die nöthige Beachtung gefunden haben und dass sie öfters als Abweichungen oder Missbildungen aufgefasst wurden. Wie häufig aber derartige Formen auch in anderen jurassischen Ablagerungen sind, das zeigt die Kopr'sche Monographie, in der eine sehr grosse Anzahl derartiger Formen beschrieben wurde, wenn diese Formen auch nicht als zusammengehörige Gruppe behandelt wurde. Viel weniger enge Beziehungen zu den Cyathophylliden und überhaupt zu den palaeozoischen Korallen haben die Astraeiden und die Fungiden, also Formen, die in Trias und Jura schon eine grosse Verbreitung besitzen, aber in der Kreide in jüngeren Ablagerungen, was die Zahl der Gattungen anbe- langt, eine grosse Mannigfaltigkeit erreichen. Die Turbinoliden, denen ich die Cyathoxoniden zurechne, haben im Laufe der Zeiten am wenigsten Veränderungen erlitten. Sie beginnen zwar schon in palaeozoischen Zeiten, wenn auch nur spärlich vertreten und setzen ebenso durch Trias und Jura, um erst in der Kreide sich zu stärkerer Entwickelung zu entfalten. Wie bekannt, umfasst diese Familie auch heute noch die wich- tigsten Vertreter der Einzelkorallen der Tiefsee. Die Eupsammiden, wie ich sie jetzt umfasse, reichen auch von der palaeo- zoischen bis zur Jetztzeit. Sie zeigen in der Triasperiode noch ziemlich grosse Schwankungen in den Merkmalen, und starke Beeinflussung durch äussere Umstände. Erst von der Jurazeit an sind die Merkmale constanter und be- stimmter ausgeprägt und die Familie wird dadurch mehr und mehr scharf begrenzt. In der Zahl der Gattungen zeigt die Familie erst von der Kreide- zeit an eine grössere Mannigfaltigkeit. Es hat sich bestätigt, dass die Oculiniden, wie schon durch die Unter- suchungen anderer jurassischer Korallenfaunen bekannt war, in der Jurazeit ihre spärlichen Anfänge haben. Schlussbemerkungen. 265 . Zu den Pocilloporiden rechne ich, wie oben erwähnt, auch die Gattungen Astrocoenia und Stephanocoenia. In Folge dessen kann man die Stammes- Geschichte dieser Familie jedenfalls bis zur Trias zurück verfolgen, wobei zugleich die Beziehungen derselben zu den Oculiniden und Styliniden zum Ausdruck gelangen. Zu den Madreporiden rechne ich, wie dies schon MıLne EpwArps und Haımz gethan haben, wieder die Turbinarinae. Dann würden nach der bis- herigen Auffassung die Madreporiden von der Kreide bis zur Jetztzeit reichen. Meiner Ansicht nach ist aber auch Thamnaraea, eine typische, jurassische Gattung, zu den Turbinarinae zu stellen. Ob die Turbinarinen nun mit den Spongiomorphiden in phylogenetischem Zusammenhang stehen, ist eine Frage für sich, die sich bis jetzt meiner Ansicht nach noch nicht entscheiden lässt. Aus dem bisher Erwähnten geht hervor, dass die Familien, welche der Stramberger Fauna ihr charakteristisches Gepräge verleihen, sich bis in die palaeozoischen Zeiten zurück verfolgen lassen, dass sie aber im mesozoischen oder im kainozoischen Zeitalter ihre Hauptblüthe erlangen. Solche Familien dagegen, die erst in Tertiär und Jetztzeit eine bedeutende Rolle spielen, sind in den Stramberger Schichten noch spärlich vertreten. Somit erweist sich also die Stramberger Fauna als eine typisch mesozoische. In der nachstehenden Liste ist das Vorkommen der Stramberger Korallen in anderen oberjurassischen Schichten und an den verschiedenen Fundorten eingetragen. Wie bereits erwähnt, sind 43 der Stramberger Arten neu, oder bis jetzt wenigstens nicht an anderen Fundorten nachgewiesen. Vier Arten kommen ausser in Stramberg nur noch am Mt. Cavallo oder Mt. Pastello vor, deren Korallenfauna p’Acaıarpı beschrieb und zum Tithon-Alter rechnete. Sechs Arten sind ausser in Stramberg auch im Portlandien, in Frankreich und der Schweiz bekannt; drei Arten kommen ausser in Stramberg im Port- landien und im Kimmeridgien zugleich vor; während nur sechs der Stram- berger Arten sich durch’s Portlandien und Kimmeridgien bis in Sequanien zurückverfolgen lassen. Von den Stramberger Arten sind 27 auch noch aus dem Kimmeridgien und zwar aus den reichen und wohl beschriebenen Lokalitäten des französischen, schweizerischen und schwäbischen Jura bekannt. Weitere 10 Arten kommen ausser in Kimmeridgien auch noch im Sequanien der Schweiz und Frankreich vor, und eine verhältnissmässig grosse Anzahl, nämlich 29 Arten, die bisher nur aus dem Sequanien bekannt waren, konnte ich auch in den Stramberger Schichten nachweisen. Keine einzige der Stramberger Korallen stimmt mit einer bis jetzt be- kannten Neocom-Art überein. Einzelne wenige Gattungen, die aber in den Stramberger Schichten reichlich vorkommen, erinnern allerdings im Habitus ihrer Arten mehr an Neocom- als an Jura-Formen. 266 Die Korallen der Stramberger Schichten, un nn m je} E © B T I Portlandien | | | Kimmeridgien | Sequanien Stramberg, Koniakau, Kotzobenz, Wischlitz. Mte. Cavallo, Mte. Pastello etc. Mantoche, Gray-la-Ville, Wimmis, Mont Salöve. Nattheim, Beiningen, Sirchingen etc. Valfın, 'Oyonnax, \ Porrentruy, St.Claude, ı Waldeck, (Virgulien et Pterocerien) | | | | Bressaucourt, Vieil le Route,Hochwald,Locle, St. Croix, St. Mihiel, ‚Soyhieres, Caquerelle, , Champlitte, (Astartien et Rauracien). Fam. Amphiastraeidae Ocınvır. 1. Opisthophyllum Zitteli OcıLvıE . 4 vesiculare OGILVIE . minimum OGILVIE , II 3. 8 4, Amphiastraea gracilis Kopy . 5. 5 cylindrica OcıLvıE . 6. Aulastraea Schäfer: OcıLvir* . 7 8 5 ” conferta OGILvıE . Selerosmilia Strambergensis OGILvIE | 9. Pseudothecosmilia Etalloni Kosy 10. Stylosmilia excelsa Kosy sp. 11. n rugosa BECKER Sp. . 12. ” Koniakensis OsILvIE 13. Selenegyra Geikia OGıLvıE 14. Aplosmilia rugosa Kosy . . 15. Dendrogyra sinuosa OGILvıE 16. Khipidogyra flabellum Mıca. sp. 7% = percrassa Praıı. . 18. 5 minima Kopy . 19. Acanthogyra columnaris OGILVvIE 20. n multiformis OGILVIE . 21. 4 subcompressa ÜOGILVIE Fam. Turbinolidae E. H. em. Ocınvıe. 22. Pleurosmilia cylindrica From. . . 23. = Marcou EraLL, crassa MitAsch. aff. infundibuliformis Mıtasch. . . 26. Epismilia obesa Kosx 27. = reptilis MıtAscH. 28. " cuneata MiLascH. Fam. Oculinidae Epw. u. H. 29. Dendrohelia coalescens GOLDF. Sp. . 30. Goniocora Haimei From. . 31, = dubia Kopy . Beam ıl : ee + a + + +++ +14 * Zwei Kreuze bedeuten, dass diese Arten in grosser Zahl vorkommen. le il I Schlussbemerkungen. 267 a ————————————— nennen Tithon Portlandien | Kimmeridgien | Sequanien BE 5 = os. 2 | So Da a3 |822.|S43887 es |: | s=,5 |E® ESBersasıe SE | se | Sue a8 Sa Sn on 28382 190 |0 .-5 [53-4 >53 na |78 | Rres |dE | HER |SSHE$ 5 s2|s#| S8F85 |s8 (di: 5553 Ias | a8 5 aA |3A S383Hl2SöRF5 Inzseen= s” ıPEs |E3.28 BE A | SE Pa#3ö Fam. Pocilloporidae VERILL. | 32. Astrocoenia crasso-ramosa MıcH.sp. | + —_ = — + — 38. " Bernensis Kosy . ++ + = —, -L + 34, n Delemontana Kopy . + — — — en pr 35. Stephanocoenia favulus Taurm. sp. E= — — — + + Fam. Madreporidae Dana. 36. Thamnaraea arborescens Era. . + — — o Ba + al. " pulchella OGILvıE + _ — en gb: = Fam. Stylinidae Krz. 38. Diplocoenia clathrata ErALL. sp. + = — = Bin eu 39. = spissa BECKER Sp. . . || + + — + — — 40. Diplocoenia Inwaldensis OsıLvıE | + — p= — B— — 41. „ multiseptata ‚OsıuvıE -+ — = Er — — 42. Heliocoenia dendroidea Er. . . . + — — > + —_ 43. ” Humberti Er... . . r — _ seh Au a 44, Stylina granulosa From. + — | + a Bus 2 As arborea D’AcH. | + + | = = — ze 46. „ Kotzobensis OcıLvıE . | + | _ — = — 47. „ foliosa OsıLvıE + — _ en — er 48. „ sulcata From. + zn + = Bu or 49. „ tuberosa OGILvE . + — — en > DOmE:, anthemoides MENEGH, sp. . | + + _ = er — Ole, Waldeckensis Er. . + == _ — AL e$ 52. „ parvipora OGILVvIE + — — a — — 53. „ milleporacea O6ILVIE | + _ — = — == 54. 5) tubulifera Paıuipres sp... . | + —_ — — + + 55. Ödrevicosta OGILVIE + B= = pe — zo 56. Cyathophora Claudiensis Er. | ++ — — + + + 57. ® Bourgueti Derr. sp... ++ | — = || ZU ar 58. “ globosa OGILVIE . . | + — — = — — 59. “ tithonica OcuvıE . .) + — = I = a — 60. Cryptocoenia compressa Kosy . . | — — | an = 61. N Thiessingi Kosx IF =E — — ze u er 62. Convexastraea minima Er. sp. . . | + _ —_ _ —_— | + 63, 5 sexradiata GoLDFr. sp. | + _ + + 268 Die Korallen der Stramberger Schichten. Tithon | Portlandien | Kimmeridgien | Sequanien SS ; I gs 28 4&5 33 en Era: | &05 EEE N EREEERN 82 |3o| sa,z |3® 308883553 SE | 58 | 85ie |33 Sara eis .s|o% | se5a |Ma|l0 -53|3532 7 SE SS |. | Bye | 5 | Ss |lssy4u$E8 a2 [80 | a5#3 |33 |E832 a8 5er as |A5| = A |en 229 |sscede Faın. Astraeidae E. H. em. OcıLvıE. | | 64. Isastraea undans Er. sp. . . . EEE _ | — — + = 65. 4 variabilis Er. sp. „||| il —.ı = Ir —= | = 66. 5 Thurmanni ET. Sp. + = ae | re se SL 67. „ Goldfussi Kosy sp. | + — - — + — 68. 5 Gourdani From. . \ + >= + = a e_ 69. H minima Kosx sp. I + —a _ | — _ + 70. 5 cylindrica OGILVvIE . | + —| — | — 1 er 71. Montlivaltia obconica MsTr. sp. || + | + | | = 72. R crassisepta From. . . | + Zr] an IE u BE 73. e nidiformis MitascHh. . | + — | — — et a 74. a5 Renevieri Kory . | — per — ee 75. E\ Cavali D’Acn. | et | = I, .— — A 76. s alata OGILvIE || | an | en u u 77. Thecosmilia Koniakensis Ocıve . ++| — — I = Il ? 78. 5; longimana Quesst. sp. | ++ | — — + AL | L 19: n virgulina Er. sp. + — — — u en 80. = flabella Bramv. Sp. + — — — ec 2 8. n irregularis Er. . + — = — + En 82. & Volzi Ocuve ...| + — == — a ie 8. n trichotoma GotDr. Sp. | + — - | + | = 84. 5 Langi Kos . . . + _ — — —. | ein 85. 5 suevica QAUENST. SP. ++|I — | — — | 4 86. n Moraviensis O6GILVIE + _ — — — | = 87. 4 truncata OGILVIE + — — — el == 88. Rhabdophyllia disputabilis BoRr. sp. | ++| — en + on | zu 89, 5 cervina ET. . + ee e= = um | ui Fam. Fungidae Dana em. OGILvIE. Subf. Thamnastraeinae Reuss em. PrArz. | 90. Leptophyllia cyclolites Quesst. sp. | + —_ = Il Sr = — 91. rn Thurmanni Kopy . + _ — I — | + 92. Thamnastraea confluens QuEnsT. ++ — _ + — | — 93. = oculata Kor. . un — | _ == _ | + 94. 5 gibbosa BECKER . + = — AB ei ur 95. a aspera OsuveE . . | + — _ | = = — 9. n aff. Lomontiana Er. | + — u _ == + Schlussbemerkungen. 969 Tithon Portlandien | Kimmeridgien | Sequanien as | |, 8 | $® 25452 ls3|st| s s |88 [323 .848555 i8 | So| «3,5 |3°® |a9gT 35538 SE e= | SER |22 |sSerless 3<8 —|&%| Sa5a |Aa SEES 2599 55 BE | sa | E88 |55 |sinE 3848882 a2 85|5|28 Slate En Een 8 23 Ss ee 50 3° Ai S Pe es 38 Zu 97. DimorphastraeaheteromorphaQuv.sp. | + _ _ + = 98. n conica KosBy + — er Pr Ye: r 99. nn dubia From. + zer = ae I IN 100. " vasiformis KoBy + — — = > AL 101. Microsolena tuberosa MıcH. Sp. + — — —- + iR 102. ö agariciformis Er. + — — — ai er 103. n ef. Bouri From. + _ 25 _ — am 104. > exigua KoBY ++ — — — ie a. 105. en stellata OGILVIE + _ = = >. Ar 106. Polyphylloseris corticata Oauwve. ++ — _ — a = 107. 5 tenuiseptata OcıLvıE | + — _ — a Im 108. ” fascieularis OsııvE | + — —_ —_ er u 109. n ramosa OGILVIE + = = _ zZ er 110. Dimorpharaea Koechlini Hımzsp. ++ | — _ _ =- Su 111. Maeandraraea tuberosa Er. . . + — _ — + = 112: 5 laminata OcıwıE. | + _ _ — . ar Subfam. Funginae E. H. 113. ThamnoserisMontispastelliv’Aca.sp. | + Ar — _ = - 114. ” Amedei Er. sp. En _ 5 Pe ar al 115. a Perroni From. . + —_ + — = == 116. h StrambergensisOGILvıE | + = _ _ wis — Subfam. Lophoserinae E. H. 117. Protoseris robusta BECKER . + —_ e— nn — u 118, e recurvata OGILVIE . — _ — — ae su 119. Comoseris brevivallis OGILVIE . + —_ — —_ — = Fam.EupsammidaeE.H.em.OGILviE. 120. Epistreptophyllum commune MıL. .| + _ _ + — En 121. H conicum Ocıuve | + | — = = a 2x 122, ” MontisFron.sp. | + — _ - — + 123. Diplaraea simplex Kopy sp. + _ — — Pi in 124. n laxata Er. sp. + — _ _ — pr 125. = suberassa Kopy Sp. + _ — _ en u 126. en rugosa KoBY Sp, + _ — —_ Er L 127. „ nobilis OGILVIE . E= —. = — ar en 128. Haplaraea columnaris OGILvir + —_ — — — er 370 Die Korallen der Stramberger Schichten. Dass man sonst so wenig Vergleichspunkte mit Formen aus dem Neocom hat, hängt von zwei Gründen ab; einmal ist die Korallenfauna im Neocom überhaupt sehr spärlich und dann bedarf sie noch erneuerter und eingehender Bearbeitung. Da man somit hinsichtlich des Vergleichsmateriales fast aus- schliesslich auf obere Juraschichten angewiesen ist, erscheint es, als ob die Stramberger Fauna mit dem Nevcom so gut wie gar keine Beziehungen hätte. Dass dem nicht so ist, ging aber aus dem Studium der Stramberger Mollusken hervor. Da die Stramberger Korallenfauna mit solchen aus hohen Etagen des ausseralpinen Malm’s die meisten Beziehungen aufweist, so dürfte man diese Formen am ehesten vielleicht als gleichaltrig mit dem Portlandien be- zeichnen. Wie schon hervorgehoben, eignen sich übrigens die Korallen aus Grenzschichten zwischen Jura und Kreide, eben wegen der so ungleichen Ver- theilung des Vergleichsmateriales, nicht sonderlich zu einer genauen Bestimmung des geologischen Horizontes. Tafel-Erklärung. Tafel VI. Mikroskopische Bilder recenter Korallentypen (mit Ausnahme der Fig. 14 und 15 — Montlivaltia). Fig. 1—4. Galaxea. Fig. 1. Querschnitt durch Mauer und einige Septen, die Caleificationscentren (Trabekel- Axen) und die davon radiär ausstrahlenden Krystallfasern zeigend. — Fig. 2. Radiärer Längsschliff durch ein Septum und Theile der Columella, welcher die Divergenz der Trabekeln nach rechts und links von der Divergenzlinie zeigt. Eine Wachsthumscurve ist dargestellt, welche die Trabekeln senkrecht zu ihrer Längs- richtung kreuzt. — Fig. 3. Tangentialer Längsschliff (etwas schief gehend) durch ein Septum (S) und Mauer (M). Bei 7 sind einige Traversen, welche das extra- calycinale Gewebe (Coenenchym) bilden, getroffen. — Fig. 4. Längsschliff parallel und durch die Oberfläche der Mauer, zugleich zwei Septen quer schneidend. Fig. 5—9. Fungia. Fig. 5. Tangentialer Längsschliff durch drei nebeneinander befindliche Septen, der zugleich mehrere der dazwischen liegenden Synaptikel trifft. $S= Septum, Syn — Synaptikel. — Durch ein Versehen des Zeichners ist diese Abbildung nicht zweck- mässig gestellt. Man hat sich dieselbe um 900 gedreht zu denken, so dass die nun- mehrige linke Seite nach oben kommt. — Fig. 6 und 7 dienen zum Verständniss der Richtung der Schnitte bei Fig. 8 und 9. Die Schliffebenen sind hier nicht parallel mit einer Septalfläche, sondern verlaufen aus einem Septum in das benachbarte, die dazwischen liegenden Synaptikel schneidend. Fig. 6. x Theile eines Septums, y Theile des benachbarten, dazwischen die Synaptikel. — Fig. 8. Parthie & der Fig. 6 stark vergrössert. Divergenz der Trabekeln. — Fig. 9. Theile von % der Fig. 6 stark vergrössert. Schnittebene hier sehr nahe der Septaloberfläche, wodurch die hier senkrecht zur Septaloberfläche umgebogenen Enden der Fasciceln (Caleifications- Centren mit radiär ausstrahlenden Krystallfasern) getroffen werden. Fig. 10, 11. Heliastraea. Fig. 10. Querschliff durch ein einzelnes Septum (SS) und eine Coste (C). Die seitlichen Verdickungen entsprechen ihrer Lage nach der Mauer und vertreten sie (Pseudotheka). 7 — Traversen. — Fig. 11. Schnitt durch 3 nebeneinander stehende Kelche (schwächere Vergrösserung). Die Trabekeln sind in den costalen Endigungen nicht mehr fest verwachsen, 272 Die Korallen der Stramberger Schichten. Fig. 12. Goniastraea. Querschnitt durch Theile benachbarter Kelche. Die Septen des einen Kelches gehen direct in die des nächsten über. Costen fehlen. Fig. 13. Turbinaria. Querschnitt durch mehrere Kelche. Im extracalycinalen Gewebe häufige Unterbrechungen, Fig. 14, 15. Montlivaltia. Fig. 14. Querschnitt durch einige Septen. Granulationen und Traversen. — Fig. 15. Radiärer Längsschliff. Divergenz der Trabekeln. Tafel VI. Mikroskopische Bilder recenter (Siderastraea, Madrepora, Porites) und fossiler (Zupsammia, Actinacis, Stylophyllum und Heptastylis) Korallen- typen. Fig. 1, 2. Eupsammia. Fig. 1. Querschnitt durch einige Septal-Gruppen. Vom columellaren Theil (©) zu der durch Vermittelung der Synaptikeln gebildeten Pseudotheka. Sekundäre Verdickungen an der Oberfläche der stärkeren Septen und auf den ächten Synaptikeln der Pseudothek, hervorgebracht durch Anlage neuer Caleitieationscentren. — Fig. 2. Radiärer Längsschliff durch ein Septum (parallel der Septaloberfläche). Schwammige Entwickelung der Columella, unregelmässige Poren in und zwischen den Trabekeln der Septa, Synaptikel in der Zone der Pseudothek. Fig. 3. Siderastraea. Querschnitt benachbarter Kelche. Sowohl „ächte“ als „falsche“ Synaptikeln zwischen den Septen. Fig. 4. Actinacis. Querschnitt durch benachbarte Kelche. Reichliche Entwickelung von Coenen- chym. Die Dichte der Septen und die Porosität von Mauer und Coenenchym hat in Taf. VII, Fig. 13 ein Analogon. Fig. 5. Stylophyllum. Querschnitt durch den Kelch von Stylophyllum, einer Triasform von sehr primi- tivem Septalbau. Die sogenannten „Septaldornen“ der Structur nach dasselbe, wie ein einzelnes Trabekelglied eines compacten Septums. Fig. 6, 7. Madrepora. Fig. 6. Längsschlift, verschiedene Kelche in verschiedenen Richtungen treffend. Trabekuläre Structur des Skeletes (cf. v. Kocu’s „Stylophora“). — Fig. 7. Quer- schnitt durch den stark verdickten Theil eines Astes. Tafel-Erklärung. DK Fig. 8. Porites. Längsschliff durch Septen und Synaptikel. Die Septen sind tangential getroffen. Fig. 9. Heptastylis. Längsschliff dureh die radiären und tangentialen Structuren einer typischen Form der triasischen Familie Spongiomorphidae Frech. Tafel IX. Fig. 1, 1a, 1b, 1c. Thamnastraea confluens Quznsrt. sp. p. 220. — Fig.l, von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. la, Querschnitt, von Ignatziberg, natürliche Grösse. Fig. 1b, Bruchstück, längs gebrochen, von Wischlitz, natürliche Grösse (Verlauf der Trabekel). Fig. 1c, von Ignatziberg, längs, aber etwas schief geschnitten, natürliche Grösse (Traversen). Fig. 2, 2a. Thamnastraea oculata Kosy p. 222. — Fig. 2, von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 2a, einige Kelche 4mal vergrössert. Fig. 3, 3a. Thamnastraea gibbosa BEckeEr p. 223. — Fig. 3, von Stram- berg, natürliche Grösse. Fig. 3a, einige Kelche, 6mal vergrössert. Fig. 4, 4a,4b. Thamnastraea globosa OcınvıE p. 223. — Fig. 4, von Stram- berg, natürliche Grösse. Fig. 4a, einige Kelche, 5mal vergrössert. Fig. 4b, Quer- schlif(, Smal vergrössert. Fig. 5, 5a. Thamnastraea aspera Ocınvız p. 224. — Fig. 5, von Koniakau, natürliche Grösse. Fig. 5a, einige Kelche, 8mal vergrössert. Fig. 6, 6a. Dimorphastraea heteromorpha Quanst. sp. p. 226. — Fig. 6, von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 6a, einige Septen mit den Synaptikeln, quer, Smal vergrössert. Fig. 7, 7a, 7b. Dimorphastraea conica Kosy p. 127. — Fig. 7, von der Seite, natürliche Grösse, von Stramberg. Fig. 7a, von oben, 4mal vergrössert. Fig. 7b, einige Septen mit Synaptikeln, quer, Smal vergrössert. Fig. 8, Sa. Dimorphastraea dubia From. p. 227. — Fig. 8, von Strambersg, natürliche Grösse. Fig. Sa, einige Kelche, 3mal vergrössert. Fig. 9. Dimorphastraea vasiformis Kozy p. 228. — Fig. 9, einige Kelche, 4mal vergrössert, von Stramberg. Fig. 10. Thamnoseris Montispastelli n’Acn. sp. p. 242. — Fig. 10, von Chlobowitz, natürliche Grösse. Originale zu Fig. 1a und lc im Museum für Naturkunde zu Berlin. Originale der übrigen Figuren im palaeontologischen Museum zu München. Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 18 974 Die Korallen der Stramberger Schichten. Tafel X. Fig. 1, 1a, 1b. Thamnoseris Amedei Er. sp. p. 242. — Fig. 1, von Stram- berg, natürliche Grösse. Fig. la, ein Stück Oberfläche, 2mal vergrössert. Fig. 1b, Querschliff, 6mal vergrössert. Fig. 2, 2a, 2b. Thamnoseris Perroni From. sp. p. 242. — Fig. 2, von Stramberg, Theil des Stockes, natürliche Grösse. Fig. 2a, einige Kelche, 4 mal vergrössert. Fig. 2b, einige Kelche, Querschnitt, 3 mal vergrössert. (Septen und Synaptikel). Fig. 3, 3a. Thamnoseris Strambergensis OcınvıE p. 243. — Fig. 3, von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 3a, einige Kelche, 4mal vergrössert. (Septen und Synaptikel). Fig. 4, 4a. Microsolena tuberosa Mıcn. sp. p. 231. — Fig. 4, von Stram- berg, natürliche Grösse. Fig. 4a, einige Kelche, Oberfläche 4mal vergrössert. Fig. 4b, einige Kelche, Querschnitt 6mal vergrössert. (Der Schnitt trifit die Trabekeln nicht alle in gleicher Höhe, wesshalb die Zwischenräume zwischen den Trabekeln ein und desselben Septums nicht gleich gross und nicht ganz regelmässig erscheinen). Fig. 5,5a,6,6a. Microsolena stellata Ocınvır p. 229. — Fig. 5, von Kotzo- benz, einige Kelche, Oberflächen. Fig. 5a, dieselbe, 3mal vergrössert. — Fig. 6, Querschliff durch zwei Kelche, 6mal vergrössert. Fig. 6a, Längsschliff durch die Trabekeln der Septen, Smal vergrössert. Fig. 7, 7a, 7b. Microsolena agariciformis Erarı. p. 232. — Fig. 7, von Wischlitz. Ein Stück Oberfläche natürlicher Grösse. Fig. 7a, einige Kelche, Ober- fläche 6mal vergrössert. Fig. 7b, die Trabekeln von einer in dem Septum liegenden Divergenzlinie, nach innen und oben gegen das Kelchcentrum, nach aussen und oben in der sogenannten Costa aufsteigend. Fig. 8, Sa, Sb. Microsolena variata Ocınvız p. 230. — Fig. 8 von Wisch- litz. Ein Stück der Oberfläche, natürliche Grösse. Fig. Sa einige Kelche, Ober- fläche Smal vergrössert. Fig. Sb Längsbruch durch mehrere Septen, die Trabekeln und Synaptikeln zeigend, 8mal vergrössert. Fig, 9, 9a. C(omoseris brevivallis Ocınvır p. 248. — Fig, 9 von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 9a ein Theil der Oberfläche geschliffen, 5mal vergrössert. Fig. 10, 102. Polyphylloseris corticata Ocınvın p. 235. — Fig. 10 von Stramberg, einige Aeste, natürliche Grösse. Tig. 10a Dünnschlif! quer durch zwei Kelche, Smal vergrössert. Man sieht Septaltrabekeln und Synaptikeln, auch die eigen- thümlichen Windungen der Septen am Kelchrand. Fig. 11, 11a. Polyphylloseris tenuiseptata Ocınvın p. 234. — Fig. 11 von Stramberg. 2 Aeste, natürliche Grösse. Fig. lla einige Kelche, Oberfläche Amal vergrössert. Fig. 12, 12a, 12b. Polyphylloseris faseiceularis Ocınvır p. 235. — Fig. 12 von Stramberg. Stockoberfläche natürliche Grösse, dicke, runzelige Epithek zeigend. Fig. 12a Querschnitt durch zwei Kelche. Fig. 12b Längsschnitt durch den Stock, Septaltrabekeln und Synaptikeln sind in tangentialer Richtung getroffen. Tafel-Erklärung. 275 Fig. 13, 13a. Polyphylloseris ramosa OcınvıE p. 237. — Fig. 13 Spitze eines Astes, 2mal vergrössert. Fig. 13a einige Kelche, Oberfläche 4mal vergrössert. Fig. 14, 14a. Thamnaraeca pulchella Ocınvır p. 154. — Fig. 14 von Ignatzi- berg. Spitze eines Astes, natürliche Grösse. Fig. 14 einige Kelche, Oberfläche mal vergrössert. Originale im palaeontologischen Museum in München. Tafel XI. Fig. 1. Protoseris recurvata OcınvıE p. 245. — Von Stramberg. Schnitt- fläche quer durch einige Lappen 2mal vergrössert. Fig. 2, 2a. Protoseris robusta Becker p. 246. — Fig. 2 von Wischlitz, Unterseite eines Lappens, natürliche Grösse. Fig. 2a einige Kelche, Oberfläche 3mal vergrössert. E Fig. 3. Dimorpharaca Koechlini Ham sp. p. 238. — Von Stramberg. Einige Kelche in zwei nebeneinander stehenden Reihen, Oberfläche 2mal vergrössert. Fig. 4. Maeandraraea tuberosa Eıraur. p. 239. — Von Stramberg. Dünn- schliff quer durch Kelche. Fig.5. Maeandraraea laminata Ocınvız p. 239. — Von Strambere. Ober- fläche einiger Kelchreihen, 4mal vergrössert. Fig. 6, 6a. Thamnaraea arborescens Eraur. p. 153. — Fig. 6 von Ignatzi- berg. Oberfläche eines Astes, natürliche Grösse. Fig. 6a dieselbe 5mal vergrössert. Fig. 7, 8. Microsolena exigua Kosy p. 250. — Fig. 7 von Stramberg. Mehrere Kelche, Oberfläche 4mal vergrössert. — Fig. 8 von Stramberg. Dünnschliff quer durch einen Stock. Die concentrischen Ringe lassen verschiedene Wachsthums- perioden erkennen. Die scheinbare Unregelmässigkeit der Trabekeln und Synaptikeln ist nur durch die Schnittebene bedingt. Fig. 9, 9a. Polyphylloseris corticata Ocıuvım p. 255. — Fig. 9 von Stram- berg. Astoberfläche, natürliche Grösse. Fig. 9a polirte Schnittfläche, 5 mal ver- grössert. Fig. 10, 10a. Leptophyllia Thurmanni Kosy p. 219. — Fig. 10 von Stram- berg. Koralle, natürliche Grösse. Fig. 10a Theil eines Kelches in Querschnitt ge- zeichnet. Die Septen sehen meist ausgefüllt und dicht aus, 4mal vergrössert. Fig. 11, 11a. Epistreptophyllum Montis From. sp. p. 257. — Fig. 11 von Stramberg. Koralle in natürlicher Grösse, oben und unten abgeschliffen. Links unten eine Knospe. Fig. 11a Querschnitt dureh einen Theil des Kelches, die Pseudothekal- verdickung der Septen gegen aussen zeigend. Fig. 12, 12a. Epistreptophyllum conicum OcınvıE p. 256. — Fig. 12 von Strambers. Koralle oben geschliffen, in natürlicher Grösse. Fig. 12a Querschnitt durch einen Theil des Kelches, die unregelmässig in den Septen auftretenden Löcher und die Bildung eines schwammigen Säulchens in der Mitte zeigend. 18* 276 Die Korallen der Stramberger Schichten. Fig. 13, 15a, 15b, 14. Epistreptophyllum commune Mivasch. p. 255. — Fig. 13 von Stramberg. Koralle in natürlicher Grösse, oben und unten etwas abge- schnitten, links ein Theil herausgebrochen. Fig. 13a der abgebrochene Theil im Längsschnitt gesehen. Fig. 13b Querschnitt durch einen anderen Kelch, mit häufigen Synaptikeln und Traversen. — Fig. 14 von Bobreck. Im Quer- und Längsschnitt gezeichnet. Fig. 15, 15a. Haplaraea columnaris Ocınvır p. 261. — Fig. 15 von Stram- berg. Koralle in natürlicher Grösse. Fig. 15a Querschnitt eines Kelches, den ge- krümmten Verlauf und das Anastomosiren gegen innen der Septen zeigend. Die Löcher verhältnissmässig selten, Synaptikel und Traversen häufig. Die Abbildung weist auf bilaterale Symmetrie durch excentrische Lage des Kelches hin. Fig. 16. Diplaraea aft. rugosa Kozy sp. p. 260. — Von Stramberg. Theil eines Stockes in natürlicher Grösse. Fig. 17, 17a. Diplaraea simplex Kosy p. 258. — Fig. 17 von Stramberg. Korallenstock in natürlicher Grösse. Fig, 17a Querschnitt durch einen Kelch, un- regelmässige Löcher in den Septen zeigend. 3mal vergrössert. Fig. 18, 15a. Diplaraea suberassa Kory sp. p. 259. — Fig. 18 Theil eines Stockes in natürlicher Grösse. Fig. 18a Querschnitt durch einen Kelch in natürlicher Grösse. Fig. 19, 19a, 19b. Diplaraea nobilis Ocınvır p. 260. — Fig. 19 von Ignatzi- berg. Aeste in der Gesteinsmasse von oben gezeichnet. Fig. 19a einige Kelche im Querschnitt. Fig. 19b eine Verzweigung eines Astes im Längsschnitt gezeichnet. Mehrere Septen tangential getroffen. Der Schnitt zeigt, wie die Trabekeln in kürzeren Reihen oder einzelnen Trabekelgliedern aufgelöst sind. Die gebogenen Horizontal- linien deuten nach einander folgende Wachsthumsperioden an. Originale im palaeontologischen Museum in München. Tafel XI. Fig. 1-7. Aulastraea Schäferi Ocınvır p. 107. — Fig. 1, zwei Aeste, oben schief geschnitten, der eine zeigt Knospenbildung nahe am Rand, 11/,mal vergrössert. Stramberg. — Fig. 2, Querschnitt mit breiter, blasiger Aussenzone und kleiner Innen- zone, auf welche die Septen beschränkt sind. „Absterbender Kelch“ mancher Autoren, 11/,mal vergrössert. Stramberg. — Fig. 3, natürlicher Querbruch mit Blasen. Fig. 3a, Oberfläche mit Epithek, natürliche Grösse. Stramberg. — Fig. 4, Quer- und Längs- schnitt. Grobe äussere Blasen, innere, feine Traversen, 11/,mal vergrössert. Fig. 4a Querschnitt. Beginnende Knospenbildung in der äusseren Zone, 11/,mal vergrössert. Stramberg. — Fig. 5, Längsbruch. Der innere Theil mit den Septen ist ausgewittert. Steile Stellung der Blasen gegen den centralen Theil, dieselben bilden eine Art Mauer, natürliche Grösse. Willamowitz. — Fig. 6. Ein erhaltener centraler Theil mit den groben äusseren Blasen, von aussen gesehen, natürliche Grösse. Willamowitz. — Fig. 7, Concentrisch gestreifte Epithekalringe, 11/,mal vergrössert. Stramberg. Tafel-Erklärung. 277 Fig. 8-10. Amphiastraea eylindrica Ocınvız p. 106. — Fig. 8 Querschnitt durch den Stock, 4 mal vergrössert. Stramberg. — Fig. 9 Längsschnitt durch den- selben Stock, 4mal vergrössert. Stramberg. — Fig. 10, Stock von der Seite mit Epithek, natürliche Grösse. Stramberg. Fig. 11, 11a, 11b, 11e, 11d. Opisthophyllum Zitteli Ocınvız p. 102. — Fig. 11, Koralle von der Seite, natürliche Grösse. Stramberg. Fig. 11a, dasselbe Exemplar im Querschnitt, natürliche Grösse. Fig. 11b, dasselbe, Querschnitt, 2mal vergrössert. Fig. Ile, Längsschnitt, feine Traversen in der inneren Kelchzone, na- türliche Grösse. Stramberg. Fig. 11d, Längsschnitt, grobe Blasen in der äusseren Kelchzone, 11/,mal vergrössert. Stramberg. Fig. 12, 13, 14. Opisthophyllum minimum Ocızvır p. 103. — Fig. 12, Koralle von der Seite, natürliche Grösse, Inwald. Fig. 12a, Querschnitt desselben Exemplares, natürliche Grösse, — Fig. 13, junge Form, von der Seite, natürliche Grösse, Stramberg. Fig. 13a, Querschnitt desselben Exemplares, natürliche Grösse. — Fig. 14, Querschnitt eines anderen Exemplares von Koniakau, 11/,mal vergrössert. Fig. 14a, Längsschnitt, Blasen und Traversen zeigend, 1!/,mal vergrössert. Koniakau. Fig. 15, 15a, 15b, 15c, 16. Opisthophyllum vesiculare Ocııvız p. 102. — Fig. 15, Koralle von der Seite, mit Epithek, natürliche Grösse, Ignatziberg. Fig. 15a, dasselbe Stück im Querschnitt, natürliche Grösse. Fig. 15b, dasselbe Stück, Dünn- schliff quer, doppelte Grösse, Blasen und Traversen. Fig. 15c, dasselbe Stück, Dünn- schliff längs, doppelte Grösse, Traversen im Innern. — Fig. 16, Querschnitt eines Exemplares von Stramberg, natürliche Grösse. (ef. Taf. XIII, Fig. 14). " Fig. 17, 18,19. Amphiastraea gracilis Kor p. 105. — Fig. 17, Bruch- stück von der Seite, natürliche Grösse. Stramberg. — Fig. 18, einige Zellröhren von der Seite, natürliche Grösse. Kotzobenz. Fig. 18a, Oberfläche eines Exemplares von Kotzobenz, 2mal vergrössert. Fig. 18b, einige Kelche desselben Exemplares, 7 mal vergrössert. Fig. 18c, einige Kelche desselben Exemplares in Theilung, Stramberg, 4mal vergrössert. — Fig. 19 und 19a, Dünnschliffe von Kotzobenz. Fig. 19, Quer- schliff, 4mal vergrössert. Septaldornen am Aussenrand der Kelche, Blasige Tra- versen im peripheren Theil. Fig. 19a, Längsschliff 3mal vergrössert. Septaldornen am Aussenrand der Kelche. Fig. 20, 20a. Stylosmilia Kobyi Ocınvır p. 117. — Fig. 20, Bruchstück, von der Seite, natürliche Grösse. Stramberg. Fig. 20a, Querschnitt desselben Exemplars, 4mal vergrössert. Blasen und Knospen. Fig. 21, 22, 22a. Selerosmilia Strambergensis Ocııvız p. 111. — Fig. 21, Exemplar von Stramberg in natürlicher Grösse, von der Seite gesehen. — Fig. 22, angewittertes Exemplar von Ignatziberg, in natürlicher Grösse, Septen und Traversen zeigend. Fig. 22a, Querschnitt desselben Exemplares, natürliche Grösse. Fig. 23, 23a. Pseudothecosmilia Etalloni Kosr p. 112. — Fig. 23, zwei sich berührende Kelchröhren, natürliche Grösse, Stramberg. Fig. 24a, Querschnitt desselben Exemplares, 3mal vergrössert. Originale zu Fig. 17 im Museum für Naturkunde zu Berlin. Originale der übrigen Figuren im palaeontologischen Museum zu München. 2718 Die Korallen der Stramberger Schichten. Tafel XI. Fig. 1, 1a, 1b. Aulastraea conferta Ocınyız p. 110. — Fig. 1, Stock schief anzeschliffen, natürliche Grösse von Stramberg. Fig, la, Querschliff durch ein paar Kelche, natürliche Grösse. Fig. 1b, Längsschnitt durch einen Kelch, natürl. Grösse. Fig. 2, 2a. Montlivaltia Renevieri Kory p. 197. — Fig. 2 und 2a, von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 3, 3a. Montlivaltia Cavalli w’Acn. p. 198. — Fig. 3 und 3a, von Ignatziberg, natürliche Grösse. Fig. 4. Montlivaltia obconica Msr. sp. p. 195. — Ansicht von oben, natür- liche Grösse, von Wischlitz. Fig. 5, 5a. Montlivaltia alata Ocıuvız p. 198. — Fig. 5, von der Seite, natürliche Grösse, Fig. 5a, von oben, natürliche Grösse, von Ignatziberg. Fig. 6, 10, 11 und 11a. Pleurosmilia eylindrica From. p. 138. — Fig. 6 und 10 Querschnitte, natürliche Grösse. Fig. 6 von Stramberg, Fig. 10 von Ignatzi- berg. — Fig. 11, Abdruck, natürliche Grösse, Wischlitz. Fig. 11a, Abdruck einer Septalfläche mit Vertiefungen den Trabekeln entsprechend, Wischlitz. Fig. 7, 7a. Epismilia obesa Kosy p. 141. — Fig. 7, Steinkern (Ausguss des Kelches und der Interseptalräume), natürliche Grösse, von Bobrek. Fig. 7a, Abdruck eines Septums, natürliche Grösse. Trabekeln und Granulationen. Fig. 8. Pleurosmilia afl. infundibuliformis Mich. sp. p. 140. — Stein- kern, natürliche Grösse, Kotzobenz. Fig. 9, 13 und 15. Pleurosmilia crassa Mrwascn. p. 139. — Fig. 9, Quer- schnitt, natürliche Grösse, Wischlitz. — Fig. 13, Kelch von der Seite, mit Knospe, natürliche Grösse, Kotzobenz. — Fig. 15, Koralle schief geschnitten, natürl. Grösse, Koniakau. Fig. 12. Pleurosmilia Marcou Ir. p. 139. — Kelch von oben, natürliche Grösse, Stramberg. Fig. 14, 14a. Opisthophyllum vesieulare Ocıuvır p. 102. — Fig. 14, von der Seite, natürliche Grösse, Stramberg. Fig. 14a, dasselbe Exemplar, Querschnitt, natürliche Grösse. Fig. 16, 16a. Thecosmilia iruncata Ocıuyız p. 213. — Fig. 16, Stock von der Seite, Bruchfläche, Verlauf der Trabekeln, natürliche Grösse. Hüttenwerk Baska bei Friedeck in Mähren. Fig. 16a, dasselbe Stück, von oben, natürliche Grösse. Originale zu Fig. 2, 10 und 16 im Museum für Naturkunde zu Berlin. Originale der übrigen Figuren im palaeontologischen Museum zu München. Tafel XIV. Fig. 1, 1a. Thecosmilia Koniakensis Ocınvız p. 201. — Fig. 1, von Konia- kau, Theile eines Stockes in natürlicher Grösse. Fig. la, Querschnitt durch denselben. Fig. 2, 2a, 2b, 3, 3a. Thecosmilia longimana Quexst. sp. p. 203. — Fig. 2, von Stramberg, Theil eines Stockes natürlicher Grösse. Fig. 2a, 2b, Querschnitte Tafel-Erklärung. 979 durch Kelche. — Fig. 3, 7. longimana var. lacerum, Ast natürlicher Grösse. Fig. 3a, Kelehquerschnitt natürlicher Grösse. Fig. 4, 4a. Thecosmilia virgulina Er. sp. p. 206. — Fig. 4, Aeste eines Stockes natürlicher Grösse. Fig. 4a, Querschnitt durch einige Kelche natürlicher Grösse; ein Kelch rechts 2mal vergrössert. Fig. 5, 5a, 5b, 5e. Thecosmilia flabella Buaımv. sp. var. compacta Koprr p. 207. — Fig. 5, von Chlebowitz, Aeste eines Stockes natürlicher Grösse. Fig. 5a, ein anderes Exemplar von demselben Fundort. Fig. 5b, Querschnitt eines Kelches natürlicher Grösse (von Iskritschin). Fig. 5e, Theil eines Stockes von Iskritschin im Querschnitt, natürlicher Grösse, rechts ein Kelch 2mal vergrössert. Fig. 6, 6a. Thecosmilia irregularis Er. p. 209. — Fig. 6, von Koniakan, verzweiste Aeste natürlicher Grösse. Fig. 6a, Querschnitt durch einen Kelch in Theilung begriffen. Fig. 7, 7a, 8. Thecosmilia Volzi OcınvıE p. 209. — Fig. 7, von Mittel- Bludowitz. Aeste in natürlicher Grösse, Fig. 7a, Querschnitt durch einen Kelch natürlicher Grösse. — Fig. S, von Ignatziberg. Schräger und Längsschnitt durch verzweigende Aeste. Fig. 9, 10, 10a, 11. Thecosmilia suevica Quensrt. sp. p. 212. — Fig. 9, von Koniakau, Querschnitt durch den Stock, natürliche Grösse. — Fig. 10, idem. Ein Stock mit sehr lappigen Umrissen. Fig. 10a, Tangentialer Längsschnitt durch mehrere Septen. — Fig. 11, Bruchstück im Quer- und Längsschnitt gezeichnet. In natürlicher Grösse, von Koniakau. Fig. 12. Thecosmilia moraviensis OcınvıE p. 210. — Von Ignatziberg. Theil eines Stockes im Querschnitt, natürliche Grösse. Originale im palaeontologischen Museum zu München. Tafel XV. Fig. 1, 1a, 1b, 1ec. Rhabdophyllia disputabilis Breker sp. p. 214. — Fig. 1, von Stramberg, einige Aeste in natürlicher Grösse. Fig. la, Querschnitte durch einen Kelch natürlicher Grösse. Fig. 1b, Querschnitt durch einen knospenden Kelch. Fig. le, Querschnitt 2mal vergrössert. Fig, 2, 2a. Rhabdophyllia cervina Er. p. 215. — Fig. 2, von Wischlitz, Astverzweigung in natürlicher Grösse. Fig. 2a, Kelchquerschnitt natürlicher Grösse. Fig. 3, 3a, 5b. Stylosmilia Koniakensis Ocıwvır p. 118. — Fig. 3, von Koniakau. Theil eines Stockes natürlicher Grösse. Die Aeste sehen auf der Schnitt- fläche unterbrochen aus durch häufige Krümmungen in ihrem Verlauf. Fig. 3a, Dünn- schliff quer durch einen Stock. Fig. 3b, Längsschliff. Fig. 4,5 Stylosmilia rugosa BEcKER sp. p. 117. — Fig. 4, von Koniakau. Natürliche Bruchfläche eines Stockes, die Krümmung der Aeste zeigend und Abdrücke der Epithek auf der Gesteinsmasse. — Fig. 5, von Koniakau. Kelche in natürlicher Grösse. Fig. 5a, ein Kelch vergrössert. 980 Die Korallen der Stramberger Schichten. Fig. 6, 7. Isastraea Goldfussi Kosy sp. p. 190. — Von Stramberg. Fig. 6, Korallenstock natürlicher Grösse, — Fig. 7, junger Stock, Unterseite. Fig. 8, 10, 14, 14a, 15. Isastraea undans En. sp. p. 159. — Fig. 8, von Wischlitz. Verwitterte Oberfläche eines Stockes, deutliche Kelchumrandung durch ächte Mauer. — Fig. 10, von Stramberg. Etwas polirte Oberfläche eines Stockes. — Fig. 14, von Stramberg, Oberfläche eines ganzen Stocks, theilweise geschliffen. Fig. 14a, Dünnschliff, 2mal vergrössert. Marginale Knospung oder Theilung der Kelche deutlich zu sehen. Eine Scheidewand zwischen Knospe und Mutterkelch nur theilweise oder gar nicht gebildet. — Fig. 15, junges Exemplar von Stramberg. Fig. 9, 16. Isastraea variabilis Er. sp. p. 189. — Fig. 9, von Koniakau. Verwitterte Oberfläche, 2mal vergrössert. — Fig. 16, von Stramberg. Korallenstock in natürlicher Grösse, Fig. 11, 11a. Isastraea Thurmanni Er. sp. p. 190. — Fig. 11, von Stram- berg. Korallenstock mit verwitterter Oberfläche in natürlicher Grösse. Fig. 11a, einige Kelche, 2mal vergrössert, geschliffen. Fig. 12, 12a, 13, 13a. Isastraea eylindrica Ocınvır p. 191. — Von Stram- berg. Fig. 12, Korallenstock natürlicher Grösse, Oberfläche sehr glatt gerieben. Fig. 12a, Querschliff durch mehrere Kelche, 3mal vergrössert. — Fig. 13, ein sehr gut erhaltener Korallenstock. Verwitterte Oberfläche mehrerer Kelche, 3mal vergr. Fig. 17,17a. Isastraea Gourdani From. p. 192. — Fig. 17, verwitterte Oberfläche eines Korallenstockes in natürlicher Grösse. Fig. 17a, Querschlift, Kelche mit Knospen, 3mal vergrössert. Originale im palaeontologischen Museum in München. Tafel XVI. Fig. 1, 1a. Acanthogyra multiformis OcınvıE p. 132. — Fig. 1, Stock von oben, natürliche Grösse, Stramberg. Fig. la, ein Kelch desselben 2mal vergr. Fig. 2, 2a, 2b. Acanthogyra columnaris OcınvıE p. 131. — Fig. 2, Bruch- stück von Stramberg, natürliche Grösse. Fig, 2a, einige Kelche desselben im Quer- schnitt, 2mal vergrössert. Fig. 2b, Längsschnitt desselben, 2mal vergrössert. Fig. 3, 3a, 4, 4a. Dendrogyra sinuosa OcınvıE p. 126. — Fig. 4, Stock von oben, natürliche Grösse, Stramberg. Fig. 4a, Querschnitt eines Kelches des- selben Exemplares, 3mal vergrössert. — Fig. 3, Querschnitt eines Kelches von Kotzo- benz, 3 mal vergrössert. Fig. 5a, ein Kelch desselben Exemplares mit erhaltenem Kelchrand, 3mal vergrössert. Fig. 5, 6, 6a. Selenegyra @Geikiei Ocıuvır p. 121. — Fig. 5, Exemplar von Stramberg, natürlicher Gösse. — Fig. 6, Querschliff, natürliche Grösse, von Stram- berg. Fig. 6a, ein Kelch desselben 4mal vergrössert. Fig. 7, 7a. Astrocoenia Bernensis Kosr p. 149. — Fig. 7, Stock in natürlicher Grösse von Stramberg. Fig. 7a, Querschliff desselben Exemplares, 5mal vergrössert. Tafel-Erklärung. 381 Fig. 8, Sa. Astrocoenia crasso-ramosa Miıcn. sp. p. 150. — Fig. 8, Exemplar von Stramberg, 3mal vergrössert. Fig. 8a, ein einzelner Kelch, Smal vergr. Fig. 9, 9a. Astrocoenia Delemontana Kosrp. 150. — Fig. 9, Stock in natürl. Grösse, von Stramberg. Fig. 9a, ein Theil der Oberfläche, vergr. Fig. 10, 10a, 10Ob. Stephanocoenia favulus Tuurm. sp. p. 151. — Fig. 10, Stock von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 10a, Oberfläche desselben, 3mal ver- grössert. Fig. 10b, ein einzelner Kelch, 15mal vergrössert. Fig. 11,12. Oyathophora Claudiensis Er. p. 176. — Fig. 11, Exemplar von Kotzobenz, natürliche Grösse. — Fig. 12, von Ignatziberg, natürliche Grösse. Fig. 13. Cyathophoratithonica Ocınvız p. 177. — Von Koniakau, natürliche Grösse. Fig. 14, 14a. Cyathophora ylobosa Ocınvıs p. 178. — Fig. 14, Längs- schnitt, natürliche Grösse. Fig. 14a, Querschnitt, natürliche Grösse, von Koniakau. Fig. 15, 15a, 15b. Stylina foliosa Ocınvır p. 170. — Fig. 15, Theil der Unterseite eines Stockes von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 15a, dasselbe Exem- plar, Theil der Oberseite. Fig. 15b, Querschnitt, 6mal vergrössert. Originale im palaeontologischen Museum zu München. Tafel XVII. Fig. 1, 1a. Stylina arborea v’Acn. p. 168. — Fig. 1, Stock von der Seite, natürliche Grösse, Stramberg. Fig. la, einige Kelche, 6mal vergrössert. Fig. 2, 2a. Stylina granulosa From. p. 168. — Fig. 2, Stock von Stram- berg, natürliche Grösse. Fig. 2a, einige Kelche, 6mal vergrössert. Fig. 3. Stylina Waldeckensis Er. p. 172. — Einige Kelche, 6mal ver- grössert, Stramberg. Fig. 4, 4a, 4b. Stylina Kotzobenzis Ocınvır p. 169. — Fig. 4, Abdruck eines Stockes von Kotzobenz, natürliche Grösse. Fig. 4a, künstlich hergestelltes Positiv desselben, natürliche Grösse. Fig. 4b, einige Kelche, 6mal vergrössert. Fig. 5, 5a. Stylinu sulcata From. p. 171. — Fig. 5, Stock von Stram- berg, natürliche Grösse. Fig. 5a, einige Kelche, 3mal vergrössert. Fig. 6, 6a. Stylina tuberosa Ocınvır p. 171. — Fig. 6, von Koniakau, natürliche Grösse. Fig. 6a, einige Kelche, 6mal vergrössert. Fig. 7, 7a. Stylina parvipora OcıLyır p. 133. — Fig. 7, Stock von Koniakau, natürliche Grösse. Fig. 7a, einige Kelche, 6mal vergrössert. Fig. 8, 8a. Stylina milleporacea Ocınvız p. 173. — Fig. 8, von Koniakau, natürliche Grösse. Fig. Sa, einige Kelche, 6mal vergrössert. Fig.9. Stylina tubulifera Puıtı. sp. p. 174. — Von Ignatziberg, einige Kelche, 3mal vergrössert. Fig. 10, 10a. Heliocoenia dendroidea Er. sp. p. 167. — Fig. 10, Stock von Koniakau, natürliche Grösse. Fig. 10a, einige Kelche, 6mal vergrössert. Originale im palaeontologischen Museum zu München. 282 Die Korallen der Stramberger Schichten. Tafel XVII. Fig.1,2, 2a. Stylina brevicosta Ocınvır p. 174. — Fig. 1, von Stram- berg, natürliche Grösse. — Fig. 2, von Kotzobenz, natürliche Grösse. Fig. 2a, einige Kelche, 4mal vergrössert. Fig. 3, 3a. Heliocoenia Humberti Er. sp. p. 167. — Fig. 3, von Stram- berg, natürliche Grösse. Fig. 3a, einige Kelche, 6mal vergrössert. Fig. 4, 4a. Stylina anthemoides Mexecn. sp. p. 172. — Fig. 4, von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 4a, einige Kelche, 6mal vergrössert. Fig. 5, 5a. Diplocoenia elathrata Er. sp. p. 164. — Fig. 5, von Koniakau, natürliche Grösse. Fig. 5a, einige Kelche, 6mal vergrössert. Fig. 6. Diplocoenia spissa Becker sp. p. 164. — Von Stramberg, nat. Gr. Fig. 7, 8, Sa. Diplocoenia Inwaldensis Ocınvır p. 164. — Fig. 7, von Inwald, natürliche Grösse. — Fig. 8, Inwald, natürliche Grösse. Fig. 5a, einige Kelche, 6mal vergrössert. Fig. 9, 9a. Diplocoenia multiseptata Ocınvır p. 164. — Fig. 9, von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 9a, einige Kelche, 3mal vergrössert. Fig. 10, 10a. OryptocoeniaThiessingi Kor p. 181. — Fig. 10, von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 10a, einige Kelche, 6mal vergrössert. Fig. 11. Convezastraea searadiata Goupr. sp. p. 179. — Stock von Stramberg, natürliche Grösse. Fig. 12, 12a. Convexastraea minima Er. sp. p. 170. — Fig. 12, von Koniakau, natürliche Grösse. Fig. 12a, einige Kelche, 6mal vergrössert. Originale im palaeontologischen Museum zu München. Palaeontologische Studien über die Grenzschiehten der Jura- und Kreide-Formation im Gebiete der Karpathen, Alpen und Apenninen. Achte Abtheilung. Die Spongien der Stramberger Schichten Dr. Oskar Zeise. Mit Tafel XIX— XXI. ae— Stuttgart. E. Schweizerbart’sche Verlagshandlung (E. Koch.) 1897. B u j F _ de Sr \ % an} « u I =; he PEN URN Te “ 2. E 2 . I 1... EEY > Bu a [| e Bi Ag am " Al fi \2 Art Art j TR DEKITE ! I HaISED fe ii A MILD hs H ) IN EN IE i I 13 ] n E23 Druck von Carl Hammer in Stuttgart. Die Bearbeitung der Stramberger Spongien wurde mir von Herrn Ge- heimrath von ZITTEL zu Anfang des Jahres 1891 anvertraut und in der Haupt- sache bereits im Herbste desselben Jahres, wo ich von München aus einem Rufe an die kgl. preuss. geologische Landesanstalt folgte, vollendet. Wenn die Veröffentlichung erst jetzt erfolgt, so hat dies seinen Grund in dem Wunsche des Herrn Geheimraths vox ZITTer, die Monographie der Stramberger Korallen, deren Drucklegung erst zu Anfang dieses Jahres beginnen konnte, der der Spongien voraufgehen zu lassen. Immerhin dürfte sich die Veröffentlichung der Spongien-Monographie durch meine Schuld noch um einige Monate ver- zögern, da ich schliesslich zu spät mit der durch das inzwischen erfolgte Er- scheinen des ersten Bandes von Raurr’s Palaeospongiologie nothwendig ge- wordenen Neudurcharbeitung begann. Das bearbeitete Material gehört zum weitaus grössten Theil der Mün- chener paläontologischen Sammlung an, wohin es durch den Kauf der vox HoHENEGGER’schen Sammlung gelangte. Der Rest stammt aus den Sammlungen der k. k. geologischen Reichsanstalt in Wien. Das Wiener Material verdanke ich durch Vermittlung des Herrn Geheimraths vox Zimmer der Güte des in- zwischen verstorbenen Herrn Director STur, der mir dasselbe bei meinem Be- suche in Wien, Ostern 1891, bereitwilligst zur Verfügung stellte. Im Wiener Hof-Museum fand ich von Stramberger Schwämmen nichts vor. Ich gebe mich der Hoffnung hin, dass mir das gesammte Stramberger Schwamm-Material zur Bearbeitung vorgelegen hat. Dasselbe ist wenig um- fangreich und mit Ausnahme eines kleinen Theils der Kalkschwämme fast durchweg von schlechter Erhaltung, sodass die Bestimmung häufig nur nach der äusseren Form und dem Canalsystem erfolgen konnte und desshalb auch von ? und cf. ein reicher Gebrauch gemacht werden musste, In der Systematik und Nomenclatur folgte ich von ZITTEL—RAUFF. Die Centralhöhle ist als Paragaster, die einströmenden Canäle als Epirrhysen, die ausströmenden als Aporrhysen bezeichnet. Die Eintrittsstellen der Epirrhysen IV Vorwort. an der Aussenseite des Skelets wurden Ostia, die am Paragaster liegenden Ausmündungen der Aporrhysen Ostia postica oder kurz Postica genannt. Die Ausmündungen der zum aporrhysalen System gehörigen Canäle auf der Aussen- seite des Schwammes heissen Naren. Die Tafeln wurden gleich nach meiner Uebersiedelung nach Berlin unter meiner Aufsicht von den Herren OnmAnn und PrıLuwirz mit schätzenswerther Sorgfalt auf Stein gezeichnet. Die Schnitte und Schliffe fertigte ich selbst im paläontologischen Institut der Universität München an. Es erübrigt mir noch, meinem hochverehrten Lehrer, Herrn Geheimrath voN ZITTEL, auch an dieser Stelle meinen herzlichsten Dank für die mir be- wiesene Güte und freundlichst gewährte Unterstützung auszusprechen. Zu danken habe ich ferner Herrn Professor HerrwiG in München und Herrn Geheimrath F. E. Schuzze in Berlin für die mir gütigst gestattete Durch- sicht der recenten Kalkschwamm-Präparate der ihnen unterstellten Sammlungen, ebenso Herrn Dr. Horer in München für seine liebenswürdige Hilfe bei Her- steliung von Präparaten aus meinem von der zoologischen Station zu Neapel bezogenen, recenten Material. Zu Dank fühle ich mich auch Herın Dr. Raurr verpflichtet, der auf meinerseits geäusserte Zweifel sein T’halamopora-Material einer erneuten, von demselben Erfolge begleiteten Untersuchung unterzog. Besonderen Dank schulde ich auch Herrn Geheimrath Dr. HAUCHECORNE, der mir gütigst erlaubte, das Stramberger Material in den Räumen der geo- logischen Landesanstalt unterzubringen, sowie die zur Fertigstellung der Ar- beit nothwendige, microscopische, wiederholte Durchsicht der Schlitfe eben- daselbst vorzunehmen, ferner den Herren Professor Dr. JAEKEL und Dr. Jon. BöHnm für ihre freundliche Untersützung beim Lesen der Correcturen. Berlin, im März 1896. Dr. O. Zeise. Erhaltungszustand. I. Silicea. Die Kieselspongien der Stramberger Schichten befinden sich in dem Stadium der vollständigen Verkalkung und zumeist in einem so schlechten Erhaltungszustande, dass die Zuweisung zu den Ordnungen und Familien sehr oft nur auf Grund der äusseren Form und des Canalsystems erfolgen konnte. Nur die Hexactinelliden machen zum Theil eine rühmliche Ausnahme; hier konnten an den meisten Stücken deutlich Sechsstrahler in kleinerem oder erösserem Verbande erkannt werden, wenn auch selten in so scharfer Ab- grenzung gegen das Sediment, wie es Taf. XIX, Fig. 4 von Sporadopyle cf. texturata var. subtexturata D’ORB. Sp. zeigt. Diese Ausnahme dürfte lediglich auf den im Vergleich zu den Lithistiden-Skeleten einfacheren und regel- mässigeren Gerüstbau der Hexactinelliden zurückzuführen sein, indem hier Verdickungen der Spieulae und andere secundäre Fossilisations-Erscheinungen nicht so leicht zur Unkenntlichmachung derselben führten. Doch wurde bei den Hexactinelliden einmal auch der denkbar schlechteste Erhaltungs- zustand beobachtet, der als das Endstadium der Verkalkung von Kiesel- spongien zu betrachten ist. Dieses Stadium zeigt Tremadietyon regulare n. Sp. Das Skelet mit sammt dem die Maschenräume ausfüllenden Sediment ist in eine einheitliche, klare, körnige Kalkspathmasse verwandelt; keine Andeutungen von Skeleteontouren sind erhalten geblieben. Die Sediment-Erfüllung der Canäle hingegen hat ihre ursprüngliche Beschaffenheit bewahrt; im durch- fallenden Licht ist von einer Aufhellung (oolithische Structuren, LoRETZ, RAUFF) ' so gut wie nichts zu bemerken. Ist es durchaus verständlich, dass dort — z. B. bei Tremadietyon regulare —, wo das die Maschenräume ausfüllende Sediment denselben kıy- stallinischen Zustand wie die Bälkchen erreichte, diese der Beobachtung sich entziehen müssen, so ist es andererseits schwer erklärlich, dass auch vielfach dort die Bälkchen nicht in Erscheinung treten, wo das Sediment erst eine ! Lorerz: Untersuchungen über Kalk und Dolomit. Zeitschrift der deutschen geol. Ges. 1878, Bd. 30, pag. 387—416, Taf. 17, 18. — Raurr: Palaeospongiologie. Palaeonto- graphica 1893, 1894, Bd. 40, pag. 217—223. — Meine Beobachtungen an den Stramberger Spongien können die Einwände Raurr’s gegen Lorerz’s Hypothese der primären Entstehung der oolithischen Structuren (Aufhellung des Sediments) nur bestätigen. Raurr hat ent- schieden Recht, wenn er pag. 219 sagt: Die Aufhellung des kalkigen Sediments bezeichnet einen secundären Krystallisationsprocess und ist um so stärker, je weiter dieser vorge- schritten, je höher der krystallinische Zustand geworden ist. Palaeontologische Mittheilnnzen. Band 3. 19 390 Die Spongien der Stramberger Schichten. geringe Aufhellung erfahren hat. Es ist dies in den meisten der vorliegenden Schliffe zu sehen. Der Kalkspath der Bälkchen konnte — die im Gestein cir- eulirenden kalkigen Lösungen konnten die Hohlskelete eben mit nichts anderem als Kalkspath erfüllen — nun unmöglich durch Vorgänge irgend welcher Art auf geringere Krystallisationsgrade (oolithische Structuren) zurückgeführt werden — wäre dies möglich, so müssten die Bälkchen sich allerdings wieder der Beobachtung entziehen, sobald Sediment und Skeletausfüllung denselben krystallinischen Zustand erreichten — und so scheint mir die Annahme, dass das Gestein unmittelbar nach oder während der Fortführung der Kieselsäure in sich zum Theil noch soweit beweglich war, dass die Hohlskelete durch nachdrängendes Sediment ausgefüllt werden konnten, einer gewissen Berechti- gung nicht zu entbehren. Bei den Lithistiden ist die Aufhellung des Sediments im Allgemeinen ungleich weiter vorgeschritten, doch kommt es auch hier und da vor, dass das die Spiculae einhüllende Sediment in fast noch ursprünglichem Zustande verblieben ist. Aber selbst in diesem günstigsten Erhaltungsstadium haben die Spieulae durch secundäre Krystallisation des ihnen unmittelbar anliegen- den Sedimentes Verdickungen und Verunstaltungen erfahren, die ein sicheres Erkennen derselben nur selten gestatten. Zum weitaus grössten Theile sind diese Verdickungen und Verunstaltungen jedoch bereits zur Verschmelzung (der einzelnen Spieulae gediehen, und in diesem Walle ist es zur Unmöglichkeit eeworden, eine Skeletbestimmung zu machen, die auch nur einen gewissen Grad von Wahrscheilichkeit beanspruchen könnte. Am Meisten erkennt man dann noch im auffallenden und durchfallenden Licht bei Loupenvergrösserung (s. Taf. XIX, Fig. 10b, 14a), während stärkere Vergrösserungen alles ver- schwommen erscheinen lassen. Die bei den Hexactinelliden besprochene Er- scheinung des Fehlens von Kalkspath-Spieulae in noch nicht aufgehelltem Sediment ist bei den Lithistiden vereinzelt auch zu beobachten und gilt hier- für dieselbe Erklärung, die oben versucht wurde. Das Sediment im Paragaster und in den Wassercanälen erscheint im Allgemeinen, allerdings mit häufigen Ausnahmen, im durchfallenden Licht dunkler (weniger durch secundäre Krystallisation aufgehellt) als die zwischen dem Skeletwerke befindliche Ausfüllungsmasse. — Die Stramberger Schwämme bestätigen daher den von Raurr vermutheten Einfluss der Hohlskelete — bevorzugte Leitungsbahnen für die eireulirenden Gewässer — auf die Meta- morphose von Kalkstem!. Häufige Ausnahmen sind aber, wie nochmals betont werden soll, vorhanden. Frappant tritt dies bei Seytalia tithonica n. sp. und Melonella ef. radiata Quexst. sp. in Erscheinung, wo die Paragaster- Aus- füllungen fast ganz aus Kalkspath bestehen. ! Palaeospongiologie pag. 220, 221. Calearea. 391 II. Calcarea. Der Erhaltungszustand der Kalkschwämme ist in Bezug auf die Skelet- Elemente auch als ungünstig zu bezeichnen; nur bei zwei Formen Rauffia elavata n. sp. und T’halamopora Zitteli n. sp. treten die Spiculae klar und scharf in Erscheinung, während bei allen übrigen Schwämmen Spiculae ent- weder garnicht oder nur undeutlich erkannt werden konnten. Dagegen ist das Fasergeflecht als solches von guter Erhaltung und hebt sich im auffallenden und durchfallenden Licht zumeist scharf und deutlich vom Sediment ab. Die angeschliffiene Faser hat bei dem grössten Theil der Pharetronen im auf- fallenden Licht ein milchweisses, glänzendes Aussehen und tritt im Allgemeinen, doch nicht ausnahmslos, um so deutlicher hervor, je dunkeler die sie ein- bettende Gesteinsmasse ist. Bei dieser Faser-Erhaltung kann man von vorn herein darauf rechnen, wenig glücklich in der Auffindung von Nadeln zu sein. Bei einer kleineren Anzahl, fast ausschliesslich der Gattung Rauffia ange- hörenden Schwämme, hat die Faser, so besonders bei Exemplaren von Ignazi- berg, Willamowitz und Kotzobenz, ein erdiges, kreideähnliches Aussehen. Dieser Erhaltungszustand ist für die mieroscopische Untersuchung der günstigste, und wenn auch nicht isolirte Spieulae gewonnen werden konnten, so treten doch in den Dünnschliffen die Nadeln zum Theil mit ausserordentlicher Schärfe her- vor (Taf. XXI, Fig. 12, 13). Einigen wenigen Exemplaren von Rauffia (Bobrek, Stanislowitz) mangelt, bei gleicher erdiger Beschaffenheit der Faser, das kreideähnliche Aussehen, und die Faser zeigt mehr gelbe bis braungelbe Tinten. Unter den Syconiden zeigen die meisten vorliegenden Exemplare von Thalamopora Zitteli n. sp. ebenfalls eine erdige, kreideähnliche Beschaffenheit des Skelets („Faser“), und die Dünnschliffe lassen auch hier wieder Nadeln in zum Theil vorzüglicher Erhaltung erkennen. (Taf. XXI, Fig. 24a, 25). Bei allen Kalkschwämmen, mit Ausnahme eines Exemplars von ? Myr- mecium grande n. sp. von Stramberg und verschiedenen Exemplaren von Strambergia nov. gen. heben sich die Fasern auf angeschliffenen Schnittflächen im auffallenden Lichte im Allgemeinen durch hellere, zumeist milchweisse Farbe von dem dunkeleren Gesteine ab. Bei den erwähnten Ausnahmen ist es meistens gerade umgekehrt, d. h. die Faser erscheint dunkel in der helleren Gesteinsmasse. Der Grund für dieses Verhalten liegt, wie die Unter- suchung im durchfallenden Licht darthut, darin, dass die Fasern bedeutend krystallinischer als das Sediment sind, deshalb mehr Licht absorbiren und dadurch dunkeler erscheinen als das dichtere, mehr Licht reflectirende Gestein. Das Bild, das diese angeführten Ausnahmen im auffallenden Lichte dar- bieten, ist das Normal-Bild aller übrigen Kalkschwämme im durchfallenden Lichte, entsprechend des im Vergleich zur Faser höheren Krystallisations- Zustandes des Sedimentes; doch kommen vereinzelte Ausnahmen bei Schwämmen 19* 299 Die Spongien der Stramberger Schichten. von dunkelerem Gestein vor, wie z. B. bei ? Eusiphonella cf, Bronni MünstER sp. von ? Wischlitz, wo, trotzdem im auffallenden Licht die Faser sich hell aus dem Gestein abhebt, dieses im durchfallenden Licht zum Theil völlig undurchsichtig ist, während die Faser sich transparent erweist. (Taf. XX, Fig. 15b). Das Normal-Bild der Faser der. Stramberger Schwämme, das Dünnschlifte im durchfallenden Lichte gewähren, stellt Fig. 3a auf Taf. XX dar. Die Faser hebt sich dunkel und grenzt scharf ab gegen das in einen höheren krystalli- nischen Zustand übergeführte Gestein. Die Faser ist jedoch meistens dunkeler und weniger transparent als in Fig. 3a, erreicht jedoch nur in einem einzigen Präparat die Dunkelheit von Fig. 20 auf Taf. XX, so dass sie fast völlig undurchsichtig erscheint. Die Faser selbst ist zumeist in körnigen oder auch wellig faserigen Kalkspath übergeführt; letztere Structur findet sich vornehm- lich an den Rändern der Faser, die Skeletlücken umsäumend, und kann häufig gebogene, den Rändern der Faser sich anschmiegende Stabnadeln vor- täuschen. Da das Gestein immer nur körnige Structur aufweist, liegt der Gedanke nahe, die faserige Structur der Faser auf in ihr liegende Ursachen zurückzuführen, und da ist es dann sehr gut möglich, dass ursprünglich die die Skeletlücken umsäumenden, gebogenen Stabnadeln bei der Krystallin- werdung der Faser structurbestimmend wirkten'. Ein einziges Mal wurde bei gleich scharfer Abgrenzung der dunkeleren Faser gegen das in körnigen Kalkspath umgewandelte Gestein eine radial- faserige Structur der Faser beobachtet. (Taf. XX, Fig. 1Sb). Eine kleinere Anzahl von Dünnschliffen zeigt den schon erwähnten, Taf. XX, Fig. 15b abgebildeten, entgegengesetzten Typus, wo im durchfallenden Licht mehr oder weniger transparente Fasern sich scharf gegen das dunkele, so gut wie garnicht aufgehellte Sediment abgrenzen. In einer weiteren kleinen Anzahl von Dünnschliffen ist die Faser zum Theil nicht scharf gegen das Gestein begrenzt, sondern Faser und Gestein sehen mehr oder weniger unregelmässig ineinander über, was darauf zurück- zuführen ist, dass Faser und Gestein häufig nahezu dieselben Krystallisations- grade besitzen (Taf. XX, Fig, 1, 21, 22). Auch hier finden sich, wie in dem Normaltypus der Faser (Taf. XX, Fig. 3a) unregelmässig faserige Structuren, die neben gebogenen Stabnadeln an den Rändern der Faser auch grosse Drei- strahler in der Mitte der Faser vortäuschen können (Fig. 21, 22). 1 Carver sagt Aehnliches: „The forms of the spieules thus more or less destroyed run into each other so as to assume shapes totally different from what they were originally, while the rest of the calcareous material in a state of solution becomes deposited in the form of fibre composed of one or more concentric layers enclosing the lines of spicules.“ (On the mieroscopie structure thin slices of fossil caleispongiae. Ann, a. Mag. Nat. Mist. 3d. 12, p. 26— 30, 1883). Calecarea. 998 2% Eines Erhaltungszustandes muss noch Erwähnung geschehen, der mich anfänglich dazu veranlasste der Frage näher zu treten, ob sich unter den Pharetronen nicht vielleicht fossile Asconen-Stöcke (cf. Auloplegma-Stock, | Pseudonardus-Form], HÄckeu Kalkschwämme, III. Bd. Taf. II, Fig. 8, 9, 10, 11) versteckten. Dieser Erhaltungszustand findet sich bei fast allen Exemplaren der Gattung Rauffia mehr oder weniger ausgeprägt, vereinzelt auch bei anderen Schwämmen, z. B. bei Peronidella tithonica. Auf angeschliffenen Schnitt- flächen erscheint die Faser nämlich nicht homogen, sondern man sieht in der Mitte der Faser einen mit der Gesteinsfarbe übereinstimmenden, dunkeleren Streifen verlaufen, den man a priori für einen Canal anzusprechen geneigt sein könnte. An Stellen, wo die Faser quer getroffen ist, erscheint innerhalb des rundlichen Querschnittes der Faser ein rundlicher, dunkeler Kern, so dass man in einen Schlauch hineinzusehen glaubt (Taf. XXI, Fig. 1b). Die micros- copische Untersuchung macht diese Vermuthung jedoch bald hinfällig; sie ergibt nämlich schon bei geringer Vergrösserung, dass der im durchfallenden Licht wieder transparenter als die Randpartien der Faser erscheinende, dunkele, centrale Streifen einen regelmässig zusammenhängenden Verlauf durchaus nicht besitzt (Taf. XXI, Fig. 10), und bei stärkeren Vergrösserungen, dass derselbe sich in ein Haufwerk von meist sagittalen Drei- und Vier- strahlern auflöst. Nadeln von ausserordentlicher Schärfe kommen aber auch in den dunkeleren Randpartieen der Faser vor (Taf. XXI, Fig. 12). Ganz vereinzelt ist eine mittlere, hellere Partie der Faser überhaupt nicht zu beobachten, sondern die Faser erscheint vielmehr von der Fossilisation in gleicher Weise an den Rändern und in der Mitte beeinflusst (Taf. XXI, Fig. 13). In Fig. 24, 24a, b auf Taf. XX ist zum Vergleich eine Hydrozoe (nov. gen.) abgebildet, die den Typus einer kleinen Anzahl Stramberger Hydrozoen dar- stellt, die man auf den ersten Blick für Kalkschwämme halten möchte (Sest- rostomella, Himatella). Diese Hydrozoen haben meist keulenförmige bis um- gekehrt kegelförmige Gestalt und sind bis zum Scheitel, der frei bleibt, mit einer meist runzeligen Deckschicht versehen. Das abgebildete Exemplar zeigt ein centrales Bündel von Verticalröhren (Sestrostomella), doch kommen auch Formen vor mit einem bis zur Wurzel reichenden Centralrohr (Himatella), wovon ein Exemplar sogar in dieses Centralrohr mündende radiale Bogen- canäle vortäuscht. Nicht allein die bei näherer Betrachtung mit der Loupe sich herausstellende Verschiedenheit des Verlaufs der anastomosirenden Kalk- fasern, sowie besonders des feineren Canalsystems, sondern auch das micros- copische Bild der Kalkfaser im durchfallenden Lichte (Taf. XX, Fig. 24 b), das von dem der Kalkschwämme total verschieden ist und constant bei allen bislang von den Hydrozoen angefertisten Schliffen sich wiederfindet, lässt diese macroscopisch kalkschwamm -ähnlichen Hydrozoen leicht als solche erkennen. 294 Die Spongien der Stramberger Schichten. Die Pharetronen-Faser ist seit den grundlegenden Arbeiten von ZırmEn's über fossile Schwämme Gegenstand wiederholter Aeusserungen gewesen. von Dunıkowskt stellte als Erster die Behauptung auf, dass die Faser bei den meisten Pharetronen kein ursprüngliches, wie vos Zittern annahm, sondern ein secundäres, lediglich durch den Fossilisations-Process bedingtes Gebilde sei, und fasste die Pharetronen geradezu als eine Unterfamilie der Leuconen auf". Kurz vorher hatte allerdings schon STEINMAnN?, der jedoch die Kalk- schwamm-Natur der Pharetronen leugnete und sie vielmehr mit den Hydrozoen vereinigen zu müssen glaubte, die durch den Fossilisations - Process hervor- gerufene, secundäre Natur der Faser behauptet. Auf Grund angeblich in der Faser beobachteter Thaleophyten-Spuren nahm er aber im Gegensatze zu Von Dunıkowskı an, dass die Kalknadeln derselben ursprünglich nicht von Sarcode eingehüllt gewesen sein könnten, sondern durch Spongin oder kohlen- sauren Kalk zusammengehalten worden sein müssten. HınDe sprach sich bereits 1883° entschieden gegen die von DuntkowskT'sche Annahme aus und hält auch in seiner Monographie der Britischen Schwämme* an seiner Meinung fest, dass die Pharetronen-Faser ein ursprüngliches Gebilde sei, und dass die Pharetronen eine besondere, mit der Kreidezeit erlöschende Gruppe unter den Kalkschwämmen darstellen. Auch Pocra° wendet sich in gleicher Weise wie Hınpe gegen die vox Dunı- KkowskTsche Hypothese und bringt eine ganze Reihe von Gründen gegen diesselbe vor. In neuerer Zeit hat sich dann Raurr‘® in einer sehr inhaltreichen, vor- läufigen Mittheilung unter Anderem über die fossilen Kalkschwämme dahin geäussert, dass dieselben im Wesentlichen nieht von den recenten abweichen, und dass die Pharetronen-Faser nur eine secundäre, durch die Fossilisation bewirkte Erscheinung sei, dass ferner deren Kalknadeln, nicht wie STEINMANN noch heute annehme, ursprünglich durch Spongin oder eine andere Kitt- masse bündelweise zusammengehalten worden wären. Raurr kommt da- mit im Wesentlichen auf die v. DunıkowskT’sche Annahme zurück. In seiner Palaeospongiologie gibt Raurr” auch in dem Capitel über den Erhaltungs- zustand der fossilen Spongien für die Entstehung der Pharetronen-Faser eine höchst bemerkenswerthe Erklärung, die ebenso scharfsinnig ist wie sie ein- leuchtend erscheint. Die Untersuchung der Faser der Stramberger Phare- 1 Palaeontographica Bd. 29, 1882—1883, p. 311—314. 2 Neues Jahrbuch f. Min. etc. 1882, II. p. 182 u. 188. ® Cat. of the fossil sponges of the Britisı Museum p. 158, 159. * The Palaeontographical Society Bd. für 1886, p. 64. 5 Abh. d. k. Böhm. Ges. Wiss. Math. Nat. Classe, 7. Folge. I. Bd. 1885. p. 15 u. 16. $ N. Jahrb. f. Min. etc. 1891. Bd. I, p. 281. ?” Palaeontographica 40. Bd. 1893. p. 205, 206. Canal-System. 295 tronen hat nichts ergeben, was direet für oder gegen die Raurr'sche Annahme spricht. Nur aus der im Allgemeinen scharfen Abgrenzung — wo dies nicht der Fall ist, liegt eine Fossilisations-Erscheinung vor — der Faser gegen das Gestein muss der Schluss gezogen werden, dass, wenn die Kalknadeln auch nicht ursprünglich durch irgend eine Kittmasse zusammengehalten worden sind, dieselben doch im strieten Gegensatze zur Anordnung der Skeletelemente bei den Leuconen zu Faserzügen ursprünglich gruppirt gewesen sein müssen, denn es ist kein Fossilisations-Modus denkbar, der die ganz unregelmässig angeordneten Skeletelemente der Leuconen zu Faserzügen umgestalten könnte. Wenn daher von Dunıkowskı meint, die Pharetronen seien fossile Leuconen, so muss dem auf das Entschiedenste widersprochen werden. Wir kommen über die Auffassung von Zırrev’s nicht hinaus; die Pharetronen bleiben als eine besondere Gruppe unter den Kalkschwämmen bestehen. In Betreff der Deckschichten ist wohl im Allgemeinen der zuerst von v. Dunıkowskı ausgesprochenen Meinung beizupflichten, dass sie in ihrem heute vorliegenden Zustande nicht ursprünglich, sondern secundär sind. Auch Raurr vertritt diese Ansicht und nimmt an, dass die Deekschichten, ganz wie die Dermal-Skelete der lebenden Kalkschwämme, ursprünglich ohne mineralische Cemente nur aus unverschmolzenen Nadeln gebildet waren und die Nadeln erst durch die Fossilisation zu einer compaecten Masse zusammengekittet wor- len seien. Man darf allerdings die Möglichkeit nicht ausser Acht lassen, dass die Deckschichten zum Theil schon primär ein so dichtes, glattes Aussehen gezeigt haben, wie heute, wenigstens sprechen hierfür einige Beispiele unter den recenten Schwämmen. Häck&tv hat nämlich einige Leuconen beschrieben, deren Dermal-Skelet sich durch einen eigenthümlichen Stäbchen-Mörtel aus- zeichnet. „Dieser Stäbchen-Mörtel besteht aus Unmassen von äusserst kleinen, winzigen Stabnadeln, welche olne alle Ordnung und so dicht gedrängt in dem Syneytium durcheinander liegen, dass eine mörtelartige oder gypsartige Masse entsteht“. „Am stärksten entwickelt ist der Stäbehen-Mörtel bei Leucandra stilifera und Leucandra saccharata, wo er die weisse, glatte Ober- fläche wie ein fester Gypsguss oder Zuckerguss überzieht* !. Canal-System. Von den in seiner Palaeospongiologie (Bd. I, p. 127—137) von RAUFF unterschiedenen wichtigsten 9 Modificationen des Canalsystems fossiler Spongien kommen bei den Stramberger Spongien die Modificationen 1, 2, 3, 4, 6 (6a, 6b, 6bb) vor. Unter Modification 6bb fällt das eigenthümliche Spalten- { Die Kalkschwämme. I. Bd. p. 308. 1872, 296 Die Spongien der Stramberger Schichten. Canalsystem, wie es z. B. von Onemidiastrum v. Zirteu bekamnt ist. Bei den Pharetronen ist bislang ein derartiges aporrhysales Spalten-Canalsystem nicht beobachtet worden. Von Interesse ist es daher, dass unter den Stramberger Pharetronen zwei Genera ein ausgeprägtes aporrhysales Spalten-Canalsystem besitzen; es sind die Gattungen Rauffia und Euzittelia. In zweifacher Hinsicht unterscheidet sich jedoch dieses Spaltensystem von dem von RAurr unter 6bb aufgeführten; einmal erreichen die Spalten nie die Aussenseite des Schwammes, zweitens liegen für die Entstehung der Spalten aus Verschmelzung dicht übereinander liegender Bogencanäle keine Anhaltspunkte vor, sondern es scheint vielmehr die Anlage der Spalten eine primäre zu sein. Die in einer wechselnden Anzahl vorhandenen Spalten setzen vom Para- gaster bis etwa in die Mitte der Schwammwand ein, wo sie spitz oder stumpf endigen. In vereinzelten Fällen gabeln sich die Spalten, welche meist nicht continuirlich die ganze Höhe des Schwamms durchsetzen, sondern hier und da Unterbrechungen erkennen lassen. Raurr betont, dass die Entstehung der Spalten aus Canälen z. B. bei Onemidiastrum voN ZITTEL stets deutlich an der Form der Spaltenmündungen zu sehen sei, die wie die Contouren einer Perlenkette in regelmässigen Abständen zusammengeschnürt werden. Auch seien neben den Spalten stets unver- schmolzene, scharf getrennt übereinanderliegende Canäle zu finden. Nichts von alledem zeigt das Spaltensystem der beiden Stramberger Gattungen, die Spalten setzen glatt durch bis auf die erwähnten Unterbrechungen, so dass die Annahme einer primären Anlage der Spalten einer gewissen Berechtigung nicht entbehrt (Taf. XX, Fig. 6, 6a und Taf. XXI, Fig. 1, 1a, Ib, 2, 5, 7). Beschreibung der Arten. Classe: Silicea Grar. Ordnung: Hexactinellidae O. Schmpr. Unter - Ordnung: Dictyonina VON ZITTEL. I. Genus: Tremadietyon von Zırteun 1878. 1. Tremadietyon regulare n. sp. — Taf. XIX, Fig. 2. Dieser Schwamm liegt nur in Bruchstücken nebst den dazu gehörigen Abdrücken vor, wovon das eine Bruchstück Handgrösse erreicht. Nur die eine (? Ober-) Seite der Wand ist der Untersuchung zugänglich; die andere ruht im nicht abzulösender Gesteinsmasse. Die Form der Bruchstücke ist eben bis schwach wellig gebogen. Der Schwamm ist gross, wahrscheinlich tellerförmig, seine Wand kaum 4 mm dick. Die im fast geradlinigen Reihen alternirenden Ostien sind von gleicher, ovaler Form, was im Verein mit der durchweg gleichen Grösse derselben dem Schwamm ein ausserordentlich regel- mässig netzartiges Gefüge verleiht. Die Skeletelemente sind nicht mehr kenntlich und sammt der ihre Maschenräume ausfüllenden Gesteinsmasse in Kalkspath umgewandelt. Nur die in die ÖOstien hineinragenden verlängerten Strahlen sind hier und da noch zu erkennen, da die Sediment-Ausfüllung der Östien die Umwandlung in Kalkspath nicht mitgemacht hat. Bemerkungen: Von Tremadictyon reticulatum GOLDF. sp. unterscheidet sich diese Art durch die Dünne der Wand, ferner durch die regelmässig ovale Form der Ostien und deren geringere Grösse. Untersuchte Stücke: 2 und 2 Abdrücke; (1 Schliff) Geologische Reichsanstalt Wien. Vorkommen: Stramberg. Taf. XIX, Fig. 2. Tremadictyon regulare n. sp. Theil eines handgrossen Bruchstücks. II. Genus: Cratieularia von ZıTTEen 1878. 2. Gratieularia cf. parallela GoLDr. sp. 1826—33. Scyphia parallela Goupruss. Petref. Germ. I. Th. p. 8, Taf. 3, Fig. 3. 1857. — — Erarvon. Esquisse d’une description g6ol. du Haut- Jura p. 36. 1867. —_ — v.HoHENEGGER. Denkschr. d. Wien. Akad. d. Wiss. p. 250. 298 Die Spongien der Stramberger Schichten, 1877. Cratieularia parallela v. Zurwer. Stud. ü. foss. Sp. I. Abtlı. p. 46 u. N. J. für Min. etc. p. 555. 1876—78. Spongites eylindritextus Quenstepr. Petref. Bd.5, p. 65, Taf. 117, Fig.9—15, 1883. Cratieularia parallela Hıspe. Cat. foss. Sp. p. 94. 1886. — — PocrA. Mit. aus dem Jahrb. d. kgl. Ungarischen geol. Anstalt p. 113. Taf. 23, Fig. 2a—t. Die untersuchten Stücke lassen sich — soweit der Erhaltungszustand dies zu beurtheilen erlaubt — von Craticularia parallela GoLDF, sp. aus dem weissen Jura nicht unterscheiden. Die äussere Gestalt der Schwämme, ferner Anordnung und Grösse der rundlichen Ostien stimmen durchaus überein. So können verkalkte Stücke des weissen Jura aus der Umgegend von Krakau mit den Stramberger Stücken geradezu verwechselt werden, da hier noch eine grosse Aehnlichkeit des Gesteins hinzutritt. Immerhin ist die Erhaltung zu unvollkommen, um die speeifische Identität mit Sicherheit behaupten zu können. Nur an einem Fragment, das wahrscheimlich von Kotzobenz stammt, kann die Innenseite beobachtet werden, während die Aussenseite durch an- haftendes Gestein der Beobachtung entzogen wird. Anordnung und Grösse der Postica stimmen an diesem Stück ganz mit den der mit den Postica ab- wechselnde Reihen bildenden Ostia der übrigen Stücke überein. Keiner der vorliegenden, mehr oder weniger eylindrischen, nach der Basis verjüngten Schwämme ist ganz erhalten. Das grösste Stück, dem Scheitel und Basis fehlt, hat eine Höhe von 90 mm. Der obere Durchmesser beträgt ca. 30 mm, der untere ca. 20 mm, die Wandstärke ca. 3 mm. Das Sechsstrahler-Skelet ist an angeschliffenen Flächen stellenweise leid- lich kenntlich. Untersuchte Stücke: 5. Geologische Reichsanstalt Wien; Palaeonto- logisches Museum München. Vorkommen: Stramberg, ? Kotzobenz; ferner im Ob. Jura von Würt- temberg und der Umgegend von Krakau; im Oxfordien von St. Claude; nach MozscH im Aargauer Jura; im Dogger (Parkinsoni-Sch., Klausschichten, Zone der Oppelia aspidoides) des Fünfkirchener Gebirges, Ungarn. 3. Cratieularia cf. paradoxa Münster sp. 1826—33. Seyphia paradoxza Goupruss. Petref. Germ. I. Theil. p. 86. Taf. 31, Fig. 6. 1857. — _ Eraton. Esquisse d’une deseription g6ologique du Haut-Jura p. 36. 1867. _ _ v. Honene6Ger. Denkschr. d. Wien, Akad.d.Wiss. p. 250. 1876—78. Clathrispongia trochiformis, ventricosa et perlata Quenstepr. Petref. Bd. 5, p. 75--77 u. 80. Taf. 118, Fig. 2, 3, 6. 1377. Cratieularia paradoxa v. Zirıer. Studien I. Abth. p. 46 und N. J. für Min. etc. p. 356 u. Handb. d. Pal. p. 174, Fig. 90. 1883. _ E= Hınpe. Cat. of foss. Sponges p. 94. Cratieularia, 299 Ein vereinzeltes, stark verwittertes Exemplar, dessen specifische Stellung unsicher bleiben muss, liegt vor; dasselbe ist trichterförmig, diekwandig und in der Nähe des Scheitels mit ringförmigem Absatz (Einschnürung) versehen, wie ihn Gorpruss bei Cr. paradoxa beschreibt. Die diese Art auszeichnen- den grossen Ostia und flachen Längsrippen sind schlecht kenntlich. Das Paragaster ist mit Gesteinsmasse erfüllt, so dass die Postica nicht zu be- obachten sind. Höhe des Schwammes ca. 85 mm, Scheitelbreite ca. 45 mm, Wandstärke 10—12 mm. Das Sechsstrahler-Skelet ist an einer Stelle ganz schwach angedeutet. Untersuchte Stücke: 1. Geologische Reichsanstalt Wien. Vorkommen: Stramberg; ferner Ob. Jura von Schwaben und Franken, im Aargauer Jura; im Oxfordien von St.-Claude. 4. Cratieularia cf. Schweiggeri GoLDF. sp. I 1826—33. Scyphia Schweiggeri GoLpruss. Petref. Germ. I. Th. p. 91, Taf. 33, Fig. 6. 1859. Dietyonocoelia Schweiggeri Braruon. Fitudes pal&ontologiques sur les terrains jurassiques du Haut-Jura II. Th. p. 137. 1867. Scyphia Schweiggeri v. HouenssGer. Denkschr. d. Wien. Akad. d. Wiss. p. 250. 1576—78. Scyphia Schweiggeri Quexsteor. Petref. Bd. 5, p. 63, 64. Taf. 117, Fig. 3—5. Ein vereinzeltes, schwach gekrümmtes, dünnplattiges Bruchstück von 35x55 mm Fläche und ca. 2 mm Wandstärke stimmt mit den von GoLpruss und QuENSTEDT gegebenen Abbildungen gut überein. Charakteristisch für die Species ist die kleinmaschige Anordnung der Ostia. Das Sechsstrahler-Skelet ist nicht erkennbar. Untersuchte Stücke: 1. Geologische Reichsanstalt Wien. Vorkommen: Stramberg; ferner Ob. Jura von Schwaben und (nach MorscH) im Aargauer Jura; im Corallien von St. Claude; nach von Honen- EGGER im mittleren weissen Jura der Umgegend von Krakau. 5. Cratieularia intrasulcata n. sp. Taf. XIX, Fig. 1, 1a. Ein einziges Bruchstück von Kotzobenz lässt auch die Beschaffenheit der Innenseite erkennen, wodurch es von Or. cf. parallela zu trennen war. Der Schwamm war wahrscheinlich spitz trichterförmig und ist etwas seit- lich zusammengedrückt. Die Wandstärke beträgt ca. 3 mm. Die kleinen rund- lichen Ostien stehen in rechtwinkelig sich kreuzenden, horizontal und vertical verlaufenden Reihen. Die verticalen Reihen divergiren entsprechend der Trichterform von unten nach oben, wodurch es zur Einschaltung immer neuer Reihen von Ostien kommt, was an unserem Bruchstück an einer Stelle deutlich 300 Die Spongien der Stramberger Schichten. zu beobachten, jedoch in der Abbildung nicht zum Ausdruck gelangt ist. Die Postica liegen in Längsfurchen. Auch die Innenseite zeigt die Einschaltung neuer Furchenreihen; die Abbildung Taf. XIX, Fig. la gibt dies an einer Stelle wieder. Vom Sechsstrahler-Skelet ist nichts zu erkennen. Bemerkungen: Von Cratieularia parallela Goupr. sp. unterscheidet sich diese Art wesentlich durch die in Furchen liegenden Postica. Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Kotzobenz. Taf. XIX, Fig. 1. Craticularia intrasulcata n. sp. Aussenseite in nat. Gr.; Fig. 1a. Dasselbe Exemplar von der Innenseite. 6. ? Cratieularia cf. elathrata Gotor. sp. 1326—33. Scyphia clathrata Goupruss. Petref. I. Th. p. 8, Taf. 3, Fig. 1. 1857. —_ —_ Eratvon. Esquisse d’une description geologique du Haut-Jura p. 36. 1867. —_ — v. HOHENEGGER. Denkschr. d.Wien. Akad. d.Wiss. p.250. 1876—78. Spongites — Quexstepr. Petref. Bd. 5, p. 72, Taf. 117, Fig. 22—24, 1877. Craticularia clathrata v. Zırizt. Studien I. Abth. p. 46 und N. J. f. Min, pP. 355. 1883. —_ — Hınpe. Cat. foss. Sponges p. 94. 1393. — — — Mon. of British. foss. Sponges, Palaeont. Soc. Bd. für 1893, p. 198, Taf. XI, Fig. 5. Der äussere Erhaltungszustand des nur in einem Exemplare vorliegen- (den Schwammes ist so ungünstig, dass nicht einmal die das Genus Oraticularia kennzeichnende Anordnung der Ostien mit Sicherheit erkannt werden konnte. Immerhin weist der ganze Habitus des Schwammes auf einen Vergleich mit Or. clathrata hin. Der Schwamm ist gestreckt trichterförmig und dickwandig; seine Höhe beträgt 70 mm, seine grösste Breite 40 mm, die Wandstärke 10 bis 12 mm. Das Skelet ist vortrefflich erhalten und tritt stellenweise so scharf heraus, dass dass Vorhandensein ursprünglich dichter Kreuzungsknoten mit Sicherheit angenommen werden kann. Untersuchte Stücke: 1, (1 Schliff). Palaeontolog. Museum München. Vorkommen: Stramberg; ferner im Ob. Jura von Schwaben, im Aar- gauer Jura und im Oxfordien von St. Claude, sowie nach von HoHENEGGER im mittl. weiss. Jura von Krakau; ferner im Dogger (Inferior Oolithe, Parkin- soni-Zone) von Burton Bradstock, Dorset. 7. Cratieularia sp. Ein ganz schwach gewölbtes, fast ebenflächiges Bruchstück und zwei ähnlich gestaltete Abdrücke liegen vor. Das Bruchstück misst 70x50 mm, Die Wandstärke übersteigt nicht 2 mm. Eine Einsenkung in der Wand ver- Sporadopyle. 501 anlasste einen ergebnisslosen Vergleich mit Spongites eylindritextus familiaris Quexstepr (Taf. 117, Fig. 10). Eine specifische Bestimmung war aber un- thunlich. Vom Skelet ist nichts mehr zu erkennen. Untersuchte Stücke: 1 und 2 Abdrücke. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg. 8. ? Cratieularia sp. Hierzu rechne ich drei in fast ganzen Exemplaren vorliegende Stücke, deren Erhaltungszustand aber ein so schlechter ist, dass die generische Stellung unsicher bleiben musste. Sie sind in der Form und in der Wandstärke von einander verschieden, so dass sie vielleicht Vertreter dreier Species darstellen. Der eine Schwamm hat walzenförmige Gestalt; der Scheitel und die Basis sind abgebrochen. Die Höhe des vorhandenen Bruchstücks beträgt 130 mm, die Breite 45 mm, die Wandstärke 7—8 mm. Ein zweites Exemplar ist spitz trichterförmig; die Basis fehlt. Die Höhe misst 100 mm, die Scheitelbreite 50 mm, die Wand 5 mm. Das dritte Stück hat eine gestreckt glockenförmige Gestalt und ist kurz gestielt; die Wand zeigt in der Nähe der Basis eine Ausstülpung. Die Höhe beträgt 95 mm, die grösste Breite 50 mm, die Wand- stärke 3—4 mm. Das Sechsstrahler-Skelet ist an angeschliffenen Flächen aller drei Stücke leidlich kenntlich. Untersuchte Stücke: 3. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg. III. Genus: Sporadopyle vox Zırteu 1878. 9. Sporadopyle cf. pertusa GoLDF. Sp. 1826—33. Scyphia pertusa pars GouLpruss. Petref. I. Th. p. 6, Taf. 2, Fig. 9 und p-. 92, Taf. 33, Fig. 11. 1867. _ — _ v.HoHENEGGER. Denkschr. d.Wien. Akad. d.Wiss. p. 250. 1876—78. _ — pars Quenstepr. Petref. Bd. 5, p. 126—129. Taf. 120, Fig. 61—69. 1883. Sporadopyle texturata pars HınpE. Cat. of foss. Sponges p. 96. Zwei schlecht erhaltene Bruchstücke stehen der von GoLDFUuss |. c. Taf. 33, Fig. 11 (non Taf. 2, Fig. 8) abgebildeten Scyphia pertusa zum min- desten nahe und deuten auf eine etwas seitlich zusammengedrückte, becher- förmige Gestalt hin. Die Ostia sind dicht gedrängt und in sich schiefwinklig schneidenden Reihen angeordnet. Das Skelet ist vollständig zerstört. Bemerkungen: Der von Goupruss ]. c. Taf. 2, Fig. S als Scyphia pertusa abgebildete Schwamm ist sicher eine andere Art als der 1. e. Taf; 33, 302 Die Spongien der Stramberger Schichten. Fig. 11 unter demselben Namen abgebildete; ersterer dürfte viel eher zu der l. e. Taf. 2, Fig. 9 abgebildeten Scyphia texturata zu stellen sein. Beschränkt man Scyphia pertusa auf die von GoLpruss p. 92 beschriebene und Taf. 33, Fig. 11 abgebildete Form, so fallen auch die von Quexstepr |. c. Taf. 120, Fig. 61—69 als Seyphia pertusa abgebildeten Schwämme zum grösseren Theile der Seyphia texturata GoLpr. zu; nur die in Fig. 67 und vielleicht auch Fig. 69 abgebildeten Stücke verbleiben bei Seyphia pertusa GoLDrF. — (JUEN- srepr’s Taf. 116, Fig. 15—23 und Taf. 117 abgebildeten „texturate Spon- eiten“ gehören dagegen zum grössten Theil zu Oratieularia. Hınpe führt in seinem Catalog p. 69 Scyphia pertusa GoLDF. als synonym mit Sporadopyle texturata GoLprF. sp. auf. Ich glaube aber, dass Seyphia texturata GoLDr. und Scyphia pertusa Goupr. (Taf. 33, Fig. 11; non Taf. 2, Fig. 8) zwei gute Arten darstellen, soweit das nach den Beschreibungen und Abbildungen zu beurtheilen möglich ist. Das unterscheidende Merkmal liegt in der Anordnung der Ostien. Während bei Seyphia pertusa Goupr. die dichtgedrängten Ostien in etwas sich schiefwinklig schneidenden, geraden Reihen stehen, finden wir bei Scyphia texturata eine Ostien-Anordnnng, die GOLDFUSS pag. 6 mit folgenden Worten beschreibt: „Die Oberfläche ist durch kaum merklich erhabene Leisten in kleine viereckige Felder getheilt, in welche abwechselnd rundliche Löcher eingsenkt sind.“ Bei dieser Form stehen die Ostia mithin im Quincunx. Untersuchte Stücke: 2. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberge, Kotzobenz, ferner im Ob. Jura von Franken, nach Moxsch im Aargauer Jura und nach von HOoHENEGGER im mittleren weissen Jura von Krakau. 10. Sporadopyle pertusa GoLDF. sp. var. plana n. v. Taf. XIX, Fig. 3. Ein vereinzeltes Fragment, von dem nur eine Seite der Beobachtung zugänglich ist; die andere Seite ruht in nicht abzulösender Gesteinsmasse. Die Form des Bruchstücks ist etwas uneben plattig; der Schwamm war da- her vielleicht tellerförmig. Die diehtgedrängten Ostien stehen in etwas schief- winklich sich schneidenden, annähernd geraden Reihen. Die Abbildung zeigt deutlich die Uebereinstimmung in der Anordnung der Östien mit der von Gonpruss 1. e. Taf. 33, Fig. 11 abgebildeten Seyphia pertusa aus dem Jura- kalke von Amberg. Das Skelet ist gänzlich zerstört. Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Willamowitz. Taf. XIX, Fie. 3. Sporadopyle pertusa GOLDF. sp. var. plana n. v. in natürl. Grösse. Gen. indet. St 2 11. Sporadopyle cf. texturata GoLpr. sp. var. subtexturata D’ORB. Taf. XIX, Fig. 4. 1826—33. Scyphia texturata Gouoruss. Petref. I. Th. p. 6, Taf 2, Fig. 9. 2? Scyphia pertusa Goupr. Petref. I. Th. p. 6, Taf. 2, Fig. 5 (non Taf. 33, Fig. 11). 1850. — texturata et subtexturata v’ÖrBIGNY. Prodröme I. p. 388. 1867. = = v. HOHENEGGER. Denkschr. d. Wien. Akad. d. Wiss. p. 250. 1876—78. Scyphia pertusa pars, Quenstepr. Petref. Bd. 5, p. 126—129. Taf. 120, Fig. 61—69. 1877. Sporadopyle texturata v. Zurret. Studien I. Abth. p. 47; N. J. f. Min. p. 356. 1883. — — pars, Hınpe. Catal. of foss. Sponges p. 9%. Ein einzelner, gut erhaltener, dickwandiger, becherförmiger Schwamm, dem die Basis fehlt, hat dichtgedrängte Ostien in Quincunxstellung. Die Iöhe beträgt 35 mm, die Breite 30 mm, die Wandstärke 6 mm. Das regelmässige, eubische Maschen bildende Skelet ist vorzüglich erhalten, sodass man die solide Natur der Kreuzungsknoten mit Sicherheit zu erkennen glaubt. Bemerkungen: Die Ostia stehen noch deutlich im Quincunx, treten aber näher aneinander als bei der von Gonpruss 1. c. Taf. 2, Fig. 9 abge- bildeten Form. Um daher die von ihm für Seyphia texturata pag. 6 ange- gebene, schematische Darstellung der Ostien-Anordnung bei unserer Form wieder erkennen zu können, müssen wir uns die einander sehr genäherten „kaum merklich erhabenen, rechtwinklig sich kreuzenden Leisten“ etwas wellig gebogen vorstellen. Unsere Form gleicht in der Anordnung der Ostien mehr der von GoLD- russ Taf. 32, Fig. 6 abgebildeten Scyphia texturata var. patellaeformis, für die D’OÖRBIGNY 1. c. p. 388 den Varietätsnamen subtextwrata vorschlug. Untersuchte Stücke: 1; (1 Schliff). Palaeontol. Museum München. Vorkommen: Wischlitz; ferner Ob. Jura von Franken und Schwaben; nach v. HOHENEGGER im mittleren weissen Jura von Krakau; nach Moxscu im Aargauer Jura. Taf. XIX, Fig. 4. Sporadopyle cf. texturata var. subtexturata D’ÜRB. SP., eine kleine Skeletparthie in Loupenvergrösserung. IV. Genus: genus indet. 12. gen. indet. sp. ns DADE hen 23, Der nur in einem Bruchstück vorliegende, ebenfalls zu der Familie der Cratieulariden zu zählende Schwamm war vielleicht bauchig triehterförmig. Die Wand ist ungefähr 6 mm stark. Die Form und Anordnung der Östien ist durchaus unregelmässig. Die Innenseite war nicht zu beobachten. 304 Die Spongien der Stramberger Schichten. Das Skelet ist fast ganz zerstört; nur an wenigen Stellen erscheinen Sechsstrahler schwach angedeutet. Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg. Taf. XIX, Fig. 5: gen. indet. Ein Stück der äusseren Oberfläche in natürl. Grösse, die unregelmässige Form und Anordnung der Ostia zeigend. V. Genus: Cypellia von Zırren 1878. 13. Cypellia cf. rugosa GoLDr. sp. Taf. XIX, Fig. 6. 1826—33. Scyphia rugosa Goupruss. Petref. I. Th. p. 9, Taf. 3, Fig. 6. 1867. Scyphia rugosa v. HouesesGer. Denkschrift. d. Wien. Akad. d. Wiss. p. 250. 1877. Cypellia — v. Zırıen. Studien I. Abth. p. 53; N. J. für Min. p. 364, Taf. 4, Fig. 1a; Handb. d. Pal. I. Bd. p. 179, Fig. 94. 1886. ? — — Poöra. Mit, a. d. Jahrb. d. kg. ungar. geol. Anstalt. p. 118. Die Form ist gedrungen keulenförmig, etwas gekrümmt und seitlich zusammengedrückt, die Oberfläche rauh. In der Nähe des abgerundeten Ober- randes ist eine ringförmige Wulst vorhanden. Das Paragaster ist tief ein- gesenkt und ungefähr vom gleichen Durchmesser wie die Wand. Die Höhe des einzigen Exemplars beträgt ca. 80 mm; die Basis fehlt. Der Scheitel- Durchmesser misst ca. 45 mm, die Scheitel-Wand ca. 15 mm. Auf ange- schliffenen Horizontal- und medianen Vertical-Schnitten tritt das Canalsystem nur sehr undeutlich hervor. Das Skelet selbst ist vollkommen zerstört, ausser am Oberrande, wo grosse kreuzförmige Sechsstrahler an der intacten Ober- fläche sichtbar sind. Untersuchte Stücke: 1. Geologische Reichsanstalt Wien. Vorkommen: Stramberg; ferner im Ob. Jura von Franken und nach von HOHENEGGER im mittleren weissen Jura von Krakau; nach Moxsc# im Aargauer Jura, ferner im Dogger (Zone der Oppelia aspidoides) des Fünf- kirchener Gebirges, Ungarn. Taf. XIX, Fig. 6. Oypellia cf. rugosa GoLpr. sp. Eine Parthie des Oberrandes in schwacher Loupenvergrösserung, die oberflächlich gelagerten grossen Sechsstrahler zeigend. VI. Genus: gen. indet. 14. gen. indet. sp. Taf. XIX, Fie. 13, 13a, b. Der becherförmige Schwamm ist diekwandig und zeigt ein abwärts verengtes Paragaster. Ostia und Postica konnten nicht erkannt werden. Das Skelet ist nur in schwachen, undeutlichen Spuren erhalten, die eine sichere Siphonia. 305 Erkennung desselben nicht zulassen. Vielleicht liegen Sechsstrahler mit durch- brochenen Kreuzungsknoten vor (Lychnisk), doch kann das Skelet möglicher- weise auch lithistid sein. Der an der Basis abgebrochene Schwamm wird von einer mit Kalkspath erfüllten Kluft durchsetzt, an der eine seitliche Ver- schiebung stattgefunden hat und ist übrigens stark von Salzsäure angegriffen. Untersuchte Stücke: 1 (4 Schliffe). Geologische Reichsanstalt Wien. Taf. XIX, Fig. 13. gen. indet. sp. in nat. Gr. a a „ 13a, b. Zwei besonders deutlich erhaltene Skeletparthien in Loupenvergrösserung. Ordnung: Lithistida ©. Scamipr. Unter-Ordnung: Tetracladina VON ZITTEL. VII. Genus: Siphonia Parkınson 1882. 15. Siphonia strambergensis nov. Sp. Ta XIX Rio 7. Es liegen drei ganze Exemplare in leidlich gutem Zustande vor; das Skelet ist bei zweien verhältnissmässig gut erhalten. Tetracladine Elemente konnten darin ziemlich sicher erkannt werden; die feineren Contouren der Elemente entziehen sich jedoch der Beobachtung. Die Form der Schwämme, sowie besonders das Canalsystem stimmen durchaus mit Siphonia überein, und ich nehme daher auch keinen Anstand, die drei Schwämme zu der bislang auf die Kreideformation beschränkt gewesenen Gattung Siphonia zu stellen. In den feigen- bis birnförmigen, ungestielten Schwamm ist das Para- gaster tief röhrenförmig eingesenkt. Das aporrhysale Canalsystem besteht aus groben ceirculären, auch den unteren Theilen des Umfanges folgenden nicht auf der Aussenseite ausmündenden Bogencanälen. Nach dem Paragaster- boden zu werden diese Canäle immer steiler und stellen sich schliesslich am Boden selbst senkrecht, indem sie als Röhrenbündel bis in die Schwammbasis fortsetzen. Das epirrhysale System besteht aus etwas feineren Bogencanälen, die von einem zwischen dem Paragasterboden und der Schwammbasis gelegenen Punkte fächerförmig nach aussen und oben ausstrahlen. Das eine Exemplar zeigt deutlich vertiefte, rundliche Ostia. Untersuchte Stücke: 3. Geologische Reichsanstalt Wien, Palaeonto- logisches Museum München. Vorkommen: Stramberg. Taf. XIX, Fig. 7. Siphonia strambergensis nov. sp. Median- und Horizontalschnitt in nat. Grösse. Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 20 306 Die Spongien der Stramberger Schichten. 16. ? Siphonia sp. indet. Ein vereinzeltes, am Scheitel abgebrochenes kleines Exemplar mit zu- gespitzter und etwas gekrümmter Basis. Das nicht tief eingesenkte Paragaster ist etwas seitlich gerückt. Vom aporrhysalen Canalsystem sind nur die vom Paragasterboden bis in die Basis fortsetzenden Verticalcanäle zu beobachten. Das epirrhysale Canalsystem ist nur noch durch zerstreut auf der Aussen- fläche liegenden Ostia angedeutet. Auf der Aussenfläche konnten Spuren tetracladiner Skeletelemente ziemlich sicher erkannt werden, während im Innern des Schwammes das Skelet gänzlich zerstört ist. Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Wischliz. 17. ? Siphonia sp. indet. Ein vereinzelter Schwamm von vielleicht birnförmiger Gestalt; die Basis fehlt. Das Paragaster ist eng röhrenförmig und tief eingesenkt. Vom Canal- system konnte nichts weiter als die rundlichen Ausmündungen der Epirrhysen beobachtet werden. Skeletelemente sind nicht zu erkennen. Bemerkungen: Von Siphonia strambergensis unterscheidet sich dieser Schwamm durch das viel engere Paragaster. Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: ?Koniakau (ohne Etiquette). VIII. Genus: Jerea LAmouroux 1821. 18. ? Jerea tithoniea nov. sp. Ta XIX RIE.29: Ein vereinzelter am Scheitel und an der Basis abgebrochener Schwamm von annähernd umgekehrt flaschenförmiger Gestalt liegt vor. Die fragliche Ver- einigung mit der bislang auf die mittlere und obere Kreide beschränkten Gattung Jerea ist lediglich auf die Form und das Canalsystem gegründet; die Erhaltung des Skelets gestattet nicht, tetracladine Elemente mit Sicherheit zu erkennen. Das aporrhysale Canalsystem besteht aus emem dicken Bündel eng gestellter Verticalecanäle, das den Schwamm in semer ganzen Höhe durchsetzt; die peripherisch gestellten Canäle verlaufen in einer, mehr dem äusseren Umriss entsprechenden Biegung und scheinen zum Theil in die Aussenfläche auszu- münden (Naren). Ein epirrhysales System konnte nicht erkannt werden. Die Skeletelemente sind anscheinend von ansehnlicher Grösse, ? Jerea. 307 Bemerkungen: Von den Kreidearten unterscheidet sich die Stramberger Form vornehmlich durch die zahlreicheren und viel feineren Verticalröhren. Untersuchte Stücke: 1. Geologische Reichsanstalt Wien. Vorkommen: Stramberg. Taf. XIX, Fig. 9. ? Jerea tithonica nov. sp., verticaler Medianschnitt und etwas geneigter horizontaler Querschnitt in natürl. Grösse; letzterer zeigt deutlich die rundlichen Querschnitte der feinen Verticalröhren. 19. ? Jerea (? Jereica) sp. Es liegt nur ein Bruchstück vor, welchem der Scheitel und die Basis fehlen. Vom Skelet ist nichts mehr zu erkennnen, so dass der Schwamm ebensogut auf die in Gestalt und Canalsystem Jerea ganz ähnliche rhizomorine Gattung Jereica bezogen werden könnte. Die Form ist bedeutend bauchiger als die vorhergehende. Ein centrales Bündel aporrhysaler, zum Theil hohler Verticalcanäle ist vorhanden; Epirrhysen konnten nicht erkannt werden. Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Kotzobenz. 20. ? Jerea nov. Sp. Taf. XIX, Fig. 10, 10a, b. Diese kleine, birn- bis kolbenförmige Art, die an der Basis abgebrochen ist, hat einen abgestutzten und etwas vertieften Scheitel. Auf der Seiten- fläche, da wo der Schwamm am stärksten ist, ist ein deutlich ausgeprägter, horizontaler Rand vorhanden. Oberhalb dieses Randes ist die Oberfläche rauh, unterhalb glatter. Das aporrhysale Canalsystem besteht aus wenig zahl- reichen aber verhältnissmässig groben Verticalcanälen, neben denen nach aussen zu auch mehr dem Schwammumriss parallel verlaufende Bogencanäle sich geltend machen. Die Aporrhysen münden in dem vertieften Scheitel. Ein epirrhysales Canalsystem konnte nicht erkannt werden. Die groben Skeletelemente sind zweifellos tetracladin, ihre feineren Contouren sind der 3eobachtung allerdings nicht mehr zugänglich. Untersuchte Stücke: 1 (1 Schliff). Palaeontolog. Museum München. Vorkommen: Stramberg. Taf. XIX, Fig. 10. ? Jerea nov. sp., Aussenseite in nat. Grösse. : A el, N » „» WVerticaler Medianschnitt (andere Hälfte) in nat. Grösse. Taf. XIX, Fig. 10b. ? Jerea nov. sp., Skeletparthie aus der angeschliffenen, verticalen Medianfläche in Loupenvergrösserung. 20* 308 Die Spongien der Stramberger Schichten. Unter-Ordnung: Anomocladina voN ZITTEL. IX. Genus: CGylindrophyma vox Zırren 1878. 21. ? Cylindrophyma sp. Ein vereinzelter Schwamm, der vielleicht dieser Gattung zuzurechnen ist. Da das Skelet vollständig zerstört ist, musste die fragliche Vereinigung mit der anomocladinen Gattung Oylindrophyma daher lediglich auf die äussere Form begründet werden. Bemerkungen: Von Oylindrophyma milleporata unterscheidet sich die Stramberger Form äusserlich durch die gedrungenere Gestalt. Untersuchte Stücke: 1. Geologische Reichsanstalt Wien. Vorkommen: Stramberg. X. Genus: Melonella vox Zırren 1878. 22. Melonella cf. radiata QuUENSTEDT sp. 1826— 833. Siphonia pyriformis pars Goupruss. Petref. I. Th. p. 97. Taf. 35, Fig. 10, non Taf. 6, Fig. 7. 1858. Siphonia radiata QuEnstept. Der Jura, p. 679. Taf. 82, Fig. 13. 1876—78. Siphonia radiata Quessteor. Petref. Bd. 5, p. 249. Taf. 126, Fig. 60—72. 1878. Melonella radiata v. Zırter. Studien. I. Abth. p. 71. Taf. 5, Fig. 7. 1882. — — Bkruper. Sitzungsber. d. Wien. Akad. Jahrg. 1882. p. 465. 1883. — — Hinoe. Cat. of the foss. Sponges p. 56. Es liegen zwei Exemplare vor, von denen das eine apfelförmige, das andere mehr birnförmige Gestalt hat. Das Paragaster ist tief trichterförmig eingesenkt. Das Canalsystem tritt nur sehr undeutlich in Erscheinung, doch was vorhanden ist, deutet auf ein meridional angelegtes aporrhysales und ein von der Basis des Paragasters nach oben und aussen in schräger Richtung strahlendes epirrhysales System hm. Die rundlichen Ostia sind leidlich zu erkennen. Vom Skelet ist sehr wenig zu sehen, doch deutet das Erkennbare am meisten auf anomocladine Elemente hin. Bei dem apfelförmigen Exemplar glaubt man wenigstens Elemente von verdiekten Centren mit darausstrahlenden glatten Strahlen zu erkennen. Bemerkungen: Der apfelförmige Schwamm ähnelt sehr der von QuEx- stepr Taf. 126, Fig. 64 abgebildeten Siphonia radiata aus dem weissen Jura ö von der Alp; nur ist bei dem Stramberger Schwamm das Paragaster nicht ganz so tief eingesenkt. Das andere mehr birmförmige Exemplar gleicht in seiner Gestalt der auf derselben Tafel Fig. 72 abgebildeten Siphonia radiata ovalis aus dem weissen Jura ö von Heuberg. ?nov. gen. Sp. 309 Untersuchte Stücke: 2. Geologische Reichsanstalt Wien, Vorkommen: Stramberg; ferner im Oberen Jura von Franken und Schwaben, und nach MozscH im Aargauer Jura, ferner bei Sternberg in Böhmen. XI, Genus: ?nov. gen. 23. ?!nov. gen. Sp. Taf. XIX, Fig. 8, 8a. Es liegt nur ein Exemplar vor, dessen Skelet ebenfalls eine so schlechte Erhaltung aufweist, dass die anomocladine Natur desselben mit Sicherheit nicht erkannt werden konnte. Die Gestalt ist kreiselförmig. Die äussere Oberfläche erscheint rauh, besonders nach dem Oberrande zu. In der Mitte des Scheitels senkt sich das im Querschnitt unregelmässig rundliche Paragaster bis etwas über die halbe Höhe des Schwammes ein. Das Canalsystem ist gut kenntlich. Das aporrhysale System besteht aus im oberen Theile des Schwammes zumeist nur der Scheitelfläche parallel verlaufenden groben Bogencanälen, die, wie es scheint, zum Theil an der Aussenseite ausmünden (? Naren). Die Aporr- hysen biegen sich nach der Basis zu mehr und mehr nach unten und stellen sich am Boden des Paragasters senkrecht. Das epirrhysale System besteht aus sehr feinen, gedrängt stehenden Canälen, die fächerförmig von der Basis aus nach der Scheitel- und der Seitenfläche ausstrahlen. Untersuchte Stücke: 1 (1 Schliff). Palaeontolog. Museum München. Vorkommen: Stramberg. Taf. XIX, Fig. 8, ?nov. gen. sp., Aeussere Oberfläche in nat. Grösse. 8a., Verticaler Medianschnitt in nat. Grösse. b)] ” ” XI. Genus: ?nov. gen. 24. !nov. gen. Sp. Taf. XIX, Fig. 12, 122. Die Zugehörigkeit auch dieses, nur in einem einzigen Exemplar vor- liegenden Exemplares zu den Anomocladinen ist eine unsichere. Das Wenige, was vom Skelet noch erkannt werden konnte, deutet noch am meisten auf anomocladine Elemente hin. Die Form ist umgekehrt kegelförmig, die Scheitelfläche etwas gewölbt. Ein Paragaster fehlt; dafür wird der Schwamm in seiner ganzen Höhe von einem dieken Bündel unregelmässig wellig gebogener Verticalröhren durch- setzt. Aporrhysale Bogencanäle scheinen nicht entwickelt. Ein besonderes epirrhysales Canalsystem konnte nicht erkannt werden. Untersuchte Stücke: 1. Geologische Reichsanstalt Wien. 310 Die Spongien der Stramberger Schichten. Vorkommen: Stramberg. Taf. XIX, Fig. 12, ?nov. gen. sp. Verticaler Medianschnitt in nat. Gr. hs 5 „ 12a. Halber Querschnitt nahe der Scheitelfläche, in nat. Grösse. Unter-Ordnung: Rhizomorina von ZITTEL. XIII. Genus: Cnemidiastrum vox Zımten 1878. 25. ? Cnemidiastrum sp. Nicht ohne Zweifel stelle ich ein vereinzeltes Bruchstück zu dieser Gattung. Da vom Skelet nichts mehr erhalten geblieben ist, wurde die Stellung zu der rhizomorinen Gattung Cnemidiastrum daher lediglich auf Form und Canalsystem gegründet. Die Gestalt ist wahrscheinlich kreisel- bis pilzförmig; der Scheitel vertieft. Die rissige Oberfläche deutet unschwer die für Onemidiastrum charakteristischen, welligen Radialspalten an; der Median- schnitt lässt auch thatsächlich die Querdurchschnitte dicht übereinander liegender Aporrhysen erkennen, die zuweilen miteinander verschmelzen, so dass wirkliche radiale Canalspalten entstehen. Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg. 26. ? Cnemidiastrum sp. Die zwei vorhandenen Bruchstücke deuten auf eine walzenförmige Ge- stalt hin. Die Skeletform ist nicht mehr zu erkennen; die Vermuthung, dass Onemidiastrum vorliegt, stützt sich lediglich darauf, dass auf der verticalen medianen Schnittfläche in ähnlicher Weise wie bei der vorigen Art das apor- ıhysale Canalsystem zu beobachten ist. Untersuchte Stücke: 2 (1 Schliff). Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg, ? Wischlitz. XIV. Genus: Hyalotragos von Zımteu 1978. 27. Hyalotragos cf. pezizoides GoLDF. Sp. Par XIX Bier 11: 1826—33. Tragos pezizoides Goupruss. Petref. Germ. I. Th. p. 13, Taf. 5, Fig. 8. 1867. Tragos pezizoides v. HonzxesGer. Denkschr. d. Wien. Akad. d. Wiss. p. 250. 187678. Tragos fistulosum Quensteor. Petref. Bd. 5, p. 278, Taf. 128, Fig. 15—23. 1878. Hyalotragos pezizoides v. ZınteL. Stud. üb. foss. Spong. II. Abth, p. 112. Seytalia. 511 1883. Hyalotragos pezizoides Hınpe. Cat. foss. Sp. p. 30. 1887. — cf. — Bruper. Palaeontologische Beiträge zur Kenntniss der nordböhmischen Juragebilde, Lotos, Neue Folge Bd. 8, p. 24. Das kreiselförmige, mit vertieftem Scheitel versehene Exemplar fordert durch seinen ganzen Habitus zu einem Vergleich mit HAyalotragos pezizoides Gorpr. sp. auf. Von dem Hyalotragos kennzeichnenden Canalsystem zeigt der abgebildete, verticale Medianschnitt im Centrum deutlich die vom Scheitel bis zur Basis reichenden aporrhysalen Verticalröhren, neben denen sich aber, auch seitlich ebenfalls vom Scheitel kommende, aporrhysale, gebogene Canäle geltend machen, welche die Basis nicht erreichen, sondern, wie es scheint, zum Theil seitlich münden (? Naren). Ein besonderes epirrhysales Canalsystem konnte in dem vorliegenden vereinzelten Exemplar nicht erkannt werden. Die rhizomorine Natur des Skelets ist verhältnissmässig gut kenntlich trotz der vorhandenen Verdickungen der einzelnen Elemente; letztere erscheinen gross und locker miteinander verflochten. Untersuchte Stücke: 1; (1 Schliff). Palaeontolog. Museum München. Vorkommen: Stramberg; ferner im Ob. Jura von Schwaben und Fran- ken, nach Mozscr im Aargauer Jura, ferner in Polen und bei Sternberg im nördlichen Böhmen und nach von HoHENEGGER im mitt]. weiss. Jura der Um- gegend von Krakau. Taf. XIX, Fig. 11. Hyalotragos cf. pezizoides GoLvF. sp. Verticaler Medianschnitt in nat. Grösse. XV. Genus: Platychonia von Zımteu 1878. 28. ? Platychonia sp. Es liegen zwei Exemplare vor, die, nach ihrer mehr oder weniger blatt- förmigen Gestalt zu schliessen, vielleicht dieser Gattung angehören. Vom Skelet sind nicht einmal Spuren erhalten geblieben. Untersuchte Stücke: 2. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg. XVI. Genus: Seytalia vox ZımteL 1878. 29. Seytalia tithonica nov. sp. Taf. XIX, Fig. 14, 14a. Die Gestalt ist walzenförmig, die Basis zugespitzt. Der Scheitel ist schwach gewölbt, das Paragaster eng röhrenförmig, fast bis zur Basis reichend. In das Paragaster münden zahlreiche, bogenförmige Aporrhysen, die meistens unver- ästelt mit fast gleich bleibendem Durchmesser bis in die Nähe der Oberfläche 3123 Die Spongien der Stramberger Schichten. reichen. Nach der Basis zu krümmen sich die Aporrhysen mehr und mehr nach unten und gehen schliesslich am Boden des Paragasters in Vertical- canäle über, die bis in die Basis fortsetzen. Die Epirrhysen sind ausser- ordentlich fein und zumeist nur durch die vom Paragasterboden aus in schräger Richtung nach oben und aussen strahlenden Skeletzüge angedeutet. Das Skelet ist verhältnissmässig gut erhalten, so dass die rhizomorine Natur desselben sicher erkannt werden konnte, wenngleich die feineren Contouren der Elemente durch Verdickungen zumeist der Beobachtung entzogen sind. Rhabden, die nach von Zıtteu der Gattung Seytalia auch eigenthümlich sind, treten als kleine isolirte rundliche Querschnitte in Erscheinung. Untersuchte Stücke: 1. Vielleicht gehört hierher noch ein zweiter schlecht erhaltener Schwamm von Willamowitz. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg, ? Willamowitz. Taf. XIX, Fig. 14. Seytalia tithonica n. sp. Verticaler Medianschnitt in natürl. Grösse. Taf. XIX, Fig. 14a. Skelet in Loupenvergrösserung. Im Gegensatz zur sonstigen Darstellung ist das Skelet hier aus Versehen dunkel gehalten, die Gesteinsmasse hingegen hell. Diese Darstellung entspricht eigentlich dem wirklichen Bilde bei auffallendem Lichte. Classe: Calcarea Gray. Ordnung: Dialytina RAurr. Familie: Pharetronidae von ZITTEL. XVII. Genus: Eudea Lamourovx 1821. 50. Eudea cf. perforata QUENSTEDT sp. 1858. Spongites perforatus QuEnstept. Der Jura p. 698, Taf. 84, Fig. 26, 27. 1876— 78. Orispongia perforata Quenstepr. Petref Bd. 5, p 192, Taf. 124, Fig. 22—28. 1879. Eudea perforata v. Zurret, Studien, III. Abth. p. 27 u. N. J. für Min. etc. p. 22. 1883. — = Hınoe. Cat. of the foss. Sponges p. 162. 1837. _ n— Bruper. Palaeontolog, Beitr. zur Kenntn. d. nordböhmisch. Juragebilde, Lotos, Neue Folge, Bd. 8, p. 17, Taf. 2, Fig. 5a, b. Der nur in einem einzigen Exemplare vorliegende kleine keulenförmige Schwamm steht in Grösse und Form der von Quexstent Taf. 124, Fie. 25 aus dem weissen Jura g von Nattheim abgebildeten Art am nächsten; die Stramberger Form ist ein klein wenig schlanker gebaut. Sie ist mit Ausnahme des Scheitels mit einer glatten, dichten Deckschicht versehen, in der nur ganz wenig gerandete rundliche Ostia liegen, die einen unge- fähren Durchmesser von 0,5 mm besitzen. Soweit erkannt werden konnte, Eudea. 313 sind die mit diesen Ostien in Verbindung stehenden Vertiefungen ausser- ordentlich seicht. Ein weiteres Canalsystem zeigt der Schwamm nicht, wenig- stens konnte davon weder im verticalen Medianschnitt noch im Scheitel- und Wurzel-Querschnitt etwas bemerkt werden. Das Paragaster ist spitz trichter- förmig. Die groben im Mittel etwa 0,2 mm dicken Skeletfasern heben sich im durchfallenden und auffallenden Licht scharf von der zum grössten Teile in Kalkspath umgewandelten Gesteinsmasse ab. Stellenweise zeigt das Sedi- ment geringere Krystallisationsgrade, in welchem Falle die Grenze von Faser nnd Sediment mehr oder minder verschwommen ist. Die im auffallenden Lichte weisslich, im durchfallenden dagegen schmutzig grau erscheinende Faser hat auch an der Krystallisation Theil genommen. Skeletelemente sind nicht erhalten geblieben; alles, was man dafür anzusehen geneigt sein dürfte, sind Scheingebilde, die entweder Krystallgrenzen oder mit solchen in Ver- bindung stehenden Rissen ihre Entstehung verdanken. (Faser-Typus Taf. XX, Fig. 3a). Untersuchte Stücke: 1 (2 Schliffe). Palaentolog. Museum München. Vorkommen: Stramberg; ferner im Ob. Jura von Schwaben; nach MozscH im Aargauer Jura; ? Caquarelle (Jura bernois); Sternberg im nörd- lichen Böhmen. 31. Eudea globata Quexstenr sp. Taf. XX, Fig. 18, 18a, b. 1876— 78. Orispongia globata Quensteor. Petref. Bd. 5, p. 195, Taf. 124, Fig. 29—34. 1879. Eudea globata v. Zırser. Studien, III. Abth. p. 27. 1883. _ — Hmopr. Cat. of the foss. Sponges p. 162. Von dieser Art liegt nur ein vereinzeltes Exemplar vor, das von Kudea globata QUENSTEDT sp. nicht zu unterscheiden ist. Der kleine birnförmige Schwamm zeigt wiederum mit Ausnahme des Scheitels die characteristische glatte und dichte Deckschicht, die jedoch stellenweise abgerieben ist, so dass die Fasern sichtbar werden. Die Deckschicht wird unterbrochen von grossen, rundlichen, ziemlich stark gerandeten Ostien, deren Durchmesser im Mittel etwa 1,5 mm beträgt. Einen gleichen Durchmesser besitzt am Scheitel das den Schwamm bis in die Nähe der Basis durchsetzende Paragaster. Auf der verticalen medianen Schlifffläche sind unmittelbar am Paragaster Spuren von Aporrhysen angedeutet; sonst ist von einem besonderen Canalsystem nichts zu beobachten. Die Skeletfasern sind nicht ganz so grob wie bei der vor- hergehenden Art; ihr Durchmesser beträgt im Mittel etwa 0,18 mm. Die Faser hebt sich scharf gegen das in körnigen Kalkspath umgewandelte Sedi- ment ab. Auch die Faser ist krystallin geworden, zeigt aber im Gegensatze zu der fast aller übrigen Pharetronen radialstrahlige Structur. Nadeln konnten nicht erkannt werden. 314 Die Spongien der Stramberger Schichten. Untersuchte Stücke: 1 (2 Schliffe). Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: ?Chlebowitz (ohne Etiquette); ferner im Oberen Jura von Schwaben und ? Franken. Fig. 18. Eudea globata Quenstevr sp. Seitenansicht in 2facher Ver- grösserung. Fig. 15a. Verticaler Medianschnitt in 2facher Vergrösserung. Fig. 18b. Faser in 180 facher Vergrösserung. XVIII. Genus: Peronidella (antea Peronella) von Zırren. 1879. 32. ? Peronidella cf. eylindrieca GoLDrF. sp. Taf. XX, Fig, 1. 1826— 833. Scyphia eylindrica Goupruss. Petref. I. Th. p. 5, Taf. 2, Fig. 3 und Taf. 3, Fig. 12. 1826—33. Scyphia elegans Goupruss. Petref. I. Th. p. 5, Taf. 2, Fig. 5, 13. 1848. Scyphia eylindrica M’Coy. Ann. u. Mag. Nat. Hist. Bd. 2, p. 418. 1867. _ —_ v. HouenesGer. Denkschr. d. Wien. Akad. d. Wiss. p. 250. 1876—78. Spongites eylindricus Quexstror. Petref. Bd. 5, p. 172, Taf. 123, Fig. 6, 7, 9-15. 1879. Peronella cylindrica v. Zırıet. Studien III. Abth. p. 32. 18831. cd — Bruper. Sitzungsber. d. Wiener Akademie Jahrg. 81, p- 97 u. N. J. p. 25, Taf. II, Fig. 4. 1883. Peronella cylindrica Hınpe. Cat. of the foss. Sponges p. 167, Taf. 33, Fig. 4. Der cylindrische, diekwandige Schwamm ist 45 mm hoch und 14 mm diek; das Paragaster besitzt einen Durchmesser von nur 3 mm. Die im Mittel etwa 0,16 mm dicken Fasern bilden ein lockeres wirres Geflecht. Im auffallenden Lichte heben sich die weisslich erscheinenden Fasern im All- gemeinen gut von dem dunkelen, graubraunen Sedimente ab. Im durchfallen- den Lichte sind die Grenzen bei Weitem weniger scharf, da das Sediment ausnahmsweise nur einen geringen Grad der Aufhellung erfahren hat und auch die Fasern nur geringe Krystallisationsgrade zeigen. Nadeln sind nur in Spuren erhalten geblieben (Triod, ? Rhabd.); stellenweise machen sich faserige Structuren geltend, die gebogene Stabnadeln vortäuschen können. Untersuchte Stücke: 1 (2 Schliffe). Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Kotzobenz; ferner im Ob. Jura: Schwaben und Franken und nach Mozsc# im Aargauer Jura; ferner ? Coralline Oolith: Malton, York- shire; ferner Ob. Jura von Sternberg in Böhmen. Taf. XX, Fig. 1. ? Peronidella cf. cylindrica GoLpr. sp. Faser in 180- facher Vergrösserung mit Nadelspuren (Triod, ? Rhabd.) Peronidella. 315 33. Peronidella tithonica nov. sp. Taf. XX, Fig. 16, 16a, b, 17. Diese Art ist klein, cylindrisch, diekfaserig. Die Aussenfläche ist mit groben, unregelmässig geformten Poren von verschiedener Grösse versehen, welche sich lediglich als Lücken des wirren Faserskelets erweisen. Die eben- falls Skeletlücken darstellenden groben Poren auf der Innenseite der Wand scheinen eine mehr regelmässig rundliche Form zu besitzen und weniger in der Grösse zu differiren. Die Faser, deren mittlerer Durchmesser etwa 0,26 mm beträgt, hebt sich in auffallendem wie durchfallendem Licht scharf gegen das völlig m Kalkspath umgewandelte Sediment ab. Nadeln konnten in der krystallinen Faser mit Sicherheit nicht mehr erkannt werden. (Faser- Typus annähernd Taf. XX, Fig. 3a, doch ohne faserige Structuren an den Rändern der Faser.) Untersuchte Stücke: 6 Bruchstücke (4 Schliffe). Palaeontologi- sches Museum München. Vorkommen: Chlebowitz. Taf. XX, Fig. 16. Peronidella tithonica, äussere Oberfläche. 3 „ 16a. Dasselbe Exemplar im verticalen Medianschnitt. en „ 16b. Dasselbe Exemplar; der tangentiale Verticalschnitt der Paragasterwand zeigt die mehr rundlichen Poren der Wand-Innenseite. n R »„ 17. Horizontaler Querschnitt eines zweiten Exemplars. Alle Figuren in 1'/2facher Vergrösserung. 34. Peronidella sp. Eine kleine, nur in einem Exemplar vorhandene Art von etwa 9 mm Höhe, 4 mm Dicke und 0,5 mm Paragaster-Durchmesser liegt vor. Die Oberflächen- Poren sind fein, Auf der Oberfläche ist stellenweise eine dichte Deckschicht vorhanden. Die Faser misst im Mittel etwa 0,17 mm; sie grenzt sich im auffallenden Lichte wenig deutlich, im durchfallenden hingegen sehr scharf gegen das zum Theil völlig in Kalkspath, zum Theil erst m einem geringen Aufhellungsstadium befindliche Sediment ab. Nadeln konnten in der mehr oder minder krystallinen Faser mit Sicherheit nicht erkannt werden; an den Rändern der Faser machen sich faserige Structuren geltend, die gebogene Stabnadeln vortäuschen können (Faser-Typus Taf. XX, Fig. 3a). Untersuchte Stücke: 1 (1 Schliff). Palaentologisches Museum München. 316 Die Spongien der Stramberger Schichten. Vorkommen: Stramberg. Hierher gehört vielleicht noch ein Bruckstück von grösseren Dimen- sionen, das ebenfalls von Stramberg stammt. Die Faser ist gleich dick und die Deckschicht ebenfalls vorhanden. XIX. Genus: Eusiphonella vox Zınter. 1379. 35. ? Eusiphonella cf. Bronni Münster sp. Al 20 dien ala alseı, 10: 1826-83. Scyphia Bronni Münster in Goror. Petref. I. Th. p. 91, Taf. 33, Fig. 9. 1854. Sceyphia Bronni Morrıs. Cat. Brit. Foss. p. 29. 1859. Siphonocoelia elegans Fromenter. Introd. a Petude des &eponges foss p. 31, Taf. 1, Fig. 7. 1559. Pareudea Bronni Kratvox. Etudes paleontologiques sur les terrains jur. du i Haut-Jura II. Th. p. 142. 1864. Pareudea gracilis Erauton. Leth. Bruntr. p. 421, Taf. 58, Fig. 30. 1876—78. Scyphia Bronni Quenstepr. Petref. Bd. 5, p. 183, Taf. 124, Fig. 1—15. 1879. Eusiphonella Bronni v. Zırter. Stud. III. Abth. p. 35 und Handb. d. Pal. Ba. I, p. 191, Fig. 109. 1883. Eusiphonella Bronni Hınve Cat. of. Br. foss. Sponges p. 178. 1883. (?) Peronella ? Bronni Porrıs. Sui Terreni stratificati di Argentera (Valle della Stura di Cuneo). Memorie della Reale Accademia della Scienze di Torino. 2. ser. Bd. 34, p. 72, 77. Es liegt nur ein einziges Fragment vor; Basis und Scheitel fehlen. Die generische Bestimmung musste zweifelhaft gelassen werden. Gehört diese Form thatsächlich zu Busiphonella, so steht sie der Eusiphonella Bronmni Münster sp. zum mindesten nahe. Der cylindrische, dünnwandige Schwamm ist mit horizontalen Einschnürungen versehen, wie sie theilweise auch die von Quensteor Taf. 124, Fig. 1—15 abgebildeten Exemplare der Scyphia Bronni zeigen. Die Eusiphonella eigenthümliche Form und Anordnung der Postica konnte an einem kleinen, freigelegten Theile der Paragasterwand mit Sicherheit nicht erkannt werden, doch sind Andeutungen davon vorhanden. Ebensowenig konnten in Verticalschnitten horizontale Aporrhysen nachgewiesen werden. Dafür zeigt aber der horizontale Querschnitt in der Nähe der Basis (Taf. XX, Fig. 15a) regelmässige Unterbrechungen, die als Postica gedeutet werden müssen. Ein ähnliches Bild gibt Quexsreor Taf. 124, Fig. 4. Die zarten, im Mittel etwa nur 0,09 mm dicken Skeletfasern bilden ein lockeres Geflecht, sie heben sich im auffallenden und durchfallenden Lichte ziemlich scharf von dem dunkelen, nur einen ganz geringen Grad der Aufhellung zeigenden Sediment ab. Die Fasern befinden sich in einem ziemlich hohen Krystallisationsstadium; trotzdem sind Nadelspuren, die auf verschiedenwinkelige Triode hindeuten, erhalten geblieben. Nur einmal wurde ein verhältnissmässig gut erhaltenes Corynella. 517 Triod beobachtet (Taf. XX, Fig. 15b), dessen Contouren bei dem Uebergang der Faser in den krystallinischen Zustand fast ganz erhalten geblieben sind. Zwischen gekreuzten Nicols erweist sich dieser Dreistrahler aber nicht mehr als ein einheitlicher Krystall wie die recenten Nadeln, sondern als aus meh- reren Krystallindividuen zusammengesetzt, die zum Theil auch noch über die Contouren hinaus in die Faser hineinragen. Ein Theil der Schliffe gibt auch den Faser-Typus Taf. XX, Fig. 21, 22 (Vortäuschung grosser Triode). Untersuchte Stücke: 1 (6 Schliffe). Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: ? Wischlitz (ohne Etiquette); ferner Oberer Jura: Schwaben, Aargau; ?Argentera (Valle della Sturia di Cuneo) Nord-Italien; (Corallien) Caquerelle, Saint Claude; ferner im Dogger: (Great Oolite) Minchinhampton (Morrıs). Taf. XX, Fig. 15. Eusiphonella ef. Bronni in 1'/efacher Vergrösserung. 3 a „ 15a. Horizontaler Querschnitt in der Nähe der Basis, in 1'/sfacher Vergrösserung. „ 15b. Skelet (Dreistrahler), in 180facher Vergrösserung. XX,. Genus: Corynella vox ZırtEL. 1879, Vox ZırTEu hebt als Hauptunterscheidungsmerkmal dieser Gattung gegen die äusserlich sehr ähnliche Gattung Peronidella (antea Peronella) das Vor- handensein eines Canalsystems hervor. Die groben Skeletfasern sind nach ihm hauptsächlich aus einfachen Stabnadeln zusammengesetzt, zwischen denen jedoch auch vereinzelt grosse Dreistrahler liegen. Vox Dunıkowskt ergänzt diese Diagnose auf Grund seiner Untersuchungen der Essener Formen folgendermassen: „Skelet hauptsächlich aus Dreistrahlern, ferner aus Stabnadeln und Vierstrahlern bestehend. Ein Hauptmerkmal dieser Gattung ist das Ueberwiegen der unregelmässigen Dreistrahler.“ Hınoe glaubt dagegen dem Canalsystem nicht die Bedeutung eines gene- rischen Unterscheidungsmerkmals beilegen zu können, da es nach seinen Beobachtungen eine wechselnde Entwicklung zeigt. So kann bei verschie- denen Individuen ein und derselben Species — z. B. bei Corynella foraminosa aus dem unteren Grünsand von Farringdon — das Canalsystem vorhanden sein oder ganz fehlen. Hınpe hält dafür, dass das Skelet allein ein sicheres Unterscheidungsmerkmal bietet. Dasselbe besteht nach ihm, wenn man als Typus der Gattung Corynella foraminosa GoLDF. sp. zu Grunde legt — die triasischen und jurassischen Formen zeigten keine Skeletelemente mehr — aus kleinen „filiform“, Dreistrahlern, die im Allgemeinen parallel miteinander in der Richtung der Faser angeordnet sind. Bei besonders günstigen Exemplaren 318 Die Spongien der Stramberger Schichten. zeigt die Oberfläche eine Schicht verhältnissmässig grosser Drei- und Vier- strahler. Stabnadeln hat Hmpe mit Sicherheit nicht nachweisen können. In seiner, im Erscheinen begriffenen Monographie der „British fossil Sponges“ gibt HınpE eine etwas veränderte Skeletdiagnose: „Skeletal fibres f three rayes-spicules; tuning-fork spicules and four-rayes spicules are present in some species“ (Palaeontological Society 1893, p. 220). Pocra erkannte hingegen, dass bei den böhmischen Kreide-Corynellen, die Faser meist aus Stabnadeln besteht, denen sich Dreistrahler von ver- schiedener Form zugesellen, und befindet sich mit dieser Beobachtung in Uebereinstimmung mit von ZITTEL. Die Stramberger Formen besitzen sämmtlich ein Canalsystem. Leider erlaubt ihr wenig günstiger Erhaltungszustand nicht, zur Skeletfrage Stellung zu nehmen. Vereinzelt konnten in der Faser verschiedenwinkelige Triode erkannt werden. 36. Corynella afl. costata Sraun sp. Mat, XRRie32,213% 1824. Alcyonites costata Srauı. Correspondenzblatt der Württemb. landw. Ver. p- 84, Fig. 29. 1876— 78. Spongites astrophorus alatus (Juenstept. Petref. Bd. 5, p. 207, Taf. 124, Fig. 54—57. 1879. Corynella costata v. Zırtet. Studien, III. Abth. p. 36. 1883. _ — Himopr. Cat. of the foss. Sponges p. 180. Die nur in einem Exemplare vorliegende Form steht dieser Species zum Mindesten sehr nahe. Die Basis fehlt, doch lässt das vorhandene Fragment auf eine mehr oder minder cylindrische Gestalt schliessen. Der Oberrand ist abgerundet, der Scheitel schwach vertieft. Die Rippen treten nicht so stark hervor, wie bei den von Quaexsteor Taf. 124, Fig. 54—57 abgebildeten Exemplaren, auch setzen sie nicht über die ganze Oberfläche fort, sondern erleiden Unterbrechungen. Die Rippen erscheinen überhaupt weniger dem Schwammkörper aufgesetzt, als vielmehr durch grosse, länglich ovale Aus- buchtungen desselben hervorgerufen zu sein. Vereinzelt sind seicht in die Skeletmasse eingesenkte Ostia vorhanden, von denen auf der nackten Ober- fläche strahlenförmig sich manchmal verzweigende, offene Rinnen auslaufen. Das trichterförmige Paragaster reicht nicht bis zur Basis. Das aporrhysale Canalsystem besteht aus ziemlich groben, horizontalen, graden bis schwach bogenförmig gekrümmten, sich manchmal gabelnden Radialeanälen. Ein be- sonders epirrhysales System Konnte nicht erkannt werden. Das Skelet besteht aus einem wirren Geflecht ziemlich grober Fasern. Die Fasern haben eine mittlere Dicke von etwa 0,18 mm, in ihnen konnten verschiedenwinklige Corynella. 319 Triode mit ziemlicher Sicherheit erkannt werden. (Faser-Typus annähernd Taf. XX, Fig. 1). Im auffallenden Lichte heben sich die Fasern zum Theil ziemlich scharf, im durchfallenden jedoch nur undeutlich yon der Gesteins- masse ab. Das Sediment ist zum Theil in Kalkspath umgewandelt, zum Theil findet sich noch fast ursprüngliches, nur eine geringe Aufhellung zei- gendes Sediment vor. Die Ausfüllungsmasse der Aporrhysen ist im Gegen- satze zur normalen Erhaltungsweise zumeist völlig in Kalkspath umgewandelt. Untersuchte Stücke: 1 (2 Schlifte). Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: ?Koniakau (ohne Etiquette); ferner Oberer Jura: Schwaben; Aargau. Taf. XX, Fig. 2. Corynella aft. costata Stau sp. Seitenansicht im natürlicher Grösse. Taf. XX, Fig. 2a. Verticaler Medianschnitt in nat. Gr., andere Hälfte desselben Exemplars. 37. Corynella sp. Es liegen drei unvollständige, schlecht erhaltene Exemplare von cy- lindrischer bis kolbenförmiger Gestalt vor. Epirrhysen und Aporrhysen sind vorhanden. Das tief eingesenkte Paragaster reicht bis in die Nähe der Basis. Es ist möglich, dass sie bei besserer Erhaltung speecifisch getrennt werden müssten. Die Faser ist bei allen drei Exemplaren ziemlich gleich dick, im Mittel etwa 0,23 mm. Im auffallenden wie im durchfallenden Lichte er- scheinen die Fasern sehr wenig scharf begrenzt. Das Sediment ist zum Theil in Kalkspath umgewandelt, zum Theil aber noch im Zustande der vor- geschrittenen oolithischen Structuren. Die krystalline Faser zeigt an ihren Rändern Structuren, wie sie auf Taf. XX, Fig. 3a dargestellt sind. Nadeln konnten mit Sicherheit nicht erkannt werden. (Faser-Typus Taf. XX, Fig. 3 a.) Untersuchte Stücke: 3 (4 Schliffe). Palaeontglogisches Museum München. Geologische Reichsanstalt Wien. Vorkommen: Stramberg. 38. Corynella sp. Taf. XX, Fig. 4. Ein Bruchstück unterscheidet sich von den vorigen bei sonst gleicher Grösse hauptsächlich durch dünnere Fasern, welche eine mittlere Dicke von etwa 0,5 mm besitzen und sich im auffallenden Lichte scharf, im durch- fallenden zum Theil weniger scharf von dem Sediment abheben. Letzteres ist 390 Die Spongien der Stramberger Schichten. theilweise in Kalkspath umgewandelt, zum Theil im Zustande der vorgeschrit- tenen oolithischen Structur. Nadeln konnten in der krystallinen dunkelen Faser mit Sicherheit nicht erkannt werden. (Faser-Typus annähernd Taf. XX, Fig. 20). Untersuchte Stücke: 1 (2 Schliffe). Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: ? Wischlitz (ohne Etiquette). Taf. XX, Fig. 4: Corymella sp. Verticaler Medianschnitt in nat. Grösse. 39. ?Corynella sp. Nur ein schlecht erhaltenes Bruchstück einer grossen, ? eylindrischen bis keulenförmigen Art ohne Basis liegt vor. Der Durchmesser am Scheitel- ende beträgt 23 mm. Der Oberrand ist abgerundet, der Scheitel etwas ver- tieft. Das Paragaster ist kurz, kaum 10 mm tief eingesenkt. Vom Grunde des Paragasters setzen etwas wellig verlaufende Canäle nach unten fort. Bogen- förmige Aporrhysen sind nur sehr schwach angedeutet. Epirrhysen konnten nicht erkannt werden. Die Skeletfasern sind grob, im Mittel etwa 0,23 mm dick und heben sich im auffallenden wie im durchfallenden Lichte zumeist wenig scharf vom Sediment ab. Letzteres ist zum grössten Theil in Kalkspath umgewandelt, vereinzelt aber auch noch im Zustand der vorgeschrittenen oolithi- schen Structur. Nadeln konnten in der krystallinen Faser mit Sicherheit nicht erkannt werden. Hier und da sind an den Rändern derselben Structuren vor- handen, wie sie Taf. XX, Fig. 3a darstellt. (Faser-Typus Taf. XX, Fig. 3a). Untersuchte Stücke: 1 (3 Schlifie). Geologische Reichsanstalt Wien. Vorkommen: Stramberg. 40. ? Corynella sp. Die sehr flache, kreiselförmige Art hat etwa 17 mm Höhe, 20 mm Durchmesser, etwas vertieften Scheitel und ein trichterförmiges, bis zur halben Höhe des Schwammes eingesenktes Paragaster. Die Aporrhysen bestehen aus Bogencanälen und sind ziemlich grob. Die etwa 0,18 mm dicken Skeletfasern grenzen im auffallenden Lichte nur sehr undeutlich, im durch- fallenden etwas schärfer gegen das Sediment ab. Letzteres ist wie bei den beiden vorhergehenden Arten beschaffen. Nadeln konnten in der Faser mit Sicherheit nicht nachgewiesen werden. Die Fasern haben die Taf. XX, Fig. 3a dargestellte Structur. Untersuchte Stücke: 1 (1 Schliff). Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg. os [So [are Myrmecium. 41. Corynella moraviea nov. Sp. Taf. XX, Fig. 8, 8a. Das einzige Exemplar ist halbkugelig, breit und kurz gestielt. Basis und Stiel haben eine rauhe, horizontal concentrisch gerunzelte Deckschicht. Das triehterförmige Paragaster ist bis etwas über halbe Höhe in den Schwamm- körper eingesenkt. Die ziemlich groben Aporrhysen verlaufen mehr oder weniger parallel dem Umfang, stellen sich nach unten zu steiler und setzen vom Paragasterboden aus als senkrechte Canäle bis in den Stiel fort. Die Epirrhysen sind ebenfalls ziemlich grob und strahlen von der Basis fächer- förmig nach oben und aussen aus. Die Ostien sind gut kenntlich. Die ziemlich groben Fasern sind im Mittel etwa 0,19 mm dick und grenzen im durch- fallenden und auffallenden Lichte zumeist scharf vom Sediment ab. Letzteres ist zum grössten Theil in Kalkspath umgewandelt, stellenweise zeigt es beson- ders in den Canälen noch oolithische Structur. In den krystallinen, wenig durchsichtigen Fasern konnten Nadeln mit Sicherheit nicht erkannt werden. ?Triod. (Faser-Typus annähernd Taf. XX, Fig. 3a; Faser jedoch bedeutend dunkeler). Bemerkungen: Man könnte geneigt sein, diesen Schwamm der Gat- tung Myrmecium zuzuweisen, denn er ähnelt äusserlich ausserordentlich den von QUENnSTEDT 1. c. Taf. 126, Fig. 30, 31, 14—18 abgebildeten, gestielten Exemplaren von Myrmecium hemisphaericum. Auch die stark ausgebildete Deckschicht würde dafür sprechen. Allein die ziemlich groben Skeletfasern, die bei Myrmecium von äusserster Feinheit sind, lassen dies nicht zu. Untersuchte Stücke: 1 (5 Schliffe). Palaeont. Museum München. Vorkommen: ? Wischlitz (ohne Etiquette). Taf. XX, Fig. 8. Corynella moravica n.sp. Seitenansicht in 1'/, facher Vergrösserung. Eon nn „ 8a. Dasselbe Exemplar im verticalen Medianschnitt. XXI. Genus: Myrmecium GoLpruss 1826. 42. ?Myrmecium cf. indutum QUENSTEDT Sp. TaRERXT B109,,9a,, 10, R 1858. Spongites indutus Quensteor. Der Jura p. 698, Taf. 84, Fig. 21, 22. 1876—78. Spongites indutus Quensteor. Petref. Bd. 5, p. 245, Taf. 126, Fig. 42—46. 1879. Myrmecium indutum v. Zırrer. Studien, III. Abth. p. 38. 1883. —_ —_ Hınpe. Cat. of the foss. Sponges p. 184. Der Schwamm ist klein, umgekehrt kegelförmig. Das Taf. XX, Fig. 9, 9a abgebildete Exemplar ist das grösste der drei vorliegenden, welche mit Aus- nahme des Scheitels von einer dichten, horizontal gerunzelten Deckschicht um- Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. 21 299 Die Spongien der Stramberger Schichten. geben werden. Die Deckschicht ist zumeist nur in der Nähe der Basis von vereinzelten, kleinen, porenförmigen ?Ostien unterbrochen. Der Scheitel ist ganz flach convex gewölbt. Das kleine, runde, centrale Osculum ist von einer grösseren Anzahl unregelmässig gestellter, porenförmiger ?Ostien umgeben, den Oefinungen parallel dem Paragaster verlaufender, geradliniger Canäle. Die porenförmigen ?Ostien in der Nähe der Basis scheinen Ausmündungen der mehr peripherisch verlaufenden Canäle zu sein. Dieses, augenscheinlich das epir- rhysale darstellende Canalsystem wird dadurch merkwürdig, dass die Canäle sich nur vom Scheitel einsenken und zum Theil, nämlich die peripherisch gestellten in der Nähe der Basis wieder auszumünden scheinen, während von der ganzen mit Deckschicht versehenen Seitenfläche des Schwammes keine Canäle in die Schwamm-Masse einzudringen scheinen. Das Paragaster selbst ist tief ein- gesenkt und reicht bis zur Basis. In dasselbe münden — soviel ein verti- caler Medianschnitt erkennen liess — grobe Aporrhysen, die entgegen der vox Zırrev’schen Diagnose horizontal verlaufen und kurz und stumpf zu endigen scheimen. Die Postica liegen in Längsreihen. Das Skelet besteht aus einem engen Geflecht sehr dünner Fasern, die im Mittel nur einen Durchmesser von 0,1 mm haben. Die krystalline Faser hebt sich im auffallenden und durch- fallenden Lichte nur undeutlich vom Sediment ab; letzteres ist fast überall in Kalkspath umgewandelt, nur an ganz vereinzelten Stellen noch oolithisch. Nadeln konnten mit Sicherheit in der Faser nicht erkannt werden; ? Triod. (Faser-Typus annähernd Taf. XX, Fig. 3a). Untersuchte Stücke: 3 (3 Schliffe). Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg; ferner im Ob. Jura von Schwaben. Taf. AX, Fig. 9. 2? Myrmecium cf. indutum QUENSTEDT sp. Seiten- ansicht in 1'/, facher Vergrösserung. x h „ 9a. Dasselbe Exemplar im verticalen Medianschnitt. » s #10. Scheitelansicht eines anderen Exemplars in 11/s- facher Vergrösserung. 11. Das dritte Exemplar; Schnittfläche taugential zur Paragasterwand (Postica). 43. Myrmeeium cf. hemisphaericum GOLDF. sp. a ERRC ER 1272128, 14: 1826—33. Myrmecium hemisphaericum Gotpruss. Petref, I. Th. p. 18. Taf. 6, Fig. 12. 1826—33. Cnemidium rotula Goupruss. ib. p. 16, Taf. 6, Fig. 6. 1840 —47. n— — Miconerin. leconographie zoophytologique p. 115. Taf. 26, Fig. 7. Myrmecium. 323 1860. Epitheles hemisphaerica Fronenter. Introduction A l’&tude des öponges fossiles p. 35, Taf. 2, Fig. 5. Mem. de la soeci6te Linneenne de Normandie. 1365. Stellispongia rotula Yıcnwarn. Lethaea Rossica II. Bd. p. 112, Taf, 9, Fig. 3a, b. 1867. Cnemidium rotula v. Honeneserr. Denkschr. d. Akad. d. Wiss. Wien p. 250. 1876-—78. Spongites rotula Quexstepr. Petref. Bd. 5, p. 234, Taf. 126, Fig. 1—41. 1579. Myrmecium hemisphaericum v. Zırıet. Studien, III. Abth. p. 38. 1881. — rotula Bruper. Sitzungsber. d. Wiener Akademie, Jahrgang 1881, p. 98. 1883. Myrmecium hemisphaericum Hınpe. Cat. of the foss. Sponges p. 183. 1857, _ — Bruper. Neue Beitr. zur Kenntn. d. nordböhm. Juragebilde, Lotos, N. F. Bd. 8, p. 16. Es liegen drei kleine kuglige bis halbkuglige Schwämme der Untersuchung zu Grunde. Zwei derselben besitzen an der Basis eine concave Anwachs- fläche (Taf. XX, Fig. 12 und 14). Die Deckschicht ist an der Basis vorhanden und auch an den Seiten angedeutet. Das Paragaster ist röhrenförmig, tief eingesenkt. Die Aussenfläche ist mit zahlreichen kleinen porenförmigen Ostien versehen, von denen schwach bogenförmig gekrümmte Epirrhysen nach dem Paragasterboden hinstrahlen. Das eine Exemplar (Fig. 14) zeigt an der Ober- fläche auch einige offene Rinnen. Die groben Aporrhysen sind nur noch in Spuren unmittelbar an der Paragasterwand angedeutet. Die Fasern bilden ein enges Geflecht und sind ausserordentlich dünn. Bei zwei Schwämmen erreichen die Fasern im Mittel nur eine Dicke von 0,06 mm. Der dritte Schwamm hat Fasern von grösserer Dicke, die im Mittel etwa 0,1 mm beträgt. ‚Die wenig transparenten krystallinen Fasern heben sich im auffallenden und durchfallenden Lichte zumeist nur undeutlich vom Sediment ab. Nadeln konnten mit Sicherheit nicht erkannt werden. (Faser-Typen: Taf. XX, Fig. 1 15, 22). Untersuchte Stücke: 3 (8 Schliffe). Palaeontologisches Museum München. re) Vorkommen: Stramberg (2) ?Koniakau (ohne Etiquette); ferner Ob. Jura: Franken und Schwaben; Aargau; Damvillers (Jura bernois); nach HoHENKRGGER auch in der Umgegend von Krakau; Sternberg im nördlichen Böhmen; Katarasse in der Krym. Taf. XX, Fig. 12. Myrmecium cf. hemisphaericum GoLDF. sp. Seiten- ansicht in 1'/, facher Vergrösserung. 12a. Dasselbe Exemplar im verticalem Medianschnitt. 13. Ein anderes Exemplar (? Koniakau) im verticalen Medianschnitt in nat. Grösse. 14. Das dritte Exemplar; Seitenansicht (offene Rinnen) in nat. Grösse. DE 324 Die Spongien der Stramberger Schichten. 44. ? Myrmeeium grande nov. sp. Taf. XX, Fig. 19, 19a, 20. Es liegen zwei sich ergänzende Bruchstücke vor; bei dem einen fehlt der Scheitel, bei dem andern die Basis. Der Schwamm ist birnen- bis kolbenförmig und besitzt gewölbten Scheitel; seine Höhe beträgt etwa 20 mm. Das Paragaster ist röhrig, tief eingesenkt. Die Aussenfläche ist mit zahlreichen kleinen, porenförmigen Ostien versehen, von denen schwach gekrümmte Epirrhysen nach dem Paragasterboden zu ausstrahlen. Das aporrhysale System besteht aus Bogenkanälen, die im Allgemeinen etwas stärker als die Epirrhysen sind. Die Deckschicht ist zum Theil auf der Aussenfläche sichtbar. Die ausserordentlich dünnen Fasern haben im Mittel eine Dicke von nur etwa 0,05 mm. Die Fasern der beiden Stücke zeigen grösstentheils optisch ein entgegengesetztes Verhalten. Während dieselben bei dem einen, nicht abgebildeten Stück sich normal, im auffallenden Licht weisslich gegen das dunkelere Sediment abheben, verhalten sie sich bei dem abgebildeten Schwamm zum. grössten Theil umgekehrt. Die Fasern heben sich hier dunkel aus dem helleren Sediment heraus und das Skelet zeigt damit ein Verhalten, wie es bei den Kieselschwämmen die Regel ist. Dementsprechend hebt sich im durchfallenden Lichte die Faser hell gegen das dunkele Sediment ab, ähnlich wie es Taf. XX, Fig. 15b zeigt. Der Grund für dieses abweichende Verhalten ist in dem ausnahmsweise ausser- ordentlich hohen krystallinen Zustand der Fasern zu suchen, während das Sediment in weit geringerem Grade an der Krystallisation theilgenommen hat. An einigen Stellen konnten aber auf der angeschliffenen verticalen Medianfläche im auffallenden Licht auch hell aus dem Sediment sich heraus- hebende weissliche Fasern beobachtet werden, so dass also nicht das ge- sammte Skelet das eben geschilderte Verhalten aufweist. Die Fasern des andern Exemplars zeigen zum Theil im durchfallenden Lichte eine sehr geringe Transparenz oder sind ganz undurchsichtig (Fig. 20). Nadeln konnten in den vorliegenden Schliffen mit Sicherheit nicht erkannt werden. Untersuchte Stücke: 2 (3 Schliffe). Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg. Taf. XX, Fig. 19. ?Mwyrmecium grande nov. sp. Seitenansicht in 1‘), facher Vergrösserung. Taf. XX, Fig. 19a. Dasselbe Exemplar im verticalen Medianschnitt. : „ 20. Fasern des anderen Exemplars im durchfallenden Lichte bei 180facher Vergrösserung. n Crispispongia. 325 XXII. Genus: Crispispongia Quensteor 1876. 45. Crispispongia pezizoides von ZITTEL. 1826—53. Manon peziza GoLpruss. Petref. I. Th. p. 94, Taf. 34, Fig 3a, b. 1379. Crispispongia pezizoides v. ZirveL. Studien, III, Abth. p. 44. Hierzu bin ich geneigt, zwei kleine Exemplare von knolliger Gestalt zu stellen, die mit der von Goupruss Taf. 34, Fig. Sa abgebildeten Form durchaus übereinstimmen. Ihr Durchmesser beträgt etwa 10 mm; das eine lässt eine Anwachsstelle erkennen. Die mit einer dichten, glatten Deckschicht versehene Oberfläche wird von mehr oder weniger seicht in die Skeletmasse eingesenkten, verzerrten Oscula unterbrochen. Ein besonderes Canalsystem ist nur schwach angedeutet. Das Skelet wird aus einem ziemlich engen Geflecht verhältnissmässig dünner Fasern gebildet, welche im Mittel nicht stärker als 0,1 mm sind; diejenigen des einen Exemplares heben sich im auf- und durchfallenden Lichte zumeist scharf, die des andern nur sehr ver- schwommen vom Sediment ab, welches beim ersteren zum grössten Theil in Kalkspath umgewandelt, beim letzteren jedoch meistens noch wenig aufgehellt ist (wenig vorgeschrittene oolithische Structuren zeigt). In der kıystallinen, zum Theil dunkelen Faser konnten deutlich erkennbare Nadeln nicht mit Sicherheit nachgewiesen werden. (Faser-Typen des erstern Schwammes an- nähernd Taf. XX, Fig. 3a und 20, des zweiten Taf. XX, Fig. 1 und 15b.) Untersuchte Stücke: 2 (5 Schliffe). Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg: ferner Oberer Jura: Schwaben und Franken. 46. Crispispongia coniea nov. Sp. Taf. XX, Fig. 23, 23a. Es liegt nur ein Exemplar von kreisel- bis umgekehrt kegelförmiger Gestalt mit vertieftem Scheitel vor. In der dichten, glatten, den Schwamm- körper ganz überziehenden Deckschicht liegen grosse, rundliche, schwach gerandete Oscula, die nur ganz seicht in die Skeletmasse eingesenkt sind, so dass diese sichtbar wird. Die Fasern, welche stärker sind als bei der vorigen Art, erreichen eine Dicke bis zu 0,2 mm. Sie heben sich im auf- und durchfallenden Lichte zumeist wenig scharf vom Sediment ab, das gröss- tentheils noch dunkel bleibt (wenig vorgeschrittene oolithische Structuren zeigt). Nadeln konnten in der krystallinen Faser nicht mit Sicherheit erkannt werden. (Faser-Typus annähernd Taf. XX, Fig. 15 b.) Untersuchte Stücke: 1 (3 Schlifie). Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Strambereg. 396 Die Spongien der Stramberger Schichten, Taf. XX, Fig. 23. Orispispongia conica nov. sp. Seitenansicht in nat. Gr. 5 R „ 23a. Ein Osculum in schwacher Loupenvergrösserung. (In Fig. 23a wurde durch ein Uebersehen meinerseits die Ausfüllung: masse, welche gemäss der sonst beobachteten Darstellungsweise hätte Sch gezeichnet werden müssen, weiss gelassen. Fs stellen demnach die schwarzen Partien in dieser Figur ausnahmsweise die Fasern dar.) XXIII. Genus: Rauffia nov. gen. 47. Rauffia elavata nov. sp. Taf. XXI, Fig. 1—13. Die Körper sind zumeist einfach und bilden selten Colonien mit ge- meinschaftlicher Basis. Die Gestalt ist keulenförmig und fast immer mit seichten, horizontalen Einschnürungen versehen. Eine Deckschicht ist am unteren Ende hier und da vorhanden. Der Scheitel ist abgestutzt oder flach gewölbt. Das Paragaster ist spitz trichterförmig und reicht bis zur Basis; sein Scheiteldurchmesser schwankt zwischen dem dritten bis vierten Theil des Schwammdurchmessers an derselben Stelle. Das Canalsystem ist abweichend von dem der bislang fossil bekannten Kalkschwämme entwickelt. Das aporrhysale System besteht aus einer wechselnden Anzahl von Radial- spalten, die sich vom Paragaster bis etwa in die Mitte der Wand erstrecken und hier mehr oder weniger stumpf endigen. Die Radialspalten lassen im Gegensatze zu denen der rhizomorinen Gattung Cnemidiastrum v. ZUTTEL keine Entstehung durch Verschmelzung von dicht übereimanderliegenden Bogen- kanälen erkennen, so dass die Annahme einer primären Entstehung derselben der Berechtigung nicht entbehrt. Die Radialspalten durchsetzen jedoch den Schwamm nicht continuirlich seiner ganzen Höhe nach, sondern sind manchmal unterbrochen, d. h. sie schliessen sich. Diese Unterbrechungen correspon- diren meistens, wenn sie überhaupt vorhanden sind, mit den horizontalen Einschnürungen und deuten wahrschemlich einen jeweiligen Wachsthumsstill- stand an. Ein epirrhysales Canalsystem wurde nicht beobachtet. Das Skelet bildet ein ziemlich enges Geflecht anastomosirender Fasern, die eine Stärke bis zu 0,25 mm erreichen, meistens jedoch, so besonders bei den jugend- licheren Exemplaren, bedeutend schwächer sind. Im auffallenden Lichte zeigt die angeschliflene, kreideähnliche Faser bei schwacher Loupenvergrösserung sowohl im Längs- als Querschnitt einen mehr oder weniger scharf von den Rändern sich abhebenden, dunkelen, centralen Kern (Taf. XXI, Fig. 1b), der in der Farbe mit der Matrix übereinstimmt. Im durchfallenden Lichte bei etwas stärkerer Vergrösserung tritt diese Erscheinung weniger deutlich hervor und der hier, ebenso wie die völlig in Kalkspath umgewandelte Matrix, Rauffia. 397 hell und transparent erscheinende, centrale Kern erweist sich als durchaus unregelmässig und zusammenhangslos verlaufend (Taf. XXI, Fig. 10). Bei noch stärkerer Vergrösserung lösen sich die centralen transparenten Partien in ein Haufwerk von Nadeln auf, die jedoch nicht darauf beschränkt sind, sondern in zum Theil vorzüglicher Erhaltung auch in den mehr oder weniger dunkelen Randpartien vorkommen (Taf. XXI, Fig. 12). Einige Fasern zeigen diesen helleren centralen Kern nicht (Taf. XXI, Fig. 13). Diese Er- scheinung hängt daher nicht mit einer verschiedenen Ausbildung des Skeletes in der Mitte und an den Rändern der Faser zusammen, sondern ist lediglich ein besonderer Fossilisationsausdruck. Die Skeletelemente bestehen aus sagit- talen Drei- und Vierstrahlern, deren Lateralstrahlen in Bezug auf den Sa- gittalstrahl zuweilen convex oder concav gekrümmt sein können (Taf. XXI, Fig. 12b,d). Untersuchte Stücke: ca. 50 (40 Schliffe); Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg, Wischlitz, Stanislowitz, Bobrek, Ignaziberg, Willamowitz, Kotzobenz, ? Koniakau (ohne Etiquette). Taf. XXI, Fig. 1. Rauffia clavata nov. sp., von Ingnaziberg. Seit- licher Längsschnitt durch die Schwammwand (Radialspalten). = h „ 1a. Dasselbe Exemplar von der andern Seite (seitlicher Längsschnitt und geneigter Querschnitt). h F »„ 1b. Eine Skeletparthie mit Radialspalten aus Fig. 1 in sechsfacher Vergrösserung. ; . ‚ 2. Seitlicher Längsschnitt und geneigter Querschnitt (Radialspalten) eines Exemplares von Wischlitz. . 2a. Dasselbe Exemplar; Seitenansicht. Rs er „ 4,8. von Wischlitz; Seitenansicht. 5 R „ 5. von Stramberg; seitlicher Längsschnitt. (Radial- spalten.) n ‚ 5a. Dasselbe Exemplar; Seitenansicht. = a „ 3,6. von Kotzobenz; Seitenansicht. E RT ? von Koniakau (ohne Etiquette). Verticaler Median- schnitt. 5 R „9. von Willamowitz; ein zusammengesetzter Schwamm (Colonie). en 5 „. 10. von Stanislowitz; Theil eines Querschnittes im durchfallenden Lichte bei 3Sfacher Vergrösserung. u Mr „ 11. von Bobrek; ein sagittaler Dreistrahler mit ge- krümmtem Lateralstrahl in 180facher Vergrösserung. 398 Die Spougien der Stramberger Schichten. Taf. XXI, Fig. 12. von Willamowitz; Faser mit sagittalen Dreistrahlern in 140facher Vergrösserung. h „ 12a,b,c,d. Sagittale Drei- und Vierstrahler aus dem- selben Schliff in 180facher Vergrösserung. en „ 13. von Kotzobenz; Faser mit sagittalen Drei- und Vierstrahlern in 140facher Vergrösserung. XXIV. Genus: nov. gen. Schwamm trichter- oder becherförmig. Aeussere Oberfläche mit Warzen oder Dornen versehen, die Träger von Ostien (? Oscula) sind. Deckschicht auf der äusseren Oberfläche vorhanden. Ein besonderes Canalsystem scheint nicht entwickelt. 48. nov. gen. Sp. Taf. XX, Fig. 3, 3a. Das einzige, nur schlecht erhaltene Exemplar ist klein, trichterförmig und besitzt eine Wandstärke von ca. 5 mm. Der abgerundete Oberrand ist wellenförmig gebogen; die äussere Oberfläche ist mit zerstreut liegenden Warzen versehen, deren jede ein Ostium (?Osculum) trägt. Die Deckschicht ist nur noch angedeutet. Die Innenseite ist, soviel erkannt werden konnte, nackt und hat keine Postica. Die im Mittel etwa 0,13 mm dicken, stark krystallinen Fasern heben sich im auffallenden und durchfallenden Licht zumeist nur undeutlich von dem in Kalkspath umgewandelten Sediment ab. Bilder, wie das Taf. XX, Fig. 3a dargestellte, sind äusserst selten. Nadeln konnten mit Sicherheit nicht erkannt werden. Die eigenthümlichen, an den Rändern der Faser auftretenden, die Skeletlücken umsäumenden faserigen Structuren (Taf. XX, Fig. 3a) konnten nicht als Nadelbegrenzungen ange- sprochen werden. Untersuchte Stücke: 1 (5 Schliffe). Geologische Reichsanstalt Wien. Vorkommen: Stramberg. Taf. XX, Fig. 3. nov. gen. sp. in natürlicher Grösse. 5 » » 3a. Faser in 180facher Vergrösserung. 49. nov. gen. Sp. indet. Taf. XX, Fig. 7. Der nur in einem einzigen Bruchstück zur Untersuchung vorliegende Schwamm ist wahrscheinlich von unregelmässiger, schlank becherförmiger Gestalt, soweit dies der etwas gebogene, walzenförmige und mit Einschnü- Euzittelia. 329 rungen versehene Steinkern zu beurteilen erlaubt. Der Scheitel und die Basis, sowie der grössere Theil der Wand fehlen. Die Stärke der letzteren schwankt zwischen 3—5 mm. Die äussere Oberfläche ist kraus und mit zerstreut liegen- den Dornen versehen, deren jeder an seinem Ende ein Ostium (? Osculum) trägt. Die äussere Oberfläche ist mit einer dichten, glatten Deckschicht über- zogen. Die Innenseite ist der Beobachtung nicht zugänglich. Die im Mittel etwa 0,13 mm dicke Faser grenzt sich im auf- und durchfallenden Lichte zum Theil ziemlich scharf vom Gestein ab und lässt dann Bilder wie das Taf. XX, Fig. 3a von der vorigen Art dargestellte erkennen. Nadeln konnten in der krystallinen Faser mit Sicherheit nicht erkannt werden. Der Typus der Faser ist aus Taf. XX, Fig. 3a ersichtlich. Untersuchte Stücke: 1 (2 Schliffe); Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg. Taf. XX, Fig. 7 nov. gen., sp. indet. in natürlicher Grösse. XXV. Genus: Euzittelia nov. gen. 50. Euzittelia magnifiea nov. sp. Taf. XX, Eig. 5, 6, 6a. Es liegen zwei an der Basis abgebrochene Exemplare vor. Soweit aus den Bruchstücken auf die Form geschlossen werden kann, ist der Schwamm von knospen- oder gedrungen keulenförmiger Gestalt. Die Oberfläche ist unregelmässig längs gefurcht; die durch diese Furchen gebildeten Rippen sind durch horizontale Einschnürungon knotig. Der Schwamm erinnert auf den ersten Blick an die Gattung Blastinia, unterscheidet sich aber von der- selben, wie die nähere Untersuchung lehrt, durch den Besitz eines Para- gasters und aporrhysalen Spaltensystems. Das eng röhrenförmige Paragaster reicht wahrscheinlich bis zur Basis. Die radialen, aporrhysalen Spalten (5 an dem abgebildeten Exemplar Taf. XX, Fig. 6) dringen bis etwa in die halbe Schwammwand ein, verlaufen unregelmässig und endigen stumpf. Ein epir- rhysales Canalsystem konnte nicht erkannt werden. Die Dicke der Faser in der Wand schwankt zwischen 0,1—0,3 mm; noch stärker sind jedoch die, die das Paragaster und diejenigen, welche die Radialspalten unmittelbar be- grenzen. Sie sondern sich im auf- und durchfallenden Lichte zumeist undeut- lich und verschwommen vom Sediment ab; letzteres ist meistens noch dunkel, wenig vorgeschrittene oolithische Structuren zeigend. Nadeln konnten in den krystallinen Fasern mit Sicherheit nicht nachgewiesen werden. (Faser-Typus Taf. XX, 15b, 21, 22). Untersuchte Stücke: 2 (3 Schliffe); Palaeontologisches Museum München. 3 Die Spongien der Stramberger Schichten. DU © o Vorkommen: ?Stramberg, ? Ignaziberg (ohne Etiquette). Taf. XX, Fig. 5. Euzittelia magnifican. sp. Seitenansicht in nat. Grösse. " 5 „ 6. Das andere Exemplar; Querschnitt in nat. Grösse. 5 „ 6a. Dasselbe Exemplar; seitlicher Längsschnitt (Radial- spalten). 51. Euzittelia sp. indet. Zu derseben Gattung dürfte noch ein winziger, zierlicher, nur in einem einzigen Bruchstück vorhandener gerippter Schwamm gehören. Paragaster und aporrhysale Radialspalten sind wie bei der vorhergehenden Art entwickelt. Untersuchte Stücke: 1; Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Ignaziberg. XXVI. Genus: Strambergia nov. gen. 52. Strambergia sp. 1ER OR, re, hl. @D Den Rest der Pharetronen bildet eine Anzahl knolliger, unregelmässig gestalteter Schwämme mit zumeist krauser, höckeriger Oberfläche. Eine Deckschicht ist vorhanden oder fehlt. Allen diesen Schwämmen fehlen Para- gaster und Osculum. Auf angeschliffenen Durchschnitten bemerkt man im Innern zuweilen canalartige Hohlräume, die als Vertreter des aporrhysalen Canalsystems gedeutet werden könnten. Ostien scheinen vereinzelt auf der Oberfläche vorhanden zu sein, doch konnten keine von ihnen ausgehende Epirrhysen erkannt werden. Die Fasern bilden ein ziemlich lockeres Geflecht. Ihre Dicke ist selbst bei einem und demselben Individuum sehr verschieden und schwankt zwischen 0,05 mm und 0,28 mm. Die Fasern grenzen im durchfallenden Licht zumeist undeutlich verschwommen vom Sediment ab, welches zum Theil noch dunkel ist, zum Theil im Zustande vorgeschrittener oolithischer Structuren sich befindet. Nadeln konnten in der krystallinen Faser mit Sicherheit nicht erkannt werden. Die microscopischen Bilder sämmtlicher Schliffe ähneln den Abbildungen Taf. XX, Fig. 21, 22. Zuweilen fügen sich Risse und Krystallgrenzen so aneinander, dass man grosse Drei- strahler vor sich zu haben glaubt, doch liegt immer nur Täuschung vor. Untersuchte Stücke: 7 (14 Schliffe); Palaeontologisches Museum München. Geologische Reichsanstalt Wien. Vorkommen: Stramberg. Taf. XX, Fig. 21. Strambergia sp. Faser in 180facher Vergrösserung. » nn. 22. Schliff eines anderen Exemplars; Faser in 180facher Vergrösserung. Tremacystia. 331 Familie: Syconidae HAECKEL. Unter-Familie: Polysteganinae RAUurFr. XXVII. Genus: Tremacystia Hınpz 1883. Ich beschränke die Gattung Tremacystia durch Ausschluss der von Hınpz damit vereinigten Gattung Thalamopora. 53. Tremacystia Hindei n. sp. Taf. XXI, Fig. 28, 29, 29a, b. Die kleinen, mit tiefen, horizontalen, den Querböden entsprechenden Einschnürungen versehenen, keulenförmigen Stockcolonien erster Ordnung, bestehen in den wenigen vorhandenen Exemplaren, aus einer Reihe von 5—4 an Grösse schnell zunehmenden, fast kugligen Einzelindividuen (Kammern). Das grösste Exemplar hat ohne die abgebrochene Anfangskammer eine Höhe von 15 mm. Die Kammerwände und -böden sind verhältnissmässig dünn und von zahlreichen, feinen Radialkanälchen durchbohrt, die nach RAurr’s Unter- suchungen über diese Gattung als Skeletlücken für die -Geisselkammern an- gesehen werden müssen. Ausserdem werden die Böden noch von grösseren centralen Oefinungen, den jeweiligen Oscula, durehbohrt. Das Osculum der Scheitelkammer erreicht einen Durchmesser bis 1,75 mm. Es ist kein Oscular- rohr vorhanden; auch sind die Ränder der centralen Oeffnungen nicht unge- bördelt; die von dem Scheitel der vorhergehenden Kammer gebildeten Quer- böden wölben sich entsprechend der kugeligen Form der Kammern ziemlich beträchtlich in die darauf folgenden Kammern hinein. Die Schliffe zeigen, wenn auch in den Skeletelementen sehr verschwom- men, deutlich eine Zweischichtigkeit der Wand, und zwar nimmt das innere ? Dreistrahlerskelet etwa den vierten Theil der ganzen Dicke der Wand ein. Ein Schliff (Taf. XXI, Fig. 29c), der tangential der Wand gelegt ist, lässt ziemlich deutlich mehr oder weniger schräge Querschnitte von Elementen des Stecknadelskelets erkennen. Die Dreischichtigkeit der Kammerböden konnte in den vorhandenen Schliffen nicht erkannt werden. Bemerkungen: Das Skelet von Tremacystia ist nach den Unter- suchungen, die Raurr ‘ bei Tremacystia (Barroisia) anastomans MANT. sp. an- stellte, zweischichtig; es besteht aus einer inneren Dreistrahler- und einer äusseren Stecknadelschicht. Nur die Querböden machen hiervon eine Aus- nahme, sie sind dreischichtig, indem bei der jedesmaligen Bildung eines neuen Segmentes die gastral gelegene Skeletparthie der Seitenwand desselben über den Scheitel des vorhergehenden fortwächst. Hierdurch erklärt sich ‘ N. Jahrb. für Min. etc. Bd. I p. 282—284, 1891. 332 Die Spongien der Stramberger Schichten. auch die Erscheinung — Tremacystia Hindei n. sp. zeigt dieselbe auch — dass beim Loslösen einer Kammer von der andern der Querboden sich (wohl zumeist in der Berührungsfläche der zweiten und dritten Schicht) mehr oder weniger glatt theilt, so dass der einen Kammer ein Scheitel, der andern ein Boden verbleibt. Von Tremaeystia d’Orbignyi Hınpz unterscheidet sich diese Art wesent- lich durch den Mangel eines Oscularrohrs und von Tremacystia Michelini SIMONOWITSCH Sp. durch die mehr kuglige Form ihrer Kammern. Untersuchte Stücke: 4 (6 Schliffe); Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg, Ignaziberg. Taf. XXI, Fig. 28. Tremacystia Hindei n. sp. von Stramberg, Seiten- ansicht in nat. Gr. lan „ 29. Ein zweites Exemplar von Stramberg, wovon nur die Scheitelkammer vorliegt; Scheitelansicht in nat. Grösse. Pe: „» 29a. Querbodenansicht desselben Exemplars in zweifacher Vergrösserung. une: „„ 29b. Verticaler Medianschnitt desselben Exemplars in nat. Grösse, aa » 29e. Schliff tangential der Wand, mehr oder weniger schräge Querschnitte von Nadeln des Stecknadel- skelets zeigend, von einem Exemplar von Ignazi- berg in 140 facher Vergrösserung. 54. Tremaeystia tithoniea nov. sp. Taf. XXI, Fig. 27. Es ist ein einziges, von Gesteinsmasse eingeschlossenes Bruchstück vor- handen, das jedoch, da die Bruchfläche zum grösseren Theile in einen medianen Längsschnitt fällt, eine Diagnose zulässt. In der unteren Hälfte - springt die Bruchfläche etwas hinter die Medianebene zurück, so dass nicht ermittelt werden konnte, ob das die drei obersten Kammern durchsetzende Öscularrohr bis zur Basis reicht. Der Umriss der Bruchfläche gleicht dem Medianschnitt einer mit horizontalen Einschnürungen versehenen, gedrungenen Keule. Der Umriss der oberen drei Kammern ist gerundet rectangulär, der der unteren nach unten hin zunehmend kreisförmig. Der Uebergang der Kammern aus der gerundet rectangulären Form in die kreisförmige ist. jedoch nur scheinbar und lediglich dadurch bedingt, dass der Schwamm in seinem unteren Theile von der Bruchfläche seitlich getroffen wurde. Es ist wohl mit Sicherheit anzunehmen, dass der Umriss der unteren Kammern im Median- Thalamopora. 335 schnitt auch gerundet rectanguläre Form besitzt und somit der ganze mediane Umriss dem Medianschnitt eines mit horizontalen Einschnürungen versehenen, nach unten vielleicht sich etwas verjüngenden Cylinders gleichen würde. Bei der Herstellung des Dünnschlifis mussten die beiden untersten Kammern ge- opfert werden; ebenso gingen die Durchschnitte des Oscularrohrs bei der Scheitel- und der dritten Kammer verloren (Taf. XXI, Fig. 27). Die Maasse in der folgenden Diagnose beziehen sich auf die ursprüngliche Bruchfläche, Es sind Stockeolonien erster Ordnung, von eylindrischer, nach der Basis zu sich vielleicht etwas verjüngender Form. Oberfläche mit horizontalen, den Querböden entsprechenden Einschnürungen versehen. Die Höhe des einzig vorliegenden Stückes beträgt 15 mm, die Breite der beiden obersten Kammern 7,5 mm, die der dritten Kammer 7 mm. Die Zahl der niederigen, ca. 2 mm hohen, zusammengedrückt tonnenförmigen Kammern ist bei diesem Individuum 6. Die Kammern werden von einem engen, ca. 1 mm breiten Oscularrohr durch- setzt, das wahrscheinlich bis zur Basis reicht. Die Dicke der Kammerwände beträgt ca. 0,4 mm. Zahlreiche enge, gerade, im Querschnitt rundliche Canälchen, in denen nach den Untersuchungen RAaurr's die Skeletlücken der Geisselkammern zu erblicken sind, durchbohren Kammerwände und -Böden. Das Skelet der Wand und der Böden ist deutlich zweischichtig. Das innere (? Dreistrahler-) Skelet nimmt etwa den sechsten Theil der Dicke der Wand ein. Die Elemente des äusseren Stecknadelskelets sind zum Theil gut kennt- lich; die spezielle Gruppirung der nach aussen gerichteten Nadeln konnte jedoch nicht erkannt werden. Bemerkungen: Die neue Art unterscheidet sich von Tremaeystia sipho- noides Mıc#. sp. durch die grössere Anzahl ihrer Segmente (Tr. siphonoides 2—4) und durch die geringere Höhe derselben (Tr. siphonoides 5—6 mm). Sie ist ferner unterschieden von Tremaeystia anastomans MünsT. sp., der sie sonst am nächsten kommt, durch ihr Vorkommen als Stockcolonie erster Ordnung. Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: ?(ohne Etiquette) nicht von Stramberg. Taf. XXI, Fig. 27. Tremaeystia tithonica nov. sp. Schliff in 2 facher Vergrösserung. XXVIIH. Genus: Thalamopora F. A. Römer 1841. Syn. Ceriopora pars GoLpr. Monticulipora pars D'ORB. ? Spongites (Scyphia) pars QuEnsTt. Tremacystia pars HınDe. Die Form, welche Fr. An. Römer! zur Aufstellung dieser Gattung ver- anlasste, wurde zuerst von GoLpruss? aus dem Grünsande von Essen als ! Verst. d. Norddeutsch. Kreidegeb. p. 21, 1841. ? Petref. Germ. p. 36, Taf. 10, Fig. 16, 1826—33. 234 Die Spongien der Stramberger Schichten. Ceriopora eribrosa beschrieben und abgebildet. Fast gleichzeitig mıt Römer stellte MicHeuin' für zwei Formen aus der Umgegend von Le Mans die Gattung Thalamopora auf, erkannte jedoch ausdrücklich die Priorität Römer's an. Von allen diesen Forschern wurde Z’halamopora zu den Bryozoen gestellt. D’ÖRBIGNY”, der die Formen von Le Mans nicht gekannt zu haben scheint, vereinigt wunderbarer Weise T’halamopora eribrosa GOLDF. sp. mit Monticulipora, was ein offenbares Verkennen des Baues der Essener Form be- deutet. Auch SımoxowırcH‘®, der Thalamopora zuerst eingehend beschrieb, beliess diese Gattung noch bei den Bryozoen. Erst Reuss® zweifelte an der Richtigkeit dieser systematischen Stellung, wies jedoch irrthümlich Z’halamo- pora den Foraminiferen zu. Moserer’ deutete dann auf die Wahrscheinlich- keit hin, dass diese Gattung zu den Hydromedusen und zwar zu der Familie der Stylasteriden gehöre. Erst Sremmann ® erkannte die richtige systema- tische Stellung, indem er Thalamopora mit den Pharetronen vereinigte, verfiel jedoch leider dem Irrthum, das Vorkommen fossiler Kalkschwämme überhaupt zu bestreiten und vereinigte die Pharetronen mit den Aleyonarien. Von Duxı- kowskı’, der die Einwendungen STEINMANN’s gegen die Kalkschwamm-Natur der Pharetronen zurückwies, stimmte mit ihm bezüglich der Pharetronen-Natur von Thalamopora überein und sah auch deutliche Dreistrahler. Auch Hype ®, der sich wegen Mangels an Material im Wesentlichen auf die Beobachtungen voN DunIkowskt's stützt, hält Z’halamopora für einen unzweifelhaften Kalk- schwamm, vereinigt aber diese Gattung mit einigen andern Gattungen (Sphaer- ocoelia, Barroisia) zu einer einzigen Gattung, die er mit dem Namen Trema- cystia belegt. Man kann Hmoe zwar die Berechtigung nicht absprechen, Sphaerocoelia und Barroisia zu einer Gattung zu vereinigen, da der Aufbau beider Formen der gleiche ist. T’halamopora aber zeigt einen davon wesentlich verschiedenen Bau, insofern jede Etage nicht von einem einzigen Individuum gebildet wird, so dass wie bei Sphaerocoelia und Barroisia Stämmechen von perlschnurartig aneinander gereihten Einzelindividuen entstehen, sondern aus einer grösseren oder kleineren Anzahl radiär gestellter Einzelindividuen zusammengesetzt ist. Die Gattung Thalamopora Römer bleibt daher bestehen. 1 Tconogr. zoophytol. p. 209, Taf. 53, Fig. 8 u. 9, 1840—47. ? Prodr. d. Pal. Bd. II, p. 184, 1850. 3 Beitr. z. Kenntn. d. Bryoz. d. Essener Grünsandes. Verhandl. d. naturhist. Ver. d. preuss. Rheinlande und Westphalens 28. Jahrg. 1571, p. 26—30. * Palaeontographica Bd. 20, p. 137, Taf. 33, Fig. 11—15, 1871—75. 5 Philos. Transact. of the Royal Society of London Bd. 169, p. 485, 1878. 6 Neues Jahrb. f. Min. etc. 1882, II. Bd. p. 167 u. 168. ? Die Pharetronen aus dem Cenoman von Essen, Palaeontographica Bd. 29 p. 353, 1882— 83. ® Catalogue of the fossil Sponges p. 171 il. 1883. Thalamopora. 335 STEINMANN! hat nun entschieden mit Recht betont, dass von den in der Literatur vorhandenen T’halamopora-Arten sicher nur Th. eribrosa GoLDEF. Sp. (?= Th. vesiculosa Mıca. von L. Mans) in dieser Gattung verbleiben darf. So schuf er daher für Thalamopora Michelini SimoxowITcH aus dem Grün- sande von Essen die neue Gattung Sphaerocoelia. Vielleicht sind, soweit sich dies aus der Quenstepr'schen Beschreibung und Abbildung beurtheilen lässt, Spongites squamatus QuENSTEDT” und Spongites nodulosus QuENSTEDT (beide aus dem Weissen Jura des Örlinger Thals bei Ulm) zu Thalamopora zu ziehen, Arten, die von ZiTTEL zu der Gattung Peronella stellte, erstere allerdings mit einem Fragezeichen. Thalamopora bildet Stöcke erster Ordnung, seltener Colonien (Stöcke zweiter Ordnung) mit gemeinschaftlicher Basis. Die Gestalt ist cylindrisch bis keulenförmig und umgekehrt kegelförmig, gerade oder gebogen, zuweilen seitlich zusammengedrückt, selten mit horizontalen Einschnürungen versehen, so dass äusserlich Sphaerocoelia-ähnliche Formen entstehen. Der Schwamm wird vom Scheitel bis zur Basis von einem axialen Tubus (Oseularrohr) durch- zogen, um den sich in ihn mündende, in alternirenden Reihen gestellte, mehr oder weniger keulenförmige bis retorten-ähnliche, unmittelbar sich aneinander legende Kammern radiär gruppiren. Die einzelnen Kammern treten sowohl unter einander als auch mit der Aussenwelt durch sie durchbohrende, gerade Radialcanälchen (Poren) in Verbindung, welche nach den feinen Skeletanalysen von RAUFF die Skeletlücken für die Geisselkammern darstellen. Die Kam- mern endigen nach aussen meistens mit etwas kugelig gerundeten Köpfen, wodurch die Oberfläche ein traubiges Aussehen gewinnt. Ein Deck-Faser- geflecht ist vorhanden oder fehlt. Das Skelet ist nach Raurr zwei-, vielleicht auch dreischichtig. Das Stützskelet, das den inneren (oder nur mittleren ?) Theil der Wand einnimmt, besteht aus Dreistrahlern, die im Wesentlichen mehr oder minder parallel den Wandflächen gelagert sind, sonst aber eine bestimmte Ordnung nicht erkennen lassen. Der äussere Theil der Wand wird von einem sehr charac- teristischen Dermalskelet eingenommen, das aus mit den Köpfen auswärts gerichteten, sehr zarten Stecknadeln besteht, die sich um die Canälchen zu Kränzen büschelförmig nach aussen divergirender Nadeln gruppiren. Ein besonderes Gastralskelet konnte von Raurr bisher nicht aufgefunden werden. t loc. cit. p. 168. ?2 Diese Form hat Quessteor bereits 1558 als Schwamm beschrieben, abgebildet und zugleich auf die Aehnlichkeit des Baues mit dem von Ceriopora cribrosa hingewiesen. Vergl. „Der Jura“ p. 699, Taf. 84, Fie. 23, ferner Petrefactenkunde Deutschlands, Bd. V, p. 335, Taf. 131, Fig. 31 und 32. 336 Die Spongien der Stramberger Schichten. 55. Thalamopora Zitteli nov. sp. Taf. XXI, Fig. 14—25. Es sind Stockcolonien, fast ausschliesslich erster Ordnung, von gerader oder gekrümmter, zuweilen seitlich zusammengedrückter, unten zugespitzt eylin- drischer, umgekehrt conischer oder kurz keulenförmiger Gestalt. Das grösste der etwas zahlreicher vorliegenden Individuen hat eine Höhe von 38 mm und eine Scheitelbreite von 15 mm; die Basis fehlt, so dass es in Wirklich- keit noch höher war. Die in annähernd alternirenden Reihen radiär um den gemeinsamen Hohlraum sich gruppirenden, gekrümmt keulenförmigen Kam- mern (Einzelindividuen) erreichen eine Länge bis zu 4,5 mm und eine Höhe bis zu 1,25 mm; ihre convexe Seite ist nach dem Scheitel zu gerichtet. Sie münden meist ohne Umbiegung mit ihrem ganzen Querschnitt in den gemein- samen Hohlraum, was der fast nur aus den Querschnitten der einzelnen Kammerwände gebildeten Wand desselben ein sieb- bis netzartiges Aussehen verleiht (Taf. XXI, Fig. 20). Die Kammerwände selbst sind von zahlreichen, geraden Radialcanälchen, den Skeletlücken für die Geisselkammern, durch- bohrt, wodurch die Kammern sowohl unter einander als mit der Aussenwelt in Verbindung treten. Diese Canälchen erreichen einen Durchmesser bis zu 0,2 mm und sind fast kreisrund. Die Kammerwände erscheinen überall ein- fach, so dass das Dach einer Kammer zugleich Theile der Böden der darüber- liegenden Kammern bildet (Taf. XXI, Fig. 24). Die Aussenseite des Schwammes ist, mit Ausnahme des Scheitels, von einem zarten Geflecht anastomosirender Fasern umgeben, das durchaus dem der Pharetronen gleicht. Die Lücken dieses Deck-Fasergeflechtes sind unregelmässig rundlich und übertreffen die fast kreisrunden Skeletlücken der Kammerwände nicht unbedeutend an Grösse (Taf. XXI, Fig. 14b). Wo dieses Deck-Fasergeflecht abgerieben ist und die Kammerköpfe unmittelbar an die Oberfläche treten, erhält diese ein mehr oder weniger traubiges Aussehen (Taf. XXI, Fig. 16b). Das Deck-Fasergeflecht ist in den seichten Vertiefungen zwischen den einzelnen Kammerköpfen stärker entwickelt als auf den Kammerköpfen, wodurch bei unversehrten Exemplaren die traubige Beschaffenheit der Aussenwand verborgen bleibt. Das Skelet der Kammerwände erscheint dreischichtig.. Es ist dies schon im auffallenden Lichte bei schwacher Vergrösserung angedeutet, indem ein dunkeler, centraler Kern in der weisslichen Faser sichtbar wird (Taf. XXI, Fig. 21ec). Im durchfallenden Lichte bei stärkerer Vergrösserung macht sich dieselbe Erscheinung geltend, nur mit dem Unterschiede, dass jetzt der centrale Kern hell und durchsichtig, die äussere und innere Randschicht hin- gegen schmutzig grau und wenig transparent erscheint (Taf. XXI, Fig. 24). Ob hier wirklich eine Dreischichtigkeit des Skeletes oder nur eine eigentüm- liche Fossilisationsversteinerung vorliegt, konnte in den vorhandenen Schliffen Thalamopora. 337 [S\ nicht nachgewiesen werden. In Schliffen, die tangential der Kammerwand in dem transparenten, centralen Teile derselben verlaufen, löst sich dieser bei stärkeren Vergrösserungen in ein Hanfwerk von regulären und sagitalen Drei- strahlern auf, die unregelmässig, jedoch im Wesentlichen parallel der Kam- merwand den mittleren Abschnitt der Radialcanälchen umgürten (Taf. XXI, Fig. 24a, 25). In Schliffen, die die Kammerwand quer getroffen haben, zeigen sich daher central zumeist nur Nadeldurchschnitte (Taf. XXI, Fig. 23). Die äussere Randschicht (? Dermalskelet) scheint, wie es Raurr für T’halamopora cribrosa GOLDF. Sp. nachgewiesen hat, aus auswärts gerichteten Stecknadeln zu bestehen, jedoch konnte eine besondere Gruppirung nicht erkannt werden. Die ?innere Schicht (? Gastralskelet) konnte nicht in ihre Elemente aufge- löst werden. Die Faser-Analyse des Deck-Fasergeflechtes war auch erfolglos. Untersuchte Stücke: ca. 30 (6 Schliffe). Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg, Willamowitz, Wischliz, Koniakau, Kotzobenz, Ignaziberg. Taf. XXI, Fig. 14. Thalamopora Zitteli n. sp. von ? Stanislowitz (ohne Etiquette) Seitenansicht in nat. Grösse; an der Basis abgebrochen. 5 h „ 14a. Dasselbe Exemplar; Scheitelansicht in nat. Grösse. Mn E tler R »„ 5 halbe Scheitelansicht in 2facher Vergrösserung. 5 5 - alele: z »„ 5; Deck-Fasergeflecht in 6facher Vergrösserung. ler, „ 15. von Koniakau; horizontaler Querschnitt in nat. Gr. BEN 3; „ 15a. Ein Viertel desselben Querschnitts in 3facher Ver- grösserung,. 5 „ 16. von Stramberg; Seitenansicht in nat. Grösse; an der Basis abgebrochen. En „ 16a. Dasselbe Exemplar; Scheitelansicht. = = ee ll6h: R R ; abgeriebene Aussenseite in 6- facher Vergrösserung (das Deck-Fasergeflecht fehlt, zum Theil auch die Kammerköpfe, so dass die Aus- füllungsmasse der Kammern zu Tage tritt). = A »„ 17. von Wischliz; Seitenansicht in nat. Gr. > „ 18. von Willamowitz; Stock zweiter Ordnung aus zwei seitlich verwachsenen Stöcken erster Ordnung mit gemeinschaftlicher Basis bestehend, 2 MN „ 19. von Stramberg; Seitenansicht eines gänzlich abge- riebenen Exemplars in nat. Gr. Palaeontologische Mittheilungen. Band 3, 2 [39 338 Die Spongien der Stramberger Schichten. MAR XT Riewslgia, a: „ 20. = h 3 ” ” » 21a. ” ” ” 2 1 b. [50] © h s nr DANE Dasselbe Exemplar; die Ausfüllungsmasse der zu- weilen annähernd 6seitigen Querschnitt zeigenden Kammern tritt zu Tage. von Koniakau in 6facher Vergrösserung; zeigt die Einmündungen der Kammern in den gemeinsamen Hohlraum (sieb- bis netzartige Wand). von Stramberg; horizontaler Querschnitt in nat. Gr. Ein Theil dieses Querschnittes in 6facher Ver- grösserung. Verticaler Medianschnitt desselben Exemplars in nat. Gr. Ein Theil des verticalen Medianschnittes in 6facher Vergrösserung. von Stramberg; seitlicher verticaler Schnitt in nat. Gr. (Deck-Fasergeflecht an den Seitenrändern des Schnittes sichtbar). von Koniakau; Theil aus dem Schliff eines verti- calen Medianschnittes; Kammerwand —= Querschnitt (Nadeldurchschnitte) mit einem Radialcanälchen in 140 facher Vergrösserung. von Koniakau; Theil aus dem Schliff eines seit- lichen, etwas schief verlaufenden Verticalschnittes in 38 facher Vergrösserung. Dasselbe Präparat; Theil aus dem Schliff eines Schnittes tangential einer Kammerwand im centralen Theil derselben in 140 facher Vergrösserung. von Stramberg; Theil aus dem Schliff eines Hori- zontalschnittes; Schnitt an dieser Stelle tangential einer Kammerwand im centralen Theil derselben in 140 facher Vergrösserung. 56. Thalamopora Hoheneggeri n. sp. Taf. XXI, Fig. 26, 26a. Diese Art liegt nur in einem einzigen Exemplar von Stramberg vor; es wurde daher auf die Anfertigung von Präparaten verzichtet. Der Schwamm ist keulenförmig und mit 3 horizontalen Einschnürungen versehen, die den- selben in 4 tonnenförmige Segmente gliedern. Die Basis fehlt. Die Scheitel- kammern sind von mehr kugeliger Gestalt und weniger zahlreich als bei Thalamopora Zitteli. Das Deck-Fasergeflecht ist vorhanden, zum grössten Theil jedoch abgerieben. Schluss-Bemerkungen. 339 Untersuchte Stücke: 1. Palaeontologisches Museum München. Vorkommen: Stramberg. Taf. XXI, Fig. 26. Thalamopora Hoheneggeri n. sp. Seitenansicht in nat. Gr. = = „ 26a. Scheitelansicht in 2facher Vergrösserung. Schluss-Bemerkungen. Im Ganzen sind aus den Stramberger Schichten 28 Spongien-Gattungen mit 56 Arten aufgeführt worden. Es entfallen davon auf die Kieselschwämme 16 Gattungen mit 29 Arten, auf die Kalkschwämme 12 Gattungen mit 27 Arten. Das Verhältniss der Kieselschwämme zu den Kalkschwämmen ist also nahezu ein gleiches. Ich lasse umstehend eine Liste der hier beschriebenen Arten nebst Angabe ihrer Fundorte folgen. Unter den Kieselschwämmen sind wahrscheinlich 2 nur in je einem Exemplare vorliegende Gattungen neu, ferner sicher 6 Arten, die sich auf die Gattungen Tremadictyon, Oraticularia, Siphonia, ? Jerea und Seytalia verteilen, wovon die 3 letzten Gattungen bislang nur in der mittleren und oberen Kreide bekannt waren. Unter den Kalkschwämmen konnten 4 neue Gattungen mit je einer Art beschrieben werden, ferner S neue Arten, die den Gattungen Peroni- della, Corynella, 2 Myrmecium, Orispispongia, Tremacystia und Thalamopora angehören, wovon letztere Gattung bislang auf die mittlere Kreide beschränkt war, wahrscheinlich aber in Quexseor’s Spongites squamatus aus dem Örlinger Thal (Schwaben) schon seit langem einen oberjurassischen Vertreter besessen hat. Die übrigen Schwämme gestatteten mit Ausnahme einer grösseren Anzahl, die wegen unvollkommener oder schlechter Erhaltung eine sichere Bestimmung nicht zuliessen, eine Identification mit oberjurassischen Formen besonders Schwabens und Frankens u. a. OÖ. Mit den von PırLer und FRoMENTeEr ! beschriebenen Tithon-Schwämmen (augenscheinlich nur Kalkschwämme) von Lemene sur Chambery konnte nach den Beschreibungen und Abbildungen keine Stramberger Form identifieirt werden. Keine einzige Stramberger Art ist im Neocom vertreten, dahingegen kommen 4 Arten, die allerdings zum Theil nicht ganz sicher identificirt werden konnten, im Dogger vor. Die Stramberger Spongien-Fauna besitzt ein durchaus oberjurassisches Gepräge. ! Description geologique et pal&eontologique de la colline de L&mene sur Chambery, Chambery 1875. to [9) * 340 b; Die Spongien der Stramberger Schichten. nn mm — | —, 1| {2} 20 22 23 24 I & | 3 iR =] s N 2 P I3 | äs|2 |& = |2|2 |8|| Sonstige Funde Sonstige Funde | 8 a |8a 2 a | 'S | 8) ser |= 2 Als d Ob. Jura Dogger Zu RE ED BE ee x — — —— —ı L — en — —— — . | Spongiae. | | Classe: Silicea. Ordnung: Hexactinellida. Unt.-Ordn.: Dietyonina. | Tremadictyonregularen.sp. + — — — — - - — — Cratieularia cf. parallela | | | GOLDF. Sp. - . «||| — | — || — Schwaben, Aargau, | FünfkirchnerGebirge Krakau, St.Claude. (Ungarn), Parkin- soni-Sch., Claus- Sch., Zone der Op- Cratieularia cf. Dee | pelia aspidoides. MünsTER sp. . +|— | — | — | — | — |—| — |— | Schwaben, Franken, \ Cratieularia cf. Schweiggeri | Aargau, St.Claude. Goupr. Sp. 0 . +1 —|1— Il 171 _ Schwaben, Aargau, Cratieularia intrasulcata | | | Krakau, St Claude. | n. sp. je ll ? Cr aticularia ek. clathrata | GoLDE. sp. +) — — Schwaben, Aargau, Burton Bradstock, \ Krakau, St.Clande. | (Dorset), Inferior | Oolite (Parkinsoni- | | Zone). Cratieularia sp. . . . » + — ||| | —- || — | — ? ” Speer: „||| — | — | — | — | — — | — |— Sporadopyle cf. pertusa | | GOLDF. SP. +) -/+/— | — |—) — |— Franken, Aargau, Spor adopyle pertusa Goror. | Krakau. sp. var. plana n. \. .— [— | +1 — | — | — |—| — |— Sporadopyle cf. texturata | | | GoLpF. sp. var. subtex- | | | turata W’ORB — | — | — | — | — | + |—| — |— Franken, Schwaben, | Aargau, Krakau. genus indet. sp. . . ZI a { Cypellia ef. rugosa GoLpr. sp. I-+ | — || | Eranken, Aargau, ee: | ‚ Krakau. ngarn), Zone der genus indet. sp. || — — | Oppelin aspidoides. Ordnung: Lithistida. | Unt.-Ordn.: Tetracladina. | | Siphonia en n. | | | Sp- - | = =; | ? Sıphonia w indet. . .|—|— |||) 4) ||) Ze: indt. . .|—|+|1—-|—- | |<) — | ? Jerea eihonsas ee le —| | = ? Jerea (? Jereica) Sp. + | — | | ? Jerea n. Sp. . & ll = | ee | | ||| Unt.-Ordn: Anomocladina. | | | | | I} | ?Cylindrophyma Sp... . | +|— |—| | == Melonella ef,radiata QST. Sp. | een —| Franken, Schwaben, | | ‚ Aargau u. Sternberg I im nördl. Böhmen. EINOYSBE CN WESD er: It | | ?nov. gen. Sp | = 21 Schluss-Bemerkungen. ee ale: sl=l2lE|8 | - R RS 2 e ER 22|3|88 = | Sonstige Funde Sonstige Funde ee © [Zi IS] = Ei Sl g 3 S je el 8] Ob. Jura Dogger ae ee L el Zn Unt.-Ordn.: Rhizomorina. | | 25| ?Cnemidiastrum Sp. . + -1-1- || || — — 26| 2 ; sp - - II ||| + —|— | 27) Hyalotragos cf. pezizoides GoLDF. Sp. 2... l+ ol | | — | — |— |) — |—|| Franken, Schwaben, Aargau, Polen, Krakau, Sternberg im nördl. Böhmen. 28 ? Platychonia sp. +-|1-|j-|-)- |) — — 29| Scytalia tithonica n. sp. +|— ?+ | Ulasse: Calcarea. | Ordnung: Dialytina. | Familie: Pharetronidae. | 30| Eudea cf. perforata Quest. | | | sp. ; | a En — — — |—| Schwaben, Aargau, | ? Caquerelle (Jura bernois);Sternberg | im nördl. Böhmen. 31] Eudea globata (JuENST. Sp. (EEE — Schwaben, Franken. | 32| ? Peronidella ef cylindrica | GoLDF. Sp. .» .|=|1—-|—-1+[|— | — | — |— Schwaben, Franken, | | Aargau, Sternberg i.n.B.; ferner nach | M’Coy imÜoralline Oolite bei Melton Yorkshire. 33| Peronidella tithonica n. sp. |— | — | — + - = |) 54 SD: I+'1—1—-|— | —- | — —| — |) 35 2 Busiphonella ch. Brom MüNsTER Sp. | | 21 — — Schwaben, Aargau, | Minchinhampton | Caquerelle, Sauet| Great Oolite (nach | Claude,?Argentera | Morris). Nord-Italien). 36| Corynella afl. costata STaHt | ( BD... RN | — 1?+ _ ‚Schwaben, Aargau. 37| Corynella sp. || _ — | 38 er sp. \—1—1—-|— |? —) 39 ? ” SP- | | — | ie || | AU; SD 2... .l4 ||| || al| Corynella moravica n.5p..|\— — — — — %— -—- — 42) ? Myrmecium cf. indutum | QLENST. Sp. + \— — — | Schwaben. 43, Myrmecium cf. hemisphaeri- | | | cum GoLDF. Sp. + ?4+ — | — | — | — — | — |— Franken, Schwaben, | Aargau,Damvillers (Jura bernois),Kra- kau, Sternberg im nördl. Böhm, Ka- tarasse (Krym). 44| 2Myrmecium grande n. sp. | - — —-| | — —) — — 45| COrispispongia pezizoides | | | v. ZITTEL . > I+ | | — |— Schwaben, Franken. 349 Die Spongien der Stramberger Schichten. 22 35|2|83 |3|2 |2| Sonstige Funde Sonstige Funde s 8 5°7|:|2|3 2/21 Ob. Jura Dogger a|# le |s 8 |F j2]® || _ = == nn Crispispongia conica n.sp.\ +) | — | | — | |—/ — | Rauffia clavata n.sp. . | +? ++ +1 —- | +44 4 nov. gen. Sp. ER: [+1 — | — el nov. gen. sp. indet. 2 Buzittelia magnifica n. sp. |e+|— | | — | |) — | —| — |— Buzittelia sp. indet. . .\|—\— | — | — | — | — |? — | Strambergia Sp. .|+1-|-1-|-|- | — — Familie: Syconidae. Unt.-Familie: Polysteganinae. Tremacystia Binde n. sp. \— | — | — ?H-|—- — — — | B tithonica n. sp. | + | — — | 4+1—- Thalamopora Zittei n. sp. + ++ +1 - + - + — „ Hoheneggeri n.sp. + ll | Register dritten Band der Palaeontologischen Mittheilungen. Die beschriebenen Gattungen und Arten sind mit einem * bezeichnet. Acanthocoenia 155. 158. Alveopora incrustata 235. Acanthogyra 98. 101. 128. "130. „ tacemosa 231. 232. „ basaltiformis 132. „ tuberosa 231. „ eolumnaris *131. 153. Alveoporinae 77. „ multiformis *132. Amblophyllia 200. „ subeompressa 129. *133. 134. Amphiastraea 75. 95.96.99. "104.182. 187. Aceryularia 186. „ basaltiformis 106. Acrocidaris *28. „ eylindriea *106. „ elongata 29. „ gracilis *105. „ formosa 29. Amphiastraeidae 77. 88. *95. 117. 182. „ nobilis”26. #28. 31. Anisocoenia 155. „ ovalis 29. Anisophyllum 157. „ striata 29. Anomocladina 308. „ subformosa 29. Anomophyllum 237. „ tuberosa 29. „ Münsteri 248. Acrosalenia aspera 6. Anomura 51. Acrosmilia 218. Anthophyllum 193. Actinaeis 78. 37. „ obconicum 195. Actinaraea 228. 229. 230. Aphiastraea 119. 120. 123. 150. 131. Actinastraea 148. Aplastraea 168. Actinocoenia 163. Aplocoenia 155. „ elathrata 164. Aplosmilia 98.100.119. 120.*122.128.131. Adelocoenia 168. 180. „ rugosa *123. Agaricia 185. 219. 225. 228. Aporosa 73. 77, „ favulus 151. Aleyonites costata 318. Allocoenia 151. Alveopora 228. Archaeocyathidae 77. Astraea 148. 151. 168. 175. 185. 219. 225. „ alveolata 176. 344 Astraea Bourgueti 176. „ cavernosa 176. h j densicella 177. „ confluens 212. 220. 221. „ erasso-ramosa 150. „ decemradiata 174. „ gracilis 154. „ tubulifera 174. Astraeidae 77. *85. 89. *182. Astraeinae 136. 147. 182. Astraeomorpha 223. Astrocoenia 76. 146. 147. 160. 182. „ Bernensis *149. „ erasso-ramosa *150. 152. „ Delmontana *150. „ pentagonalis 149. „ tenuisepta 150. Aulastraea 98. 99. *107. „ eonferta 109. *110. „ Schaeferi *107. 110. Aulopesma 293. Axophylliae 96. 98. 182. Axosmilia 134. 135. Barroisia 334. Baryphyllia 248. 252. Baryphyllum 157. Battersbyia 97. Blastinia 329. Blastosmilia 154. Brachyura 56. Branchastrea 168. Calamophyllia 115. 200. 202. 214. „ compacta 207. „ erassa 205. „ dichotoma 201. „ disputabilis 215. „ fHabellum 205. 207. 208. „ laevis 203. „ Mentonensis 208. „ radiata 115. „ strangulata 208. „ striata 207. 208. „ Virgulina 206. Calcarea 291. 312. Register. Calostylis 254. 255. Caryophyllia 193. 200. 214. Gentrastraea 220. Ceriopora 333. „ eribrosa 335. Cheilosmilia 96. Chonaxis 93. Cidaris *12. „ authentica 14. „ Blumenbachi *16. „ carinifera *14. cervicalis 19. „ Horigemma 20. „ gibbosa *18. „ glandaria 13. „ glandifera *12. 15. „ marginata *19. „ Ppropinqua *17. „ punctatissima 21. „ Strambergensis *16. „ Sturi *20. „ subpunctata *20. Cidarites gigantea Desori 23. „ pseudodiadema 32. Circophyllia 182. Cladocora laevis 203. „ trichotoma 210. Cladophyllia 96. 113. 115. 200, „ Babeana 115. Choffati 115. „ Clemeneia 115. 119. „ laevis 203. „ Mentonensis 115. 117. 118. Clathrispongia perlata 298. trochiformis 298. „ ventricosa 298. Cnemidiastrum 296. *310. 326. Cnemidium rotula 322. Coccophyllum 98. 107. Coelosmilia 134. 135. „ poculum 134. Collyrites *2. „ earinata *3. ovulum 3. transversa 1. Columnaria 97. 98. #116. 117. Columnastraea 155. Comoseris 217. 246. „ amplistellata 248. „ brevivallis #248. „ Irradians 247. „ maeandrinoides 247. Confusastraea 220. Conocoenia 168. Conophyllum 193. Convexastraea 155. *178. „ dendroidea 169. „ minima *179. „ sexradiata *179. Corynella *317. *319. *320. „ all. costata *318. foraminosa 317. „ moravica *321. Coscinaraea 85. 207. 250. Craticularia sp. *297. *300. *301. „ cf. elathrata *300. „ ıintrasulcata *299. „ cf. paradoxa *298. „ ef. parallela *297. 299. „ cf. Schweiggeri "299. Cribrispongia *325. © conica +39». „ Ppezizoides *325. Crustacea 50. Cryptocoenia 155. 168. 175. *180. „ alveolata 177. „ Claudiensis 176. „ compressa *180. „ Thiessingi "181. „ Waldeckensis 172. Cyathocoenia 151. Cyathophora 155. 157. *175. „ Bourgueti *176. „ Claudiensis *176. „ foveolata 178. „ globosa *178. „ Gresslyi 178. „ Jcaunensis 178. magnistellata 176. minima 179. Register. 34 or Cyathophora Pironae 178. Richardi 176. „ tithonica 177. „ T'hurmanni 176. Cyathophyllidae 77. 182. Cyathophyllum 76. 92. 93. „ heterophylloides 75. Cyclolites 82. 85. 87. 193. 217. Cylindrophyma 308. „ milleporata 308. Cymosmilia 123. 128. Cypellia *304. „ ef. rugosa *304. Cystiphyllidae 96. Dactylocoenia 220. Decacoenia 168. „ Michelini 174. Decaphyllum 156. 157. 158. 161. „ Koeneni 156. Decapoda 50. Dendraraea 228. Dendastraea 185. Dendrocoenia 168. Dendrogyra 98. 111. 120. #124. 128. 131. „ rastellina 127. „ Sinuosa *126. Dendrohelia *142. „ coalescens *143. Dendrophyllia 258. Dendrosmilia 156. Dentipora coalescens 143. „ glomerata 174. Dermoseris trichotoma 201. 202. Dermosmilia 248. 252. „ Jlaxata 259. rugosa 260. „ simplex 258. „ suberassa 259. Desmosmilia 182. 214. 248. Diadema subangulare 34. Dialytina 312. Dichocoenia 147. Dietyonina 297. Dietyonocoelia Schweiggeri 299. Dimorpharaea 237. 346 Register. Dimorpharaea Koechlini *238. Dimorphastraea 222. *225. coniea 2272 ». dubia #227. „ heteromorpha *226. „ vasiformis *228. Dimorphoseris 237. Diplaraea 85. 90. 153. 217. 248. 250. 258. laxata *259. „ nobilis *260. „ af. rugosa *260. „ simplex *258. „ suberassa *259. Diplocidaris "23. „ Desori 23. „. ktalloni #23. gigantea 23. „ Pustulifera 23. Diplocoenia 92. 155. 161. "163. 186. „ celathrata *164. Inwaldensis *165. Matheyi 164. multiseptata *165. „ profunda 164. spissa *164. „ stellata 165. Diplopodia 31. „ subangularis 34. Discoidea 6. Dromiacea 56. Dromiopsis 69. Dysaster altissimus 1. Echinus pulatus 37. Elasmocoenia 155. 161. „ explanata 155. Ellipsosmilia 141. 193. imallocoenia 198. „ erasso-ramosa 150. Enallohelia 76. 144. 160. Endophyllum 107. 109. „ abditum 109. Epismilia 134. 135. *141. cuneata *142. „ obesa *141. „ reptilis *142. ” Epistreptophyllum 76. 90. 182. 214. 248, 250. 251. 252. #259. „ commune 252. *255. „ eonicum *256. eylindratum 256. „ montis 257. „ tenue 252. Epitheles hemisphaerica 323. Eudea *312. „ globata *313. „ ef. perforata *312. Funomia laevis 203. „ Slabella 207. „ plicata 214. Euphyllia 77. 98. 121. 125. Eupsammia 78. *84. 89. 249. Eupsammidae 77. 89. 182. 248. Eupsamminae 77. 248. 250. 251. Eusiphonella *316. Bronni 316. „ ef. Bronni 292. *316. Eusmilia 122. Fusmilinae 134. 136. 155. Euzittelia 296. *329. "330. „ masnifica *329. Fascieularia 168. Favia 162. Faviacea 188. Flabellum 135. Fungia 76. 77. 78. *82. 84. 85. 148. 240. Fungidae 77. 89. 215. Funginae 77. 216. 240. 244. 251. Galathea 52. „ acutirostris *53. „ antiqua "54. eutecta *52. Meyeri *55. rugosa 54. strigosa 52. „ verrucosa *Db. „ Zitteli *52. Galatheidae *51. Galaxea 78. *80. 86. 87. 90. 91. 156. 161. 162. » | Gastrosacus Wetzleri 53. 54. Register. 347 (ebia *50. „ dura350. = litoralise Hl. Gemmastraea 168. Goniaraea 151. Goniastraea 78. 86. 150. 163. 188. „ Delemontana 192. „ favulus 147. 151. 152. Goniocoenia 148. Goniocora *F144. „ dubia *145. „ Haimei *145. Haplaraea 76. 78. 85. 90. 153. 182. 214. 217. 248. 250. *261. „ columnaris 250. 261. „ elegans 262. Heliastraea 78. 85. 87. 93. 136. 162. 183. 250. Heliocoenia 155. 156. 158. 161. *166. „ dendroidea 159. "167. „ Humberti *167. Hemicidaris *25. 28. „ Avassizi *25. 31. „ crenularis *27. „ undulata 28. „ Zitteli *27. Heptastylis 88. Heterocoenia 91. Heterophyllia 97. Hexacoralla 73. 77. Hexactinellidae 297. Himatella 293. Holectypus *6. „ corallinus *7. „ orifieiatus *8. Holocoenia 155. 158. Holoeystis 155. 157. 158. Hyalotragos *310. „ ef. pezizoides 310. Jerea *506. "307. „ tithonica *306. Jereica 307. Isastraea 120. *185. „ eurtata 189. „ eylindriea *191. Isastraea explanata 191. „ favulus 151. „ Goldfussi *190. „ Gourdani *192. „ minima *192. „ Montispastelli 242. „ rastelliniformis 189. 190. » Thurmanni 189. *190. „ undans *189. 190. 192. „ variabilis *189. 192. Ktenodema 124. Lasmogyra 127. Lasmophyllia 193. Lasmosmilia 200. Latimaeandra 120. 185. 186. 187. 241. „ Amedei 242. „ aulonica 189. „ brevivallis 189. „ Culiaensis 191. „ Etalloni 191. „ Goldfussi 190. „ minima 192. „ plicata 214. „ Taramellii 191. „ Thurmanni 190. „ undans 189. „ variabilis 189. Latimaeandraraea 238. Latusastraea alveolaris 95. Leptophyllia 182. 207. #218. 255. 256. 261. „ cupulata 218. „ eyclolites *218. „ depressa 219. „ excelsa 256. „ Fromenteli 219. „ Intermedia 219. „ montis 252. „ Ihurmanni *219. Leptophyllum montis 257. Leucandra saccharata 295. „ stilifera 295. Lingulosmilia 96. 102. Lithistida 305. Lithodendron 112. 200. 214. „ confluens 212. 345 Lithodendron eylindratum 203. 204. „ dianthus 117. „ diehotomum 201. „ Nabellum 207. „ Jacerum 206. laeve 203. 204. 205. 207. „ Jongimanum 203. 204. „ magnum 206. „ plieatum 214. „ pressum 206. „ quadrilobus 212. „ kauracum 208. „ Tugosum 117. „ trichotomum 210. Lithoseris 252. „ eompressa Lobocoenia 166. „ eoalescens 145. Lobophyllia 122, 127. „ fHabellum 129. „ maeandroides 212. 213. suevica 212. Lophohohelia 79. Lophoseridae 247. Lophoserinae 77. 216. 217. #244. 247. 251. Lophoseris 245. Lophosmilia 154. Lythechinus 37. Macrura 50, Madracis 76. 147. 148. 160. Madrepora 76. 78. 88. 90. 153. 156. 160. 166. „ ecoalescens 143. „ sublaevis 143. Madreporidae 77. 89. *152. Madreporinae 77. Maeandraraea *238. 247. „ erebriformis 240. „ laminata *239. „ tuberosa *239. Maeandrina 124. 127. „ Lotharinga 191. Maeandrophyllia 185. Manon peziza 325. Melonella *308. 958. 252. 255. 168. 200. ”„ Register. Melonella ef. radiata 290. #308. Metaporhinus *1. „ convexus *1. „ Münsteri 1. „ transversus 1. Microphyllia 241. „ Amedei 242, „ dumosa 191. „ Thurmanni 190. „ undans 189. Microsolena 152. 155. 217. agariciformis 250. "232. cf. Bouri *233. catenata 234. cavernosa 233. „ keonica 231. 232. Edwardsi 232. excelsa 236. „ exigua „ expansa 238. Fromenteli 230. 232. „ gibbosa 233. granulata 250. irregularis 2393. „ Julii 230. 232. Köchlini 238. „ stellata *229. „ tuberosa *231. 232. „ variata 7250. 232. Mitrodendron 102. 112. „ mitratum 95. 112. Montieulipora 533. 534. Montlivaltia 76. 78. 86. 87. *193. 218. „ alata #198. „ Cavalli *198. „ erassisepta "196. eyclolites 218. „ dispar 195. „ Gyensis 195. nidiformis *197. „ obconica *195. Renevieri *197. „ rosula 198. truncata 196. 930: 231.238. 119. 123: 140. *228. 237. Montlivaltia turbinata 199. Morphastraea 225. Mussa 77. 78. 79. 87. 184. Myriophyllia 124. 194. Myrmecium *321. „ grande 291. *324. „ hemisphaeriecum 321. *322. „ ef. indutum *321. Nucleolites convexus 1. Octocoenia 168. Oculina eoalescens 143. Oculinidae 77. 89. *142. Ömalophyllia 194. Öpistophyllum *101. 110. 115. „ lunare 119. „ minimum 103. „ vesiculare *102. 103. 126. „ Zitteli 102. Oppelismilia gemmans 199. Örispongia globata 313. perforata 312. Öxythyreus 56. 57. 58. „ gibbus *56. 57. Pachyclypeus *4. „ semiglobus 4. Pachysyra 99. 120. 125. 126. 161. „ costata 125. Parasmilia 134. Pareudea Bronni 316. gracilis 316. Pavonia 246. Pectinia 98. Pedina *35. „ sublaevis *35. Pentacoenia 155. 158 Pentaphyllum 157. 158 Perforata 73. 77. Perismilia 195. Peronella 335. „ eylindriea 314. Peronidella *314. *315. ef. eylindriea "514. tithonica 295. "5 Petalaxis 93. Pharetronidae 312. Reeister. Phillipsastraea 76. 157. 156. | Phyllastraea 99. 125. 126. 161. Phyllocoenia 155. 162. Phymastraea 104. 105. Phytogyra 98. 120. 128. magnifica 128. rauraciensis 128. Pinacophyllum 98. 116. Pirrastraea 220. Placocoenia 155. Placophyllia 98. 100. 113. 156. „ dianthus 113. 114. rugosa 112. 117. 118. Platychonia *311. Plesiosmilia 137. infundibuliformis 140. „ turbinata 138. Pleurophyllia 113. 114. 115. „ alpina 117. 118. Pleurosmilia 134. 135. *137. erassa *159. eylindriea *138. aff. infundibuliformis "140. Marcou *139. „. turbinata 138. Pleurosmilinae 134. r Er sinuosum 215. Poeilloporidae 77. 89. *146. Poeilloporinae 77. 163. Polyphyllastraea 228. 233. Polyphyllia 193. Polyphylloseris 233. corticata 232. *235 fascicularis 275. polymorpha 234. 236. „ tenuiseptata "234. Polystesaninae 331. Porites 76. 78. 88. 153. Poritidae 77. 153. Poritinae 216. Prionastraea 185. Prosopinidae *56. Prosopon aequilatum 64. Plieodendron plicatum rotundum 215. 349 350 Prosopon angustum *61. 65. „ bidentatum *68. „ complanatiforme *66. „ complanatum *67. „ exeisum 61. „ Rraasir*63: „ grande *67. „ heraldicum *58. „ Heydeni 61. „ laeve 63. latum *66. „ longum 59. „ marginatum *64. „ mirum *60. „ ornatum *60. „ ovale *65. „ oxythyreiforme *57. „ paradoxum *58. „ polyodon *69. „ punctatum *62. „ pustulosum *63. „ tuberosum 63. „ verrucosum *62. Protoseris *245. „ Jaccardi 246. „ recurvata *245. „ robusta 245. *246. Psammocoenia 155. Psammogyra 98. 120. 125. 126. Psammohelia aspera 143. „ dendroidea 143. gibbosa 143. Psammosmilia 141. Pseudoagaricinae 251. Pseudoastraeinae 153. 182. 216. „ irregulares 216. 239. 250. 251. „ tegulares 216. 239. 247. 251. Pseudocidaris 17. 21. „ rupellensis 17. Pseudocoenia 168. Pseudodesorella *5. „ Orbignyi *5. Pseudodiadema *30. „ aroviense 54. „ Flamandi 32. Register. Pseudodiadema florescens *32. „ hemisphaericum 32. „ Lamarcki 32. „ pseudodiadema *31. „ subangulare *34. „ tranversum 32. Pseudothecosmilia 96. *111. „ Etalloni *112. Pterocorallia 76. Pygaster *10. „ Gresslyi *11. Pyrina *8. „ Guerangeri 8. „ leaunensis 8. *9. Raufiia 291. 296. *326. „ clavata *326. Rhabdocidaris *21. „ horrida 22. „ maxima *22. „ nobilis 22. Rhabdophyllia 185. 200. *214. 258. „ eervina *215. „ disputabilis *214. „ Edwardsii 208. „ fHabella 207. „ strangulata 208. „ undata 208. „ Valfinensis 208. Rhipidogyra 98. 120. *127. 131. 140. „ flabellum *129. „ minima *130. „ percrassa *129. 133. 134. Rhizomorina 310. Schizosmilia 96. 98. 100. 113. 115. 116. 120. 156. Bollieri 115. „ excelsa 117. 118. Sclerosmilia *111. „ Laufonensis 111. rugosa 111. Strambergensis *111. Seyphia Bronni 316. „ elathrata 300. eylindrica 314. „ elegans 314. Register. Seyphia parallela 297. „ paradoxa 298. „ pertusa 301. 302. 303. rugosa 304. „ Schweiggeri 299. „ texturata 302. 303. 5 e var. patellaeformis 303. Seytalia *311. „ tithonica 290. *311. Selenogyra 98. *119. 120. 122. 128. 131. „ Geikiei *121. Seriatopora 91. Seriatoporinae 77. Sestrostomella 293. Siderastraea 78. *82. 84. 85. 216. 219. 240. 246. Siderofungia 216. 241. Silicea 289. Siphonia "305. „ Pyriformis 308. radiata 308. „ Strambergensis *305. 306. n 5 sp. indet. *306. Siphonocoelia elegans 316. Sphaerocoelia 334. 335. Spongites astrophorus 318. „ elathrata 300. „ eylindrieus 314. „ eylindritextus 298. n ci familiaris 301. „ Indutus 321. „ nodulosus 335. „ perforatus 312. „ squamatus 335. Spongophyllum 107. 109. „» Büchelense 109. Sporadopyle *301. „ ef. pertusa *301. „ pertusa var. plana "302. „ texturata 301. 302. 303. „ ef. texturata var. subtexturata 289. "303. Stauria 97. "116. Stellispongia rotula 323. Stephanastraea 151. Stephanocoenia 76. 146. 147. 148. * 155. 160. 182. „ favulus *151. „ pentagonalis 149. Stephanophyllia 84. Stomechinus "36. aroviensis 38. lineatus 38. perlatus *37. „ psammophorus 38. „ serialis 38. Strambergia 291. "330. Streptelasma 75. Stylina 75. 76. 93. 155. 157. 161. 163. *168. 175. 180. „ arborea "169. athemoides *172. baeciformis 169. Bourgueti 177. „ brevieosta *174. „ coalescens 143. Deluei 171. dendroidea 167. digitiformis 167. ‚ echinulata 171. „ fenestranis 175. foliosa *170. granulosa *168. Humberti 167. irradians 172. Kotzobensis *169. lobata 175. microcoma 169. 170. milleporacea "173. „ Nantuensis 170. parvipora *173. „ pleionantha 174. Ploti 175. sexradiata 179. spissa 164. suleata *171. Taramellii 173. „ tuberosa "171. tubulifera 159. tubulosa 174. *1T7A. 162. 359 Register. Stylina Waldeckensis *172. Thamnastraea Bourgeati 223 Stylinidae 77. 89. *154. „ coneinna 154. 224. Stylocoenia 147. 155. „ confluens 212. *220. Stylogyra 127. „ (Coquandi 223. „ Nabellum 129. „ gibbosa *223. 225. Stylohelia dendroidea 143. „ globosa *223. Stylophora 147. „ gracilis 224. Stylophorinae 77. 91. *146. 148. 163. 182. „ heteromorpha 226. Stylophyllinae 182. „ Lomontiana 222. 225. Stylophyllopsis 85. 182. 188. 248. 249. „ af. Lomontiana "225. 254. 261. „ mninima 224. „ polyactis 251. 254. 262. „ oculata *222. Stylophyllum 76. 78. 85. 89. 90. 182. 188. „ Perroni *243. 248. 249. 254. „ portlandica 225. „ paradoxum 254. „ pusilla 154. 994 „ tenuispinum 254. „ seriata 222. Stylosmilia *112. 113. 115. 116. 144. 155. | Thamnastraeinae 77. *82. 85. *216. 244. EKobyaszlale7e 249, „ Koniakensis *118. „ eancellatae 217. *228. „ Michelini 113. 115. 119. „ expletae 217. *218. „ radiata 118. Thamnoseris 216. 241. „ Tugosa *117. „. Amedei *249. Syconidae 331. „ arborescens 241. Synastraea 219. „ Montispastelli *242. 0 Bour233. „ Perroni *243. Tetracladina *304. „ Strambergensis *243. Tetracoralla 73. „ Troteana 243. Thalamopora 331. "333. Theeidosmilia 96. 97. 106. 161. „ ceribrosa 334. 337. valvata 106. „ Hoheneggeri "338. Thecophyllia 193. „ Michelini 335. Thecosmilia 78. 86. 87. 115. 185. 194. „ vesiculosa 335. *200. 258. neh 291-7336. 338. „ annularis 210. Thalassina 51. -„ Buvignieri 210. Thalassinidae 50. „ Cartieri 199. Thamnaraea *152. 232. „ cervina 215. „ arboresens *153. 237. „ elathrata 200. 201. 214. bacillaris 231. „ Claudiensis 203. 205. „ Bouri 233. „ eonnecta 203. 207. sranulosa 231. „. eostata 212. „ pulchella *154. „ diehotoma 201. 202. Thamnastraea 78. 87. 182. 217. *219. 226. „ fiabella 201. *207. Das 2378 5 var. crassa "208. arachnoides 223. „ grandis 213. aspera "224. „ Gresslyi 208. Thecosmilia Jaccardi 203. „ irregularis 201. *209. „ Koniakensis, #201. 205. 207. „ Jlaevis 210. „ Langi 201. *212. „ laxata 259. „ Jongimana 201. *203. 206. „ magna 206. „ Moraviensis 201. *211. „ plicata 202. sueyica, 2012 211. 22127220: „ tithonica 213. „ triehotoma 188. 201. *210. „ kruncata 201. *213. „ virgulina 201. 203. *206. „ Volzi 201. *209. Thoracostraca 50. Tiriadendron 160. Tragos fistulosum 310. „ pezizoides 310. Tremaeystia *331. 333. „ anastomans 331. 333. „ Hindei *331. „ Michelini 332. Palaeontologische Mittheilungen. Band 3. Register. 353 Tremaeystia d’Orbienyi 332. „ Siphonoides 333. „ tithonica *332. Tremadietyon 297. „ regulare 289. *297. „ reticulatum 297. Tremocoenia 168. Trismilia 135. Trocharaea 152. 217. Trochocyathinae 77. Trochoseris 218. Trochosmilia 90. 135. 218. Trochosmiliaceae 134. Trochosmilinae 77. *134. 135. 136. Turbinaria 78. 87. SS. 90. 153. Turbinarinae 77. Turbinolia 135. 193. 218. „ eyelolites 218. Turbinolidae 77. 88. "134. 135. Turbinolinae 77. 135. Ulophyllia maeandroides 212, 213. Zaphrentidae 77. Zaphrentis 75. 76. null 1 5 Pi y er ie ua DIESER, 4 & N STEIN I i a {} Y I uhr e ur ERST EEE EEE >= ee ee % CHE = > SE # 587 AIR $= ser % r) * et 1 Y NNeet, EN y f IHR RR aeleh N BARN Hin h RB R INNE NE “ IiR O0) Au ae ae u nalen 8 ‘ Kt HalaN {) nut ‘ Mn ieltieie Ai IHM) a f HUENBRchE DR % un et "e 6) \ of re OR N 17 HAAN {} tt N KRMIR LAG y IS ARNRENER RERRRERNR RN) IA ine KRAUT) Kath A I HH BOROR ‘ RUN RR I ERISEIN SOHHÄEHEN 48 () ” RR er) Br ah N KM \ ! RR In I at BRLER KIN) * 8 NDR N aeelnt \ BORN ii URAN RR N ®, Ai .% Sertie, “+ N) “ ‘ \ Ai } f) Kalal iR in Ki CEHESEH 7 ee